7. Éducation - promouvoir la compréhension

Un répondant note qu'une évaluation globale de la LCPE (1999), pour déterminer ce qui est efficace et ce qui nécessite des améliorations, doit être entreprise avant que la Loi soit modifiée en profondeur. Toutefois, on devrait intégrer les changements qui concernent les exigences liées à une réglementation « intelligente ».

Un commentaire propose que la LCPE (1999) favorise l'adoption d'un programme d'information publique semblable à "PARTICIPACTION" pour expliquer les avantages économiques et environnementaux qu'il y a à recycler les produits et les substances.

Un commentaire précise que le gouvernement devrait continuellement essayer de favoriser des mesures incitatives plutôt que des mesures de dissuasion en vue de promouvoir la politique sur l'environnement et la santé.

Un commentaire ajoute qu'environnement Canada et Santé Canada doivent agir de manière proactive pour faciliter le travail des secteurs de la société qui contribuent à améliorer la sensibilisation et la gestion du public. Tandis que le système d'éducation officiel est une part importante de ce processus, on pourrait aussi envisager de recourir aux bassins importants d'éducateurs environnementaux motivés et qualifiés associés aux organisations non gouvernementales de l'environnement (ONGE).

Un commentaire note que bien qu'il soit admirable et avantageux pour le gouvernement de mieux promouvoir la compréhension, c'est aux collectivités réglementées qu'il revient de se conformer à la LCPE (1999).

La reprise des rapports sur l'état de l'environnement et l'établissement d'un rapport sur l'état de la santé sont mentionnés comme moyen d'aider ce processus. Un commentaire contient aussi une recommandation à l'effet qu'on devrait élaborer un rapport sur l'état de la viabilité économique.

Un commentaire ajoute que l'établissement d'indicateurs et de modèles de prévisions permettrait d'éviter la responsabilité du gouvernement en matière de pollution industrielle.

Un commentaire mentionne qu'il serait utile, pour communiquer les risques, de donner des indications précises sur l'évaluation des risques connus sur l'emballage à la consommation. Cette information permettrait aux consommateurs de choisir le degré de risque qu'ils sont prêts à prendre. Un commentaire indique qu'il faut établir des mécanismes pour garantir l'examen de l'information par des tiers en vue de la prise de décisions en vertu de la LCPE (1999).

Selon un commentaire, il est impératif que les raisons pour lesquelles une substance a été placée à l'Annexe 1 soient facilement accessibles. Le défi consistera à assurer une gestion et des communications des risques appropriées au sujet des substances de l'Annexe 1 pour bien informer les Canadiens du niveau de risque qu'elles représentent. Les gouvernements devraient dispenser une formation sur la communication des risques à leurs porte-parole.

Détails de la page

2017-05-12