Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Histoires d’employés

Faites la différence
En tant qu’employé(e) d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), vous pouvez contribuer à façonner un avenir meilleur pour toutes les personnes qui partagent ce territoire et qui viennent s’y installer en tirant parti de vos forces, de vos perspectives et de vos expériences uniques. Venez contribuer, venez-vous faire entendre, venez être vous-même! Nous sommes « diversifiés par nature et inclusifs dès le départ ».
Apprenez-en davantage sur les possibilités d’emploi à IRCC.
Constatez par vous-même les contributions qu’apportent nos employés.
Découvrez nos histoires
- Leurs expériences
- « Dans nos mots » – Témoignages d’employés autochtones
- Ce qui compte, ce sont les capacités, pas les handicaps – Témoignages d’employés en situation de handicap
- Fiers de qui nous sommes – Témoignages d’employés 2ELGBTQIA+
Leurs expériences
Holly

Je suis une mère célibataire occupée d’un enfant de 4 ans qui adore la nature.
J’aime la souplesse que m’offre mon emploi. Cela me permet de gérer l’horaire de ma famille et de maintenir un bon équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Je peux travailler à domicile quelques jours, ce qui facilite la tâche d’aller chercher et déposer mon enfant à l’école, ainsi que toutes les autres tâches quotidiennes. J’ai plus de temps pour accomplir mon travail et planifier le prochain repas, et ce, dans le confort de mes « mom jeans »!
Juana

Je suis une étudiante passionnée et motivée actuellement inscrite au baccalauréat ès arts avec spécialisation en communication. Étant originaire de Belgique, j’apporte une riche optique multiculturelle dans le cadre de mon travail et je parle français, anglais et kinyarwanda. Mon intérêt pour les communications s’est développé grâce à mon expérience pratique en conception graphique et en gestion des médias sociaux, où j’ai découvert le pouvoir de la narration et de la mobilisation numérique.
Grâce au Programme fédéral d’expérience de travail étudiant (PFETE) d’IRCC, j’apprends comment la fonction publique peut amplifier les voix de la diversité et avoir une incidence significative. Dans le cadre de mon premier rôle au sein de la fonction publique fédérale, je m’implique en tant qu’influenceuse étudiante et membre active d’initiatives étudiantes. Je coorganise des activités d’intégration et de réseautage, j’élabore des rapports à l’intention de la haute direction et je gère la page de médias sociaux « Influenceurs étudiants ».
Je suis reconnaissante de pouvoir mettre en pratique mes connaissances académiques dans un environnement favorable qui promeut la curiosité et le sens de l’initiative. J’ai vu à quel point ma voix pouvait faire changer les choses, par exemple lorsque j’ai recommandé de passer à une autre plateforme numérique afin de mieux communiquer avec la communauté étudiante. Cette recommandation a été mise en œuvre et a permis d’améliorer la mobilisation et la visibilité. Ce sentiment d’inclusion et de respect m’a aidé à me sentir comme une membre à part entière de l’équipe.
Mon passage à IRCC m’a permis de mieux comprendre la fonction publique et m’incite à continuer de contribuer à des travaux qui ont une incidence durable sur la vie des Canadiens.
« Dans nos mots » – Témoignages d’employés autochtones
Sharon

Je suis née et j’ai grandi à Winnipeg, au Manitoba. Ma mère est crie et membre de la Première Nation de Fox Lake, et mon père est d’origine scandinave et allemande. Je travaille pour le gouvernement du Canada depuis mars 2010. J’ai commencé ma carrière à la fonction publique fédérale à la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). J’ai ensuite fait le saut à IRCC et je me considère très chanceuse d’y avoir trouvé un emploi. J’ai commencé à travailler à la Citoyenneté et je n’arrivais pas à croire que j’étais rémunérée pour participer à des cérémonies de citoyenneté et faire passer des examens pour l’obtention de la citoyenneté. Chaque cérémonie m’a émue aux larmes. Le fait de voir des gens venus du monde entier se rassembler, choisir le Canada comme pays de résidence et prêter le serment de citoyenneté était incroyablement touchant. En tant qu’Autochtone, il est très important pour moi que les nouveaux arrivants se sentent les bienvenus au Canada et qu’ils soient informés au sujet de l’histoire des Autochtones, y compris celle des pensionnats.
Je travaille actuellement au sein du Réseau de l’établissement, et ce que j’aime le plus à IRCC est le soutien que je reçois de mes pairs et de la direction en ce qui a trait au perfectionnement professionnel. J’ai pu profiter de nombreuses occasions de formation et séances d’encadrement qui m’ont permis de me rendre là où je suis aujourd’hui. Un jour, j’espère pouvoir occuper un poste de direction. L’un de mes objectifs est d’assurer une présence visible des Premières Nations au sein d’IRCC en devenant un modèle positif afin que d’autres membres des Premières Nations puissent se voir occuper des postes importants et dynamiques. De plus, lorsque je rencontre des membres de la communauté des immigrants, je m’engage à représenter les peuples autochtones de manière respectueuse et valorisante.
James

Boozhoo, Aanii, (« Bienvenue, bonjour » en ojibwé)
Je m’appelle James et je suis membre de la Première Nation Ojibway de Fort William. Je suis venu à IRCC, car je voulais faire partie d’une organisation qui contribue à améliorer la qualité de vie des nouveaux Canadiens. Si nous nous remémorons l’histoire du Canada, nous constatons que les Premières Nations ont été les premières personnes à accueillir de nouveaux visiteurs, à leur faire découvrir le territoire et à les aider à survivre aux hivers longs et froids.
Je contribue actuellement à l’élaboration d’une politique à l’intention des nouveaux Canadiens qui traite de questions relatives aux droits des Autochtones. Je tenais à donner de mon temps à cette cause importante afin que nous puissions créer un lien entre les nouveaux Canadiens et les Premières Nations du Canada.
Miigwitch (Merci)
Danielle

Je suis fière de mon héritage. Je suis originaire de la bande Wolastoqiyik Wahsipekuk. Nous sommes également connus comme la Première Nation Malécite de Viger. Nous formons la 11e Première Nation du Québec. Le Canada est mon pays, mon chez-moi.
Je travaille à IRCC depuis un peu plus de deux ans, et je comprends véritablement pourquoi autant de gens de l’étranger souhaitent s’établir au Canada. Ils veulent vivre en paix, contribuer à leur communauté, trouver un emploi valorisant, subvenir aux besoins de leur famille ou fonder une famille en tant que citoyens canadiens.
À IRCC, notre objectif est d’aider ces personnes. Je comprends totalement! Je suis fière du secteur au sein duquel je travaille. Le Secteur de l’établissement, de l’intégration et des affaires francophones joue un rôle essentiel dans la réussite des nouveaux arrivants. J’accorde beaucoup d’importance au travail que le Secteur accomplit, car nous influons réellement sur la vie des gens avec qui nous interagissons. Je suis membre des Premières Nations et je suis très fière du travail que nous réalisons ici, à IRCC, au nom d’innombrables personnes qui souhaitent faire du Canada leur chez-soi.
Merci, Thank you, Woliwon
Haleigh

J’ai amorcé ma carrière à IRCC en 2017, tout de suite après mes études collégiales. À IRCC, j’ai la chance de travailler avec des collègues qui m’ont activement aidé à m’épanouir en tant que fonctionnaire, en m’offrant de précieuses occasions de mettre en pratique mes compétences et d’acquérir une expérience significative en tant que jeune professionnelle. Je travaille désormais à la Sécurité ministérielle, ce qui cadre parfaitement avec ce que je souhaite accomplir sur le plan professionnel. Je suis passionnée par mon travail qui consiste à contribuer à la sécurité des employés d’IRCC.
Depuis mes débuts à IRCC, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreuses initiatives passionnantes en dehors de mes fonctions, comme le Cercle des peuples autochtones, un réseau formé d’employés autochtones et leurs alliés. Le fait d’être membre du Cercle des peuples autochtones m’a permis de faire connaître ma culture à d’autres personnes et de mieux la découvrir moi-même. J’adore le fait qu’IRCC donne à ses employés la possibilité de participer à ce genre d’activités, qui nous permettent d’acquérir des compétences utiles tant sur le plan personnel que professionnel.
Ce qui compte, ce sont les capacités, pas les handicaps – Témoignages d’employés en situation de handicap
Judith

Je m’appelle Judith et je travaille à IRCC depuis plus de 20 ans. J’ai commencé en tant qu’agente sur le terrain, puis je suis devenue formatrice et, petit à petit, j’ai développé un intérêt pour la gestion. Je gère des équipes au sein du Ministère depuis environ 10 ans. Je suis privilégiée d’avoir pu observer la réalité de ce qu’est un « handicap » au cours de ma carrière, non seulement en tant qu’employée, mais aussi en tant que gestionnaire. Mon handicap a été diagnostiqué en 2017; j’ai donc connu IRCC avec et sans les obstacles liés au handicap.
Suivant le diagnostic de mon handicap, les ajustements ont été importants et parfois difficiles, mais j’ai pu m’adapter grâce au soutien que j’ai reçu tout au long du processus. IRCC est ma grande famille professionnelle : j’ai eu la chance à plusieurs reprises de côtoyer des collègues attentionnés, patients et ouverts d’esprit. Mes collègues ont joué un rôle déterminant quant à la façon dont les obstacles ont été éliminés.
La souplesse, la résilience et la persévérance sont des compétences importantes pour les employés en situation de handicap et pour les gestionnaires qui les appuient. Je constate actuellement que le Ministère s’engage à améliorer l’accessibilité pour les personnes en situation de handicap ainsi qu’à renforcer l’équité et l’inclusion pour tous. Voilà qui est très positif pour les prochaines générations d’employés à IRCC.
Jamieson

Je vis avec une paralysie cérébrale spastique et la sclérose en plaques récurrente et rémittente. J’ai d’abord travaillé pour le centre des services opérationnels, puis je me suis joint au centre des opérations pour les réfugiés. Je travaille maintenant comme analyste de cas au sein du Secteur des opérations d’intégrité.
Au sein du Secteur des opérations d’intégrité, je peux parler ouvertement des handicaps avec lesquels je vis, et je suis toujours entendu et soutenu. C’est formidable de travailler pour un ministère qui reconnaît ce dont je suis capable plutôt que ce qui me limite. Depuis que j’ai commencé à travailler au sein du Secteur des opérations d’intégrité, je me suis senti vu, entendu et soutenu. Je ne pourrais pas être plus reconnaissant.
Cara

Je m’appelle Cara et j’ai un handicap neurobiologique. Je n’ai ménagé aucun effort pour le surmonter depuis que j’ai reçu le diagnostic en 2015. Le travail que j’effectuais au sein de mon ancienne organisation a été un élément déclencheur de séjours répétés à l’hôpital. Mes gestionnaires ne comprenaient pas suffisamment ma situation pour pouvoir m’accorder des mesures d’adaptation efficaces. Cela dit, le jour même où j’ai commencé à travailler à IRCC en mars 2020 - trois jours avant le confinement lié à la pandémie - ma réalité a changé du tout au tout. IRCC est une organisation axée sur les personnes, qui compte des groupes d’intervention et de soutien social, comme le Groupe de travail sur la lutte contre le racisme, le Cercle des peuples autochtones et le Réseau des personnes en situation de handicap, et qui met l’accent sur la diversité, l’équité et l’inclusion.
J’ai également pu progresser dans ma carrière, qui était jusqu’alors au point mort, et occuper un poste qui correspondait mieux à mes compétences, à mon expérience, à ma formation et à mes centres d’intérêt. Je suis destinée à travailler dans le domaine des sciences sociales et humaines, et les personnes et les dossiers avec lesquels j’ai eu le plaisir et l’honneur de travailler me donnent continuellement un sentiment de fierté et de responsabilité positive. Mon équipe, ma direction générale et mes cadres supérieurs font preuve d’une compassion sans borne, ce qui, comme je l’ai appris, est une caractéristique commune à de nombreux groupes au sein d’IRCC. Même si je rencontre parfois des difficultés liées à mon handicap neurobiologique dynamique, je suis acceptée et appréciée, et je peux continuer à travailler sans entrave. Je sais qu’à IRCC, je suis chez moi.
Fiers de qui nous sommes – Témoignages d’employés 2ELGBTQIA+
Holly (elle)

Je suis agente de migration du Service extérieur et je travaille dans la fonction publique depuis plus de 25 ans. Étant moi-même enfant d’immigrants, je suis passionnée par la migration et son rôle dans l’histoire, le tissu social et l’avenir du Canada. En 2006, j’ai effectué ma première mission à l’étranger et, depuis, j’ai mené à bien plusieurs missions en Europe, en Asie et au Moyen-Orient. J’avais prévu de prendre ma retraite en 2023, mais ma décision de faire ma transition de genre à l’âge de 59 ans m’a donné un regain d’énergie, un sentiment de joie et un désir irrépressible de servir le pays. Ma famille du Service extérieur et à IRCC a été incroyablement accueillante et encourageante. Je suis très fière de servir le Canada dans le cadre de ma septième mission à l’étranger, mais la toute première ou je me présente sous mon vrai jour.
Hazel (elle)

À IRCC, j’ai trouvé plus qu’un emploi; j’ai trouvé une communauté fondée sur le respect, la collaboration et une inclusion significative. Grâce à Fierté@IRCC et au Réseau Espace positif, j’ai rencontré des collègues inspirants partout au Canada et ailleurs, et j’ai noué des amitiés durables et des relations de mentorat qui me rappellent que je suis appréciée.
La partie la plus marquante a été le leadership exercé dans le cadre des activités de défense des droits. Le fait de raconter mon histoire a ouvert des portes à d’autres personnes qui se sentaient invisibles ou ignorées. Mes collègues et mes clients me font souvent part de leurs propres difficultés liées à l’identité, à la discrimination et au silence. Ces conversations brisent le silence, suscitent l’empathie et soulignent la nécessité de créer un espace pour faire part de vérités difficiles.
En tant qu’ambassadrice de l’Espace positif, je suis fière de promouvoir l’inclusion au quotidien, que ce soit par l’intermédiaire de formations, de la visibilité ou en posant des questions qui remettent en cause les idées préconçues. Le fait de porter mon épinglette d’ambassadrice de l’Espace positif lors des entrevues témoigne de mon engagement envers la création d’espaces plus sécuritaires pour tous. À tous ceux et celles qui sont en quête d’appartenance, votre histoire est importante. Vous n’êtes pas seul(e)s. IRCC vous accueille tel que vous êtes.