L’herpès génital : Outil de counselling

Introduction

L'herpès génital est causé par le virus Herpès simplex (VHS). C'est une infection virale chronique fréquente chez les personnes sexuellement actives. Le diagnostic peut provoquer une importante détresse psychologique, sociale, relationnelle et sexuelle chez les personnes atteintes. S'ajuster au diagnostic d'herpès génital est essentiel pour prendre en charge efficacement l'infection et réduire le risque de transmission.Note de bas de page 1Note de bas de page 2 La prise en charge de l'infection et les messages de counselling transmis à la personne atteinte dépendront du type d'herpès génital — le VHS-1, le VHS-2 ou les deux. En principe, un diagnostic clinique de VHS devrait être confirmé par des tests en laboratoire spécifiques au type de virus (p. ex. culture virale ou test d'amplification des acides nucléiques [TAAN].Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 5 Une sérologie spécifique de type VHS peut être utile dans certaines circonstances, mais comme les résultats de ces tests ne sont qu'un marqueur indirect d'une infection par le VHS, ils sont plus complexes à interpréter qu'un test positif d'identification virale.

Des études ont démontré l'utilité du counselling auprès des personnes qui ont reçu un diagnostic d'une infection transmise sexuellement (ITS) afin de les aider à surmonter leur détresse, à la prise en charge de l'infection et à réduire le risque de transmission.Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 8 Par conséquent, fournir du counselling de soutien pour aider les personnes atteintes à comprendre l'infection et à y faire face est un rôle central des praticiennes et des praticiens, de tout milieu de pratique.Note de bas de page 2Note de bas de page 9Note de bas de page 10

Le présent outil a pour objet d'aider les praticiennes et les praticiens à être plus à l'aise et à savoir mieux s'y prendre lorsqu'il s'agit de fournir du counselling aux personnes qui ont reçu un diagnostic d'herpès génital. Il s'agit d'un complément du chapitre sur les infections génitales au virus Herpès simplex (VHS) des Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement.

Répercussions d'un diagnostic d'herpès génital

En tant que praticienne ou praticien, vous pourrez faire face à diverses réactions chez les personnes qui reçoivent un diagnostic d'herpès génital allant de l'indifférence à la dévastation. Certaines de ces personnes manifesteront de fortes émotions et de l'anxiété attribuables à la façon dont elles perçoivent l'infection et la stigmatisation qui s'y rattache.

Les réactions de détresse psychologique, sociale et sexuelle courantes peuvent comprendre les suivantes :

Ces séquelles émotionnelles peuvent dissuader les personnes atteintes de demander des soins plus poussés, de divulguer leur situation à des partenaires sexuels ou même de mener pleinement leur vie au quotidien. Par exemple, une faible estime de soi peut se traduire par une diminution du sentiment de désirabilité et avoir des conséquences négatives sur les relations romantiques et sexuelles. Certaines personnes peuvent penser n'elles ne sont plus attrayantes ou dignes d'une relation amoureuse en raison de leur infection.Note de bas de page 1Note de bas de page 11Note de bas de page 12

Le counselling de soutien a pour objet d'aider ces personnes :

Approche en matière de counselling

L'outil de counselling propose aux praticiennes et aux praticiens des interventions basées sur des pratiques exemplaires et des messages conçus expressément pour les personnes soupçonnées d'être atteintes de l'herpès génital ou qui ont reçu un diagnostic d'herpès génital.

La façon dont une praticienne ou un praticien informe et conseille une personne atteinte de l'herpès génital influencera souvent l'adaptation à long terme de cette personne à son infection.Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 11Note de bas de page 12 Il peut être difficile d'expliquer un résultat positif au test de VHS, étant donné les nombreux enjeux complexes devant être abordés. Atténuer l'inconfort en commençant par le reconnaître puis en donnant de l'information au sujet de l'infection à la personne atteinte, qui peut lui permettre d'accroitre sa capacité à gérer efficacement l'infection.

Prenez le temps de vous demander quelles sont vos opinions au sujet de l'herpès génital. Sensibilisez-vous aux attitudes et croyances stigmatisantes qui peuvent représenter un obstacle aux efforts de counselling.

Principales activités de counsellingNote de bas de page 9Note de bas de page 13Note de bas de page 14

Counselling préalable aux tests

Certaines personnes pourraient être en état de choc et éprouver de la détresse à la seule idée qu'elles puissent être atteintes de l'herpès génital. La praticienne ou le praticien qui soupçonne une infection par le VHS au moment d'effectuer des tests de laboratoire, doit être en mesure de fournir des renseignements de base et d'offrir un counselling initial.

Le counselling devrait être axé sur la personne et tenir compte de sa situation/de ses besoins individuels. Selon la façon dont se déroule la première consultation, vous devrez peut-être avoir à fournir du counselling à des personnes ou à des couples atteints d'une infection aiguë, à des personnes montrant des lésions qui reviennent de manière chronique ou à des personnes qui auront un épisode unique sans récurrence.

Les cliniciens des services d'urgence devraient orienter les patients vers des cliniciens de première ligne qui assureront un suivi.

Offrez de la documentation ou proposez des ressources en ligne comme soutien complémentaire (comme le feuillet d'information L'herpès génital produit par La Source canadienne de renseignements sur le VIH et l'hépatite C [CATIE]) et donnez à la patiente ou au patient les coordonnées de conseillers, de groupes de soutien locaux, de lignes téléphoniques d'information sur la santé sexuelle ou de cliniques de santé sexuelle.

Plusieurs patients (es) seront plus à même d'assimiler de l'information sur les aspects chroniques de l'herpès génital après la phase aiguë de l'infection ou quand leur niveau initial de détresse aura diminué. Par conséquent, il est recommandé pour la personne infectée de prendre un rendez-vous de suivi au cours duquel il sera question des mécanismes d'adaptation pour une autogestion à plus long terme.Note de bas de page 15

Points de discussion :

Qu'est-ce que c'est

Histoire naturelle

Transmission

Prévention

Dépistage, tests et diagnostic

Approches de traitement

Counselling après un test qui montre des résultats positifs

Après avoir reçu les résultats d'un test du VHS, vous pouvez transmettre des renseignements plus détaillés à la patiente ou au patient à la visite de rappel.

Il arrivera souvent que les personnes infectées aient des préoccupations au sujet de la fréquence et de la gravité des épisodes, de l'origine de l'infection, de leurs relations sexuelles actuelles et futures, de la possibilité qu'elles transmettent l'infection à d'autres personnes et des répercussions sur la procréation. Il conviendrait que les praticiennes et les praticiens réservent du temps pour offrir du counselling ou qu'ils aiguillent la patiente ou le patient vers un autre service de soutien.

La notification des partenaires en cas d'herpès génital n'est pas requise à titre de mesure de santé publique; toutefois, vous devriez encourager votre patiente ou votre patient à le divulguer à ses partenaires sexuels pour réduire la transmission. Selon les antécédents, le ou les partenaires les plus récents, le ou les partenaires actuels et le ou les futur(s) partenaires devraient être informés. Les partenaires précédents et les partenaires actuels devraient être encouragés à parler à leurs fournisseurs de soins de santé; ces derniers pourront évaluer leur risque et déterminer s'il y a lieu de faire des tests de sérologie spécifiques de type VHS en l'absence d'antécédents de lésions ou des tests virologiques en présence de signes et de symptômes.

Il pourrait être utile que les partenaires précédents, actuels et futurs fassent l'objet d'une évaluation, reçoivent du counselling et passent des tests sérologiques de dépistage du type de VHS, ce qui permettrait de déterminer s'ils ont contracté l'infection et, le cas échéant, de prévenir l'herpès néonatal et de réduire le risque de transmission de l'herpès à de nouveaux partenaires. Les couples seront ainsi en mesure de prendre des décisions éclairées au sujet de l'ampleur des mesures de protection qu'ils souhaitent adopter. Suggérez cette option à votre patiente ou à votre patient et, si possible, offrez-lui une séance de counselling avec sa ou son partenaire pour faciliter la divulgation et le choix de mesures de prévention particulières à adopter (voir la section Prévention dans les points de discussions qui suivent).

Dans les couples où une infection au VHS-2 est diagnostiquée chez un partenaire asymptomatique au moyen d'un test sérologique spécifique, il convient d'offrir à cette personne le même counselling qu'aux personnes qui ont une infection symptomatique. Informez ces personnes que les signes cliniques peuvent se manifester dans un délai d'un anNote de bas de page 29 et dites-leur de revenir vous voir si/quand des lésions apparaissent pour que vous puissiez demander un test de confirmation au moyen d'une culture ou d'un TAAN.

Quand les résultats des tests sont communiqués, certaines personnes éprouvent un niveau de détresse élevée pour pouvoir bénéficier pleinement du counselling. Il est donc bon de leur remettre de la documentation et de leur proposer des ressources en ligne (comme le feuillet d'information sur l'herpès génital de CATIE [source canadienne de renseignements sur le VIH et l'hépatite C]) et de leur donner les coordonnées de conseillers, de groupes de soutien de la localité, de lignes téléphoniques d'information sur la santé sexuelle ou de cliniques de santé sexuelle.

Points de discussion :

Consultez la section Principales activités de counselling pour de meilleures pratiques.

Au sujet de l'herpès

Histoire naturelle et récurrences

Le VHS-2 est la principale cause de l'herpès génital récurrent. [Note pour les praticiennes et les praticiens : il convient de fournir beaucoup d'information aux patients pour les aider à comprendre clairement la différence entre l'évolution naturelle de l'herpès génital causé par le VHS-1 et celle de l'herpès génital causé par le VHS-2 ainsi que les répercussions en matière de prise en charge des symptômes, le potentiel de transmission par voie sexuelle et les traitements, particulièrement les traitements suppressifs.]

Transmission

Prévention

Co-infection VHS/VIH

Traitement

Divulgation et tests des partenaires

Vous êtes fortement encouragé(e) à divulguer votre herpès génital à votre ou à vos partenaires sexuels actuels ainsi qu'aux plus récents et à vos partenaires futurs. Il peut être difficile et pénible de parler de votre herpès à vos partenaires sexuels, mais la divulgation peut avoir des retombées positives. C'est une importante stratégie pour prévenir la propagation du virus. Il a été montré que la divulgation d'une infection par le virus de l'herpès à ses partenaires sexuels peut réduire le risque de transmission dans des proportions d'environ 50 %.Note de bas de page 48

[Note pour les praticiennes et les praticiens :

Grossesse

FAQ : Outil de référence rapide

On trouvera ici des questions fréquemment posées par les personnes qui ont reçu un diagnostic d'herpès génital ainsi que des réponses proposées. Cette information est conçue pour offrir aux praticiennes et aux praticiens des options supplémentaires pour conseiller les personnes à la suite d'un diagnostic de VHS.

Questions/préoccupations fréquentes Approches et réponses possibles

C'est terrible. Je ne sais pas quoi faire.

Faires preuve d'empathie et adaptez les messages aux besoins de la personne.

  • Écoute réflexive : « Je comprends que vous soyez bouleversé(e) et préoccupé(e) par cette information. Avez-vous des questions à poser ? »
  • Réponse rassurante : « Nous avons appris par les réactions d'autres personnes que c'est un choc de recevoir ce genre de diagnostic et que votre image de soi peut en être altérée. Vous allez probablement vivre un grand nombre d'émotions. »

Où est-ce que j'ai attrapé ça? Qui me l'a donné?

  • « Le VHS-1 et le VHS-2 peuvent vivre longtemps dans l'organisme — des mois ou des années — sans être détectés ou diagnostiqués, alors c'est très difficile de savoir depuis quand vous avez le virus et qui a pu vous le transmettre. »

Je n'ai jamais été avec quelqu'un qui avait des lésions ou des vésicules

  • « L'herpès génital peut se transmettre d'une personne à une autre sans signe visible du virus. Il arrive souvent que les gens n'aient pas de symptômes, mais soient quand même contagieux. »

Est-ce que ça va revenir souvent?

  • « La première fois que les symptômes apparaissent est souvent la pire expérience, et avec le temps, les lésions et les vésicules deviennent moins intenses et apparaissent moins souvent. »

Est-ce que je peux le transmettre à d'autres personnes?

  • « C'est très important que vous utilisiez des condoms quand vous avez des relations sexuelles avec des partenaires qui ne sont pas infectés. Si vous et votre ou vos partenaires utilisez des condoms systématiquement et correctement, vous pourrez réduire (mais non pas éliminer) le risque de transmettre l'herpès génital à des personnes qui ne sont pas infectées. »
  • « Il y a aussi des médicaments antiviraux qui sont pris tous les jours qui peuvent réduire le risque de transmission. Vous pourrez envisager cette option. »

Est-ce que je suis contagieuse/contagieux tout le temps?

  • « Non, vous ne l'êtes pas. Mais vous ne pouvez pas savoir à quel moment vous l'êtes et à quel moment vous ne l'êtes pas, sauf si vous ressentez les symptômes prodromiques ou si vous avez des lésions ou des vésicules. L'excrétion asymptomatique va se produire au hasard, ce qui veut dire qu'il y aura des jours où vous êtes contagieuse ou contagieux sans ressentir ou voir d'indication que vous êtes en train d'excréter le virus. »

Qu'est-ce que ça veut dire pour ma vie sexuelle?

  • « Vous pouvez avoir une vie sexuelle satisfaisante. Le VHS est une infection chronique, mais vous pouvez vous y adapter. Avec le temps, vous serez capable d'y faire face et de le gérer. Utiliser des condoms, divulguer votre statut sérologique, recourir à du counselling de couple, demander à votre ou à vos partenaires de passer un test et envisager de recourir à des traitements antiviraux, tout cela va vous aider à gérer les risques de transmission à votre ou à vos partenaires. »
  • « Il y a d'autres ressources locales à votre disposition. Il pourra vous être utile de consulter un sexothérapeute, un psychologue ou un thérapeute de couple. Si vous voulez, je peux vous indiquer les services qui sont disponibles. »

Est-ce que je dois le dire à ma partenaire ou à mon partenaire?

  • « C'est très important d'informer votre ou vos partenaires sexuels actuels et tout partenaire futur que vous avez l'herpès génital avant d'avoir des relations sexuelles. »
  • « Essayez de le faire de manière naturelle et directe. Abordez le sujet dans le cadre d'une conversation. Dites simplement que vous avez le virus qui cause l'herpès génital, que c'est un virus très fréquent et que la plupart des gens qui l'ont ne le savent même pas. Si vous commencez en disant « J'ai une très mauvaise nouvelle pour toi… » ou « Ne panique pas, mais… », votre partenaire va tout de suite penser que c'est grave. »
  • « Demandez à votre partenaire s'il en a déjà entendu parler. Préparez-vous à discuter de la façon dont le virus agit et comment on peut l'empêcher de se transmettre (p. ex. en utilisant des condoms, en prenant un médicament antiviral suppressif par voie orale, en s'abstenant d'avoir des relations sexuelles pendant les épisodes et la phase prodromique). Expliquez-lui que le fait d'avoir l'herpès génital n'est qu'une petite partie de votre vie et que vous prenez des moyens pour le gérer. »
  • « Divulguer votre statut sérologique est la bonne chose à faire, alors sentez-vous à l'aise d'en parler. »

J'ai entendu dire que les médicaments pour le VHS peuvent entraîner des maladies du foie.

  • « Les études démontrent que les médicaments antiviraux se sont révélés sûrs et efficaces pour le traitement et la suppression de l'herpès génital pendant de longues périodes. »

Je veux concevoir un enfant, est-ce que je peux le faire en toute sécurité?

  • « L'herpès génital n'est pas un obstacle à la fertilité. Mais dites à votre obstétricien (ne) ou à votre sage-femme que vous ou votre partenaire êtes infecté par le VHS, afin de prévenir la transmission à votre nouveau-né . »

Remerciements

Le gouvernement du Canada aimerait remercier les individus suivants pour leur contribution à l'élaboration de cet outil.

Références

Note de bas de page 1

Steben, M., et K. Sénéchal. « Prévenir la transmission de l'herpès génital : une question de négociation! », Le Médecin du Québec, vol. 41 nº 1 (2016), pp. 63-67.

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Note de bas de page 45

Lebrun-Vignes, B., A. Bouzamondo, A. Dupuy, J. Guillaum, P. Lechat et O. Chosidow. « A meta-analysis to assess the efficacy of oral antiviral treatment to prevent genital herpes outbreaks »,Journal of the American Academy of Dermatology, vol. 57 nº 2 (2007), p. 238-246.

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Note de bas de page 46

Gupta, R., T. Warren et A. Wald. « Genital herpes », Lancet, vol. 370 nº 9605 (2007), p. 2127-2137.

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Note de bas de page 47

Cernik, C., K. Gallina et R.T. Brodell. « The treatment of herpes simplex infections: an evidence-based review », Arch Intern Med vol. 168 nº 11 (2008), p. 1137.

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Note de bas de page 48

Wald, A., E. Krantz, S. Selke, E. Lairson, R.A. Morrow et J. Zeh. « Knowledge of partners' genital herpes protects against herpes simplex virus type 2 acquisition », Journal of Infectious Diseases, vol. 194 nº 1 (1er juillet 2006), p. 42-52.

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Note de bas de page 49

Kropp, R.Y., T. Wong, L. Cormier, A. Ringrose, S. Burton, J.E. Embree et coll. « Neonatal herpes simplex virus infections in Canada: results of a 3-year national prospective study », Pediatrics, vol. 117 nº 6 (juin 2006), p. 1955-1962.

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Note de bas de page 50

Money, D.M., et M. Steben. « Nº 208 – Directive clinique sur la prise en charge du virus de l'herpès simplex pendant la grossesse »,Journal d'obstétrique et gynécologie du Canada., vol. 39 nº 8 (août 2017), p. e199-e205.

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