Rapport financier trimestriel pour le trimestre terminé le 30 septembre 2024

1. Introduction

Le présent rapport trimestriel a été préparé par la direction, tel qu’exigé par l’article 65.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, selon les modalités prescrites par le Conseil du Trésor. Il devrait être lu de concert avec le Budget principal des dépenses – Budget des dépenses 2024–2025 et le Budget supplémentaire des dépenses (A), 2024-2025. Il n’a pas fait l’objet d’un audit externe ou d’un examen.

Notre Nord, fort et libre : Une vision renouvelée pour la défense du Canada à mis à jour la politique qui vise à renforcer les fondements des forces armées ainsi qu’à dissuader et à vaincre, au moyen de nouvelles capacités, les nouvelles menaces en pleine évolution. La vision renouvelée vise à relever les défis suivants :

Le Ministère continue de s’acquitter de son mandat, qui consiste à obtenir des résultats liés à sept responsabilités essentielles. Une description sommaire de ces responsabilités essentielles se trouve dans le Plan ministériel 2024-2025.

1.1. Méthode de présentation du rapport

Ce rapport trimestriel a été préparé par la direction selon une méthode de comptabilité axée sur les dépenses. L’état des autorisations joint à ce rapport inclut les autorisations de dépenser du ministère accordées par le Parlement et le Secrétariat du Conseil du Trésor, qui sont utilisées par le ministère de manière cohérente avec le Budget principal des dépenses et le Budget supplémentaire des dépenses (A) pour l’année financière (AF) 2024-2025. Le rapport a été préparé à l’aide d’un cadre de rapports financiers à usage particulier conçu pour répondre aux besoins d’information financière en ce qui a trait à l’utilisation des pouvoirs de dépenser.

L’autorisation du Parlement est requise avant que l’argent puisse être dépensé par le gouvernement. Les approbations sont accordées sous la forme de limites annuellement approuvées par l’intermédiaire de lois de crédits ou par l’intermédiaire de lois sous forme de pouvoirs législatifs de dépenser à des fins déterminées.

Le Ministère utilise la méthode de la comptabilité d’exercice intégrale pour la préparation et la présentation de ses états financiers annuels consolidés, qui font partie du processus de rapport sur les résultats ministériels. Toutefois, les pouvoirs de dépenser votés par le Parlement demeurent axés sur les dépenses. La principale différence entre les rapports financiers trimestriels et les états financiers ministériels consolidés est le décalage entre le moment où les recettes et les dépenses sont constatées. Le rapport financier trimestriel ne comprend les recettes que lorsque l’argent est reçu et il ne comprend les dépenses que lorsque l’argent est versé. Les états financiers ministériels consolidés constatent les recettes lorsqu’elles sont gagnées et des dépenses lorsqu’elles sont encourues. Dans ce dernier cas, les recettes sont comptabilisées même si l’argent n’a pas été reçu et les dépenses sont comptabilisées même si l’argent n’a pas encore été versé.

2. Faits saillants des résultats financiers trimestriels et cumulatifs

Cette section présente les faits saillants financiers et les explications des écarts entre les résultats financiers trimestriels et depuis le début de l’exercice pour le trimestre terminé le 30 septembre 2024 et les résultats de la même période l’an dernier.

2.1. État des autorisations

Comparativement à ceux de la même période de l’exercice précédent, les autorisations budgétaires disponibles depuis le début de l’exercice du Ministère ont augmenté de 4 017,9 millions de dollars. Comme il est indiqué dans le Tableau 1 : État des autorisations, les autorisations budgétaires totales disponibles pour l’année sont passées de 27 304,1 millions de dollars en 2023-2024 à 31 322,0 millions de dollars en 2024-2025. Les principales raisons de ces changements sont décrites ci-dessous.

Écarts relatifs aux autorisations disponibles depuis le début de l’exercice (en millions de dollars)

Initiative

Fonctionnement (crédit 1)

Capital (crédit 5)

Subventions et contributions  (crédit 10)

Autorisations législatives budgétaires

Total des écartsNote de bas de page *

Projets en biens d’investissement et d’infrastructure

216,8

1062,9

3,1

11,8

1 294,6

Administration de la solde – Fonctionnaires fédéraux et Forces armées canadiennes

1006,6

0,0

0,0

260,6

1 267,2

Opérations internationales

797,0

131,2

10,8

115,1

1 054,1

Exploitation et maintien en puissance (maintenance de la flotte) des capacités militaires et des besoins opérationnels

357,8

0,0

0,0

0,0

357,8

Financement de l’aide militaire à l’Ukraine

0,0

0,0

300,0

0,0

300,0

Organisation du Traité de l’Atlantique Nord

5,0

0,0

235,8

0,8

241,6

Recours collectif Heyder-Beattie

139,8

(0,3)

0,0

0,3

139,8

Cybercapacités des Forces armées canadiennes

101,1

29,2

0,0

2,9

133,2

Missiles avancés à courte portée et missiles air-air à moyenne portée

119,9

0,0

0,0

0,0

119,9

Réapprovisionnement et maintien en puissance des munitions et des explosifs

115,8

0,0

0,0

0,0

115,8

Financement des services internes et des phases de définition préalable des projets de modernisation du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord

46,3

0,0

0,0

5,5

51,8

Exigences ministérielles diverses

(160,9)

10,3

27,5

(321,5)

(444,6)

Recentrer les dépenses gouvernementales

(497,2)

(93,5)

(3,5)

(19,2)

(613,4)

Écart cumulatif des autorisations disponibles

2248,1

1139,8

573,7

56,2

4 017,9

Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, les totaux peuvent ne pas correspondre à la somme des composantes.

L’augmentation nette des autorisations depuis le début de l’exercice de 4 017,9 millions de dollars au cours du deuxième trimestre de 2023-2024 peut s’expliquer par des écarts dans le financement d’un certain nombre d’initiatives :

2.2. Dépenses ministérielles budgétaires par article courant

Comparativement à celles du même trimestre de l’exercice précédent, les dépenses budgétaires nettes totales depuis le début de l’exercice du Ministère ont augmenté de 2 051,4 millions de dollars. Comme l’indique le Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant, les dépenses sont passées de 11 422,1 millions de dollars en 2023-2024 à 13 473,5 millions de dollars en 2024-2025.

Écarts depuis le début de l’exercice des dépenses budgétaires nettes (présentés par article courant)
(en millions de dollars)

Article courant

2024-2025 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre

2023-2024 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre

Écart d’une année à l’autre

Acquisition de machines et de matériel

2 509,0

1 422,5

1 086,5

Personnel

6 184,6

5 834,3

350,3

Services professionnels et spéciaux

2 249,0

1 928,7

320,4

Acquisition de terrains, bâtiments et ouvrages

320,6

214,8

105,8

Transports et communications

418,6

362,5

56,1

Autres subventions et paiements

203,9

148,3

55,6

Location

340,3

302,0

38,3

Paiements de transfert

167,0

134,1

33,0

Réparation et entretien

703,2

681,6

21,6

Autres éléments mineurs nets

377,1

393,2

(16,1)

Total des dépenses budgétaires nettes

13473,5

11422,1

2051,4

Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, les totaux peuvent ne pas correspondre à la somme des composantes.

Depuis le début de l’exercice, l’augmentation nette de 2 051,4 millions de dollars est principalement attribuable à ce qui suit :

Acquisition de machines et de matériel (augmentation de 1 086,5 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due au calendrier des paiements pour les cas de ventes militaires à l’étranger d’aéronefs multimissions canadiens et pour le Projet de capacité future en matière d’avions chasseurs. En outre, le Projet des véhicules blindés de soutien au combat est à l’étape de la mise en œuvre et les dépenses liées aux contrats augmentent. Enfin, le Projet des navires de combat de surface canadiens s’est accéléré par rapport au même trimestre de l’année précédente.

Personnel (augmentation de 350,3 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due aux augmentations de la solde des membres des FAC et aux diverses conventions collectives ratifiées pour les employés civils, ce qui a entraîné une augmentation continue des coûts de personnel tels que les salaires rétroactifs, les salaires normaux et les primes d’assurance plus élevées pour les militaires. En outre, les effectifs militaires moyens sont plus élevés qu’au même trimestre de l’année précédente, ce qui a contribué à l’augmentation des dépenses.

Services professionnels et spéciaux (augmentation de 320,4 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due à des projets à l’étape de la mise en œuvre, tels que la capacité de l’avion stratégique de transport et de ravitaillement en vol, le système d’aéronef télépiloté et le projet de modernisation des véhicules logistiques. En outre, le projet de navire de combat de surface canadien est plus avancé qu’au même trimestre de l’année précédente, ce qui contribue à l’augmentation des coûts. Enfin, les dépenses liées aux licences de propriété intellectuelle, à l’ingénierie non récurrente et aux nouveaux cas de ventes militaires à l’étranger, ainsi que les projets d’infrastructure supplémentaires dans le cadre de l’opération REASSURANCE ont également contribué à l’augmentation des dépenses.

Acquisition de terrains, bâtiments et travaux (augmentation de 105,8 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due à l’accélération de la construction d’infrastructures à Cold Lake et à Bagotville, ainsi qu’à de nombreux projets qui en sont à l’étape de la mise en œuvre au cours de l’année financière en cours.

Transports et communications (augmentation de 56,1 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due au fait que les factures relatives aux déménagements militaires ont été reçues plus tôt par rapport à la période avant la pandémie. En outre, les contrats liés aux projets de services de données de télécommunications de Mercury Global ont augmenté, ce qui a contribué à la hausse des dépenses. Enfin, l’amélioration du traitement des factures a permis d’effectuer les paiements avec peu ou pas de retard cette année.

Autres subventions et paiements (augmentation de 55,6 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due à l’augmentation des paiements juridiques versés aux demandeurs en attente du règlement des recours collectifs Heyder et Beattie au cours du trimestre précédent.

Location (augmentation de 38,3 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due à divers services de location d’applications/logiciels, et à la location d’aéronefs dans le cadre de l’entraînement de l’Aviation royale canadienne.

Paiements de transfert (augmentation de 33,0 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due aux variations des taux de change qui affectent l’aide financière à l’Ukraine et les affectations liées à l’OTAN. De plus, la volatilité de la situation en Ukraine et les changements de priorités et de projets par rapport au même trimestre de l’année précédente ont contribué à l’augmentation des dépenses. Enfin, les dépenses ont augmenté en raison de la réorganisation et de l’amélioration de l’efficacité du programme Innovation pour la défense, l’excellence et la sécurité.

Réparation et entretien (augmentation de 21,6 millions de dollars)
L’augmentation des dépenses est principalement due aux fluctuations des paiements pour le projet de modernisation des torpilles légères dans le cadre des ventes militaires à l’étranger, ainsi qu’aux dépenses pour le contrat de services de soutien du projet d’avion stratégique de transport et de ravitaillement en vol. Cette augmentation est compensée par une diminution due à une importante commande liée à la gestion du programme d’équipement maritime qui a été payée plus tôt l’année précédente.

3. Risques et incertitudes

Les opérations financières du Ministère sont exposées à un large éventail de risques financiers et économiques externes, comme l’inflation, les fluctuations des devises sur les prix des produits de base et la chaîne d’approvisionnement mondiale. À l’heure actuelle, le Ministère constate que les risques économiques entraînent une augmentation des coûts des biens et des services, des pénuries de main-d’œuvre et des retards dans la chaîne d’approvisionnement. Selon la façon dont ces risques se comportent, ils pourraient entraîner des fluctuations importantes des dépenses prévues.

Bien que le Ministère tienne compte des principaux facteurs de risque économiques et financiers (y compris l’inflation et les taux de change propres à la défense) dans l’élaboration des stratégies de dépenses, ces risques échappent au contrôle du Ministère.

Le Ministère continue de s’attaquer aux risques financiers associés aux problèmes de paie liés à Phénix en mettant en œuvre de nouveaux contrôles, au besoin, et en renforçant les contrôles existants. Le programme d’assurance de la qualité des civils continue de tirer parti de l’utilisation de l’automatisation robotisée des processus pour analyser l’environnement de paie actuel et mener à des mesures correctives plus opportunes avec l’aide d’agents de la rémunération. Des initiatives comme la capacité de saisie centralisée des données continuent d’assurer l’exactitude soutenue des paiements.

Le programme d’acquisition d’immobilisations du Ministère comprend un certain nombre de grands projets d’acquisition pluriannuels, principalement des avions de chasse de pointe, des navires militaires et des véhicules blindés. Les retards dans les activités de passation de marchés et d’approvisionnement ou les retards dans les livraisons par les fournisseurs pour des projets individuels peuvent réduire la capacité opérationnelle des FAC et entraîner une réduction des dépenses ou des excédents budgétaires.

Les risques découlent également des réclamations et des litiges concernant les activités normales du Ministère. Lorsque le Ministère reçoit une réclamation ou un litige alléguant une responsabilité délictuelle ou une responsabilité extracontractuelle pour couvrir des pertes, des dépenses ou des dommages, le Ministère procède à l’analyse et une position appropriée est élaborée en fonction des conseils juridiques. Les litiges ou les règlements peuvent être poursuivis et ceux-ci font l’objet d’un suivi au moyen des rapports du Ministère.

Les FAC appliquent des mesures de rétablissement aux niveaux tactique, opérationnel et stratégique pour rétablir les unités à un niveau de préparation acceptable afin d’exceller en tant que force militaire moderne et prête au combat. L’objectif est de permettre aux FAC de s’adapter rapidement à l’action lorsqu’on leur demande d’importantes demandes opérationnelles imprévues, ce qui peut se produire à tout moment n’importe où dans le monde.

De plus, d’importantes demandes opérationnelles imprévues peuvent survenir à tout moment, ce qui oblige le Ministère à intervenir n’importe où dans le monde. Selon l’ampleur de la demande opérationnelle, le coût des opérations non projetées serait atténué soit par des réaffectations internes, soit par une demande de financement supplémentaire du gouvernement.

"Notre Nord, fort et libre" répond au besoin pressant pour le Canada de s’adapter aux menaces contre sa souveraineté et sa sécurité nationale. Malgré les investissements antérieurs dans les capacités et les budgets militaires, la nouvelle politique reconnaît les lacunes en matière d’effectif du personnel, de capacité institutionnelle, de force industrielle, de capacités opérationnelles, de posture de la force et de disponibilité opérationnelle. Les contraintes budgétaires et les réductions des dépenses gouvernementales annoncées dans le budget de 2023, et poursuivies dans le budget 2024, entraînent la nécessité d’un examen attentif afin de minimiser l’impact des réductions sur la disponibilité opérationnelle des FAC ainsi que la capacité d’attirer, de recruter et de former de nouvelles recrues à l’avenir.

4. Changements importants en ce qui a trait aux programmes, au fonctionnement et au personnel

Le 2 juillet 2024, Jonathan Moor, auparavant vice-président, Direction générale, Finances et gestion organisationnelle et dirigeant principal des finances à l’Agence des services frontaliers du Canada, s’est joint à la Défense nationale à titre de sous-ministre adjoint (Finances) et de dirigeant principal des dépenses.

La générale Jennie Carignan a été nommée chef d’état-major de la défense du Canada le 18 juillet 2024, et le lieutenant-général Stephen Kelsey a pris ses nouvelles fonctions de vice-chef d’état-major de la défense le 1er août 2024.

Le 26 septembre 2024, la chef d’état-major de la défense et le sous-ministre ont annoncé la création du Commandement des cyberopérations des FAC dans le cadre de Notre Nord, fort et libre, ce qui témoigne de l’engagement du Canada à opérer dans le cyberdomaine et reflète le rôle essentiel du cyberdomaine dans les opérations modernes.

Approuvé par :

Stefanie Beck
Sous-ministre de la Défense nationale

 

Jonathan Moor CBE FCA CPFA
Dirigeant principal des finances

Date : 26 novembre 2024

Ottawa, Canada

Tableau 1 : État des autorisations (non audité) pour le trimestre terminé le 30 septembre 2024
Les montants sont exprimés en milliers de dollars. Exercice 2024-2025 Exercice 2023-2024
Crédits totaux disponibles pour l’exercice se terminant le Crédits utilisés pour le trimestre terminé le Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre Crédits totaux disponibles pour l’exercice se terminant le Crédits utilisés pour le trimestre terminé le Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre
31 mars 2025Note de bas de page * 30 sept. 2024 30 sept. 2024 31 mars 2024Note de bas de page * 30 sept. 2023 30 sept. 2023

Crédit 1 : Dépenses nettes de fonctionnement

20 954 326

4 876 456

8 878 477

18 706 207

4 563 241

8 350 518

Crédit 5 : Dépenses en capital

7 216 408

1 942 375

3 402 630

6 076 583

1 271 873

1 865 126

Crédit 10 : Subventions et contributions

893 526

135 429

167 129

319 809

133 117

134 066

Crédit 15 : 
Paiements liés au régime d’assurance-invalidité de longue durée et d’assurance-vie pour les membres des Forces canadiennes

446 728

120 733

205 099

446 728

117 057

169 741

Autorisations législatives budgétaires :

Contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés: Membres militaires

1 427 471

346 301

636 145

1 402 014

435 532

729 279

Contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés

363 661

90 947

181 914

330 464

82 652

165 297

Dépenses des produits de l’aliénation des biens en surplus de la Couronne

19 194

389

389

21 545

79

79

Versement en vertu de la Loi sur les prestations de retraite supplémentaires

500

95

173

550

155

259

Montants adjugés par une cour –Loi sur la responsabilité civile de l’État et le contentieux administratif

0

1 450

1 450

0

7 439

7 627

Versements en vertu des partiesI àIV de la Loi sur la continuation de la pension des services de défense (L.R.C. (1970), ch. D-3)

110

20

36

120

31

52

Ministre et ministre associé de la Défense nationale: Salaire et allocation pour automobile

99

25

49

95

24

47

Autorisations législatives budgétaires totales

1 811 035

439 227

820 156

1 754 788

525 912

902 640

Autorisations budgétaires nettes totales

31 322 023

7 514 220

13 473 491

27 304 115

6 611 200

11 422 091

Autorisations non budgétaires

77 191

6 456

45 784

74 474

6 722

40 699

Autorisations totales

31 399 214

7 520 676

13 519 275

27 378 589

6 617 922

11 462 790

Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué.

Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non audité) pour le trimestre terminé le 30 septembre2024
Les montants sont exprimés en
milliers de dollars.
Exercice 2024-2025 Exercice 2023-2024
Dépenses prévues pour l’exercice se terminant le Dépensées durant le
trimestre terminé
Cumul des crédits utilisés à la
fin du trimestre
Dépenses prévues pour l’exercice se terminant Dépensées durant le
trimestre terminé
Cumul des crédits utilisés à la
fin du trimestre
31 mars 2025 30 sept. 2024 30 sept. 2024 31 mars 2024 30 sept. 2023 30 sept. 2023

Dépenses :

Personnel

 13 082 028

 3 164 868

 6 184 565

 11 600 708

 3 067 325

 5 834 315

Transports et communications

 755 090

 282 104

418 609

 758 029

 207 077

 362 541

Information

 33 079

 5 638

 8 823

 28 043

 7 399

 11 680

Services professionnels et spéciaux

 5 705 906

 1 365 149

 2 249 013

 5 166 425

 1 213 239

 1 928 651

Location

 795 142

173 625

 340 346

699 481

152 809

302 049

Réparation et entretien

 2 217 905

467 691

703 247

2 052 122

436 332

681 640

Services publics, fournitures et approvisionnements

1 395 217

249 481

477 418

1 289 383

274 918

476 371

Acquisition de terrains, de bâtiments et travaux

828 887

 211 567

320 649

705 757

157 736

214 818

Acquisition de machines et de matériel

5 525 541

 1 403 962

2 509 048

4 667 794

937 300

1 422 541

Paiements de transfert

894 136

 135 544

 167 038

 320 479

133 527

134 077

Frais de la dette publique

 3 577

 628

 1 216

 3 840

 518

 1 366

Autres subventions et paiement

424 157

 131 050

203 879

368 695

 85 697

 148 280

Dépenses budgétaires brutes totales

 31 660 665

7 591 307

13 583 851

27 660 756

6 673 877

11 518 329

Moins les revenus affectés aux dépenses :

Recouvrements provenant de membres

(154 697)

 (39 763)

 (65 748)

 (168 688)

 (38 570)

(64 129)

Recouvrements provenant d’autres ministères et organismes gouvernementaux

 (13 748)

(1 753)

 (1 990)

 (11 075)

 (2 370)

(3 182)

Recouvrements d’autres gouvernements/ONU/OTAN

 (69 781)

(13 401)

 (16 148)

 (93 659)

(1 913)

(2 732)

Autres recouvrements

 (100 416)

(22 170)

 (26 474)

(83 219)

 (19 824)

 (26 195)

Total des revenus affectés aux dépenses

 (338 642)

 (77 087)

(110 360)

(356 641)

(62 677)

 (96 238)

Dépenses budgétaires nettes totales

31 322 023

7 514 220

13 473 491

27 304 115

6 611 200

11 422 091

Remarque: Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué.

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