Erratum : Correction du nom et des diplômes et attestations d’auteurs, et d’erreurs dans le texte : Efficacité de l’outil CANRISK pour détecter la dysglycémie chez les membres des Premières Nations et les Métis au Canada

https://doi.org/10.24095/hpcdp.err.38.2.02f

Cet erratum vise à corriger : (1) une erreur d’orthographe dans le nom d’un auteur, et des erreurs dans les diplômes et attestations de trois auteurs, (2) une erreur dans l’Introduction, à la page 65, et (3) une erreur dans l’Analyse, à la page 69, de l’article suivant :

Agarwal G, Jiang Y, Rogers Van Katwyk S, et al. Efficacité de l’outil CANRISK pour détecter la dysglycémie chez les membres des Premières Nations et les Métis au Canada. Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada. 2018;38(2):64-73.

Avant la correction (1)

Gina Agarwal, MBBS, Ph. D. (1); Ying Jiang, M.D. (2); Susan Rogers Van Katwyk, B. Sc. (2); Chantal Lemieux, Ph. D. (2,3); Heather Orpana, Ph. D. (2,3); Yang Mao, Ph. D. (2); Brandan Hanley, Ph. D. (4); Karen Davis, Ph. D. (5); Laurel Leuschen, Ph. D. (5); Howard Morrison, Ph. D. (2)

Après la correction (1)

Gina Agarwal, MBBS, Ph. D. (1); Ying Jiang, M.D. (2); Susan Rogers Van Katwyk, B. Sc. (2); Chantal Lemieux, Ph. D. (2,3); Heather Orpana, Ph. D. (2,3); Yang Mao, Ph. D. (2); Brendan Hanley, M.D., CCFP(EM) (4); Karen Davis, MCEd, R.D., éducatrice agréée en diabète (5); Laurel Leuschen, B. Sc., R.D. (5); Howard Morrison, Ph. D. (2)

Avant la correction (2)

Les effets cumulatifs de ces facteurs ont conduit à une prévalence accrue du diabète dans de nombreuses communautés des Premières Nations et métisses, avec en 2012 une prévalence moyenne normalisée selon l’âge de 21 % chez les 25 ans ou plus 13.

Après la correction (2)

Les effets cumulatifs de ces facteurs ont conduit à une prévalence accrue du diabète dans de nombreuses communautés des Premières Nations et métisses, avec une prévalence moyenne normalisée selon l’âge de 21 % chez les 25 ans ou plus 13.

Avant la correction (3)

La nécessité d’abaisser le score seuil chez les participants plus jeunes est logique. L’âge est une variable non modifiable essentielle dans le calcul du score CANRISK. Ainsi, un individu reçoit entre 0 point s’il est âgé de 40 à 44 ans et mini­malement 15 points s’il est âgé de 65 à 74 ans, avec un score maximal possible de 93 points. Le score CANRISK maximal des participants de moins de 44 ans est donc inférieur à celui des participants de plus de 44 ans.

Après la correction (3)

La nécessité d’abaisser le score seuil chez les participants plus jeunes est logique. L’âge est une variable non modifiable essentielle dans le calcul du score CANRISK. Ainsi, un individu reçoit entre 0 point s’il est âgé de 40 à 44 ans et mini­malement 15 points s’il est âgé de 65 à 74 ans, avec un score maximal possible de 93 points. Le score CANRISK maximal des participants de moins de 40 ans est donc inférieur à celui des participants de plus de 40 ans.

Le 5 mars 2018, date de l’émission de cet erratum, une version PDF corrigée de l’article a été publiée ici. Les versions publiées originalement n’ont pas été modifiées.

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