Archivée 31 : Résumé de la réponse rapide du CCNI du 28 janvier 2022 : Orientations sur l’utilisation des doses de rappel de vaccin contre la COVID-19 chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans 

Avis au lecteur

Date de publication: 28 janvier 2022

Sur cette page

Aperçu

Le CCNI continue de fortement recommander ce qui suit :

Le CCNI recommande également une dose de rappel de vaccins contre la COVID-19 chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans qui pourraient être plus à risque de complications sévères liées à l'infection à la COVID-19, comme suit :

  1. Une dose de rappel d'un vaccin à ARNm contre la COVID-19 peut être proposée au moins six mois après l'achèvement de la série primaire de vaccins contre la COVID-19 chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans qui :
    1. souffrent d'une affection médicale sous-jacente susceptible de présenter un haut risque de maladie sévère attribuable à la COVID-19, y compris les personnes qui sont immunodéprimées ayant reçu une série primaire de 3 doses (pour les adolescents qui sont immunodéprimés, une dose de rappel serait leur quatrième dose);
    2. résident dans des lieux de vie collectifs, y compris des refuges, des foyers de groupe, des logements pour travailleurs migrants et des établissements pénitentiaires;
    3. font partie des communautés qui sont racialisées ou marginalisées touchées de manière disproportionnée par la COVID-19.

Pour la mise à jour complète, voir la Réponse rapide du CCNI : Recommandation sur l'utilisation des doses de rappel des vaccins contre la COVID-19 chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans.

Ce que vous devez savoir

Pour la mise à jour complète, voir la Réponse rapide du CCNI : Recommandation sur l'utilisation des doses de rappel de vaccin contre la COVID-19 chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans.

Pour de plus amples renseignements sur les facteurs de risque chez les adolescents de 12 à 17 ans, voir le document Recommandation sur l'utilisation des vaccins à ARNm contre la COVID-19 chez les adolescents de 12 à 17 ans .

Citations

« Avec le variant Omicron circulant rapidement au Canada, c'est une bonne nouvelle que les adolescents continuent d'être à faible risque de maladie sévère et d'hospitalisation en raison de la COVID-19. Après avoir examiné les données probantes qui montrent qu'une série primaire de vaccins contre la COVID-19 continue d'offrir une bonne protection aux adolescents contre les maladies sévères, et compte tenu de l'ampleur incertaine de l'effet qu'une dose de rappel aurait sur la prévention de la transmission dans ce groupe d'âge, le CCNI recommande de manière non indiquée pour les doses de rappel chez les adolescents qui courent un haut risque de complications sévères liées à la COVID-19 en raison d'affections médicales sous-jacentes ou de leurs conditions de vie. Cette recommandation aidera à protéger les adolescents vulnérables partout au Canada. Comme toujours, le Comité continue de surveiller l'évolution et l'émergence des données probantes sur l'utilisation des vaccins contre la COVID-19 dans toutes les populations, y compris les adolescents, et nous mettrons à jour nos orientations, au besoin. »

Dre Shelley Deeks, présidente du CCNI

« Même si le risque de contracter une maladie sévère par la COVID-19 est plus faible chez les adolescents que dans les groupes d'âge plus élevés, le nombre d'hospitalisations augmente à mesure que davantage d'entre eux sont infectés par le variant Omicron. Nous savons que les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents courent un risque accru de subir des complications sévères liées à la COVID-19 et que la pandémie a entraîné des répercussions disproportionnées sur les communautés racialisées et marginalisées. J'apprécie les conseils du CCNI sur l'utilisation de doses de rappel chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans qui peuvent présenter un haut risque de complications sévères liées à la COVID-19 en raison de facteurs de risque biologiques et sociaux. »

Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique

Détails de la page

Date de modification :