Le ministre Morneau et le président de la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures discutent de la croissance partagée

Le 17 avril 2018 – Ottawa (Ontario) – Ministère des Finances Canada

Le gouvernement du Canada est résolu à collaborer avec ses partenaires internationaux pour s'assurer que chaque personne tire parti des avantages de la croissance économique, y compris la classe moyenne et les personnes qui travaillent fort pour en faire partie. L'investissement dans les infrastructures contribuera à une croissance durable qui sera avantageuse pour tous, en créant de bons emplois bien rémunérés, et en faisant des communautés des milieux de vie encore meilleurs.

Le ministre des Finances, Bill Morneau, a rencontré aujourd'hui le président de la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (BAII), Jin Liqun, à Ottawa. Les deux ont discuté des façons dont la BAII et le Canada, son plus récent membre, peuvent appuyer des projets d'infrastructures durables de grande qualité qui mèneront à une croissance économique à long terme et à des avantages pour la classe moyenne au Canada et en Asie.

L'adhésion à la BAII permettra au Canada de participer davantage aux efforts multilatéraux en matière de développement qui appuient la croissance économique partagée en Asie et ailleurs. La croissance en Asie – qui compte plusieurs partenaires commerciaux clés du Canada – produira d'importants avantages commerciaux pour l'économie ouverte de notre pays. 

Les banques multilatérales de développement comme la BAII financent des projets que le secteur privé ne peut pas financer à lui seul. Ce faisant, ces banques aident à créer des occasions d'affaires pour le secteur privé et stimulent la croissance économique, à la fois à l'échelle mondiale et au Canada, en créant des débouchés pour les entreprises canadiennes qui mènent des activités dans la région visée.

Le Canada achète 0,995 % des actions de la BAII, ce qui correspond à 199 millions de dollars américains (environ 256 millions de dollars canadiens), sur cinq ans à compter de 2017-2018. Cette somme représente 1,04 % des actions actuellement souscrites et se traduit par une part des voix de 1,07 %.