Organisations non gouvernementales
Note
L’information ci-dessous fait partie du dossier sur la transition ministérielle en date de novembre 2019. Vu la nature historique de ces données, aucune mise à jour sera apportée.
Association canadienne du droit de l’environnement
Directrice générale et avocate : Theresa McClenaghan
Profil de l’organisation
L’Association canadienne du droit de l’environnement (ACDE) est un organisme d’intérêt public sans but lucratif fondé en 1970 dans le but d’utiliser les lois existantes pour protéger l’environnement et de militer en faveur de réformes du droit de l’environnement. L’ACDE travaille également à la protection de la santé publique et de l’environnement en cherchant à obtenir justice pour les personnes touchées par la pollution ou de mauvaises décisions et en modifiant les politiques pour prévenir les problèmes au départ. De plus, l’ACDE mène à bien des projets d’information et de réforme du droit financés par le gouvernement et des fondations privées.
L’ACDE fournit entre autres des services juridiques en matière de droit de l’environnement, notamment la représentation devant diverses instances ainsi que de l’aide aux citoyens qui se représentent eux-mêmes, des conseils sommaires, des campagnes de réforme du droit et des réformes politiques.
En plus de fournir des services juridiques à des citoyens et à des groupes communautaires sans but lucratif, l’ACDE mène des activités stratégiques en vue d’aider à l’élaboration des lois et des règlements en matière de protection de l’environnement.
- Accès à la justice environnementale : l’ACDE fait en sorte que le gouvernement et les tribunaux entendent la voix des citoyens, par exemple en documentant les répercussions sur les collectivités de la déréglementation environnementale ou en demandant qu’on mette fin aux poursuites destinées à réduire au silence l’opposition aux pollueurs ou aux projets de développement mal planifiés.
- Durabilité des ressources hydriques : l’ACDE est active dans divers dossiers allant de la protection des Grands Lacs à l’intensification des efforts de conservation de l’eau. Elle collabore avec des partenaires du bassin des Grands Lacs afin d’encourager la participation du public à l’examen de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.
- Pollution et santé – l’ACDE soulève des préoccupations au sujet des dangers de la pollution atmosphérique et de produits chimiques strictement réglementés, mais toujours utilisés qui continuent d’entraîner des expositions nocives, notamment au plomb, aux ignifuges bromés et aux pesticides interdits.
- Énergies vertes – l’ACDE collabore avec de nombreux autres organismes pour démontrer que les énergies vertes peuvent répondre à nos besoins de façon rentable et respectueuse de l’environnement et pour assurer l’égalité d’accès aux énergies propres à tous les citoyens.
- Urbanisme et durabilité – l’ACDE travaille depuis longtemps au renforcement de tous les éléments du régime d’aménagement, de l’application des principes de croissance intelligente aux plans d’aménagement urbain à la protection des sources d’eau.
- Accords internationaux – l’ACDE défend l’intégrité et la force du droit de l’environnement canadien dans le contexte des accords régionaux, bilatéraux et multilatéraux.
Association pulmonaire du Canada
Président et chef de la direction : Terry Dean
Profil de l’organisation :
L’Association pulmonaire du Canada est une fédération d’organismes de bienfaisance nationaux regroupant dix associations provinciales, un bureau national et deux sociétés professionnelles – la Société canadienne de thoracologie et les Professionnels canadiens en santé respiratoire. Ces entités conjuguent leurs efforts pour aider plus de six millions de Canadiens qui ont des problèmes respiratoires.
Situé à Ottawa, le bureau national de l’Association pulmonaire canadienne diffuse en ligne de l’information de qualité sur la santé pulmonaire, dirige les efforts nationaux de représentation et de sensibilisation et gère un programme national de recherche.
L’Association pulmonaire du Canada est la principale organisation au Canada qui travaille à promouvoir la santé pulmonaire et à prévenir et gérer les maladies pulmonaires. Pour ce faire, elle préconise des mesures visant à réduire au minimum les dommages causés à la santé pulmonaire par le chauffage résidentiel au bois, l’amiante, le cannabis et le tabac.
Canards Illimités Canada
Chef de la direction : Karla Guyn
Profil de l’organisation :
Fondée en 1938, Canards Illimités Canada est une organisation nationale privée sans but lucratif qui se consacre à la conservation de l’habitat de la sauvagine depuis plus de 70 ans. Elle a pour vision de créer pour la sauvagine d’Amérique du Nord une mosaïque de milieux humides et d’habitats naturels connexes, restaurés et bien gérés.
Canards Illimités Canada utilise quatre grandes méthodes pour veiller à la conservation des milieux humides :
- la conservation et la restauration des habitats des milieux humides de qualité;
- la recherche scientifique par le biais de son organe de recherche, l’Institut de recherche sur les terres humides et la sauvagine;
- la promotion de l’élaboration de politiques publiques;
- les programmes d’éducation en matière de protection de l’environnement.
Reconnaissant la nature transfrontalière des espèces migratoires, des sources d’eau et des habitats naturels, Canards Illimités Canada participe à titre de partenaire au Plan nord-américain de gestion de la sauvagine. Ce programme international de conservation a pour objectif de ramener les populations de sauvagine aux niveaux moyens observés dans les années 1970. L’ensemble des activités de planification, de conception et de gestion du Plan nord-américain de gestion de la sauvagine sont menées dans le cadre de coentreprises de protection de l’habitat au Canada et aux États-Unis. Cet accord international rallie des gouvernements fédéraux et provinciaux, des administrations des États et des municipalités, des organisations non gouvernementales, des entreprises privées et de particuliers dans des projets de conservation des terres humides de différentes régions d’Amérique du Nord.
Canards Illimités est l’un des partenaires du Programme de conservation du patrimoine naturel (PCPN), un programme financé par le gouvernement fédéral qui vise à protéger les habitats importants pour les espèces en péril. Le programme est axé sur le soutien des aires protégées privées dans les paysages écosensibles, des forêts aux prairies en voie de disparition, en passant par les terres humides et les régions côtières.
Composition du Comité :
CIC et ECCC coprésident le Conseil nord-américain de conservation des terres humides (CNACTH) du Canada. Le CNACTH (Canada) fournit un mécanisme national pour la mise en œuvre du Plan nord-américain de gestion de la sauvagine (PNAGS).
Avec la Fédération canadienne de l’agriculture, CIC copréside également la Table ronde sur les terres humides du Canada (TRTHC), un groupe de travail national multipartite qui, au moyen de lois, politiques et mesures adoptées par les divers intervenants et par l’industrie primaire, vise à favoriser la durabilité, la santé et la gestion responsable des terres humides du Canada.
De concert avec ECCC et l’APC, CIC s’est engagé dans le Partenariat de conservation par la réconciliation (PCR), une initiative collective visant à soutenir les démarches visant à favoriser la progression des initiatives de conservation dirigées par les Autochtones au Canada.
Conseil canadien des aires écologiques
Présidente du conseil d’administration : Jessica Elliott
Profil de l’organisation :
Le Conseil canadien des aires écologiques cherche à aider les Canadiens à créer et à maintenir un réseau complet d’aires protégées qui soit représentatif de la diversité naturelle écologique terrestre et aquatique du Canada.
Le Conseil fournit des services à ses organismes membres, à la population canadienne et à la collectivité internationale comme suit :
- en réalisant divers projets qui font avancer sa mission;
- en organisant des forums de discussion;
- en utilisant un certain nombre d’instruments de communication pour informer et renseigner la communauté des grandes aires protégées et le public en général en ce qui concerne les différents enjeux relatifs aux aires protégées.
Les travaux du Conseil comprennent la représentativité des écosystèmes terrestres, un cadre national pour les aires protégées, les stratégies d’analyse des écarts, les aires marines de conservation et la gestion des données.
Le Conseil se réunit régulièrement dans diverses régions du pays pour discuter d’enjeux communs aux provinces et territoires ainsi que des réalisations et des enjeux régionaux en particulier. Il tient compte des divers points de vue régionaux afin de dégager un tableau d’ensemble écologique cohérent qui soit pertinent pour toutes les administrations.
Le portefeuille international du Conseil est pertinent au regard des efforts déployés à l’échelle régionale et nationale de sorte que le Canada puisse s’acquitter de ses obligations internationales comme celles qui sont énoncées dans la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique. Sur la scène internationale, le Conseil collabore également avec des organismes comme la Commission nord-américaine de coopération environnementale, les gouvernements du Zimbabwe et du Mexique, la Commission mondiale des aires protégées, l’Union internationale pour la conservation de la nature et le Centre de surveillance de la conservation de la nature.
Conservation de la nature Canada
http://www.natureconservancy.ca/fr
Président et chef de la direction : John Lounds
Profil de l’organisation :
Fondée en 1962, Conservation de la nature Canada est une organisation nationale sans but lucratif de conservation des terres vouée à protéger directement les zones d’importance écologique grâce à des dons, des achats, des servitudes de conservation et à la renonciation à d’autres intérêts juridiques en matière de propriété foncière) dont elle assure la gestion à long terme. CNC a pour mission de protéger des aires biodiversifiées qui présentent une valeur intrinsèque pour en faire profiter les générations futures. Le plan d’action de Conservation de la nature Canada repose sur la création de partenariats et la conclusion d’ententes créatrices avec des particuliers, des entreprises, des groupes communautaires, des groupes de conservation ou des entités gouvernementales qui ont les mêmes objectifs. CNC a contribué à la conservation de plus de 2,6 millions d’acres (1 million d’hectares) partout au pays.
Les principaux champs d’activité de Conservation de la nature Canada sont les suivants :
Programme de conservation du patrimoine naturel (PCPN) : Conservation de la nature Canada est l’un des partenaires du PCPN, un programme de 100 millions de dollars financé par le gouvernement fédéral pour protéger les habitats importants d’espèces en péril. Le programme est axé sur le soutien des aires protégées privées dans les paysages écosensibles, des forêts aux prairies en voie de disparition, en passant par les terres humides et les régions côtières. Conservation de la nature Canada supervisera le PCPN grâce aux contributions de Canards Illimités Canada et des partenaires de la Fiducie foncière du Canada (Groupe de travail des fiducies foncières canadiennes). Habitat faunique Canada administrera la partie du programme qui concerne les fiducies foncières locales.
Le PCPN a remplacé le Programme de conservation des zones naturelles (PCZN), qui était également administré par CNC. Le PCZN a reçu un financement de plus de 320 millions de dollars entre 2007 et 2018.
Composition du Comité :
Un représentant de Conservation de la nature Canada, Michael Bradstreet, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Éco héros
Présidente : Tovah Barocas
Profil de l’organisation :
Éco héros est une organisation canadienne de conservation dont la mission est de sensibiliser les enfants et les membres de leur famille à l’importance de la biodiversité et de leur donner les outils nécessaires pour protéger les animaux et leurs habitats. Outre un programme de sensibilisation des écoliers et de visites en classe, Éco héros organise des spectacles communautaires, participe à des émissions de télévision nationale et a mis sur pied « Restaurer la nature », une initiative qui donne aux enfants un moyen concret de changer les choses. Ces programmes visent à inciter les enfants du Canada à intervenir pour aider à protéger les animaux et leurs habitats.
La campagne Restaurer la nature est une initiative nationale de sensibilisation et de financement qui enseigne aux enfants l’importance de protéger les animaux en préservant leurs habitats naturels et leur permet de contribuer à des projets de conservation visant à assurer la survie de quatre espèces indigènes par année. Les projets de conservation réalisés en 2014-2015 visaient avant tout à protéger le loup de l’Est, le renard véloce, le petit-duc des montagnes et le goglu des prés.
Le programme de sensibilisation d’Éco héros a pour but d’aider les élèves à comprendre les effets de l’activité humaine sur la planète et les espèces qui l’habitent. L’organisme offre un catalogue en ligne de ressources scientifiques à l’intention des éducateurs pour les aider à organiser des activités et des plans de leçons liés au programme scolaire. Ces ressources éducatives visent à mobiliser les élèves et à faciliter l’établissement d’un lien avec la faune à la fois en classe et à l’extérieur.
Pour faire participer les enfants canadiens à la conservation de la faune, ECCC accorde un financement de trois ans à Éco héros, un programme qui aidera les jeunes canadiens à devenir des intendants actifs du monde naturel, à protéger la faune du Canada et à prendre des mesures pour préserver la nature. Le financement comprend un soutien au programme de rassemblement scolaire Éco héros et la participation des enfants à des activités concrètes par l’entremise de missions orientées vers l’action, de projets Restaurer la nature et d’événements locaux dans le cadre du Programme d’adhésion à Éco héros.
Ecojustice
Directeur général : Devon Page
Profil de l’organisation :
Ecojustice (autrefois connu sous le nom de Sierra Legal Defense Fund) est la plus importante organisation de bienfaisance nationale spécialisée dans le droit de l’environnement. Créée en 1990, l’organisation vise à aider les citoyens à dénoncer les auteurs d’infractions et à exiger des gouvernements qu’ils respectent l’obligation de rendre compte, tout en créant des précédents à fort retentissement, de manière à conserver les combustibles fossiles dans le sol et à accélérer la transition vers un avenir énergétique propre, à garantir la pureté de l’eau potable, à protéger les aires naturelles, à édifier des collectivités saines et à trouver des solutions au réchauffement climatique. Ecojustice compte parmi ses effectifs plus de 50 avocats et scientifiques à Vancouver, à Toronto, à Ottawa, à Halifax et à Calgary.
Ecojustice mène les activités suivantes pour atteindre ses objectifs de protection de l’environnement :
- faire en sorte que le droit à vivre dans un environnement sain soit enchâssé dans la Charte des droits et libertés; intenter des actions pro bono en matière d’environnement qui établissent des précédents et renforcent les lois visant à protéger l’air, l’eau et les écosystèmes;
- appuyer des lois rigoureuses, qui sont bien appliquées et fondées sur des données scientifiques probantes;
- prendre part à des contestations judiciaires mettant en cause les gouvernements qui ne respectent pas les lois sur l’environnement;
- préconiser des mesures législatives efficaces et donner des conseils sur leur élaboration;
- offrir des conseils stratégiques;
- préparer des analyses et des recherches scientifiques.
Plus de 80 organisations et associations de protection de l’environnement figurent parmi les clients auxquels Ecojustice a fourni des services dans le passé. Les affaires récentes d’Ecojustice impliquant le gouvernement fédéral ont porté sur la fraude sur les niveaux d’émissions dans l’industrie automobile, l’approbation du projet de pipeline Trans Mountain, la modernisation des lois environnementales, l’élimination progressive des pesticides illégaux et l’évaluation des projets de transport ferroviaire de pétrole.
Composition du Comité :
Une représentante d’Ecojustice, Liat Podolsky, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Équiterre
Directrice générale : Colleen Thorpe
Profil de l’organisation :
Fondée en 1993, Équiterre s’est engagée à proposer des solutions concrètes pour accélérer la transition vers une société où les citoyens, les organismes et les gouvernements font des choix écologiques qui sont à la fois sains et équitables. Dans le cadre de ses quatre programmes – agriculture écologique, commerce équitable, transport écologique efficacité énergétique – l’organisation a élaboré des projets qui encouragent les citoyens, les organisations et les gouvernements à prendre des mesures concrètes qui entraîneront des changements positifs pour l’environnement et la société.
Équiterre mène des activités de recherche et de plaidoyer sur diverses questions de politique environnementale, ciblant le gouvernement fédéral et le Québec, et portant particulièrement sur les politiques climatiques.
Voici les grands secteurs d’activité d’Équiterre.
- Les sables bitumineux – Équiterre s’emploie à bloquer l’exploitation des sables bitumineux et ne soutient pas le projet d’oléoduc d’Énergie Est. Équiterre a contribué à l’élaboration du projet « La vérité sur les sables bitumineux », qui fournit de l’information aux citoyens, aux médias, aux investisseurs et aux décideurs et les incite à participer à un débat mieux éclairé sur les conséquences de l’exploitation des sables bitumineux.
- L’efficacité énergétique des résidences – cette campagne avait pour objectif de réduire les problèmes environnementaux liés à la consommation excessive d’énergie. Les conseillers d’Équiterre, accrédités par l’Agence de l’efficacité énergétique, font des visites à domicile afin d’évaluer la consommation d’énergie des ménages et de donner aux résidents des conseils pour les aider à acquérir des habitudes favorisant l’efficacité énergétique.
- Le transport durable – cette campagne visait à réduire les effets de la pollution produite par les transports, plus particulièrement les émissions de gaz à effet de serre, une importante cause des changements climatiques. À cette fin, Équiterre a publié un guide en ligne pour aider les citoyens à utiliser divers moyens de transport comme le covoiturage, le vélo, la marche ou le transport collectif.
- L’horticulture écologique – Équiterre offre aux résidents du Québec les avantages de l’agriculture et des aliments sans pesticides ni engrais chimiques par le biais d’un réseau d’entreprises agricoles ainsi que des initiatives qui encouragent l’action citoyenne, comme la certification Horti-Éco.
- Le commerce équitable – le programme de commerce équitable d’Équiterre a été créé pour permettre aux consommateurs d’utiliser leur pouvoir d’achat afin de s’opposer aux iniquités qui existent dans le secteur du commerce international.
Environmental Defence Canada
https://environmentaldefence.ca
Directeur général : Tim Gray
Profil de l’organisation :
Environmental Defence Canada (EDC) est une organisation sans but lucratif composée d’experts en politiques et de membres de la collectivité, appuyés par des scientifiques, des chefs d’entreprise, des avocats et des citoyens. EDC met tout en œuvre pour protéger l’environnement et la santé humaine au Canada. L’objectif de l’organisme est de favoriser la collaboration entre les particuliers, l’industrie et le gouvernement par les moyens suivants : 1) permettre aux Canadiens de prendre des mesures au quotidien; 2) travailler avec l’industrie pour bâtir une économie propre et prospère; 3) inciter le gouvernement à adopter des politiques visant à protéger l’environnement des Canadiens.
Les enjeux prioritaires d’Environmental Defence Canada sont les suivants :
- Débarrasser le pays des substances toxiques – l’organisation fait la promotion des mesures prises par l’industrie pour éliminer les ingrédients nocifs des produits de consommation, par le gouvernement pour interdire et restreindre les produits chimiques toxiques et par les consommateurs bien informés qui possèdent les connaissances nécessaires pour choisir des options sécuritaires lorsqu’ils font leurs achats.
- L’organisation vise l’inscription de la liste complète des ingrédients sur les étiquettes des produits.
- Elle estime que les gouvernements fédéral et provinciaux devraient s’efforcer d’interdire, d’éliminer progressivement ou de restreindre les produits chimiques toxiques.
- Elle fournit des renseignements aux consommateurs sur les produits propres, d’une part en mettant à leur disposition des guides téléchargeables et la liste des entreprises qui ont adhéré à l’initiative Just Beautiful Pledge, et d’autre part en organisant des ateliers communautaires gratuits.
- Climat et économie propre : Éliminer complètement les combustibles fossiles polluants et réduire à zéro la pollution par le carbone au Canada d’ici le milieu du siècle.
- Entre autres priorités particulières, l’organisation vise le plafonnement de la pollution due à l’exploitation des sables bitumineux, l’élimination des subventions publiques pour les combustibles fossiles, la résolution du problème du méthane au Canada et l’édification d’une économie propre.
- Créer des collectivités viables : l’accent est mis sur la limitation de l’étalement urbain et la protection des fermes, de la nature et de l’eau en orientant la croissance vers les zones urbaines existantes. Ce projet comporte des avantages complémentaires, dont des économies pour les contribuables, la réduction de la pollution par le carbone et la réduction de la congestion.
- La protection de la ceinture de verdure de l’Ontario est une priorité clé.
- Mettre fin à la pollution par le plastique : l’organisation est d’avis que les gouvernements doivent interdire les produits toxiques et difficiles à recycler, et créer des lois visant à réduire les déchets de plastique, à éliminer les plastiques jetables et à accroître le recyclage. Les entreprises doivent s’engager à réduire leurs déchets de plastique, et les particuliers doivent « réduire, réutiliser, recycler ».
- Tout mettre en œuvre pour créer un environnement exempt de déchets de plastique d’ici 2025.
- Promouvoir l’établissement d’un programme de consignation des bouteilles de plastique.
- Fournir des renseignements aux particuliers et aux collectivités afin de les sensibiliser à la réduction du plastique.
- Protéger l’eau douce du Canada : l’organisation estime que le gouvernement doit prendre des mesures pour protéger les Grands Lacs et que les entreprises doivent modifier leurs pratiques afin de protéger les Grands Lacs et d’autres sources d’eau précieuses.
- L’organisation entend faire en sorte que les plastiques ne se retrouvent plus dans les Grands Lacs.
- Protéger le lac Érié de la pollution des eaux de ruissellement qui donne lieu à la prolifération d’algues toxiques.
- Sensibiliser la population à l’importance de l’eau de baignade propre dans le cadre du programme de certification écologique Pavillon bleu.
Études d’Oiseaux Canada
https://birdscanada.org/?lang=FR
Président : Steven Price
Profil de l’organisation :
Études d’Oiseaux Canada est un organisme de bienfaisance national qui s’appuie sur les contributions de milliers de partisans et de citoyens scientifiques.
Fondée en 1960, Études d’Oiseaux Canada s’emploie à conserver les oiseaux sauvages au Canada par la recherche, la participation du public et la défense des droits fondée sur la science. Les partenaires d’Études d’Oiseaux Canada mènent des programmes régionaux, nationaux et internationaux. Dans sa publication The State of Canada’s Birds 2019, Études d’Oiseaux Canada signale que le Canada a perdu de 40 à 60 % de ses populations d’oiseaux de rivage, d’oiseaux des prairies et d’insectivores aériens. Au cours de la dernière décennie, 80 % des espèces d’oiseaux identifiées comme étant menacées ou en voie de disparition au Canada étaient des insectivores aériens ou des oiseaux des prairies.
Études d’Oiseaux Canada travaille en étroite collaboration avec ECCC et reçoit du financement pour divers projets.
Fédération canadienne de la faune
Président : Guy Vézina
Profil de l’organisation :
La Fédération canadienne de la faune (FCF) est une organisation caritative non gouvernementale et non partisane qui a pour mission d’assurer la conservation de la faune du Canada et d’encourager une utilisation judicieuse des ressources naturelles au moyen d’initiatives en matière de conservation, de sciences, d’éducation et de représentation. Les activités de la Fédération portent sur les thèmes stratégiques suivants : rapprocher les Canadiens de la nature, conserver des populations fauniques prospères, notamment le rétablissement des espèces en péril, ainsi que la conservation et la restauration des habitats fauniques. Fondée en 1962, la Fédération représente 300 000 membres et sympathisants et elle est entièrement financée par leurs dons.
La Fédération compte à son actif un rôle dans la création du Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC), qui a été créé pour fournir aux Canadiens une classification unique et rigoureusement scientifique des espèces en péril et qui a été incorporé en 2002 à la Loi sur les espèces en péril (LEP). Elle continue à assurer la protection des espèces en péril, notamment en menant des recherches nationales sur les infestations de salicaire pourpre, la surpêche dans l’Atlantique et diverses espèces en péril, comme la grue blanche, le renard véloce et la chevêche des terriers. De plus, la Fédération a appuyé dernièrement la réintroduction du putois d’Amérique dans le parc national des Prairies.
La Fédération livre le programme Faune et flore du pays grâce au financement du Ministère.
Voici les activités courantes et les produits de la Fédération canadienne de la faune :
- la communication de renseignements en ligne notamment dans les vidéos « La faune de l’arrière-pays », les fiches d’information et les pages de profil « Animal en vedette »;
- l’évaluation et la certification de propriétés locales dans le cadre de programmes de conservation des habitats sauvages (p. ex., le programme de certification Habitat arrière-cour);
- la formation de moniteurs du programme Éducation-Nature;
- la prestation d’une aide financière aux étudiants, aux chercheurs et aux écoles qui entreprennent des projets de conservation de l’habitat;
- la tenue d’activités annuelles comme la « Semaine nationale de la faune »;
- la publication d’affiches, de bulletins, de calendriers et de périodiques;
- l’incitation du gouvernement et de l’industrie à tenir compte de l’avenir des espèces sauvages lors de l’adoption de lois et de leurs activités courantes.
Composition du Comité :
Un représentant de la FCF, James Page, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Fédération canadienne des municipalités
Chef de la direction : Brock Carlton
Profil de l’organisation :
- Porte-parole national des administrations municipales, la Fédération canadienne des municipalités représente 90 % de la population urbaine du Canada. Créée en 1901, la Fédération regroupe les plus grosses villes du Canada, de petites collectivités urbaines et rurales et 20 associations provinciales et territoriales de municipalités. Aujourd’hui, la Fédération fait valoir les besoins des municipalités et de leur population et préconise des politiques et des programmes fédéraux qui en tiennent compte.
- La Fédération présente le point de vue de collectivités d’envergure et d’entités plus modestes, car les municipalités participent à part entière à la mise en œuvre des programmes de gestion des déchets et de recyclage qui s’adressent à la population et aux petites entreprises.
- La Fédération défend les intérêts des municipalités en prônant une politique rigoureuse dans tous les domaines où la compétence fédérale a des répercussions sur des enjeux locaux. Composé de 75 dirigeants municipaux élus de toutes les régions du Canada, le conseil d’administration de la Fédération établit les priorités stratégiques qui reflètent les préoccupations de toutes les administrations locales. La Fédération influe sur les décisions stratégiques grâce aux interactions de ses membres avec des partenaires et des parties prenantes du gouvernement, du milieu des affaires et d’organismes de l’industrie. Ses priorités de l’heure portent notamment sur le prix des maisons et l’endettement des ménages, la sécurité ferroviaire et les infrastructures.
- Les programmes de la Fédération portent sur les initiatives écologiques, le logement abordable, les femmes dans le secteur public, la protection du climat et l’établissement de partenariats avec les communautés des Premières Nations.
- La Fédération dirige le programme Partenaires dans la protection du climat, qui permet aux municipalités de prendre des mesures pour lutter contre les changements climatiques dans le cadre d’un processus en cinq étapes qui guide les membres dans la création d’inventaires de gaz à effet de serre, l’établissement d’objectifs réalistes et atteignables en matière de réduction des gaz à effet de serre, l’élaboration de plans d’action locaux et la mise en œuvre de plans prévoyant des interventions précises et quantifiables afin de réduire les émissions. Le programme Partenaires dans la protection du climat constitue le volet canadien du réseau des Villes pour la protection du climat d’ICLEI. Ce programme est un partenariat établi entre la Fédération et le Conseil international pour les initiatives écologiques locales.
Fondation David Suzuki
Chef de la direction : Steve Cornish
Profil de l’organisation :
Cofondée en 1990 par David Suzuki et Tara Cullis, la Fondation David Suzuki est une fondation caritative sans but lucratif et non partisane incorporée au Canada et aux États-Unis qui étudie les effets de l’activité humaine sur l’environnement, s’attachant particulièrement à trouver des solutions. Ayant pour mission de protéger la diversité de la nature et la qualité de vie, la Fondation travaille à l’atteinte de ses objectifs en menant d’importants projets (p. ex., le Défi nature), des programmes d’éducation (p. ex., la publication de guides à l’intention des consommateurs), ainsi que des travaux de recherche, en rédigeant des publications et en défendant les valeurs de protection de l’environnement.
La Fondation exerce ses activités avec l’aide de 50 employés qui travaillent dans cinq grands secteurs :
- Changements climatiques – La Fondation vise à informer le public, le gouvernement et les dirigeants d’entreprise des éléments scientifiques et des conséquences des changements climatiques et elle fait la promotion de solutions pratiques pour les secteurs public et privé.
- Océans – La Fondation estime que notre avenir dépend de la santé des océans d’aujourd’hui et elle s’emploie à sensibiliser la population sur les pêches durables, le profil écologique de la rive nord du Pacifique, la planification des ressources marines, les lois et les règlements visant à protéger les services écosystémiques et d’autres enjeux liés à l’environnement marin.
- Biodiversité – La Fondation met l’accent sur la planification de la conservation, la protection des espèces en péril, des forêts et des régions boisées afin de protéger la nature et de préserver la biodiversité.
- Droits environnementaux – La Fondation est partenaire du groupe Ecojustice au sein du mouvement Bleu Terre, une campagne nationale visant à promouvoir la reconnaissance juridique du droit de chaque Canadien de vivre dans un environnement sain.
- Villes – La Fondation estime que les villes offrent des occasions uniques de réaliser des changements écologiques positifs et entend bâtir des villes plus vertes, résilientes, propulsées par des transports durables et des énergies renouvelables.
Composition du Comité :
Rachel Plotkin, représentante de la Fondation David Suzuki, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Tout comme ECCC et l’APC, la Fondation David Suzuki s’est engagée dans le Partenariat de conservation par la réconciliation (PCR), une initiative collective visant à favoriser la progression des initiatives de conservation dirigées par les Autochtones au Canada.
La Fondation David Suzuki est également un membre de l’équipe-cadre de la Coalition canadienne sur les principales aires de diversité biologique. Les membres principaux contribuent aux communications et à la sensibilisation, en plus de fournir des données, de l’expertise et des analyses, et de favoriser les partenariats permettant de faire progresser la définition normalisée des domaines importants pour la biodiversité au Canada et la production de rapports à leur sujet.
Fondation Sierra Club Canada
Directeur général : John Bennett
Profil de l’organisation :
La Fondation Sierra Club Canada est une organisation non gouvernementale soutenue par ses membres qui vise à donner aux gens les moyens de protéger la planète et de la remettre en état pour en faire un lieu de vie sain et sécuritaire dont ils puissent profiter. En activité depuis 1963, Sierra Club Canada a établi son bureau national à Ottawa en 1989. La Fondation compte quatre sections régionales actives au Canada : dans les Prairies, en Ontario, au Québec et au Canada atlantique. Il n’y a pas de section régionale en Colombie-Britannique, mais l’organisation est affiliée à la Sierra Club of BC Foundation. Sierra Club Canada compte quelque 10 000 membres, partisans et jeunes membres affiliés partout au Canada.
La Fondation s’est donné pour mission de permettre aux citoyens de devenir des chefs de file dans la protection et la remise en état des écosystèmes pour les rendre sains et sûrs afin que la population canadienne puisse en profiter.
Les principaux domaines de travail de Sierra Club Canada sont les suivants :
- Changements climatiques – La Fondation travaille à l’échelle nationale et locale pour réduire les gaz à effet de serre et promouvoir des pratiques énergétiques durables.
- Initiatives locales – La Fondation appuie ses membres et leur donne les moyens de diriger leurs propres projets à l’échelle locale.
- Santé et bien-être – La Fondation fait la promotion de l’éducation et des loisirs dans les espaces naturels.
- Durabilité – La Fondation s’engage à promouvoir des modes de vie durable, tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle locale.
- Espèces sauvages et espaces naturels – La Fondation collabore avec des particuliers, des partenaires et des groupes communautaires pour mieux faire connaître la faune et les milieux naturels afin de les préserver et de les protéger pour que tous puissent en profiter.
Fonds mondial pour la nature (Canada)
Présidente et chef de la direction : Megan Leslie
Profil de l’organisation :
Le Fonds mondial pour la nature (Canada) [FMN-Canada], fondé en 1967, est une organisation nationale non gouvernementale et non partisane de conservation. FMN-Canada compte plus de 170 000 partisans et plus de 100 de ses membres travaillent dans ses sept bureaux situés dans diverses régions du pays. À titre de membre du réseau international du FMN, FMN-Canada contribue à la mission de l’organisation qui est de mettre un frein à la dégradation de l’environnement naturel de la planète et de bâtir un avenir où l’être humain vit en harmonie avec la nature en :
- protégeant la diversité biologique mondiale;
- veillant à ce que l’utilisation des ressources renouvelables soit durable;
- préconisant la réduction de la pollution et du gaspillage
Le FMN utilise divers outils pour produire ses résultats dans le domaine de la conservation, notamment la recherche sur le terrain, la cartographie scientifique, la défense de l’intérêt public, les solutions axées sur le marché et la sensibilisation du public. Le FMN a aussi créé « une heure pour la Terre », un événement symbolique au cours duquel des gens du monde entier éteignent leurs lumières pendant une heure pour montrer qu’ils appuient les interventions contre les changements climatiques.
Les principaux domaines d’activité du FMN-Canada sont les suivants :
- Arctique – FMN-Canada applique les principes de l’intendance en définissant et conservant les zones qui fourniront un habitat essentiel à des espèces importantes de l’Arctique et en collaborant avec l’industrie pour encourager la mise en œuvre des pratiques exemplaires.
- Action sur les plans du climat et de l’énergie – FMN-Canada cherche des solutions afin de produire de l’énergie de façon durable et d’en diminuer la consommation, et préconise l’utilisation des énergies renouvelables.
- Océans – FMN-Canada est à l’avant-garde de la transition vers des produits de la mer durables, de la saine gestion des océans et des économies maritimes durables.
- Eau douce – FMN-Canada fournit des services de surveillance des données et d’évaluation de la santé des lacs, des cours d’eau et des rivières du Canada et des menaces qui les visent.
Greenpeace Canada
https://www.greenpeace.org/canada/fr
Directrice générale : Christy Ferguson
Profil de l’organisation :
Greenpeace Canada est une organisation non gouvernementale indépendante vouée à la protection de l’environnement. Elle vise à changer les attitudes et les comportements, à protéger et à conserver l’environnement et à faire la promotion de la paix par ses activités de recherche, de lobbying et de diplomatie discrète et en ayant recours à la confrontation non violente à haut retentissement afin de rehausser le niveau et la qualité du débat public. Fondée à Vancouver en 1971, Greenpeace International est présente dans 40 pays. Au Canada, elle possède des bureaux à Toronto, à Montréal et à Vancouver. Son siège se trouve à Amsterdam.
Voici les principaux secteurs d’activité de Greenpeace Canada :
- Le climat et l’énergie – Greenpeace Canada préconise une politique fédérale rigoureuse s’appliquant à tous les secteurs de façon équitable, notamment en ce qui a trait au prix et au marché du carbone. L’organisme s’est opposé vigoureusement aux mesures privilégiant le secteur pétrolier et rejette l’idée d’un investissement fédéral dans les projets de captage et de stockage du carbone, favorisant plutôt la conservation et l’efficacité énergétique.
- La protection de l’Arctique – Greenpeace Canada mène une campagne d’opposition au forage pétrolier en mer dans l’Arctique.
- La conservation des océans – Greenpeace Canada vise à atténuer la pression exercée sur les écosystèmes océaniques et s’emploie à constituer un réseau de réserves marines où la pêche est interdite. Les campagnes en cours ont notamment pour objectif de freiner la surpêche du thon en incitant les grandes marques de thons à modifier leurs pratiques de pêche et les chaînes de supermarché à offrir du thon et des poissons et fruits de mer pêchés selon des pratiques durables.
- La conservation des forêts – Greenpeace Canada exerce des pressions sur les industries et les gouvernements et encourage les consommateurs à protéger la forêt boréale, la forêt pluviale du Grand Ours et la forêt pluviale de l’Indonésie. Greenpeace a participé à la campagne qui a mené à la décision prise par le gouvernement de la Colombie-Britannique en 2009 de protéger la moitié de la forêt pluviale du Grand Ours.
Groupe ETC : Groupe d’action sur l’érosion, la technologie et la concentration
Codirecteurs généraux : Codirecteurs généraux : Jim Thomas et Neth Daño
Profil de l’organisation :
Le Groupe ETC est un organisme environnemental à vocation technologique qui se penche sur les enjeux socioéconomiques et écologiques entourant les nouvelles technologies susceptibles d’influer sur les personnes les plus démunies et les plus vulnérables du monde. L’organisme étudie l’érosion écologique et la mise au point de nouvelles technologies, et surveille de près les questions de gouvernance mondiale, dont la concentration des entreprises et le commerce de technologies. Le Groupe ETC œuvre sur la scène politique mondiale tout en collaborant de près avec des organisations de la société civile partenaires et des mouvements sociaux, notamment en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
L’organisation :
- veille à la conservation et à l’avancée durable de la diversité culturelle et écologique, ainsi que des droits de la personne. À cette fin, le Groupe ETC appuie la mise au point socialement responsable de technologies utiles pour les pauvres et les marginalisés et se penche sur des enjeux de la gouvernance internationale et le pouvoir des entreprises;
- cherche, en partenariat avec d’autres organisations de la société civile, à instaurer l’autosuffisance coopérative et durable dans les sociétés désavantagées en fournissant des renseignements, des analyses des tendances socioéconomiques et technologiques ainsi que des solutions de rechange;
- élabore des options stratégiques fondées sur la recherche et l’analyse de l’information technologique (en particulier, mais pas uniquement, sur les ressources phytogénétiques, les biotechnologies et la biodiversité), ainsi que des options liées aux ramifications socioéconomiques des nouvelles technologies;
- concentre ses efforts aux échelons mondial et régional (continental ou infracontinental). Le Groupe ETC travaille en partenariat avec des organisations de la société civile communautaires, nationales ou régionales.
Le Groupe ETC veille actuellement à apporter des changements dans six domaines d’intérêt principaux : la biodiversité (CDB, OSASTT et IPBES), le climat et la géo-ingénierie, les monopoles d’entreprises, le développement durable, la biologie synthétique et l’évaluation des technologies.
Habitat faunique Canada
Directeur général : Cameron Mack
Profil de l’organisation :
Habitat faunique Canada (HFC) vise à conserver, restaurer et améliorer les habitats fauniques au Canada. L’organisme finance des projets de conservation de l’habitat, préconise des interventions en matière de conservation et favorise la coordination entre des groupes qui s’intéressent à la conservation.
Depuis 1985, son programme de subventions fournit des fonds pour la restauration, l’amélioration et la protection de l’habitat partout au Canada, dont certains projets et initiatives liés à la gestion de la sauvagine et des oiseaux migrateurs en vertu d’une entente avec Environnement et Changement climatique Canada.
HFC est membre du Plan nord-américain de gestion de la sauvagine et s’efforce d’améliorer la situation des oiseaux migrateurs et la qualité de leurs habitats au Canada.
- Espèces en péril – FMN-Canada cherche à contrer le commerce mondial des espèces en péril et à atténuer les effets des changements climatiques sur les espèces.
Composition du Comité :
Un représentant du WWF-Canada, Pete Ewins, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi. De concert avec ECCC et l’APC, le WWF s’est engagé dans le Partenariat de conservation par la réconciliation (PCR), une initiative collective visant à soutenir les démarches visant à favoriser la progression des initiatives de conservation dirigées par les Autochtones au Canada.
Institut international du développement durable
Présidente par intérim et chef de la direction Jane McDonald
Profil de l’organisation :
L’Institut international du développement durable (IIDD) est un organisme sans but lucratif établi au Canada qui favorise le changement vers le développement durable en menant des recherches stratégiques et en offrant une tribune pour faire participer les gouvernements, les entreprises, les organisations non gouvernementales et d’autres secteurs à l’élaboration et à la mise en œuvre de politiques de développement durable. L’Institut a pour mission de promouvoir le développement humain et la durabilité de l’environnement par des recherches, des communications et des partenariats novateurs.
L’Institut a des bureaux au Canada, en Suisse et aux États-Unis. Il est actif dans plus de 70 pays.
Les grands champs d’activité de l’Institut sont les suivants :
- Droit et politiques économiques – L’Institut vise à réformer les politiques économiques sur les investissements internationaux, le commerce et les marchés durables, la durabilité de l’industrie, le financement des infrastructures et des marchés publics afin de promouvoir le développement durable et équitable.
- Énergie – L’Institut cherche à transformer les systèmes et les politiques énergétiques afin d’appuyer l’accès universel à des énergies propres à faible teneur en carbone. Il trouve des moyens de réduire les émissions, comme la mise sur pied de systèmes propres à énergie renouvelable, et en détermine l’ordre de priorité. Il aide aussi les pays en développement à trouver et à obtenir du financement pour le développement à faibles émissions de carbone.
- Eau – L’Institut met l’accent sur des politiques et des programmes qui protègent et rehaussent l’environnement naturel, tout en améliorant le bien-être socioéconomique. Il effectue des analyses économiques et des évaluations hydrologiques afin d’encadrer la prise de décisions du gouvernement et rassemble les intervenants en vue d’appuyer la gestion des bassins versants au-delà des frontières nationales. Ses travaux stratégiques sont éclairés par des recherches scientifiques menées dans la Région des lacs expérimentaux.
- Résilience – L’Institut cherche à bâtir et à protéger la résilience des collectivités et des écosystèmes face à des risques sans précédent et à l’incertitude associée aux changements climatiques, aux conflits et aux questions de sécurité alimentaire.
- Connaissance des objectifs de développement durable –L’Institut fournit de l’information et des analyses qui appuient le Programme de développement durable à l’horizon 2030 des Nations Unies, y compris les 17 objectifs de développement durable.
Institut Pembina
Directeur général : Simon Dyer
Profil de l’organisation :
L’Institut Pembina est une organisation sans but lucratif et indépendante qui s’occupe de recherches et de formation en matière de politique sur l’environnement. L’Institut a pour mission de faire la promotion de solutions énergétiques propres grâce à la recherche, à l’éducation, aux conseils et aux plaidoyers novateurs. Fondé en 1985, l’Institut Pembina a des bureaux à Vancouver, Yellowknife, Edmonton, Calgary et Toronto. L’organisation entrevoit un monde où l’on répond aux besoins tant immédiats que futurs de manière à protéger les systèmes vivants de la Terre et à garantir la salubrité de l’air, du sol et de l’eau, à éviter les changements climatiques dangereux et à créer une communauté mondiale sûre et juste.
Les grands domaines d’activité de l’Institut Pembina sont les suivants :
- Politiques climatiques – L’Institut Pembina produit des rapports, des fiches d’information et des communiqués de presse en vue d’appuyer l’élaboration et la mise en œuvre de politiques climatiques efficaces. Il a également créé le « simulateur de politique énergétique », un outil d’accès libre qui permet aux utilisateurs de voir comment les politiques énergétiques et climatiques influent sur les émissions à l’échelle du pays et de mieux comprendre comment le Canada peut réduire ses émissions de carbone.
- Électricité propre – L’Institut Pembina effectue des recherches et formule des commentaires sur des sujets comme l’élimination progressive des centrales au charbon, l’énergie renouvelable et les technologies propres.
- Pétrole et gaz – L’Institut Pembina produit des publications et émet des commentaires à l’appui de l’élaboration de règlements sur l’industrie pétrolière et gazière, y compris les émissions de méthane, et évalue les répercussions environnementales des grands projets d’exploitation pétrolière et gazière, en particulier les sables bitumineux et le gaz naturel liquéfié.
- Bâtiments écologiques – L’Institut Pembina fait des recherches et fournit de l’information sur les solutions susceptibles d’améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments, particulièrement en Colombie-Britannique.
- Transport écologique – L’Institut Pembina étudie des solutions propres pour le transport des marchandises et des personnes, et collabore avec le gouvernement à l’élaboration de politiques comme la Norme sur les combustibles propres.
International Council on Clean Transportation
Directeur général : Drew Kodjak
Profil de l’organisation :
L’International Council on Clean Transportation est une organisation indépendante sans but lucratif fondée pour fournir des recherches et des analyses techniques et scientifiques de premier ordre et impartiales aux organismes de réglementation de l’environnement. Elle a pour mission d’améliorer le rendement environnemental et l’efficacité énergétique du transport routier, maritime et aérien, afin de favoriser la santé publique et d’atténuer les effets des changements climatiques.
Living Oceans Society
https://www.livingoceans.org/?language=fr
Directrice générale : Karen Wristen
Profil de l’organisation :
La Living Oceans Society est une organisation sans but lucratif qui préconise une gestion des océans centrée sur le bien commun, basée sur des politiques à fondement scientifique et qui tient compte de l’intégralité des écosystèmes.
La mission de la Living Oceans Society consiste à :
- effectuer des recherches scientifiques, sociales et économiques pour s’assurer que ses campagnes reposent sur des faits et que les solutions qu’elle propose s’appuient sur des données scientifiques;
- interpréter des données scientifiques à l’intention de diverses clientèles en produisant des cartes, des rapports et d’autres publications afin que tous les intervenants puissent être informés et participer à la prise de décisions;
- échanger avec le gouvernement, l’industrie et les personnes qui vivent et travaillent sur la côte afin de créer des solutions viables aux problèmes de conservation;
- promouvoir des politiques publiques rigoureuses et la responsabilité sociale des entreprises;
- permettre aux collectivités côtières de protéger les ressources marines dont elles dépendent.
Les principaux domaines d’activité de la Living Oceans Society sont les suivants :
- Gestion des ressources océaniques – La Living Oceans Society s’occupe de la gestion des ressources océaniques sur les trois côtes du Canada.
- Énergie et changements climatiques – Living Oceans Society travaille depuis 20 ans à protéger le littoral de la Colombie-Britannique contre l’exploitation et le transport des combustibles fossiles. L’organisme a obtenu le statut d’intervenant dans le cadre des audiences de la Commission d’examen conjoint du projet de pipeline Northern Gateway et de celles de l’Office national de l’énergie sur le projet d’expansion du pipeline Trans Mountain de Kinder Morgan.
- Salmoniculture – La Living Oceans Society coordonne les activités de la Coastal Alliance for Aquaculture Reform, une coalition de cinq organismes environnementaux qui cherchent à protéger l’océan contre les répercussions de l’élevage du saumon à enclos ouverts.
- Produits de la mer durables – La Living Oceans Society est membre de SeaChoice, un programme de surveillance des produits de la mer qui évalue la durabilité de produits de la mer habituellement disponibles au Canada.
- Acidification des océans – La Living Oceans Society fait campagne en faveur d’une politique climatique efficace, de zones marines protégées et de pratiques de pêche durables.
- Enlèvement des débris marins – Le groupe « Clear the Coast » coordonne les efforts déployés par des membres de la collectivité, les entreprises et les administrations locales qui veulent aider à nettoyer les rives du nord de l’île de Vancouver.
- Écosystèmes océaniques – La Living Oceans Society cherche à assurer la santé des océans en protégeant les quatre piliers des écosystèmes océaniques : l’habitat, la biodiversité, les chaînes alimentaires et la qualité de l’eau.
Mersey Tobeatic Research Institute
Directrice générale : Amanda Lavers
Profil de l’organisation :
Le Mersey Tobeatic Research Institute (MTRI) est un institut de recherche coopérative sans but lucratif qui exploite une station expérimentale située dans le comté de Queens, en Nouvelle-Écosse, entre les collectivités de Kempt et de Caledonia. Il a été créé en 2004 pour promouvoir l’utilisation durable des ressources naturelles et la conservation de la biodiversité dans la réserve de la biosphère du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse et au-delà par la recherche, l’éducation et l’exploitation d’une station expérimentale. MTRI compte tout un éventail de projets en cours. Qu’il s’agisse de la recherche sur les espèces en péril, de la connectivité aquatique, des vieilles forêts, de la dimension humaine ou de la sensibilisation des jeunes, MTRI mène une variété de projets à court terme et de programmes continus dans la région.
Composition du Comité :
Un représentant du Mersey Tobeatic Research Institute, Brad Toms, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Nature Canada
https://naturecanada.ca/?lang=fr
Directeur général : Graham Saul
Profil de l’organisation :
Fondée en 1939, Nature Canada est une organisation de conservation sans but lucratif soutenue par ses membres; elle représente un réseau de 45 000 partisans et plus de 350 organismes naturalistes actifs à l’échelle locale, régionale et provinciale partout au Canada. Nature Canada a pour mission de protéger et de conserver la faune et son habitat au Canada en suscitant la participation du public et en faisant la promotion de la nature. Sur la scène internationale, Nature Canada est membre de l’Union internationale pour la conservation de la nature et le copartenaire canadien de BirdLife International.
Les principaux champs d’activité de Nature Canada sont les suivants :
- La conservation des oiseaux – Nature Canada collabore avec divers gouvernements, scientifiques, ornithologues amateurs et experts non gouvernementaux pour conserver les espèces dans l’ensemble de leur aire de répartition au Canada et à l’étranger. L’organisme est membre actif du partenariat mondial BirdLife International.
- La protection des milieux naturels – Nature Canada surveille les plans établis par le gouvernement afin de créer des aires protégées et lance des projets qui encouragent l’établissement d’un réseau efficace de parcs et d’aires protégées au Canada.
- Les espèces en péril – Nature Canada cherche à inverser la tendance à la disparition des espèces et à la dégradation de l’habitat en informant le public sur les espèces en péril et en faisant pression pour l’adoption de lois et de programmes efficaces.
- La Coalition du budget vert – Par l’intermédiaire de la Coalition du budget vert, Nature Canada et 13 autres organisations environnementales présentent au gouvernement fédéral une analyse des enjeux les plus pressants au Canada en matière de durabilité de l’environnement ainsi qu’un ensemble de recommandations annuelles à l’égard de possibilités fiscales et budgétaires stratégiques.
- Rapprocher les gens de la nature – Nature Canada cherche à favoriser une meilleure compréhension de la nature et du rôle que les Canadiens peuvent jouer pour la protéger dans le cadre d’activités sur la nature urbaine et de science citoyenne.
- Fonds pour la nature du Canada :
- Nature Canada administre également le programme Naturehood, qui vise à rapprocher de la nature le public de tout âge, et surtout les enfants. Il vise à inspirer les citadins à se rapprocher de la nature par l’observation de la faune et diverses activités festives, éducatives et d’intendance dans des espaces verts urbains ou quasi urbains. Depuis 2015, ECCC contribue à la mise en œuvre de ce programme dans 10 réserves nationales de faune situées à proximité de centres urbains.
Composition du Comité :
Un représentant de Nature Canada, Stephen Hazell, participe, mais pas à titre de membre, au Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP) établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
NatureServe Canada
Directeur général : Patrick Henry
Profil de l’organisation :
NatureServe Canada est une organisation de bienfaisance enregistrée qui fait fonction de réseau de centres de données de conservation provinciaux et territoriaux dans le but d’élaborer, de gérer et de diffuser de l’information qui fait autorité et est essentielle à la conservation de la biodiversité du Canada. Des organismes fédéraux et provinciaux, l’industrie privée, des chercheurs et des organismes de conservation ont abondamment recours aux données détenues par NatureServe Canada afin d’améliorer la gestion, l’utilisation et la conservation des ressources biologiques au Canada. NatureServe Canada représente aussi les centres de données de conservation canadiens dans le réseau international plus étendu de centres semblables que l’on retrouve partout dans l’hémisphère occidental, connu sous le nom de NatureServe.
NatureServe Canada s’est donné pour mission d’être une source de renseignements accessibles, à jour, fiables et faisant autorité sur la répartition et l’abondance de la diversité biologique du pays. L’organisme vise à améliorer la prise de décisions sur les ressources naturelles et à servir le public en sensibilisant davantage les Canadiens au patrimoine naturel national.
Les activités clés de l’organisation consistent notamment à :
- établir des normes scientifiques pour l’inventaire biologique et la gestion des données sur la biodiversité;
- élaborer des bases de données complètes et à jour sur les espèces et les communautés écologiques dont la conservation est préoccupante;
- concevoir des systèmes avancés de gestion des données sur la biodiversité en partenariat avec des chefs de file des technologies de l’information;
- mettre de l’information sur la biodiversité à la disposition du public par le truchement de ses sites Web, de ses publications et des services personnalisés qu’il offre à ses clients et à ses partenaires;
- fournir une expertise scientifique pour appuyer les programmes et la recherche sur la biodiversité de ses clients et partenaires.
Ocean Wise
Vice-président du développement : Jeremy Douglas
Profil de l’organisation :
- Ocean Wise est une organisation mondiale de conservation des océans qui se consacre à la protection et à la restauration des océans du monde. Ocean Wise a comme mission d’inspirer la communauté internationale et de l’inciter à se préoccuper des océans en accroissant sa compréhension, son émerveillement et son appréciation à l’égard de nos océans.
Pollution Probe
https://www.pollutionprobe.org
Chef de la direction : Christopher Hilkene
Profil de l’organisation :
Fondée en 1969, Pollution Probe est une organisation caritative canadienne à vocation environnementale qui s’intéresse de près à la convergence des collectivités, de la santé et de l’environnement. Elle cherche à définir les problèmes environnementaux au moyen de la recherche, à faciliter la compréhension par l’éducation et à faire adopter des solutions pratiques par la représentation. Pollution Probe se concentre sur la création de partenariats, la mise à contribution des organismes gouvernementaux, des entreprises privées et d’autres organismes sans but lucratif afin de trouver des solutions visant à assurer de l’air sain et de l’eau propre. Pollution Probe a pour mission d’améliorer la santé et le bien-être des Canadiens en faisant valoir l’importance de politiques qui apportent des changements environnementaux positifs et tangibles.
Les principaux champs d’activité de Pollution Probe portent notamment sur les domaines suivants :
- Transport – Pollution Probe étudie les nouvelles technologies et les infrastructures nécessaires pour offrir des modes de transport plus propres, plus sûrs et plus durables.
- Énergie – Pollution Probe utilise une approche systémique pour déterminer les possibilités d’améliorer la façon dont nous produisons, distribuons et utilisons l’énergie.
- Grands Lacs – Pollution Probe favorise l’intendance à l’échelle locale afin d’assurer la gestion durable des bassins hydrologiques dans les Grands Lacs.
- Produits chimiques – Pollution Probe aide les Canadiens à établir des liens entre les facteurs environnementaux et la santé et le bien-être humains.
- Déchets – Pollution Probe aide à trouver des solutions visant à bâtir un avenir sans site d’enfouissement grâce aux 4 R – réduire, réutiliser, recycler et récupérer.
Porpoise Conservation Society
Présidente : Dre Anna Hall
Profil de l’organisation :
Fondée en 2015, cette organisation est la première au monde à se consacrer à la recherche et à la conservation de certains des plus petits mammifères marins : les marsouins. La Porpoise Conservation Society a été créée dans le but de devenir la principale ressource pour la conservation de toutes les espèces de marsouins et la sensibilisation du public à cet égard. Présentes dans l’ensemble des hémisphères nord et sud, ces espèces ont été largement négligées en raison de leur petite taille et de la difficulté de les trouver à l’état sauvage. En outre, ces animaux font face à une myriade de menaces à leur conservation et leur survie, et la Porpoise Conservation Society est vouée à sensibiliser le public, à mener des recherches scientifiques et à favoriser par une mobilisation communautaire la survie à long terme de toutes les espèces de marsouins.
Composition du Comité :
Une représentante de la Porpoise Conservation Society, Dre Anna Hall, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Société canadienne d’écologie et d’évolution
Présidente : Isabelle Côté
Profil de l’organisation :
La Société canadienne pour l’écologie et l’évolution (SCEE) est un groupe non partisan d’écologistes actifs et de biologistes de l’évolution dans l’ensemble du pays. Elle parraine des programmes scientifiques visant à faire la synthèse des données sur les systèmes naturels, à élaborer de nouvelles théories et à fournir des évaluations scientifiques impartiales sur les aspects écologiques et évolutifs des politiques publiques. La SCEE est encadrée par un consortium d’universités canadiennes, dont l’Université Carleton, l’Université McGill, l’Université de la Colombie-Britannique et l’Université de Toronto. Elle est en outre soutenue par la Société canadienne pour l’écologie et l’évolution, la société savante nationale.
Composition du Comité :
Sarah (Sally) Otto, représentante de la Société canadienne pour l’écologie et l’évolution, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Société pour la nature et les parcs du Canada
Directrice générale nationale : Sandra Schwartz
Profil de l’organisation :
La Société pour la nature et les parcs du Canada est une organisation communautaire sans but lucratif qui a pour objectif d’établir de nouvelles aires et de nouveaux parcs marins et terrestres protégés et de veiller à ce que la gestion de ces espaces tienne compte en priorité des besoins de la nature. Depuis 1963, la Société a créé plus de deux tiers des aires protégées du Canada. Selon sa vision des choses, le Canada devrait protéger au moins la moitié de ses terres publiques et de ses eaux intérieures. À titre d’organisation caritative nationale comptant 13 sections régionales, 60 000 membres et des centaines de bénévoles, la Société collabore avec les gouvernements, les collectivités locales, l’industrie et les Autochtones afin d’assurer la protection des magnifiques milieux naturels du Canada.
L’organisation a pour mission de créer une écosphère saine où il est possible de vivre en respectant les écosystèmes naturels. Pour se faire, la Société s’efforce :
- de protéger les écosystèmes naturels du pays à l’intérieur des parcs et d’autres aires protégées similaires pour favoriser l’intégrité écologique et la diversité des habitats et des espèces;
- de sensibiliser et de mieux faire comprendre les principes écologiques et les valeurs inhérentes à la nature par l’information, la compréhension et l’expérience;
- d’encourager chacun à poursuivre ces buts et de coopérer avec les gouvernements, les Premières Nations, les entreprises et divers organismes et particuliers afin d’orienter ses actions vers la recherche de solutions pour parvenir chaque fois que possible à un consensus.
Ses principaux secteurs d’activité sont :
- la conservation des habitats des espèces sauvages – La Société travaille à la protection d’importantes superficies de terre, d’océans et de grands lacs d’eau douce afin que les espèces sauvages du Canada puissent s’y développer;
- les parcs – La Société plaide pour la création de nouveaux parcs et joue le rôle de chien de garde pour veiller à ce que ceux qui existent déjà soient bien gérés;
- les forêts – La Société a pour objectif de conserver au moins la moitié de la forêt boréale du Canada et de créer un réseau de vastes aires de conservation dans les régions boisées tempérées de l’est du pays, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, au Québec et en Ontario;
- les océans – La Société fait la promotion de l’établissement de mesures de conservation marine à long terme, dont la création d’un réseau d’aires marines protégées;
- les prairies – Les sections régionales de la Société en Colombie-Britannique, en l’Alberta et en Saskatchewan travaillent à la protection de ces paysages tout particuliers et de leur riche biodiversité.
Composition du Comité :
Florence Daviet, représentante de la Société, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
Sustainable Forestry Initiative Inc.
Présidente et chef de la direction Kathy Abusow
Profil de l’organisation :
La Sustainable Forestry Initiative (SFI) est un organisme indépendant sans but lucratif qui se consacre à la promotion de la durabilité des forêts et des liens qui rattachent les forêts durables aux collectivités viables grâce à des programmes de subventions, à des recherches soigneusement ciblées, à l’éducation des jeunes, aux services de support de la chaîne d’approvisionnement et à des partenariats qui contribuent efficacement à la réalisation de multiples objectifs de conservation.
Les forêts certifiées selon la norme d’aménagement forestier de la SFI couvrent 285 millions d’acres/115 millions d’hectares, tandis que des millions d’acres supplémentaires bénéficient de sa norme d’approvisionnement en fibres. La Sustainable Forestry Initiative est une « norme de certification forestière » nord-américaine et un programme de SFI Inc., un organisme sans but lucratif. La Sustainable Forestry Initiative est la plus importante norme de certification forestière au monde. La SFI a son siège social à Ottawa.
Composition du Comité :
Un représentant de Sustainable Forestry Initiative Inc., Darren Sleep, est membre du Comité consultatif sur les espèces en péril (CCEP), établi en vertu de la Loi sur les espèces en péril pour conseiller le ministre d’ECCC sur l’administration de la Loi.
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