Le 5 mai, 2010, des représentants de Santé Canada tiendront une séance d’information technique pour les médias sur la mise à jour de l’ autorisation réglementaire pour le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech.
Aujourd’hui, Santé Canada a autorisé l’utilisation du vaccin contre la COVID 19 de Pfizer BioNTech chez les enfants âgés de 12 à 15 ans. Cette première autorisation au Canada d’un vaccin contre la COVID 19 pour les enfants marque une étape importante dans la lutte du Canada contre la pandémie.
C’est la Journée nationale des médecins aujourd’hui, une journée qui nous permet de souligner le travail inlassable des médecins qui prennent soin de leurs patients et solidifient le système de la santé.Social Media
Le 25 avril 2021, Santé Canada a publié une déclaration au sujet de l’inspection récente menée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à l’installation d’Emergent BioSolutions de Baltimore, au Maryland, qui a fait ressortir de multiples faits préoccupants. Le Ministère continue de collaborer avec Janssen, AstraZeneca et la FDA pour garantir que l’installation respecte les normes de fabrication et que tous les stocks de vaccin expédiés au Canada soient de première qualité. Depuis la diffusion de sa déclaration, Santé Canada a appris qu’une substance médicamenteuse produite à l’installation d’Emergent avait été utilisée dans la fabrication des doses du vaccin de Janssen qui devaient initialement être utilisées au Canada et qui ont été reçues le 28 avril.
Santé Canada est au courant de l’inspection récente qu’a menée la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à l’installation Emergent BioSolutions à Baltimore, au Maryland, qui a relevé de multiples faits préoccupants. Santé Canada tient à rassurer les Canadiens que tous les vaccins d’AstraZeneca importés au Canada à partir de cette installation sont sûrs et de grande qualité. Les vaccins de Janssen produits à cet endroit ne sont pas entrés au pays.
Santé Canada et Environnement et Changement climatique Canada ont terminé l’évaluation préalable finale du talc dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques. Cette évaluation finale repose sur les plus récentes données scientifiques et va dans le même sens que l’ébauche d’évaluation préalable publiée en 2018, car elle conclut que l’inhalation de poudres libres de talc et l’utilisation de certains produits contenant du talc sur les parties génitales féminines posent un risque pour la santé humaine. Elle vient aussi confirmer que le talc n’a pas d’effet nocif sur l’environnement.
Dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques, Santé Canada et Environnement et Changement climatique Canada ont terminé l’évaluation préalable finale du talc, un minéral présent dans de nombreux produits de consommation. La majorité des usages du talc ne présente aucun risque pour la santé humaine. Cependant, le gouvernement du Canada conclut, en fonction des dernières données scientifiques connues et l’évaluation préalable finale effectuée en 2021, que le talc pourrait être nocif pour les poumons si certains produits de poudres libres de talc sont inhalés et qu’il pourrait causer le cancer de l’ovaire si certains produits de soins personnels contenant du talc sont utilisés sur les parties génitales féminines.
Le commissaire à l’environnement et au développement durable a déposé son rapport du printemps et présenté les résultats de l’audit portant sur le Programme des produits de santé naturels de Santé Canada. L’audit visait à garantir que les produits de santé naturels vendus au Canada sont sûrs, efficaces et représentés fidèlement aux consommateurs.
Des représentants de Santé Canada donneront une séance d’information technique à l’intention des médias pour discuter de l’évaluation préalable finale du talc.
L’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé, a annoncé aujourd’hui qu’un accord bilatéral avec l’Ontario a été conclu afin de d’améliorer les services virtuels de santé de la province. Selon cet accord, la province investira les fonds fédéraux conformément aux priorités pancanadiennes qui ont été définies d’un commun accord pour accélérer la prestation de services virtuels de soins de santé pendant la pandémie.