Fiche Technique Santé-Sécurité : Agents Pathogènes – Virus Mayaro

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Section I - Agent infectieux

Nom : Virus Mayaro
Type d'agent : Virus

Taxonomie

Famille : Togaviridae
Genre : Alphavirus
Espèce : Virus Mayaro

Synonyme ou renvoi : Aussi appelé MAYV Note de bas de page 1, virus MAY Note de bas de page 2 et fièvre de Mayaro Note de bas de page 3.

Caractéristiques

Brève description : Le virus Mayaro appartient au genre alphavirus de la famille des togaviridae Note de bas de page 1. Il s'agit d'un agent pathogène zoonotique transmis par les arthropodes et responsable d'une maladie aiguë semblable à la dengue. Composé d'une enveloppe et d'une capside nucléique, le virus Mayaro a un diamètre d'environ 65 à 70 nm Note de bas de page 4. Il est sphérique et a une symétrie icosaédrique. Le génome viral est constitué d'un ARN linéaire simple brin de polarité positive d'environ 11,5 kb de longueur Note de bas de page 4.

Section II - Détermination du risque

Pathogénicité et toxicité: La maladie causée par le virus Mayaro est une maladie fébrile aiguë, non mortelle et spontanément résolutive en général, qui dure de 3 à 5 jours et qui est asymptomatique dans 10 % à 50 % des cas. L'infection à virus Mayaro se caractérise notamment par les symptômes suivants : maux de tête, nausées, douleurs rétro-orbitaires, arthralgie, myalgie, vomissements, diarrhée et éruptions cutanées Note de bas de page 4Note de bas de page 5Note de bas de page 6. Les arthralgies causées par une infection à virus Mayaro surviennent dans environ 20 % des cas et concernent généralement les mains, les pieds et les petites articulations des extrémités. L'arthralgie de longue durée survient à la suite de symptômes aigus chez plus de 50 % des personnes infectées Note de bas de page 7. Les éruptions causées par l'infection à virus Mayaro consistent en de petites lésions maculopapuleuses ou micropapuleuses isolées et surviennent dans environ les deux tiers des cas confirmés Note de bas de page 2Note de bas de page 3. Les patients atteints de la fièvre de Mayaro peuvent également présenter d'autres symptômes, comme des saignements, une thrombocytopénie et un ictère Note de bas de page 8. Les infections sporadiques sont fréquentes Note de bas de page 5.

Les vertébrés, comme l'opossum, le paresseux, le tatou, le coati, les primates, les rongeurs, l'agouti, les chevaux et les ânes, ont démontré une séroprévalence au virus Mayaro; cependant, les données sur la pathogénicité du virus chez les animaux restent limitées Note de bas de page 10Note de bas de page 11. L'infection expérimentale chez les macaques produit une maladie fébrile qui dure de 4 à 5 jours, ce qui est comparable aux symptômes chez les humains Note de bas de page 10.

Facteurs de prédisposition : Les personnes vivant dans les régions rurales boisées sont plus susceptibles d'être infectées en raison d'un contact plus probable avec des moustiques porteurs du virus Note de bas de page 4Note de bas de page 10.

Transmissibilité : Il n'y a aucune preuve de transmission directe de personne à personne, mais le virus Mayaro peut se transmettre indirectement entre humains par les moustiques Note de bas de page 3Note de bas de page 11. La transmission du virus Mayaro à l'humain se produit par la piqûre de moustiques infectés Note de bas de page 3Note de bas de page 5Note de bas de page 12.

Épidémiologie : Le virus Mayaro a été signalé pour la première fois à Trinité-et-Tobago en 1954 chez cinq travailleurs ruraux présentant une maladie fébrile Note de bas de page 13. Il est endémique dans les régions rurales du nord de l'Amérique du Sud et le bassin amazonien Note de bas de page 5. Plusieurs petits foyers d'infection à virus Mayaro ont été détectés dans les communautés rurales du nord du Brésil et de l'est de la Bolivie Note de bas de page 2. Plusieurs cas de maladie fébrile aiguë ont également été signalés à Belterra, dans l'État de Pará, au Brésil; cependant, aucun décès n'a été directement lié au virus Mayaro. Les cas d'infection à virus Mayaro importés sont rares, mais certains ont été signalés en Amérique du Nord, chez des citoyens français et européens en visite dans des pays d'Amérique du Sud Note de bas de page 13. Les hommes et les femmes sont tout aussi susceptibles d'être infectés par le virus Mayaro Note de bas de page 14; cependant, la prévalence de l'infection augmente considérablement avec l'âge, le taux d'augmentation le plus élevé étant observé chez les personnes âgées de 10 à 19 ans. Les épidémies surviennent pendant la saison des pluies et se terminent pendant la saison sèche, après l'augmentation et la diminution de la population de moustiques dans les régions tropicales Note de bas de page 12.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels : Les humains et les vertébrés sauvages, y compris les primates non humains, les rongeurs et les oiseaux Note de bas de page 11Note de bas de page 13. L'humain a été soupçonné d'être l'hôte amplificateur du virus Mayaro lors d'épidémies Note de bas de page 2; cependant, il est généralement considéré comme un cul-de-sac épidémiologique Note de bas de page 10. Les marmousets sont considérés comme l'hôte amplificateur du virus Mayaro dans les forêts Note de bas de page 3.

Autres hôtes : Macaques, lézards Note de bas de page 10Note de bas de page 11.

Dose infectieuse : Inconnue.

Période d'incubation : La période d'incubation de l'infection à virus Mayaro chez l'humain varie de 6 à 12 jours Note de bas de page 3Note de bas de page 4.

Section III - Dissémination

Réservoir : Les humains et les vertébrés sauvages, y compris les primates non humains, les rongeurs et les oiseaux Note de bas de page 11. Les primates non humains sont soupçonnés d'être le principal réservoir permettant le maintien du virus Note de bas de page 12. On croit que le virus Mayaro est maintenu par un cycle enzootique au cours duquel les arthropodes vecteurs transmettent le virus à des primates non humains et à d'autres mammifères.

Zoonose et zoonose inversée : La zoonose est possible, car le virus est transmis indirectement à l'humain par les moustiques Note de bas de page 3Note de bas de page 5Note de bas de page 11. La transmission par voie aérienne en présence d'animaux et/ou d'échantillons infectés a également été soupçonnée à la suite d'une exposition accidentelle en laboratoire; cependant, les données épidémiologiques font défaut Note de bas de page 15.

Vecteurs : Les moustiques diurnes de l'espèce Haemagogus vivant dans le couvert forestier (H. janthinomys) sont considérés comme le principal vecteur de l'infection à virus Mayaro Note de bas de page 3Note de bas de page 11. Les genres de moustiques secondaires sont les espèces Culex, Coquillettidia, Mansonia, Aedes, Psorophora et Sabethes Note de bas de page 12.

Section IV - Stabilité et viabilité

Sensibilité aux médicaments : Aucune. Il n'existe aucun agent antiviral contre le virus Mayaro Note de bas de page 13.

Résistance aux médicaments : Inconnue.

Sensibilité aux désinfectants : Il n'existe pas de données propres au virus Mayaro. Cependant, la plupart des virus enveloppés sont généralement sensibles à un certain nombre de désinfectants, dont les composés phénoliques, les hypochlorites (hypochlorite de sodium à 1 %), les alcools (éthanol à 70 %), le formaldéhyde (18,5 g de formaldéhyde à 5 % dans 1L d'eau), le glutaraldéhyde (à 2 %) et les iodines (0,075 g/L) Note de bas de page 16. Ils peuvent également être sensibles aux solvants des lipides Note de bas de page 17.

Inactivation physique : Les virus sont sensibles à la chaleur humide et à la chaleur sèche Note de bas de page 18. Ils peuvent aussi être sensibles à la dessiccation.

Survie à l'extérieur de l'hôte : Inconnue.

Section V - Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance : Un patient chez qui on soupçonne une infection doit être surveillé pour déceler tout symptôme de la maladie. La présence du virus Mayaro peut être confirmée par les analyses sérologiques, l'analyse de la réaction de la chaîne polymérase (PCR), la PCR en temps réel ou l'isolement du virus sur culture tissulaire (cellules Vero) Note de bas de page 3Note de bas de page 4. Les analyses sérologiques comprennent (i) une épreuve immunoenzymatique qui utilise des cellules cultivées infectées par le virus Mayaro comme antigène et (ii) un essai immuno-enzymatique (ELISA) pour détecter les anticorps IgM et servent à détecter la présence d'anticorps du virus Mayaro Note de bas de page 9.

Les recommandations relatives à la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui repose sur une évaluation locale des risques que présentent les agents pathogènes et les activités menées, ainsi que sur une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité (GCB).

Premiers soins et traitement : Un traitement de soutien est principalement utilisé, puisqu'aucun traitement médicamenteux spécifique n'est disponible Note de bas de page 3. Un anti-inflammatoire non stéroïdien, comme l'ibuprofène, le diclofénac ou le naproxène, peut être utilisé pour soulager la douleur et faciliter la mobilité. Le médicament antipaludique chloroquine peut être utilisé pour traiter l'arthralgie associée à l'infection à virus Mayaro Note de bas de page 4.

Nota : Les recommandations relatives aux premiers soins et aux traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention post-exposition, qui devrait être élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention post-exposition sont disponibles dans le GCB.

Immunisation : Il n'existe actuellement aucun vaccin contre le virus Mayaro. Cependant, deux vaccins candidats ont été mis à l'essai dans le cadre d'études précliniques Note de bas de page 13Note de bas de page 19.

Nota : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le GCB, ainsi que dans le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie : Il n'existe actuellement aucune prophylaxie connue à donner après une exposition au virus Mayaro.

Nota : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le GCB.

Section VI - Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées au laboratoire : Au moins 6 cas d'infection à virus Mayaro contractée en laboratoire ont été signalés jusqu'en 1999 (15, Pedrosa et coll. 2011). Dans un cas, un technicien de laboratoire de la Guyane française a développé une maladie fébrile après avoir été exposé à l'antigène viral Mayaro en aérosol Note de bas de page 15.

Nota : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité (NCB) et le GCB pour de plus amples renseignements sur les exigences et les lignes directrices relatives à la déclaration des incidents d'exposition.

Sources et échantillons : La principale source du virus Mayaro est le sang (sérum) des humains et des animaux infectés Note de bas de page 14.

Dangers primaires : Les principaux dangers liés à la manutention du virus Mayaro sont l'inoculation parentérale accidentelle et les aérosols Note de bas de page 15.

Dangers particuliers : Aucun.

Section VII - Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification du groupe de risque (GR) : Le virus Mayaroest considéré comme un agent pathogène humain du GR2 et un agent zoopathogène du GR1.

Exigences de confinement : Les exigences relatives au niveau de confinement 2 (NC2) applicables à l'équipement de protection individuelle et aux vêtements de protection qui sont décrites dans la NCB doivent être respectées.

Vêtements de protection : Les exigences relatives au NC2 applicables à l'équipement de protection individuelle et aux vêtements de protection qui sont décrites dans la NCB doivent être respectées

Nota : Selon l'évaluation locale des risques, une protection appropriée des mains, des pieds, de la tête, du corps, des yeux/du visage et des voies respiratoires devrait être établie, et les exigences relatives à l'équipement de protection individuelle pour la zone de confinement devraient être documentées dans les procédures opératoires normalisées.

Autres précautions : Aucune.

Section VIII - Manutention et entreposage

Déversements : Laisser les aérosols se déposer. Porter des vêtements de protection, couvrir doucement le déversement avec un essuie-tout absorbant et appliquer un désinfectant approprié, en commençant par le périmètre et en se rapprochant du centre. Laisser agir suffisamment longtemps avant de nettoyer Note de bas de page 20.

Élimination : Toutes les matières ou substances qui ont été en contact avec l'agent infectieux doivent être complètement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement. Pour ce faire, on peut utiliser une méthode de décontamination dont l'efficacité contre la matière infectieuse a été démontrée, comme les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, les systèmes de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse Note de bas de page 20.

Entreposage : Les exigences d'entreposage relatives au NC2 ou NC2-Ag énoncées dans la NCB doivent être respectées. Les contenants de matières infectieuses ou de toxines entreposés à l'extérieur de la zone de confinement devraient être bien étiquetés, scellés, résistants aux chocs et conservés dans du matériel d'entreposage verrouillé et dans un endroit à accès limité Note de bas de page 21.

Section IX - Renseignements sur la réglementation et autres

Information sur la réglementation : L'importation, le transport et l'utilisation d'agents pathogènes au Canada sont régis par de nombreux organismes de réglementation, dont l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. Il incombe aux utilisateurs de veiller à respecter tous les règlements et toutes les lois, directives et normes applicables.

Dernière mise à jour : 2018

Préparée par : Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.

Bien que les renseignements, opinions et recommandations présentés dans cette fiche technique proviennent de sources que nous jugeons fiables, nous ne nous rendons pas responsables de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements. Comme on découvre fréquemment de nouveaux dangers, il est possible que ces renseignements ne soient pas tout à fait à jour.

Tous droits réservés
©Agence de la santé publique du Canada, 2019
Canada

Références

Note de bas de page 1

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Note de bas de page 2

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Note de bas de page 3

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Note de bas de page 4

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Note de bas de page 5

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Note de bas de page 6

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Note de bas de page 7

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Note de bas de page 8

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Note de bas de page 11

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Note de bas de page 13

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Note de bas de page 14

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Note de bas de page 20

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Note de bas de page 21

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Note de bas de page 22

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