Résumé des résultats de L’Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022

Contexte

L'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves (ECTADE) 2021-2022, anciennement appelée Enquête sur le tabagisme chez les jeunes (ETJ), est le 11e cycle de collecte de données sur la consommation de tabac, d'alcool et de drogues chez les élèves. Un échantillon total de 61 096 élèves de la 7e à la 12e année (1re à la 5e année du secondaire au Québec) a répondu à l'enquête, qui s'est déroulée entre septembre 2021 et juin 2022 dans 9 provinces canadiennes (à l'exception du Nouveau-Brunswick). Les résultats pondérés représentent plus de 2 millions d'élèves canadiens. L'ECTADE 2021-2022 a permis de recueillir des renseignements sur la consommation de tabac, d'alcool, de cannabis et de drogues. Ce cycle de l'enquête comprend également de nouvelles questions sur l'état de santé physique et mentale autodéclaré, ainsi que sur l'intimidation.

Pour ce cycle, les élèves ont été interrogés sur leur identité de genre ainsi que sur leur sexe biologique. Le présent résumé fait état des différences entre les genres dans l'ensemble de l'enquête. Comme il s'agissait d'une nouveauté, il n'a pas été possible de faire des comparaisons avec les cycles d'enquête précédents en ce qui concerne le genre. Nous notons certaines différences importantes concernant le sexe entre les cycles.

Une série de tableaux détaillés et de définitions utilisés pour produire ce rapport sont fournis ici.

Toutes les augmentations et diminutions signalées dans le texte ci-dessous représentent des changements statistiquement significatifs (c'est-à-dire qui ne sont pas susceptibles d'être le produit du hasard seul). La signification statistique a été évaluée à l'aide d'un test z non groupé à deux proportions ou à deux moyennes avec une valeur p de 0,05 (niveau de confiance = 95 %). Pour améliorer la lisibilité, les mots « statistiquement significatif » ne sont pas répétés. De même, le texte indique parfois que la prévalence est « inchangée » ou ne diffère pas entre les groupes, même si les chiffres ne sont pas identiques. Cela se produit lorsque la différence entre les chiffres n'est pas statistiquement significative.

Veuillez noter que lorsque le nombre d'élèves est fourni avec la prévalence, ce nombre est fourni à titre estimatif et est arrondi au millier le plus proche. Les proportions présentées dans le résumé Web et les tableaux détaillés ne comprennent que les données dont les réponses sont complètes (c'est-à-dire que les élèves dont la valeur est manquante pour une variable particulière sont exclus de toutes les analyses portant sur cette variable).

Tabagisme

En 2021-2022, 15 % des élèves de la 7e à la 12e année (327 000 élèves) ont déjà essayé de fumer une cigarette, ne serait-ce qu'une bouffée, une baisse par rapport aux 19 % de 2018-2019. Parmi les élèves de la 7e à la 9e année, 9 % ont déjà essayé de fumer une cigarette, un pourcentage inchangé par rapport aux 9 % de 2018-2019, tandis que parmi les élèves de la 10e à la 12e année, ils sont 22 %, une baisse par rapport aux 29 % de 2018-2019.

Au cours de cette même période, 2 % des élèves de la 7e à la 12e année (43 000 élèves) déclarent fumer des cigarettes actuellement (tabagisme actuel), un pourcentage inchangé par rapport aux 3 % de 2018-2019. Un pour cent (1 %) des élèves déclarent fumer quotidiennement et 1 %Note de bas de page * occasionnellement. Il n'y avait pas de différence dans la prévalence du tabagisme actuel entre les hommes/garçons (2 %), les femmes/filles (2 %) et les élèves s'identifiant comme transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (4 %Note de bas de page *).

La prévalence du tabagisme quotidien actuel chez les élèves de la 7e à la 12e année était de 1,2 % (25 000) et est demeurée inchangée par rapport à 0,9 % en 2018-2019. La prévalence du tabagisme quotidien actuel chez les élèves de la 10e à la 12e année était de 1,7 %, soit un taux inchangé par rapport à 1,3 % en 2018-2019; le tabagisme quotidien actuel (0,6 %Note de bas de page *) chez les élèves de la 7e à la 9e année est demeuré inchangé par rapport au taux de 0,4 % en 2018-2019.

L'âge moyen auquel les élèves de la 7e à la 12e année ont fumé la cigarette pour la première fois, ne serait-ce qu'une bouffée, se chiffre à 13,3 ans, ce qui constitue une baisse par rapport aux 13,7 ans enregistrés en 2018-2019.

Tabagisme par province

Figure 1 : Tabagisme actuelNote de bas de page 1, par province, CanadaNote de bas de page 2, 2021-2022
Figure 1. La version textuelle suit.
Figure 1 : Description textuelle
Province Tabagisme actuel (%)
Canada 2,0 [1,5 à 2,5]
T.-N.-L. 2,5Note de bas de page  [1,8 à 3,2]
Î.-P.-É. 2,0 [1,6 à 2,4]
N.-É 2,7Note de bas de page * [1,7 à 3,7]
QC 1,3 [0,9 à 1,7]
Ont. 2,1Note de bas de page * [1,1 à 3,2]
Man. Note de bas de page #
Sask. Note de bas de page #
Alb. 1,7Note de bas de page * [1,1 à 2,3]
C.-B. 1,8Note de bas de page * [0,8 à 2,7]

[intervalles de confiance à 95 % entre parenthèses]

Note de bas de page 1

Le tabagisme actuel englobe le tabagisme quotidien et le tabagisme occasionnel.

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Note de bas de page 2

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 3

Variabilité de l'échantillonnage modérée; à interpréter avec prudence.

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Note de bas de page 4

Variabilité d'échantillonnage élevée - même si une estimation peut être déterminée à partir du tableau, les données doivent être supprimées.

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Note de bas de page 5

Arrondie à un nombre entier inférieur.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

En 2021-2022, la prévalence d'élèves ayant déjà essayé de fumer une cigarette allait d'un minimum de 14 % en Alberta et en Ontario à un maximum de 24 % en Saskatchewan chez les élèves de la 7e à la 12e année. La prévalence du tabagisme actuel allait d'un minimum de 1 % au Québec à un maximum de 3 %Note de bas de page * en Nouvelle-Écosse chez les élèves de la 7e à la 12e année (Figure 1).

Source des cigarettes

La majorité (73 %) des élèves de la 7e à la 12e année qui avaient fumé au cours des 30 derniers jours avaient obtenu leurs cigarettes auprès de sources sociales plutôt que de détaillants. Les sources sociales incluent les amis, les membres de la famille et d'autres personnes, sans égard au fait que les cigarettes aient été données, payées ou volées. L'accès aux cigarettes par l'intermédiaire de sources sociales avait un taux plus élevé chez les élèves de la 7e à la 9e année (85 %) que chez ceux de la 10e à la 12e année (69 %).

Plus de la moitié (59 %) des élèves de la 7e à la 12e année estimaient qu'il serait « assez facile » ou « très facile » d'obtenir une cigarette s'ils en voulaient une. Environ le quart (26 %) des élèves de la 7e à la 12e année pensaient qu'il serait « assez difficile » ou « très difficile » d'obtenir une cigarette, et 16 % n'étaient pas certains.

Utilisation de la cigarette électronique

En 2021-2022, 29 % des élèves de la 7e à la 12e année (623 000) avaient déjà essayé la cigarette électronique (avec ou sans nicotine, et/ou sans en connaître la teneur), une baisse par rapport aux 34 % en 2018-2019Note de bas de page 1. De la 7e à la 9e année, 18 % des élèves avaient déjà essayé la cigarette électronique, et de la 10e à la 12e année, 41 % des élèves ont déclaré l'avoir fait.

En 2021-2022, 17 % des élèves (352 000) avaient utilisé une cigarette électronique (avec ou sans nicotine, et/ou sans en connaître la teneur) au cours des 30 derniers jours, un pourcentage inchangé par rapport aux 20 % de 2018-2019Note de bas de page 1. La prévalence de l'utilisation de cigarettes électroniques au cours des 30 derniers jours était plus élevée chez les élèves de la 10e à la 12e année (24 %) que chez ceux de la 7e à la 9e année (10 %). La prévalence était plus élevée chez les femmes/filles (19 %) que chez les hommes/garçons (15 %). Pour connaître la prévalence de l'utilisation de cigarettes électroniques au cours des 30 derniers jours selon la province, reportez-vous à la figure 2.

Figure 2 : Utilisation des cigarettes électroniquesNote de bas de page 1 au cours des 30 derniers jours, par province, CanadaNote de bas de page 2, 2021-2022
Figure 2. La version textuelle suit.
Figure 2 : Description textuelle
Province Cigarettes électroniques (%)
Canada 16,8 [14,5 à 19,1]
T.-N.-L. 26,6 [25,0 à 28,3]
Î.-P.-É. 20,0 [18,1 à 22,0]
N.-É. 23,0 [19,9 à 26,0]
QC 19,5Note de bas de page  [14,2 à 24,8]
Ont. 15,3 [11,0 à 19,5]
Man. 16,7Note de bas de page * [10,3 à 23,0]
Sask. 23,7 [20,9 à 26,5]
Alb. 14,8 [12,0 à 17,6]
C.-B. 16,0Note de bas de page * [10,4 à 21,5]

[intervalles de confiance à 95 % entre parenthèses]

Note de bas de page 1

Utilisation de cigarette électronique avec nicotine, sans nicotine et/ou sans en connaître la teneur.

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Note de bas de page 2

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page *

Variabilité de l'échantillonnage modérée; à interpréter avec prudence.

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Note de bas de page ↓

Arrondie à un nombre entier inférieur.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Parmi les élèves qui avaient utilisé une cigarette électronique (avec ou sans nicotine, et/ou sans en connaître la teneur) au cours des 30 derniers jours : 11 % ont déclaré le tabagisme actuel; 13 % ont déclaré l'ancien tabagisme ou l'ancien tabagisme à titre expérimental; 11 % ont déclaré le tabagisme à titre expérimental; 25 % ont indiqué avoir essayé de fumer, mais n'avoir jamais fumé une cigarette entière; et 39 % ont indiqué n'avoir jamais essayé la cigarette, ne serait-ce qu'une bouffée.

Quatorze pour cent (14 %) des élèves (284 000) ont déjà essayé des cigarettes et des cigarettes électroniques, ce qui représente une diminution par rapport aux 16 % de 2018-2019. Parmi les élèves ayant essayé à la fois des cigarettes et des cigarettes électroniques, 29 % ont essayé une cigarette en premier (81 000), 53 % ont essayé une cigarette électronique en premier (147 000), et les autres n'arrivaient pas à s'en souvenir ou ont donné des réponses incohérentes. La prévalence de l'essai de la cigarette électronique en premier était plus élevée chez les élèves de la 10e à la 12e année (56 %) que chez ceux de la 7e à la 9e année (43 %).

Les élèves de la 7e à la 12e année ont été interrogés sur la principale raison pour laquelle ils vapotent actuellement ou continuent de le faire. Parmi les élèves qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours, les raisons les plus fréquemment citées étaient la détente et le soulagement des tensions (20 %), la dépendance (20 %), le plaisir (14 %) et la sensation de bien-être ou d'euphorie (12 %). Des raisons similaires ont été invoquées par les élèves qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours lorsqu'on les examine par niveau de scolarité et par genre.

On a demandé aux élèves de la 7e à la 12e année quel était l'arôme qu'ils vapotaient le plus souvent. Parmi ces élèves qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours, 63 % ont déclaré avoir vapoté le plus souvent un arôme de fruit, suivi d'aucun arôme particulier (17 %) et de menthe ou de menthol (11 %). Les élèves ayant vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours ont déclaré des choix d'arômes similaires lorsqu'ils sont examinés par année de scolarité et par genre. Cinq pour cent (5 %) des élèves de la 7e à la 12e année qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours ont déclaré avoir vapoté le plus souvent un arôme de bonbon, ce qui était plus élevé chez les élèves de la 7e à la 9e année (6 %) que chez ceux de la 10e à la 12e année (4 %).

Source des cigarettes électroniques

La majorité des élèves de la 7e à la 12e année qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours ont généralement obtenu leurs dispositifs de cigarette électronique (vape, stylo à vapoter, réservoir et capsules) [79 %] et leurs liquides à vapoter/capsules (79 %) d'une source sociale. Les sources sociales comprennent les amis, la famille et d'autres personnes, que les dispositifs de cigarettes électroniques ou les liquides/capsules aient été offerts gratuitement, payés ou volés. L'accès aux dispositifs de cigarettes électroniques par le biais de sources sociales était plus élevé chez les élèves de la 7e à la 9e année (88 %) que chez ceux de la 10e à la 12e année (75 %). L'accès aux liquides/capsules de cigarettes électroniques par le biais de sources sociales était également plus élevé chez les élèves de la 7e à la 9e année (87 %) que chez ceux de la 10e à la 12e année (76 %).

Environ un cinquième des élèves de la 7e à la 12e année qui ont vapoté avec de la nicotine au cours des 30 derniers jours ont généralement obtenu leurs dispositifs de cigarette électronique (21 %) et leurs liquides/capsules (21 %) auprès d'une source de vente au détail. Les sources de vente au détail comprennent les achats effectués en magasin et/ou en ligne. L'accès aux dispositifs de cigarettes électroniques par le biais de sources de vente au détail était plus élevé chez les élèves de la 10e à la 12e année (25 %) que chez ceux de la 7e à la 9e année (12 %). L'accès aux liquides/capsules de cigarettes électroniques dans le commerce de détail était également plus élevé chez les élèves de la 10e à la 12e année (24 %) que chez ceux de la 7e à la 9e année (13 %).

Plus de la moitié des élèves de la 7e à la 12e année (55 %) pensaient qu'il serait « assez facile » ou « très facile » de se procurer une cigarette électronique avec nicotine s'ils en voulaient une, et 54 % pensaient qu'il serait « assez facile » ou « très facile » de se procurer une cigarette électronique sans nicotine s'ils en voulaient une.

Perception du risque des cigarettes et des cigarettes électroniques pour la santé

Les élèves de la 7e à la 12e année devaient mentionner le niveau de risque pour la santé que courent, selon eux, les personnes qui fument la cigarette ou qui utilisent la cigarette électronique.

Le fait de fumer la cigarette régulièrement présentait un « risque élevé » pour la santé selon 60 % des élèves et un « risque modéré » selon 24 %. Les risques associés au fait de fumer la cigarette de temps en temps étaient perçus comme étant plus faibles; alors que 10 % des élèves étaient d'avis que cette utilisation présentait un « risque élevé » et 30 %, un « risque modéré ».

Quarante-huit pour cent (48 %) des élèves croyaient que le fait d'utiliser la cigarette électronique avec de la nicotine régulièrement posait un « risque élevé » pour la santé, et 28 % jugeaient ce « risque modéré ». Sept pour cent (7 %) des élèves estimaient que cette utilisation ne présentait « aucun risque », et 9 % ne savaient pas à quel point la consommation régulière de cigarette électronique avec de la nicotine était nocive.

Un nombre moindre d'élèves estimaient que le fait d'utiliser un produit de vapotage sans nicotine régulièrement posait un grand risque pour la santé; seulement 21 % estimaient qu'une telle utilisation présentait un « risque élevé » et 30 %, un « risque modéré ».

Utilisation de tout genre de produit du tabac

Figure 3 : Utilisation de cigarettes électroniquesNote de bas de page 1 et de produits du tabac au cours des 30 derniers jours, selon le genre, CanadaNote de bas de page 2, 2021-2022
Figure 3. La version textuelle suit.
Figure 3 : Description textuelle
Produits Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenres, diverses identités de genre et/ou en questionnement
(%)
Cigarettes électroniques 14,6 [11,9 à 17,4] 18,6 [16,1 à 21,2] 17,8 [15,3 à 20,2]
Cigarettes 3,9 [2,6 à 5,1] 3,7 [2,9 à 4,6] 8,4Note de bas de page * [5,2 à 11,5]
Cigares/cigarillos/petits cigares 2,7Note de bas de page * [1,6 à 3,9] 1,0 [0,8 à 1,3] 3,0Note de bas de page * [2,0 à 4,0]
Produits du tabac chauffé 1,2 [0,9 à 1,4] 1,0 [0,7 à 1,3] 2,1Note de bas de page * [1,0 à 3,2]
Tabac sans fumée 1,5Note de bas de page  [1,1 à 2,0] 0,6 [0,4 à 0,8] 1,8Note de bas de page * [1,0 à 2,6]
Pipes à eau 1,6 [1,2 à 2,0] 1,2 [0,9 à 1,4] 2,1Note de bas de page * [1,3 à 3,0]

[intervalles de confiance à 95 % entre parenthèses]

Note de bas de page 1

Utilisation de cigarette électronique avec nicotine, sans nicotine et/ou sans en connaître la teneur.

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Note de bas de page 2

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page *

Variabilité de l'échantillonnage modérée; à interpréter avec prudence.

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Note de bas de page ↑

Arrondie à un nombre entier inférieur.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

On a interrogé les élèves sur leur utilisation des produits du tabac suivants : cigarettes, cigares ou petits cigares/cigarillos, produits du tabac chauffé, tabac sans fumée et pipes à eau.

En 2021-2022, 19 % des élèves de la 7e à la 12e année (390 000) avaient déjà essayé au moins un de ces produits. Moins de la moitié d'entre eux (6 %, 128 000) avaient utilisé au moins un produit du tabac au cours des 30 derniers jours, une baisse par rapport aux 8 % de 2018-2019. La prévalence de la consommation d'au moins un produit du tabac au cours des 30 derniers jours en 2021-2022 était plus élevée chez les élèves qui s'identifiaient comme transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (11 %) par rapport aux hommes/garçons (6%) et aux femmes/filles (5 %). Pour plus de détails sur la prévalence des produits du tabac distincts par genre, voir la figure 3. La prévalence de la consommation d'au moins un produit du tabac au cours des 30 derniers jours était plus élevée chez les élèves de la 10e à la 12e année (9 %) comparativement à celle des élèves de la 7e à la 9e année (4 %).

Les cigarettes étaient les produits du tabac les plus couramment essayés par les élèves de la 7e à la 12e année (15 %), suivis des cigares ou des petits cigares/cigarillos (7 %), des pipes à eau (5 %), du tabac sans fumée (4 %) et des produits du tabac chauffé (3 %). L'utilisation de cigarettes (4 %) au cours des 30 derniers jours était plus courante que celle des cigares ou de petits cigares/cigarillos (2 %), des pipes à eau (2 %), de tabac sans fumée (1 %) et de produits du tabac chauffé (1 %).

Alcool

Figure 4 : Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois, CanadaNote de bas de page 1, 2018-2019 à 2021-2022
Figure 4. La version textuelle suit.
Figure 4 : Description textuelle
2018-19
(%)
2021-22
(%)
Alcool 44 39
Consommation d'alcool de façon très risquée 23 21
Boissons énergétiques et alcool 16 18
Boissons fortement alcoolisées et sucrées 19 18
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Figure 5 : Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois, selon le genre, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure 5. La version textuelle suit.
Figure 5 : Description textuelle
Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenre, diverses identités de genre et/ou en questionnement (%)
Alcool 36 42 40
Consommation d'alcool de façon très risquée 19 22 19
Boissons énergétiques et alcoolNote de bas de page Note de bas de page § 15 19 23
Boissons fortement alcoolisées et sucréesNote de bas de page 15 21 17
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les femmes/filles

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Note de bas de page 3

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

Retour à la référence de la note de bas de page §

Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

L'alcool reste la substance dont la prévalence de consommation est la plus élevée chez les élèves de la 7e à la 12e année en 2021-2022. Trente-neuf pour cent (39 %, 784 000 élèves) ont déclaré avoir consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois, un chiffre inchangé par rapport à 2018-2019 (44 %) [Figure 4].

Il n'y avait pas de différence dans la prévalence de la consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois entre les femmes/filles (42 %) et les hommes/garçons (36 %) [Figure 5].La prévalence parmi les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (40 %) n'était pas significativement différente de celle des hommes/garçons ou des femmes/filles. Plus particulièrement, la consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois a diminué chez les élèves masculins, passant de 43 % au cours du cycle précédent (2018-2019) à 36 % en 2021-2022.

En 2021-2022, en moyenne, les élèves ont déclaré avoir essayé leur première boisson alcoolisée à 13,1 ans, soit une baisse par rapport aux 13,4 ans du cycle précédent (2018-2019). Les hommes/garçons étaient à peine plus jeunes (13,0 ans) que les femmes/filles (13,2 ans) lorsqu'ils ont bu leur premier verre. Les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement étaient plus jeunes (12,4 ans) que les hommes/garçons et les femmes/filles lorsqu'ils ont bu leur premier verre.

Environ 1 élève sur 5 (21 %, 426 000) a déclaré avoir eu un comportement de consommation d'alcool de façon très risquée (défini comme 5 boissons ou plus en une [1] seule occasion) au cours des 12 derniers mois, ce qui est inchangé par rapport à 2018-2019 (Figure 4). La prévalence de la consommation d'alcool de façon très risquée était similaire entre les genres avec 19 % des hommes/garçons et des élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement qui ont signalé ce comportement et 22 % des femmes/filles (Figure 5).

Trente-huit pour cent (38 %) des élèves (816 000) de la 7e à la 12e année ont déclaré avoir bu une boisson énergisante (comme Red BullMD ou Rock StarMD) au cours des 12 derniers mois, soit une augmentation par rapport aux 29 % du cycle d'enquête précédent. La prévalence des élèves ayant déclaré avoir consommé de l'alcool et une boisson énergisante à la même occasion (séparément ou mélangés) au cours des 12 derniers mois était de 18 %, chiffre inchangé par rapport à 2018-2019 (Figure 4). Cependant, chez les élèves de la 7e à la 9e année, la consommation est passée de 10 % en 2018-2019 à 12 % en 2021-2022. La consommation d'alcool et de boissons énergétiques était plus élevée chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (23 %) et chez les femmes/filles (19 %) que chez les hommes/garçons (15 %) [Figure 5]. Dix-huit pour cent (18 %) des élèves (375 000) ont déclaré avoir bu des boissons sucrées à forte teneur en alcool, définies comme ayant une teneur en alcool de 7 % ou plus (p. ex., 4 Loko, FCKD UP ou Clubtails), au cours des 12 derniers mois, soit le même pourcentage que lors du cycle précédent (Figure 4). Les femmes/filles sont plus nombreuses (21 %) que les hommes/garçons (15 %) à déclarer consommer des boissons fortement alcoolisées et sucrées. La prévalence de la consommation de boissons fortement alcoolisées et sucrées au cours des 12 derniers mois chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement n'était pas significativement différente de celle des hommes/garçons ou des femmes/filles, à savoir 17 % (Figure 5).

Lorsqu'on a demandé aux élèves à quel point ils pensaient qu'il serait difficile de se procurer de l'alcool s'ils en voulaient, 64 % ont répondu qu'ils pensaient que ce serait « assez facile » ou « très facile ». L'enquête de 2021-2022 a posé des questions supplémentaires sur la façon dont les élèves se procurent habituellement l'alcool qu'ils consomment. Parmi ceux qui ont consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois, la source la plus fréquente était un parent ou un tuteur (38 %). La deuxième source la plus courante est l'alcool partagé lors d'une fête (18 %), suivie par l'obtention ou l'achat d'alcool auprès d'un ami ou d'un membre de la famille non parent/tuteur (12 %).

Cannabis

Figure 6 : Consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois, selon le genre, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure #. La version textuelle suit.
Figure 6 : Description textuelle
Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenre, diverses identités de genre et/ou en questionnement (%) Total
(%)
Cannabis 16 19 21 18
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Le cannabis, qui comprend la marijuana, le hachich et l'huile de hachich, affiche la deuxième plus grande prévalence de consommation de substances chez les élèves au Canada, après l'alcool. En 2021-2022, 18 % des élèves de la 7e à la 12e année (383 000) ont déclaré avoir consommé du cannabis au cours de l'année précédant l'enquête, soit le même pourcentage qu'en 2018-2019 (Figure 6). La prévalence de la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois n'est pas significativement différente entre les hommes/garçons (16 %, 159 000), les femmes/filles (19 %, 177 000) et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (21 %, 19 000).

Les résultats de l'enquête indiquent que les élèves de la 7e à la 12e année avaient en moyenne 14,1 ans lorsqu'ils ont consommé du cannabis pour la première fois, soit le même âge que lors du cycle précédent (14,3 ans).

Fumer (un joint, une pipe à eau, une pipe ou un blunt) était la méthode de consommation de cannabis la plus courante, déclarée par 72 % des élèves ayant consommé du cannabis, soit une baisse par rapport à 2018-2019 (76 %). Parmi les autres méthodes populaires de consommation de cannabis, citons vaporiser du liquide de cannabis (54 %, nouveau dans ce cycle), manger du cannabis (49 %, inchangé par rapport à 2018-2019), vaporiser du cannabis séché (34 %, nouveau dans ce cycle) et le « dabbing » (une baisse de 28 à 19 % en 2018-2019). Boire du cannabis est le mode de consommation le moins populaire parmi les élèves (16 %, inchangé par rapport au dernier cycle).

Lorsqu'on leur a demandé à quel point ils pensaient qu'il serait difficile d'obtenir du cannabis s'ils en voulaient, 41 % des élèves ont déclaré qu'ils pensaient qu'il serait « assez facile » ou « très facile » d'en obtenir, contre 39 % des élèves qui pensaient qu'il serait « très ou assez difficile », soit une baisse par rapport aux 42 % de 2018-2019.

Environ 6 % des élèves ont indiqué qu'il était plus facile de se procurer du cannabis depuis que le cannabis est devenu légal pour les adultes, ce qui représente une augmentation par rapport au cycle précédent (4 %), tandis que moins de 1 % ont indiqué que c'était plus difficile et 9 %, que ce n'était « ni plus facile, ni plus difficile ». Quatre-vingt-trois pour cent (83 %) des élèves n'ont jamais acheté ou obtenu de cannabis.

Quarante-huit pour cent (48 %) des élèves pensaient que fumer du cannabis de manière régulière exposait les gens à un « grand risque » de se faire du mal, une baisse par rapport aux 53 % de 2018-2019. Neuf pour cent (9 %) pensent qu'il n'y a « aucun risque » à fumer du cannabis de façon régulière, une augmentation par rapport aux 7 % du cycle précédent. Interrogés sur le fait de fumer du cannabis de temps en temps, 18 % des élèves pensent qu'il n'y a « aucun risque » (pourcentage inchangé par rapport au cycle précédent).

Substances illégales et autres substances psychoactives

Figure 7 : Consommation de substances illégales et d'autres substances psychoactives au cours des 12 derniers mois, CanadaNote de bas de page 1, 2018-2019 à 2021-2022
Figure 7. La version textuelle suit.
Figure 7 : Description textuelle
2018-19 (%) 2021-22 (%)
Amphétamines 1,3 0,9
MDMA (ecstasy)Note de bas de page 2,0 1,4
Hallucinogènes 3,5 4,0
Héroïne 0,5 0,8
Cocaïne 2,2 1,6
Salvia 0,8 0,7
Inhalation de colle/essence 1,3 1,3
Cannabinoïdes synthétiques 3,7 3,4
BZP/TFMPP 0,6 0,6
Sels de bainNote de bas de page 0,5 0,8
Autres substances psychoactives 0,7 0,9
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Différence statistiquement significative entre 2018-2019 et 2021-2022

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Figure 8 : Consommation de substances illégales et d'autres substances psychoactives au cours des 12 derniers mois, selon le genre, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure 8. La version textuelle suit.
Figure 8 : Description textuelle
Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenre, diverses identités de genre et/ou en questionnement (%)
AmphétaminesNote de bas de page §Note de bas de page 0,8 0,6 1,9Note de bas de page *
MDMA (ecstasy) 1,1 1,1 2,1Note de bas de page *
Hallucinogènes 3,6 3,7 6,1Note de bas de page *
HéroïneNote de bas de page Note de bas de page 0,7 0,3Note de bas de page * 1,5Note de bas de page *
CocaïneNote de bas de page § 1,3 1,3Note de bas de page * 2,3Note de bas de page *
SalviaNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 0,6 0,3Note de bas de page * 1,3Note de bas de page *
Inhalation de colle/essenceNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 1,1 0,8 4,7Note de bas de page *
Cannabinoïdes synthétiquesNote de bas de page Note de bas de page § 2,6 3,7 4,8
BZP/TFMPPNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 0,6 0,2Note de bas de page * 1,2Note de bas de page *
Sels de bainNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 0,7 0,5 1,7Note de bas de page *
Autres substances psychoactivesNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 0,8 0,4Note de bas de page * 1,8Note de bas de page *
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Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Variabilité d'échantillonnage modérée, à interpréter avec prudence

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Note de bas de page 3

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les femmes/filles

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Note de bas de page 4

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Note de bas de page 5

Différence statistiquement significative entre les femmes/filles et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Les élèves ont été interrogés sur la consommation de 10 types différents de drogues illégales. Dans l'ensemble, 7 % ont déclaré avoir consommé au moins une (1) drogue illégale au cours des 12 derniers mois. Les 3 drogues les plus fréquemment consommées étaient les hallucinogènes (4 %), les cannabinoïdes synthétiques (3 %) et la cocaïne (1,6 %) [Figure 7]. La consommation de substances varie selon le genre – les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement étant ceux qui en consomment le plus (Figure 8). Les élèves ont également été interrogés sur l'utilisation de la colle, de l'essence ou d'autres solvants pour éprouver une sensation d'euphorie – 1,3 % ont déclaré en avoir utilisé au cours des 12 derniers mois, inchangé par rapport à 2018-2019.

Interrogés sur l'accès aux drogues, 16 % des élèves pensent qu'il serait « assez facile » ou « très facile » de se procurer des hallucinogènes, 13 % pensent qu'il serait « assez facile » ou « très facile » de se procurer de la cocaïne, et 9 % pensent de même pour la MDMA (ecstasy) et les amphétamines.

Produits pharmaceutiques et médicaments en vente libre

Figure 9 : Consommations de produits pharmaceutiques et de médicaments en vente libre pour éprouver une sensation d'euphorie au cours des 12 derniers mois, CanadaNote de bas de page 1, 2018-2019 à 2021-2022
Figure 9. La version textuelle suit.
Figure 9 : Description textuelle
2018-19 (%) 2021-22 (%)
Sédatifs/tranquillisants 2,1 2,2
Stimulants 4,3 4,9
Médicaments pour le TDAH 2,7 3,1
Autres stimulants 2,8 2,7
Analgésiques 3,2 3,2
Oxycodone 1,2 1,4
FentanylNote de bas de page 0,7 0,9
Autres analgésiques prescrits 2,8 2,6
Produits pharmaceutiques 6,6 7,4
SomnifèresNote de bas de page 4,0 5,0
Dextrométhorphane 6,0 5,7
GravolMD 4,8 4,3
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Différence statistiquement significative entre 2018-2019 et 2021-2022

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Figure 10 : Consommation de produits pharmaceutiques et de médicaments en vente libre pour éprouver une sensation d'euphorie au cours des 12 derniers mois, selon le genre, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure 10. La version textuelle suit.
Figure 10 : Description textuelle
Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenre, diverses identités de genre et/ou en questionnement (%)
Sédatifs/tranquillisantsNote de bas de page §Note de bas de page 1,9 2,1 4,2Note de bas de page *
StimulantsNote de bas de page §Note de bas de page 4,5 4,5 8
Médicaments pour le TDAHNote de bas de page 3,4 2,5 3,5
Autres stimulantsNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 1,8 2,8 6,1
AnalgésiquesNote de bas de page §Note de bas de page 2,7 3 5,4
OxycodoneNote de bas de page §Note de bas de page 1,0 1,1Note de bas de page * 2,5Note de bas de page *
FentanylNote de bas de page Note de bas de page 0,8 0,5 1,6Note de bas de page *
Autres analgésiques prescritsNote de bas de page §Note de bas de page 2,2 2,4 4,1Note de bas de page *
Produits pharmaceutiquesNote de bas de page §Note de bas de page 6,6 7,1 11,4
SomnifèresNote de bas de page Note de bas de page §Note de bas de page 4,1 5,1 9,2
DextrométhorphaneNote de bas de page §Note de bas de page 5,4 5,4 7,2
GravolMDNote de bas de page Note de bas de page § 3,5 4,5 5,9
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Variabilité d'échantillonnage modérée, à interpréter avec prudence

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Note de bas de page 3

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les femmes/filles

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Note de bas de page 4

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Note de bas de page 5

Différence statistiquement significative entre les femmes/filles et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Les élèves ont été interrogés sur la consommation non médicale de trois catégories de produits pharmaceutiques psychoactifs : les analgésiques opioïdes, les stimulants (y compris les médicaments prescrits pour traiter le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité [TDAH]) et les sédatifs/tranquillisants. Les stimulants étaient la catégorie de produits pharmaceutiques psychoactifs la plus couramment utilisée pour éprouver une sensation d'euphorie, 5 % des élèves (104 000) ayant déclaré avoir consommé des stimulants au cours des 12 derniers mois, ce qui reste inchangé par rapport au dernier cycle (Figure 9).

La deuxième catégorie la plus courante à cet égard était les analgésiques vendus sur ordonnance : 3 %, soit 69 000 élèves, ont déclaré avoir consommé ces substances au cours des 12 derniers mois, ce qui reste inchangé par rapport au dernier cycle. La prévalence de la consommation d'oxycodone au cours des 12 derniers mois n'a pas changé (1 %, 29 000 élèves). On observe une légère augmentation de la consommation de fentanyl pour éprouver une sensation d'euphorie au cours des 12 derniers mois, de 0,7 % en 2018-2019 à 0,9 % (20 000 élèves) en 2021-2022. La prévalence de la consommation au cours des 12 derniers mois d'autres analgésiques prescrits (p. ex., morphine, codéine, Tylenol 3MD, etc.) est restée inchangée et a été déclarée à 3 % (55 000 élèves).

Lorsqu'on a demandé aux élèves à quel point il serait facile d'obtenir des médicaments sur ordonnance s'ils le souhaitaient, 27 % d'entre eux pensaient qu'il serait « assez facile » ou « très facile » d'obtenir des analgésiques sur ordonnance, soit une augmentation par rapport aux 23 % de 2018-2019. Trente-deux pour cent (32 %) des personnes interrogées pensent la même chose de la facilité d'obtenir des médicaments pour le TDAH, une augmentation par rapport aux 27 % du cycle précédent.

Les élèves ont été interrogés sur la consommation de médicaments en vente libre pour éprouver une sensation d'euphorie. Il s'agissait notamment de somnifères (p. ex., NytolMD ou UnisomMD), de GravolMD et de dextrométhorphane (un ingrédient actif présent dans de nombreux médicaments en vente libre contre la toux et le rhume). Le dextrométhorphane était le médicament en vente libre le plus souvent déclaré par les élèves pour éprouver une sensation d'euphorie au cours des 12 derniers mois (6 %), sans changement par rapport à 2018-2019. Ensuite viennent les somnifères à 5 % (une augmentation par rapport à 4 % en 2018-2019) et le GravolMD à 4 % (inchangé par rapport à 2018-2019) [Figure 9].

La consommation de produits pharmaceutiques et de médicaments en vente libre était plus élevée chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement que chez les hommes/garçons et les femmes/filles, à l'exception des médicaments pour le TDAH, (comparable dans tous les groupes de genres), du fentanyl (pas de différence avec les hommes/garçons) et du GravolMD (pas de différence avec les femmes/filles, voir la Figure 10).

Polyconsommation

Figure 11 : Consommation de deux substances toxiques ou plus à une même occasion au cours des 12 derniers mois, selon le genre, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure 11. La version textuelle suit.
Figure 11 : Description textuelle
Hommes/garçons
(%)
Femmes/filles
(%)
Transgenre, diverses identités de genre et/ou en questionnement (%)
Alcool et cannabis 11 13 13
Alcool et autres droguesNote de bas de page 2Note de bas de page §Note de bas de page 4 5 7
OpioïdesNote de bas de page 3 et autres droguesNote de bas de page 4 Note de bas de page §Note de bas de page 1 2Note de bas de page * 3
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Les autres drogues comprennent les substances suivantes : amphétamines, MDMA (ecstasy), hallucinogènes, héroïne, cocaïne, médicaments pour le TDAH, sédatifs/tranquillisants, analgésiques vendus sur ordonnance, somnifères, stimulants, dextrométhorphane ou GravolMD

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Note de bas de page 3

Les opioïdes comprennent l'héroïne et les analgésiques vendus sur ordonnance (oxycodone, fentanyl, morphine, codéine, etc.)

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Note de bas de page 4

Les autres drogues comprennent les substances suivantes : amphétamines, MDMA (ecstasy), cocaïne, médicaments pour le TDAH, stimulants, sédatifs/tranquillisants

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Variabilité de l'échantillonnage modérée; à interpréter avec prudence.

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Note de bas de page 6

Différence statistiquement significative entre les hommes/garçons et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Note de bas de page 7

Différence statistiquement significative entre les femmes/filles et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

La polyconsommation est l'usage de deux substances toxiques ou plus au cours d'une période définie. Douze pour cent (12 %) des élèves ont déclaré avoir consommé de l'alcool et du cannabis à la même occasion (p. ex., à une fête, le même soir) au moins une (1) fois au cours des 12 derniers mois, ce qui reste inchangé par rapport au dernier cycle. Il n'y avait pas de différence significative entre les groupes de genre (Figure 11).

Pour la première fois, l'enquête 2021-2022 interroge les élèves sur la consommation simultanée d'alcool et d'autres drogues ou médicaments pour éprouver une sensation d'euphorie. La substance la plus fréquemment déclarée comme étant utilisée en combinaison avec l'alcool était les hallucinogènes (1,9 %), suivie du GravolMD (1,7 %) et des somnifères (1,6 %).La consommation d'alcool en même temps que d'autres drogues était plus élevée chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (7 %) que chez les femmes/filles (5 %) et les hommes/garçons (4 %) [Figure 11].

Les élèves ont également été interrogés sur la consommation simultanée d'opioïdes et d'autres drogues ou médicaments pour éprouver une sensation d'euphorie. La substance la plus fréquemment déclarée comme étant utilisée en association avec des opioïdes était les médicaments contre le TDAH (1,1 %), suivie des stimulants (1,0 %) et des sédatifs/tranquillisants (0,9 %). La consommation d'opioïdes en même temps que d'autres drogues était plus élevée chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (3 %) que chez les femmes/filles (2 %) et les hommes/garçons (1 %) [Figure 11].

Conduite avec facultés affaiblies

On a demandé aux élèves s'ils avaient déjà conduit un véhicule motorisé (p. ex., une voiture, une motoneige, un bateau à moteur ou un véhicule tout-terrain) après avoir consommé de l'alcool ou du cannabis. Cinq pour cent (5 %) des élèves ont déclaré avoir conduit un tel véhicule dans l'heure suivant la consommation d'un ou de plusieurs verres d'alcool, ce qui reste inchangé par rapport à 2018-2019. De même, 4 % ont déclaré avoir conduit un véhicule dans les 2 heures suivant la consommation de cannabis, chiffre également inchangé.

Près d'un tiers des élèves (32 %) ont déclaré avoir été passagers d'un véhicule conduit par une personne ayant consommé un ou plusieurs verres d'alcool au cours de la dernière heure; un nombre plus faible d'élèves (16 %) ont déclaré avoir été passagers d'un véhicule conduit par une personne ayant consommé de la marijuana ou du cannabis au cours des 2 dernières heures; 2 chiffres inchangés par rapport à 2018-2019.

Santé mentale autodéclarée

Pour la première fois, on a demandé aux élèves d'évaluer leur santé mentale comme suit : excellente, très bonne, bonne, moyenne, médiocre ou ne sait pas. Dans l'ensemble, 61 % des élèves ont jugé leur santé mentale comme étant excellente, très bonne ou bonne. Les hommes/garçons ont déclaré la meilleure santé mentale (74 % l'ont jugée excellente, très bonne ou bonne), suivis par les femmes/filles (52 %) et les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (22 %).

Figure 12 : Consommation de substances au cours des 12 derniers mois, selon l'état de santé mentale autodéclaré, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure #. La version textuelle suit.
Figure 12 : Description textuelle
Excellente, très bonne ou bonne
(%)
Passable ou mauvaise
(%)
AlcoolNote de bas de page 34 49
Consommation d'alcool à risque élevé†Note de bas de page 17 28
Boissons énergisantes et alcoolNote de bas de page 13 25
Boissons sucrées/à forte teneur en alcoolNote de bas de page 14 25
CannabisNote de bas de page 12 28
Toute drogue illégaleNote de bas de page 4 11
Produits pharmaceutiquesNote de bas de page 5 11
Médicaments en vente libreNote de bas de page 7 14
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Différence statistiquement significative entre les élèves dont la santé mentale déclarée est excellente, très bonne ou bonne et les élèves dont la santé mentale déclarée est passable ou mauvaise.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

Les élèves qui ont déclaré une santé mentale passable ou mauvaise ont également signalé une prévalence plus élevée de consommation d'alcool, de cannabis, de drogues illégales, de produits pharmaceutiques et de médicaments en vente libre au cours des 12 derniers mois que ceux qui ont déclaré une excellente, une très bonne ou une bonne santé mentale (Figure 12). L'association entre une santé mentale passable ou mauvaise et une consommation accrue de ces substances a été observée pour toutes les catégories de genre et tous les groupes d'années scolaires.

De même, par rapport aux élèves qui ont qualifié leur santé mentale d'excellente, de très bonne ou de bonne, les élèves qui ont déclaré une santé mentale passable ou mauvaise avaient une prévalence plus élevée de consommation de cigarettes au cours des 30 derniers jours (7 % contre 2 %), de cigarettes électroniques (25 % contre 12 %), de cigarettes électroniques avec nicotine (23 % contre 11 %), de cigarettes électroniques sans nicotine (6 % contre 3 %) et de tout genre de produit du tabac (10 % contre 4 %).

Lorsqu'on examine la situation en fonction du genre, on observe une tendance similaire à une consommation plus élevée de ces substances au cours des 30 derniers jours chez les hommes/garçons et les femmes/filles qui ont déclaré une santé mentale passable ou mauvaise, par rapport à ceux qui ont déclaré une excellente, une très bonne ou une bonne santé mentale. Parmi les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement, la consommation de cigarettes électroniques, de cigarettes électroniques avec nicotine et de tout genre de produit du tabac ne différait pas en fonction de la santé mentale déclarée; les comparaisons n'ont pas été effectuées pour les cigarettes et les cigarettes électroniques sans nicotine, car certaines proportions n'ont pas pu être déclarées en raison de la petite taille de l'échantillon.

Intimidation

On a demandé aux élèves, au cours des 30 derniers jours, à quelle fréquence ils avaient été victimes d'intimidation de la part d'autres élèves et à quelle fréquence ils avaient intimidé d'autres élèves. L'intimidation comprend les agressions physiques, les agressions verbales, les agressions non verbales, les cyberagressions et le vol ou la détérioration d'objets. Dans l'ensemble, 21 % des élèves ont déclaré avoir été victimes d'intimidation de la part d'autres élèves, le pourcentage étant le plus élevé chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (41 %), suivis par les femmes/filles (23 %) et les hommes/garçons (17 %). Onze pour cent (11 %) des élèves ont déclaré avoir été victimes d'intimidation de la part d'autres élèves, le pourcentage étant le plus élevé chez les élèves transgenres, de diverses identités de genre et/ou en questionnement (15 %), suivis par les hommes/garçons (12 %) et les femmes/filles (10 %). [voir les tableaux détaillés].

Figure 13: Consommation de substances au cours des 12 derniers mois en fonction de l'expérience d'intimidation au cours des 30 derniers jours, CanadaNote de bas de page 1, 2021-2022
Figure 13. La version textuelle suit.
Figure 13 : Description textuelle
A fait l'objet d'intimidation (%) N'a pas fait l'objet d'intimidation (%) A intimidé d'autres élèves (%) N'a pas intimidé d'autres élèves (%)
AlcoolNote de bas de page Note de bas de page § 45 38 57 37
Consommation d'alcool à risque élevéNote de bas de page Note de bas de page § 24 20 34 19
Boissons énergisantes et alcoolNote de bas de page Note de bas de page § 24 16 33 16
Boissons sucrées/à forte teneur en alcoolNote de bas de page Note de bas de page § 23 17 31 16
CannabisNote de bas de page Note de bas de page § 22 18 33 17
Toute drogue illégaleNote de bas de page Note de bas de page § 10 6 17 5
Produits pharmaceutiquesNote de bas de page Note de bas de page § 11 6 18 6
Médicaments en vente libreNote de bas de page Note de bas de page § 15 8 21 8
Note de bas de page 1

Le Nouveau-Brunswick a refusé de participer au cycle 2021-2022 de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves.

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Note de bas de page 2

Différence statistiquement significative entre les élèves qui ont déclaré avoir été victimes d'intimidation et les élèves qui n'ont pas été victimes d'intimidation au cours des 30 derniers jours.

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Note de bas de page 3

Différence statistiquement significative entre les élèves qui ont déclaré avoir intimidé d'autres élèves et les élèves qui n'ont pas intimidé d'autres élèves au cours des 30 derniers jours.

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Source : Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2021-2022.

La prévalence de la consommation d'alcool, de cannabis, de drogues illégales, de produits pharmaceutiques et de médicaments en vente libre au cours des 12 derniers mois est plus élevée chez les élèves qui ont déclaré avoir été victimes d'intimidation au cours des 30 derniers jours que chez ceux qui n'ont pas été victimes d'intimidation (Figure 13). De même, la prévalence de la consommation de toutes les substances examinées est plus élevée chez les élèves ayant déclaré avoir intimidé d'autres élèves au cours des 30 derniers jours que chez ceux qui n'ont pas intimidé d'autres élèves (Figure 13). La tendance à une plus grande consommation de ces substances chez les élèves victimes d'intimidation ou intimidant les autres se retrouve dans tous les genres, mais la différence n'est pas toujours statistiquement significative [voir les tableaux détaillés].

De même, par rapport aux élèves qui n'ont pas été victimes d'intimidation au cours des 30 derniers jours, les élèves qui ont déclaré avoir été victimes d'intimidation avaient une prévalence plus élevée de consommation de cigarettes au cours des 30 derniers jours (5 % contre 4 %), de cigarettes électroniques (22 % contre 15 %), de cigarettes électroniques avec nicotine (21 % contre 14 %), de cigarettes électroniques sans nicotine (7 % contre 3 %) et de tout genre de produit du tabac (8 % contre 5 %). En outre, par rapport aux élèves qui n'ont pas intimidé d'autres élèves au cours des 30 derniers jours, les élèves qui ont déclaré avoir intimidé d'autres élèves avaient une prévalence plus élevée de consommation de cigarettes au cours des 30 derniers jours (10 % contre 3 %), de cigarettes électroniques (32 % contre 15 %), de cigarettes électroniques avec nicotine (31 % contre 14 %), de cigarettes électroniques sans nicotine (10 % contre 3 %) et de tout genre de produit du tabac (15 % contre 5 %). Des résultats supplémentaires examinant la consommation de substances chez les élèves victimes d'intimidation ou intimidant les autres, pour chaque genre, figurent dans les tableaux détaillés.

Remerciements

L'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves (ECTADE) a été menée au nom de Santé Canada par CCI Research Inc.

Références

L'ECTADE a été créée pour fournir de façon soutenue des renseignements de surveillance à jour et fiables sur la consommation de tabac, d'alcool et de drogues chez les jeunes d'âge scolaire. L'ECTADE constitue une source d'information essentielle pour l'élaboration de politiques et de programmes. La prochaine enquête doit se dérouler au cours de l'année scolaire 2023-2024.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur l'enquête ou sur ses résultats, communiquez avec Santé Canada par courriel à l'adresse : odss-bssd@hc-sc.gc.ca.

Notes de bas de page

Note de bas de page *

Variabilité modérée de l’échantillonnage; interpréter avec prudence.

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Notes de bas de page 1

En 2018-2019, on définissait l'utilisation de la cigarette électronique comme l'utilisation de la cigarette électronique avec ou sans nicotine. En 2021-2022, on définissait l'utilisation de la cigarette électronique comme l'utilisation de cigarettes électroniques avec ou sans nicotine et/ou sans en connaître la teneur.

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