Soulève-moi

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre. Le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies. Protégeons les Canadiens. » se trouvent dans le coin inférieur droit de l’image.

« Soulève-moi » est une série de Service correctionnel Canada (SCC) qui met l’accent sur la façon dont nous changeons des vies et protégeons les Canadiens et les Canadiennes : elle parle d’humains qui aident d’autres humains.

Tous nos employés, bénévoles et partenaires communautaires contribuent au succès de la réhabilitation et de la réinsertion sociale des personnes incarcérées, tout en assurant la sécurité de la population et en respectant les droits des victimes.

Nous sommes allés au-delà des murs de nos établissements afin de vous montrer les répercussions et les résultats. Nous souhaitons faire ressortir l’aspect humain de notre travail et la façon dont la vie quotidienne de ces personnes a été améliorée par nos employés et nos bénévoles, ainsi que les changements et les résultats concrets apportés par notre système correctionnel fédéral.

Notre nouvelle série « Soulève-moi » témoigne de cette touche humaine à travers des histoires inspirantes. Elle permet également de mieux faire connaître la devise du SCC « Transformons des vies. Protégeons les Canadiens. »

 À visionner

Valentina, agente de libération conditionnelle dans la collectivité, Bureau sectoriel de libération conditionnelle d’Edmonton.

      

Bien que Valentina soit maintenant directrice adjointe, Interventions, à l’Établissement d’Edmonton, elle explique que lorsqu’elle était une agente de libération conditionnelle dans la collectivité, elle adorait son travail puisque chaque jour avait quelque chose de nouveau à offrir et que chaque intervention et chaque cas était différent.

Transcription de la vidéo

Valentina
Agente de libération conditionnelle dans la collectivité

Bonjour. Je m’appelle Valentina et je suis actuellement agente de libération conditionnelle dans la collectivité au bureau sectoriel de libération conditionnelle d’Edmonton.

À l’université, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. J’étais en train de passer mon baccalauréat ès arts avec une majeure en psychologie quand l’ami d’un ami m’a approchée. Il savait que je m’intéressais beaucoup au crime et que j’aimais bien travailler avec les gens, donc il m’a demandé : « pourquoi n’essaies-tu pas de te trouver un emploi dans le domaine correctionnel? »

J’ai une vraie passion pour mon emploi. J’adore aller travailler chaque jour. Je n’y vais pas en me disant que j’ai affaire à des êtres humains horribles chaque jour. J’ai affaire à des humains, tout simplement, et je fais de mon mieux pour favoriser la sécurité publique en donnant aux délinquants le meilleur plan de libération possible.

Comme la plupart des délinquants n’ont pas de soutien positif, j’ai souvent des rencontres individuelles avec eux pour leur permettre de s’exprimer comme ils en ont besoin. Ainsi, quand on les écoute et qu’on se soucie de leur succès, ils nous confient beaucoup de choses. Ce simple fait les aide énormément à réussir, car dès qu’ils sont en mesure de parler de leurs problèmes dans un milieu sécuritaire, ils ont plus de motivation pour travailler à les régler.

En établissement, on a surtout affaire au délinquant et à ce qui lui arrive, alors que dans la collectivité, une fois qu’il est sorti, toutes sortes d’autres facteurs entrent en jeu : son employeur, les membres de sa famille, son partenaire, ses enfants… On doit gérer toutes ces variables incontrôlables, donc c’est une tout autre réalité.

C’est ce que j’aime de mon travail : chaque jour est différent. On ne va pas au travail pour s’assoir à un pupitre toute la journée pour continuellement écrire les mêmes rapports, car tous les cas sont uniques. Chaque intervention qu’on tente d’effectuer est unique, et c’est ce qui entretient la motivation.

Si j’avais un conseil à donner à quelqu’un qui vient de commencer à occuper le poste, ou à quelqu’un qui s’y intéresse, je lui dirais que le plus important, c’est certainement de prendre soin de soi, de concilier le travail et la vie personnelle et de connaître ses limites. C’est un travail exigeant pour lequel il faut faire preuve de patience. Il y a beaucoup de choses à apprendre dans le cadre de cet emploi et il est en constante évolution. Il faut être patient avec soi-même et savoir qu’on n’aura pas toujours réponse à tout. Il faut aussi se rappeler qu’on a toute une équipe pour nous aider, peu importe où on est, et qu’il faut en tirer parti, que ce soit en établissement ou dans la collectivité.

Il y a des délinquants qui souhaitent véritablement changer, et quand on peut leur offrir les interventions, les ressources ou le soutien dont ils ont besoin pour le faire, c’est là qu’on a vraiment l’impression de changer les choses.

Albe, infirmière auxiliaire autorisée, Établissement d’Edmonton pour femmes

      

Faites la connaissance d’Albe, infirmière auxiliaire autorisée à l’Établissement d’Edmonton pour femmes. Elle fait connaître aux détenues leurs problèmes de santé afin qu’elles puissent les gérer seules et être autonomes lorsqu’elles réintégreront la collectivité.

Transcription de la vidéo

Albe
Infirmière

Bonjour. Je m’appelle Albe McClintock. Je suis une infirmière auxiliaire autorisée à l’Établissement d’Edmonton pour femmes. Je me suis jointe au SCC par l’entremise d’un membre du personnel et ça a été une expérience totalement nouvelle et différente. En fait, il y a beaucoup plus de défis stimulants qu’à tous les autres endroits où j’ai travaillé en soins infirmiers.

Ce que j’aime du fait de travailler auprès des détenues, particulièrement dans un environnement correctionnel, est que nous cherchons à les préparer pour leur retour dans la collectivité, à les rendre autonomes, à leur faire connaître leurs préoccupations en matière de santé et à leur apprendre comment les gérer dans la collectivité. Et c’est vraiment gratifiant lorsque des patientes reviennent me voir quelques semaines plus tard et qu’elles me parlent des interventions que j’ai suggérées qu’elles ont essayées, de ce qui a fonctionné pour elles, de ce qui n’a pas fonctionné et de ce qu’elles peuvent continuer de faire à l’avenir. Lorsque les personnes reviennent me voir en me disant qu’elles ont pris un apprentissage à cœur, qu’elles savent gérer telle portion de leurs soins de santé, c’est inspirant. Cela signifie qu’elles y portent vraiment attention.

Selon mon expérience, les membres du personnel sont merveilleux les uns envers les autres. La première fois où j’ai dû gérer un trauma ici, beaucoup de personnes sont venues me voir après, au cours des jours suivants, pour me demander si je m’en remettais bien, s’il y avait quelqu’un à qui je voulais parler, si je voulais prendre un moment pour parler avec eux. Donc, il ne s’agit pas seulement de demander des nouvelles des patientes, mais aussi de nos collègues. Ici, nous avons un personnel infirmier fantastique, qui est vraiment bon pour répondre à l’appel et pour intervenir lorsqu’il voit qu’une personne est en difficulté. Il s’agit d’un environnement encourageant et c’est vraiment intéressant. Tout le monde est invité à s’épanouir autant que possible.

Ce que j’apprécie le plus d’être une infirmière au SCC est que je peux réellement changer les choses pour ces personnes. Lorsqu’elles viennent aux Services de santé, elles sont contentes de me voir puisque je leur témoigne le même respect que je voudrais recevoir. J’arrive à mettre des sourires sur leur visage et la seule raison pour laquelle je suis allée en soins infirmiers est que si je peux faire sourire une personne par jour, je sais que j’ai changé les choses.

Ronda, agente correctionnelle, Pénitencier de Dorchester

      

Ronda décrit l'impact qu'elle a sur les autres en tant qu'agente correctionnelle au Pénitencier de Dorchester. Elle change des vies en aidant les détenus à comprendre qu'il y a de l'espoir et qu'ils peuvent choisir de vivre différemment.

Transcription de la vidéo

Ronda
Agente correctionnelle

Je m’appelle Ronda Canfield et je suis une agente correctionnelle (CX-1) au Pénitencier de Dorchester.

Lorsque je suis sur le chemin du travail, que je porte mon uniforme et que les gens me regardent dans mon uniforme, je ressens une certaine fierté. Ils me reconnaissent comme une personne qui aide à les garder en sécurité. C’est ce que je ressens en public et lorsque j’arrive ici et que les détenus passent une mauvaise journée, je peux leur dire quelque chose qui pourrait changer le cours de leur journée.

Je trouve mon travail exigeant, mais c’est aussi gratifiant. J’aime travailler auprès des délinquants, parce qu’ils proviennent de tous les horizons et de toutes les cultures. Ils m’apprennent quelque chose presque tous les jours que je travaille.

J’ai l’impression que je transforme des vies, du moins, certaines. Je pense que tout le monde transforme des vies seulement en étant ici. Lorsque je viens travailler, je ne suis pas ici pour juger les détenus qui ont été incarcérés dans le système fédéral, les tribunaux l’ont déjà fait. Mon travail est de m’assurer qu’ils savent qu’ils peuvent avoir une vie en dehors d’ici et qu’ils peuvent choisir de vivre différemment. Ce n’est pas facile et la route est longue. Cependant, ils ont besoin de savoir que nous croyons qu’ils peuvent le faire.

Si je me lève tous les matins, je viens travailler et je sens que je change les choses, au bout du compte, c’est suffisant.


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À lire

Abigail Carleton

Visages du SCC: Abigail Carleton

« Je dirais avec assurance que oui, on améliore les services correctionnels pour les délinquants autochtones ». Abigail Carleton est une Agente de projet, Opérations, au Secteur des initiatives pour les Autochtones, à l’administration centrale, à Ottawa. Elle est fière de ses origines inuites et elle en fait part aux autres volontiers.


La maison Ikaarvik

La maison Ikaarvik: un passage vers la collectivité

La maison Ikaarvik est un centre résidentiel communautaire, que l’on appelle souvent maison de transition. En collaboration avec le Service correctionnel du Canada (SCC), la Société John Howard gère la maison Ikaarvik..


Dalton Francis et Dan Ross

Les Aînés au SCC – La pierre angulaire des services correctionnels pour Autochtones

Le Service correctionnel du Canada (SCC) compte sur Dalton Francis et Dan Ross ainsi que de nombreux autres Aînés pour l’aider à mieux répondre aux besoins particuliers des personnes autochtones dont il a la garde. Les Aînés donnent des conseils culturels et spirituels en plus de favoriser la guérison et un sentiment d’appartenance et un sens de la communauté.

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 À télécharger

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Affiche de Soulève-moi

La version en texte de base de l’affiche est présente à la suite de la version PDF.

Affiche de Soulève-moi – version en texte

Une affiche avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

Le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies. Protégeons les Canadiens. » se trouvent dans le coin supérieur droit de l’affiche.

L’image de marque du Service correctionnel du Canada se trouve en bas à gauche.

Le mot-symbole « Canada » est en bas à droite.

Arrière-plan virtuel pour les vidéoconférences

La version en texte de base de l’arrière-plan virtuel est présente à la suite de celle en format JPG.

Arrière-plan virtuel de Soulève-moi — version en texte

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

Le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies. Protégeons les Canadiens. » se trouvent au centre de l’image.

Médias sociaux

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Image pour Facebook, Twitter et LinkedIn – version en texte

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

On y trouve le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies.

Protégeons les Canadiens. » Le mot-symbole « Canada » est dans le coin inférieur droit.


Image pour Instagram — version en texte

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

On y trouve le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies.

Protégeons les Canadiens. » Le mot-symbole « Canada » est dans le coin inférieur droit.

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Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

On y trouve le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies.


Version pour LinkedIn de #Soulève-moi Transformons des vies. Protégeons les Canadiens.

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

On y trouve le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC Transformons des vies.


LinkedIn — version en texte

Une image avec des tons vifs de bleu et de violet présente deux mains qui se soutiennent et l’une d’elles soulève l’autre.

On y trouve le titre de la campagne « Soulève-moi » ainsi que la devise du SCC « Transformons des vies.

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