Mobilité francophone : Avantages pour les employeurs

Découvrez comment Mobilité francophone facilite et simplifie l’embauche de travailleurs qualifiés francophones pour les employeurs Canadiens hors Québec.

Mobilité francophone : Avantages pour les employeurs

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Titre : Mobilité francophone

Durée de la vidéo : 7:39 minutes

On entend une douce musique dans l’arrière-plan, on voit un plan aérien du Parlement à Ottawa, en été. La musique prend ensuite un peu d’entrain.

On voir ensuite un plan frontal du Parlement et de la flamme du centenaire.

Après cela, on voit un plan de la ville de Toronto sur le côté, avec un bateau sur l’eau.

Narrateur : En 2016, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada a lancé Mobilité francophone, le nouveau volet du Programme de mobilité internationale.

Texte affiché : « MOBILITÉ FRANCOPHONE ».

On voit un plan aérien de différents drapeaux qui flottent dans les airs.

Narrateur : Ce nouveau volet a simplifié et facilité l’embauche de professionnels francophones qualifiés pour les employeurs dans toutes les provinces et territoires canadiens, à l’exception du Québec.

Le plan change à un homme d’affaire qui marche dans un édifice moderne. Par la suite, on voit une femme qui travaille dans son bureau. On voit des lieux qui montrent des personnes travaillant dans divers milieux, y compris un homme qui soude, deux hommes sur un chantier et des femmes dans une salle de réunion.

Narrateur : Ce volet dispense les employeurs de l’étude d’impact sur le marché du travail habituellement obligatoire pour embaucher un travailleur étranger. Les ressortissants étrangers sont admissibles, quel que soit le pays ou le groupe d’âge, en autant qu’ils parlent le français couramment. Petites et grandes entreprises anglophones et francophones y trouvent leur compte puisqu’elles peuvent embaucher des candidats à des postes de gestion, de supervision, des postes de professionnels et de métiers techniques spécialisés.

Le plan montre d’autres personnes qui travaillent comme des spécialistes dans un laboratoire, une femme est assise sur un banc à l’extérieur et travaille sur son ordinateur, deux hommes sont dans un bureau et regardent une tablette, une autre femme aide un patient à l’hôpital, des femmes parlent près de leurs bureaux ouverts, d’autres sont dans une réunion de bureau.

Ensuite, on voit un groupe de femmes dans la salle de réunion. On voit un plan en contre-plongée de quelques édifices, dans le centre de la ville. Le plan retourne à deux des femmes qui étaient dans la salle de réunion. Cette fois-ci, on les voit de face. Ensuite, on voit un homme qui semble donner des instructions à une femme. On voit, après cela, deux hommes qui travaillent dans un laboratoire.

On voit le Maroc et le drapeau du Maroc sur une carte du monde. Un point se dirige du Maroc pour arriver à Ottawa, au Canada.

Narrateur : Voici des exemples de comment Mobilité francophone a aidé des collectivités.

Une scène aérienne montre le drapeau du Canada au sommet du Parlement, à Ottawa.

On entend une musique divertissante.

On voit à l’écran les lettres géantes - « OTTAWA » - dans le contexte d’une rue.

Texte affiché : « Ottawa (Ontario) ».

On voit un plan d’ensemble et un plan frontal de la pâtisserie « Le Moulin de Provence », qui se retrouve dans le Marché by à Ottawa. Par la suite, un plan rapproché de la porte de la pâtisserie.

On voit en gros plan les mots « Pâtisserie » et « Café Bistro ».

Texte affiché : « Claude Bonnet, Propriétaire, Le Moulin de Provence ».

Claude Bonnet s’exprime devant la caméra.

Claude Bonnet : Mon entreprise est une boulangerie, pâtisserie, traiteur. J’ai 74 employés et dont sept qui viennent de la Mobilité francophone, un organisme qui m’a bien guidé pour trouver des employés pour maintenir l’entreprise à flot. Ces employés sont très motivés, ils viennent de l’extérieur du Canada et ils ont la chance de pouvoir venir avec leur famille. Ce qui est vraiment important pour pouvoir faire immigrer les gens.

On peut voir, à plusieurs reprises, Claude Bonnet et un employé qui discutent dans la pâtisserie.

Des produits de la pâtisserie qui se retrouvent dans une vitrine.

Claude Bonnet : Ils arrivent en quelques semaines au travers de leur démarche, c’est assez rapide. À la satisfaction de tout le monde, c’est un complément qui aide notre entreprise énormément. Et grâce à la Mobilité francophone, nous avons réussi à retrouver des ressources à l’étranger qui nous ont permis de maintenir notre entreprise au travail.

Claude Bonnet s’adresse encore à la caméra.

Claude Bonnet : Et merci à Mobilité francophone c’était un support extraordinaire pour nous.

On voit un plan frontal de l’édifice.

On voit un plan frontal de Rachid Mazhour, un employé de la pâtisserie. Dans l’arrière-plan, on peut voir des machines et des miches de pain.

Texte affiché : « Rachid Mazhour, chef-boulanger, Le Moulin de Provence ».

Rachid fait du pain. On voit différents plans de Rachid au cours de la cuisson du pain.

On voit plusieurs produits dans une vitrine.

Une femme prépare une recette dans la cuisine de la pâtisserie.

Rachid Mazhour : J’ai commencé à l’âge de 18 ans, dans une boulangerie française et après 13 ans d’expérience au Maroc, j’ai vu l’offre d’emploi affichée sur Internet. J’ai postulé sur place, après un jour, il y a monsieur Bonnet, le propriétaire de leur boulangerie, pâtisserie, il m’a appelé, on m’a dit : « Voilà Rachid, j’ai besoin de vous. » Je lui ai dit : « Ok, avec plaisir, Monsieur Bonnet. » Il a commencé avec moi les démarches pour obtenir mon permis de travail temporaire. Grâce à Mobilité francophone, je travaille maintenant ici à Ottawa et en peu de temps, j’ai pu faire venir ma femme et mon fils et maintenant ma femme elle travaille comme cuisinière avec moi au Moulin de Provence et on est très heureux maintenant.

On voit la France et le drapeau du la France sur une carte du monde. Un point se dirige de la France vers Halifax, au Canada.

On entend de la musique folklorique divertissante.

On voit les vagues qui s’accostent au bord de la mer, à Halifax.

Le plan change à un phare et une mer calme.

Par la suite, on voit un plan rapproché d’un banc au bord de la mer. On peut apercevoir une ville en arrière-plan.

On voit des bateaux accostés sur le quai et quelques édifices dans l’arrière-plan.

Texte affiché : « Dartmouth (Nouvelle-Écosse) ».

On voit le champ de vision d’une voiture sur un pont.

Un bateau s’avance vers un quai.

On voit un plan en contre plongée d’Halifax et un homme qui court sur le quai.

Le plan change ensuite pour montrer une chèvre en peluche.

Une femme parle dans une garderie. Dans l’arrière-plan, on peut voir une bannière où est écrit « Le petit voilier » et des traces de mains d’enfants sur le mur.

Texte affiché : « Sandra Laforge, conseillère en ressources humaines, Le petit voilier ».

Sandra Laforge : Nous faisons la gestion de 7 centres de la petite enfance qui s’appellent Le petit voilier dans la région municipale d’Halifax. Parmi nos 60 éducateurs, nous en avons 10 qui sont venus avec le volet de Mobilité francophone.

On voit des enfants en activité dans une garderie.

Sandra Laforge : Ça représente un gros pourcentage de notre personnel. Pour l’employeur, c’est beaucoup plus facile avec Mobilité francophone. Le temps et la paperasse qu’il faut, c’est beaucoup moins difficile à gérer. La remise des documents pour les employés c’est aussi plus facile.

On voit différents plans d’enfants en train de s’amuser.

On voit des dessins et travaux artistiques faits par des enfants de la garderie.

Sandra Laforge : Ici, en Nouvelle-Écosse, nous avons une pénurie d’éducateurs francophone. Ça nous donne l’opportunité d’aller en dehors du Canada pour trouver des gens qui sont déjà formés et qualifiés pour venir travailler avec nous ici.

Sandra Laforge, s’adresse à la caméra.

Sandra Laforge : Le volet Mobilité francophone est fortement recommandé aux employeurs. C’est plus efficace et plus rapide pour les employeurs et aussi les candidats.

On voit un plan en contre plongée d’une lampe et des arbres en plein jour.

Le plan change ensuite à un canal en plein jour.

Un autobus passe dans la rue.

On voit une femme assise devant la caméra. En arrière-plan, on voit une cafétéria vide.

Texte affiché : « Tatiana Grandhomme, éducatrice, Le petit voilier ».

Tatiana Grandhomme : J’ai été éducatrice de jeunes enfants de formation en banlieue parisienne. J’ai vu le poste du petit voilier, éducatrice au Canada sur le site pour l’emploi international.

On voit différents plans de Tatiana qui s’occupe des enfants.

On voit les enfants qui se préparent à aller à l’extérieur.

Le plan change ensuite pour montrer des enfants qui courent à l’extérieur. Après cela, on voit Tatiana qui marche avec les enfants, mains dans les mains.

Tatiana Grandhomme : Donc, c’était une expérience que je voulais tenter. Pour moi et mon conjoint, c’était un rêve de partir travailler à l’étranger et on s’est dit que le Canada c’est une bonne opportunité, donc on est venu en famille. La première fois que j’ai vu le poste d’éducatrice du petit voilier, c’est sur le site de pour l’emploi international. On s’est ensuite parlé par Skype avec la directrice et on s’est revu à Forum Destination Canada.

Tatiana s’adresse à la caméra.

Tatiana Grandhomme : Au niveau de la documentation à rassembler, il y a beaucoup de papiers pour le programme d’immigration et ensuite c’est assez rapide pour avoir le visa de Mobilité francophone.

On entend un tapement des mains avec de la musique dans l’arrière-plan

On voit la France et le drapeau de la France sur une carte du monde. Un point se dirige de la France et arrive à Vancouver, au Canada.

On voit en grand plan l’ensemble de la ville de Vancouver, sur le côté de l’eau.

Des gens regardent des totems des Premières nations.

Le plan change pour montrer les gratte-ciels de Vancouver au bord de l’eau.

On voit en grand plan un ensemble d’édifices et de la circulation à Burnaby.

Texte affiché : « Burnaby (Colombie-Britannique) ».

On voit ensuite un édifice.

Une femme s’adresse à la caméra dans un couloir.

Texte affiché : « Vivian Yuen, responsable du Programme d’immigration, Electronic Arts Canada ».

Vivan Yuen (en anglais): Electronic Arts est un chef de file mondial dans le divertissement interactif numérique. Nous sommes surtout connus pour nos marques de jeux vidéo acclamés par la critique, comme EA SPORTS FIFA, Madden NFL, Les Sims, Battlefield et Dragon Age. Electronic Arts a embauché des milliers de personnes à travers le monde, et sept employés travaillant à notre siège social canadien, à Burnaby, dans la région de Vancouver, sont arrivés dans le cadre du volet Mobilité francophone, ce qui contribue grandement à la diversité et à la richesse de la culture de notre studio.

On voit des plans de quelques jeux vidéo. Par la suite on voit des murs décorés, à l’intérieur de l’édifice.

On voit un terrain de soccer à l’extérieur de l’édifice.

On revoit des murs où sont accrochées des expositions artistiques différentes.

On voit un terrain de basketball qui se retrouve à l’intérieur de l’édifice.

Vivan Yuen (en anglais): Nous avons un large éventail de postes à combler dans notre studio, notamment des postes d’ingénieurs en logiciel, d’animateurs, d’artistes, de directeurs du développement, de producteurs et de concepteurs de jeux. Les candidats au titre du volet Mobilité francophone doivent avoir les compétences linguistiques pour parler en français, mais ils ne sont pas obligés de parler en français ici, au travail.

Vivian discute avec une femme dans le cadre d’une rencontre.

Vivan Yuen (en anglais): Ceux qui sont arrivés par l’intermédiaire du volet Mobilité francophone sont d’excellents candidats afin de satisfaire éventuellement aux exigences de la résidence permanente compte tenu de leurs compétences en français et en anglais, de leurs études et de leur expérience. Elles pourront plus tard continuer de travailler pour Electronic Arts et contribuer à la société canadienne à long terme.

On voit des expositions artistiques qui sont accrochées au plafond.

Vivan Yuen (en anglais): Mobilité francophone est rattaché à un traitement rapide et efficace. Grâce à ce volet, nous avons été en mesure de faire venir des travailleurs hautement qualifiés afin de pourvoir des postes laissés vacants en raison d’une pénurie de main-d’œuvre canadienne qualifiée.

Vivian s’adresse à la caméra.

Vivan Yuen (en anglais): Le volet Mobilité francophone est fortement recommandé.

On voit un plan de la ville au bord de l’eau, en après-midi.

On voit un plan aérien de l’ensemble de la ville de Vancouver.

On entend un changement dans le tempo de la musique.

Texte affiché : « Brendan Scalabrini, producteur associé, Electronic Arts Canada ».

Brendan Scalabrini s’adresse à la caméra, dans une salle de réunion.

On voit l’intérieur de l’édifice d’Electronic Arts.

Brendan Scalabrini : Pour moi ça fait un peu plus de cinq ans que je suis producteur jeu vidéo. Je viens de France à la base et j’ai fait toute ma carrière à l’étranger parce que je voulais voyager principalement et le jeu vidéo c’est l’industrie qui me permet vraiment de le faire, de travailler un peu partout dans le monde.

On voit un homme qui joue à un jeu vidéo.

Par la suite, on voit des séquences de jeux à l’écran.

Brendan Scalabrini : Depuis toujours j’ai voulu vivre cette expérience d’aller au Canada et c’est aussi pour ça que je suis dans ce corps de métier là et y a à peu près deux ans, j’étais en contact avec directeur de studio de jeux vidéo au Canada qui me disait que l’immigration c’est un processus qui pourrait être très long. Mais au moins, j’ai pas baissé les bras et l’année dernière j’ai trouvé… j’ai vu l’annonce pour un poste de producteur ici sur FIFA, Electronic Arts et donc j’ai appliqué pour ce travail et ben, tout s’est bien passé, j’ai eu le job. Et ensuite, ben, suite à ça, j’ai été mis en contact avec des personnes qui m’ont aidé pour l’immigration via la Mobilité francophone et ensuite ça a été très rapide.

On voit le même terrain de soccer qu’avant.

On voit Brendan qui travaille dans une salle.

On voit des gens qui marchent sur un quai.

On voit des bateaux sur l’eau.

On voit un plan d’ensemble d’un édifice, à Vancouver.

Brendan Scalabrini : Comme je dirais, ouais, nouvellement, c’est une expérience super positive et donc j’ai décidé de venir vivre à Vancouver.

Brendan s’adresse à la caméra.

Brendan Scalabrini : Et voilà, ça m’a semblé un choix judicieux et en plus de ça, ça me permet de commencer mon projet de vie au Canada. Ce qui est superbe.

On voit une foule de personnes qui marchent dans la rue.

Narrateur : Mobilité francophone contribue au développement économique, culturel et social du Canada. Pour en savoir plus, consultez canada.ca/immigrationfranco.

Texte affiché : « CANADA.CA/IMMIGRATIONFRANCO ».

On voit la signature ministérielle d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada ainsi que le message sur les droits d’auteur : « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2019. »

Le mot-symbole « Canada » est affiché sur un fond d’écran noir.

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