Évaluation des Services de santé du SCC

Rapports d'évaluation

Dossier n° 394-2-96

Évaluation des Services de santé du SCC

Division de l'évaluation
Secteur des politiques
Mars 2017

Signatures

Évaluation des services de santé du SCC

Don Head

Commissaire

Date : Mars 2017

Brigitte de Blois

Directrice, Division de l'évaluation

Date : Mars 2017

Contributions

Auteurs :

Kendra Delveaux, gestionnaire principale de l'évaluation

Colleen MacDonald, évaluatrice principale par intérim

Ashley McConnell, agente de l'évaluation par intérim

Sheena Bradley, agente de l'évaluation

Adam Crawford, analyste de l'évaluation

Felicia Tse, analyste junior de l'évaluation

Membres de l'équipe d'évaluation qui ont contribués :

Duyen Luong, évaluateur principal

Hassimiou Ly, évaluateur principal

Lysiane Marseille-Paquin, agente de l'évaluation

Marcie McLean-McKay, agente de l'évaluation

Tara Beauchamp, agente de l'évaluation

Bertha May, agente de l'évaluation

Donna Towns, agente de l'évaluation

Elizabeth Loree, analyste junior de l'évaluation

Hortense Kambou, analyste junior de l'évaluation

Joel Ndayubaha, analyste junior de l'évaluation

Kossi Aziaba, analyste junior de l'évaluation

Kristen White, analyste junior de l'évaluation

Alex Lefebvre, analyste junior de l'évaluation

Remerciements

L'équipe de l'évaluation est reconnaissante de l'assistance fournie par le Secteur des services de santé pour le soutien continu à divers aspects de ce projet. L'équipe de l'évaluation souhaite exprimer sa sincère appréciation à Marie-France Lapierre, Audrey Castonguay et Ginette Clarke pour leurs efforts continus tout au long du projet de l'évaluation. L'équipe de l'évaluation souhaite également remercier le Secteur des délinquantes, le Secteur des opérations et des programmes correctionnels et la Direction des initiatives pour les Autochtones, pour leur contribution aux étapes préalables de l'évaluation. L'équipe de l'évaluation tient à remercier tous les membres du groupe consultatif, notamment Pat Barker (Établissement de Drumheller), Jennifer Gravelle (Services de santé, gestionnaire régionale), Peter Desjarlais (Direction des initiatives pour les Autochtones), Marnie MacDonald (Secteur des délinquantes), Peter Glen (Opérations et programmes correctionnels), Luc Gregoire (Opérations et programmes correctionnels), Kent Merlin (Gestion du rendement), James Matthew (Opérations en établissement, région des Prairies), Peter Wickwire (Opérations dans la collectivité, région de l'Atlantique) et Lynn Stewart (Direction de la recherche) pour leur collaboration et leur contribution tout au long de l'évaluation.

L'équipe de l'évaluation tient à exprimer son appréciation à tous ceux qui ont participé à la collecte de données dans divers établissements du SCC et fourni des renseignements précieux, notamment les directeurs régionaux, les directeurs d'établissement, les directeurs de district, les membres du personnel en établissement et dans la collectivité et le personnel à l'AC. L'équipe de l'évaluation souhaite témoigner sa gratitude à tous les délinquants qui ont contribué à l'évaluation en participant à des entrevues et en partageant leurs expériences générales concernant les services de santé dans tout le continuum de soins.

Nous tenons également à remercier les nombreux employés des directions et des secteurs du SCC qui ont fourni des données en vue de l'évaluation : le personnel des Services de gestion financière de la Direction générale du contrôleur, qui a fourni les données financières, ainsi que le personnel responsable de la Direction des stratégies, de la planification, de la mesure et des rapports, qui a fourni des données sur les ressources humaines.

Enfin, l'équipe de l'évaluation tient à remercier toutes les autres personnes ayant contribué à la présente évaluation et que nous n'avons pas mentionnées ici.

Résumé

Conformément au paragraphe 86(1) de la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition (LSCMLC), le SCC a pour mandat de veiller à ce que « chaque détenu reçoive les soins de santé essentiels et qu'il ait accès, dans la mesure du possible, aux soins qui peuvent faciliter sa réadaptation et sa réinsertion socialeNotes de fin de document i ».

Comparativement à la population canadienne, les délinquants présentent une prévalence plus élevée de problèmes de santé mentale et physique. En outre, la population de délinquants du SCC vieillit. En 2014-2015, 24 % des délinquants sous responsabilité fédérale avaient 50 ans ou plus, et le nombre de délinquants ayant plus de 50 ans à l'admission a augmenté au cours des dix dernières annéesNotes de fin de document ii. En 2014-2015, les Services de santé comptaient pour environ 11 % du total des dépenses de programmes directes du SCC. Les Services de santé du SCC représentent une occasion importante de répondre aux divers besoins de soins de santé des délinquants tout au long du continuum de soins, qui comprend l'admission, l'incarcération, le processus prélibératoire et la surveillance dans la collectivité.

L'évaluation se concentre sur la pertinence et le rendement des services de santé mentale, clinique et publique du SCC. Les questions de l'évaluation examinent les domaines suivants : la pertinence des services de santé du SCC, l'efficacité et l'efficience du processus de l'évaluation initiale, l'accès des délinquants aux soins et aux services tout au long de l'incarcération, l'éducation en santé publique et la réduction des méfaits, les services de santé mentale en établissement, les services prélibératoires et de santé dans la collectivité ainsi que la gestion et la coordination des services de santé. Vu l'ampleur et la complexité des services de santé au sein du SCC, l'évaluation est organisée en sept constatations principales de l'évaluation (CPE).

Résultats de l'évaluation :

Dans l'ensemble, l'évaluation a révélé que les Services de santé du SCC sont pertinents et répondent aux besoins des délinquants sous responsabilité fédérale. Des bénéfices ont été constatées en ce qui concerne les soins de santé mentale en établissement où les délinquants ont présenté une probabilité réduite d'incidents, d'accusations graves et de placement en isolement non sollicité suite aux traitements. Nous avons relevé plusieurs domaines clés pouvant faire l'objet d'améliorations en matière de services, et des recommandations ont été formulées en vue d'aider les décideurs à améliorer l'efficience et l'efficacité des Services de santé du SCC. Les gestionnaires de programmes ont répondu à ces recommandations. Les principales recommandations et les réponses de la direction s'y rattachant sont décrites ci-dessous.

La présente évaluation permettra au SCC d'améliorer la prestation des services de santé pour l'ensemble des délinquants dans le continuum de soins.

Liste des constatations

Constatation 1 : Besoin de services de santé

Il existe un besoin continu à l'égard de la prestation des services de santé clinique, publique et mentale des délinquants du SCC.

Constatation 2 : Conformité avec les priorités, les rôles et les responsabilités du gouvernement fédéral

Les Services de santé du SCC s'harmonisent avec les priorités du gouvernement fédéral. Le SCC est responsable de fournir des services de santé aux délinquants sous responsabilité fédérale, mais il existe un besoin permanent de partenariats visant à fournir de façon efficace et efficiente ces services aux délinquants.

Constatation 3 : Efficacité du processus d'évaluation initiale des services de santé

L'ensemble des outils et des processus d'évaluation initiale des services de santé se révèlent efficaces en ce qui a trait à la détermination des besoins de santé des délinquants.

Constatation 4 : Efficicience du processus d'évaluation initiale des services de santé

La duplication des renseignements sur la santé des délinquants recueillis par l'entremise des processus et des outils d'évaluation initiale des services de santé du SCC donne lieu à un manque d'efficacité en ce qui a trait à l'évaluation des besoins en matière de soins de santé des délinquants.

Constatation 5 : Accès aux services de santé clinique, publique et mentale

Les délinquants du SCC ont accès aux services de santé clinique, publique et mentale nécessaires pour répondre à leurs besoins. La plupart des délinquants reçoivent des services initiaux de santé mentale dans les délais prescrits. Les services de santé clinique ne font l'objet d'aucun suivi électronique. Les Services de santé procèdent actuellement à la mise en œuvre d'un système de dossiers médicaux électroniques.

Constatation 6 : Accès à des services de spécialistes de la santé dans la collectivité

La prestation, aux délinquants, de services non urgents de spécialistes de la santé dans la collectivité est assujettie à des délais d'attente. Le SCC a recours à la télémédecine (là où des programmes provinciaux sont offerts) pour résoudre les problèmes liés à l'accès aux rendez-vous avec des spécialistes de la santé dans la collectivité. Le SCC ne recueille pas systématiquement des données sur l'orientation vers les services de spécialistes (en personne ou par voie de télémédecine).

Constatation 7 : Transfèrements

Les membres du personnel des Services de santé et les délinquants ont fait état de problèmes relatifs à la continuité des soins et à l'échange de renseignements ou de documents lors de transfèrements. La communication de renseignements inexacts peut découler de la documentation incomplète du formulaire « Services de santé : Sommaire de transfèrement ».

Constatation 8 : Échange de renseignements

Parmi les membres du personnel du SCC, certains affirment ne pas bien comprendre les lignes directrices concernant l'échange de renseignements personnels liés à la santé, qui pourrait d'ailleurs être amélioré. Il serait possible de mettre en place des dossiers médicaux électroniques pour améliorer l'échange de renseignements.

Constatation 9 : Éducation en matière de santé

Les programmes et les initiatives d'éducation en matière de santé au SCC ciblent un grand nombre des besoins importants en matière de santé de la population carcérale, mais l'accès et la participation volontaire des délinquants à certains programmes sont limités.

Constatation 10 : Incidence de l'éducation en matière de santé et des initiatives de réduction des méfaits

Les programmes d'éducation en matière de santé, particulièrement ceux qui ciblent les maladies infectieuses, sont associés à une amélioration des connaissances et à une modification des comportements connexes chez les détenus (p. ex. diminution des comportements à risque). Un examen a montré que l'eau de Javel n'était pas toujours disponible dans les établissements du SCC, mais il n'y a pas de données récentes permettant de confirmer l'accessibilité d'autres produits de réduction des méfaits comme les condoms, les digues dentaires et les lubrifiants.

Constatation 11 : Résultats liés aux soins de santé mentale en établissement

Les soins de santé mentale fournis dans les Centres régionaux de traitement (CRT) et les établissements réguliers du SCC sont associés à des effets positifs sur la stabilité du comportement des délinquants suite aux traitements, notamment la diminution de la probabilité d'incidents, d'accusations graves ou de placements en isolement non sollicités.

Constatation 12 : Niveau de soins en fonction des besoins

Le Secteur des services de santé a élaboré une Échelle des besoins en santé mentale pour évaluer le niveau de besoins en santé mentale et déterminer le bon niveau de soins requis suivant le nouveau modèle amélioré de soins de santé mentale (primaires, intermédiaires et psychiatriques en milieu hospitalier). La validité et la fiabilité de cette échelle n'ont pas été évaluées, et les données électroniques sur les résultats des délinquants par rapport à l'échelle n'ont pas été consignées uniformément.

Constatation 13 : Comités régionaux sur les cas complexes de santé mentale

Les comités régionaux sur les cas complexes de santé mentale ont été mis sur pied pour aider et soutenir les établissements afin qu'ils puissent fournir un continuum efficace de soins aux délinquants ayant des besoins complexes en santé mentale. Il n'a pas été possible de déterminer avec exactitude la mesure dans laquelle les fonds affectés à l'échelle régionale étaient dépensés, car le financement ne faisait pas l'objet d'un suivi complet dans le système financier.

Constatation 14 : Planification courante de la continuité des soins et identification des délinquants

Les processus visant à aider les délinquants à obtenir des cartes de santé provinciales varient selon les régions et dépendent des exigences de l'autorité de santé provinciale ou territoriale. Il existe des problèmes liés aux procédures destinées à aider les délinquants à obtenir des cartes santé provinciales ou territoriales (p. ex. un certificat de naissance au préalable, des honoraires, des mises en liberté dans différentes provinces).

Constatation 15 : Paiement pour les services de santé dans la collectivité

Conformément à sa politique, le SCC peut assumer certains frais médicaux dans la collectivité si les délinquants ne sont pas protégés par une assurance-maladie provinciale ou territoriale ou par d'autres régimes provinciaux ou territoriaux (p. ex. prestations d'invalidité, régimes d'assurance-médicaments) et qu'ils n'ont pas les moyens personnels de payer. Les frais médicaux couverts par le SCC varient d'une région à l'autre, ce qui peut être attribuable, en partie, à des écarts dans le régime de santé de la province.

Constatation 16 : Services de planification clinique de la continuité des soins et de santé mentale dans la collectivité

Des services de spécialistes de la santé dans la collectivité fournis aux délinquants étaient associés à des taux plus faibles de récidive tandis que les services de planification clinique de la continuité des soins, à eux seuls, ne semblaient pas avoir d'incidence. Il n'a pas été possible de déterminer le nombre de délinquants recevant des services de planification clinique lors du processus de la continuité des soins en raison du manque d'uniformité dans la consignation des données. Il est difficile d'assurer la continuité des soins lorsque les délinquants qui reçoivent des services de planification de la continuité des soins sont mis en liberté à des endroits disposant d'un nombre limité de membres de personnel du SCC affectés aux services de santé mentale, ainsi que de ressources additionnelles dans la collectivité.

Constatation 17 : Coordination des services de santé du SCC

Les modifications apportées à la structure de gouvernance des services de santé ont donné lieu à une plus grande normalisation et intégration des services de santé.

Constatation 18 : Traitement des maladies infectieuses – Virus de l'Hépatite C

Au SCC, les dépenses en médicaments pour le traitement du virus de l'hépatite C (VHC) ont plus que triplé de 2013-2014 à 2015-2016 en raison d'une nouvelle norme de soins approuvée au Canada. Le nouveau traitement est plus coûteux, mais a entraîné un taux de guérison accru pour les personnes atteintes de la maladie, réduisant également le risque de propagation du VHC.

Constatation 19 : Services de santé pour des populations spécifiques

Le SCC a mis en œuvre des politiques, des lignes directrices et des stratégies visant à répondre aux besoins spéciaux des délinquantes et des délinquants autochtones en matière de santé. Un soutien supplémentaire est requis en ce qui concerne les besoins liés aux maladies chroniques chez les délinquants âgés.

Liste des recommandations

Recommandation 1 : Déjudiciarisation des personnes ayant des troubles de santé mentale

Le SCC devrait maintenir des relations productives avec les partenaires qui appuient les personnes ayant des troubles de santé mentale.

Recommandation 2 : Efficacité des outils et processus d'évaluation initiale des services de santé

Les Services de santé du SCC devraient tenter d'accroître l'efficience des processus d'évaluation initiale ayant trait aux services de santé en prenant en considération les aspects suivants :

Recommandation 3 : Accès à des services de spécialistes de la santé dans la collectivité

Les Services de santé du SCC devraient recueillir des données sur les délais d'attente pour ceux qui veulent accéder à certains services non urgents de spécialistes et mettre en place des stratégies (dont le recours accru à la télémédecine, lorsque c'est possible) quand les délais d'attente observés dépassent les normes canadiennes en vigueur.

Recommandation 4 : Échange de renseignements

Les Services de santé du SCC devraient veiller à approfondir la compréhension des exigences et des limites relatives à l'échange de renseignements qui sont établies dans les Lignes directrices, conformément aux lois sur la protection des renseignements personnels et aux autres lois pertinentes. Les Services de santé du SCC devraient également améliorer l'accès, au moment opportun, du personnel des Services de santé à des dossiers médicaux exacts et pertinents. Pour ce faire, il faudra :

Recommandation 5 : Éducation en matière de santé et réduction des méfaits

Les Services de santé du SCC devraient veiller à ce que les délinquants aient accès sans délai aux programmes d'éducation en matière de santé et aux produits de réduction des méfaits. Pour ce faire, il faudrait :

Recommandation 6 : Niveau de soins en fonction des besoins

Les Services de santé du SCC devraient s'assurer que les délinquants sont dirigiés vers les bons services de santé mentale en :

Recommandation 7 : Comités régionaux sur les cas complexes de santé mentale

Les Services de santé du SCC devraient :

Recommandation 8 : Planification de la continuité des soins et identification des délinquants

Le SCC devrait adopter des mesures visant à remédier aux problèmes liés aux délinquants qui accèdent aux soins de santé dans la collectivité en conservant ou en obtenant les pièces d'identité du délinquant (notamment les cartes santé) et visant à clarifier la politique, les lignes directrices et les procédures relatives à la coordination de l'accès aux médicaments lors de la transition dans la collectivité.

Recommandation 9 : Accès aux services de santé dans la collectivité et paiement de ces services

Le SCC devrait améliorer l'accès aux services de santé dans la collectivité afin d'assurer un continuum de soins de santé pour les délinquants pendant la transition au régime de santé de la province ou du territoire, par les moyens suivants :

Recommandation 10 : Services de planification clinique de la continuité des soins et de santé mentale dans la collectivité

Le SCC devrait :

Recommandation 11 : Populations spécifiques de délinquants

Les Services de santé du SCC devraient poursuivre la mise en œuvre de la stratégie de gestion des maladies chroniques en tenant compte des exigences/besoins spéciaux des délinquants âgés, des délinquantes et des délinquants autochtones et des méthodes pour le suivi des répercussions.

Aperçu du plan d'action de la gestion

En réponse aux recommandations formulées tout au long de l'évaluation, le SCC a élaboré des plans d'action de la gestion pour renforcer la prestation de services de santé dans le continuum de soins. Les plans d'action de la gestion sont résumés ci-dessous; pour une copie d'un plan complet, il faut communiquer avec la Division de l'évaluation du SCC.

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 1 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 2 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 3 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 4 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 5 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 6 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 7 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 8 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 9 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 10 :

Plan d'action de la gestion relativement à la Recommandation 11 :

Table des matières

Liste des tableaux

Liste des figures

Liste des acronymes

THADA
Trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention
CEEPA
Cours d'éducation et d'entraide par les pairs autochtones
ITSS
Infections transmissibles sexuellement et par le sang
CE
Comités d'enquête
CCC
Centre correctionnel communautaire
LSCMLC
Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition
DC
Directive du commissaire
PCCS
Planification clinique de la continuité des soins
CSP
Choisir la santé dans les prisons
SMC
Santé mentale dans la collectivité
ISMC
Initiative sur la santé mentale dans la collectivité
SSMC
Services de santé mentale dans la collectivité
EGC
Équipe de gestion des cas
SIDTMEI
Système informatisé de dépistage des troubles mentaux à l'évaluation initiale
RCRO
Rapport sur la conformité et les risques opérationnels
ALCC
Agent de libération conditionnelle dans la collectivité
ERC
Établissement résidentiel communautaire
SCC
Service correctionnel du Canada
TCD
Thérapie comportementale dialectique
PSAE
Permission de sortir avec escorte
ETCAF
Ensemble des troubles causés par l'alcoolisation fœtale
CPE
Constatations principales des évaluations
VIH/sida
Syndrome de l'immunodéficience acquise/virus de l'immunodéficience humaine
VHC
Virus de l'hépatite C
RMRSS
Rapport de mesure du rendement des Services de santé
SGDDI
Système de gestion des dossiers et des documents électroniques
SII
Stratégie d'intervention intensive
ESME
Équipe de santé mentale en établissement
ALCE
Agent de libération conditionnelle en établissement
ASPSID
Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide à l'intention des détenus
ITL
Infection tuberculeuse latente
PAG
Plan d'action de la gestion
EBSM
Échelle des besoins en santé mentale
SSSM
Système de suivi de la santé mentale
PTEM
Programme de traitement d'entretien à la méthadone
SARM
Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline
CNCCSM
Comité national sur les cas complexes de santé mentale
AC
Administration centrale
SGISD-DME
Système de gestion de l'information sur la santé des délinquants – Dossiers médicaux électroniques
SGD
Système de gestion des délinquant(e)s
TSO
Traitement de substitution aux opiacés
RTO
Réseau Télémédecine Ontario
CEP
Cours d'éducation par les pairs
RPS
Réadaptation psychosociale
PSR
Programme de sensibilisation à la réception
CRCCSM
Comité régional sur les cas complexes de santé mentale
DRSS
Directeur régional des soins de santé
AR
Administration régionale
CRT
Centre régional de traitement
CA
Comportement d'automutilation
MVS
Milieu de vie structuré
TES
Traitement d'entretien au (par) Suboxone
ITS
Infection transmissible sexuellement
TB
Tuberculose
SCT
Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
Web-SSMI
Application Web du Système de surveillance des maladies infectieuses
DEM
Date d'expiration du mandat

1.0 Introduction

Suivant le plan d'évaluation quinquennal, le Service correctionnel du Canada (SCC) a effectué une évaluation des programmes et des services de santé pour les délinquants. Conformément à la Politique sur l'évaluation (2009) et la Politique sur les résultats (2016) du Secrétariat du Conseil du Trésor, l'évaluation avait deux grands objectifs : 1) déterminer la pertinence continue des services de santé, dont le besoin de services de santé offerts dans le cadre du continuum de soins, et leur harmonisation avec les priorités du Service et celles du gouvernement, ainsi que les rôles et responsabilités fédéraux; et 2) évaluer le rendement du SCC en ce qui concerne la prestation des programmes et des services de santé, y compris l'efficacité, l'efficience et l'économie.

Le SCC fournit aux délinquants des services de santé tout au long du continuum de soins (admission, incarcération, processus prélibératoire et surveillance dans la collectivité) et met l'accent sur les domaines de la santé mentale, de la santé publique et des services cliniques. En fournissant des services de santé efficients et efficaces, le SCC encourage les délinquants à assumer la responsabilité de leur propre santé, favorise la saine réinsertion sociale et contribue ultimement à la sécurité des collectivitésNotes de fin de document iii. Ces objectifs sont harmonisés avec les quatre priorités organisationnelles du SCCNotes de fin de document iv :

Les résultats et les recommandations figurant dans le présent rapport d'évaluation guideront la haute direction du SCC à prendre des décisions et à élaborer des politiques stratégiques futures en matière de services de santé du SCC.

1.1 Contexte

Les délinquants sous responsabilité fédérale font face à bon nombre des mêmes problèmes de santé que la population canadienne en général. Toutefois, par rapport à la population canadienne, les délinquants présentent une prévalence plus élevée de problèmes de santé mentale (p. ex. trouble de la personnalité antisociale, troubles anxieux, comportement d'automutilation) et de problèmes de santé physique (p. ex. diabète, maladies cardiovasculaires, VIH/sida, hépatite C)Notes de fin de document v. Des études ont montré que les personnes qui entrent dans le système correctionnel ont déjà une mauvaise santé en raison de comportements liés à un mode de vie à risque, comme l'usage de drogues par voie intraveineuseNotes de fin de document vi. En outre, une fois qu'elle est incarcérée, les problèmes de santé d'une personne peuvent s'aggraverNotes de fin de document vii. Cela peut être attribué à un certain nombre de caractéristiques liées au cadre institutionnel, comme des locaux partagés, ce qui peut exposer les délinquants à de nouveaux risques pour la santé physique et présenter des occasions de s'adonner à des activités à risque élevé pouvant entraîner la transmission de maladies infectieusesNotes de fin de document viii. Qui plus est, la population de délinquants du SCC vieillit. En 2014-2015, 24 % des délinquants sous responsabilité fédérale avaient 50 ans ou plus comparativement à 45 % de la population canadienne, et le nombre de délinquants ayant plus de 50 ans à l'admission a augmenté au cours des dix dernières annéesNotes de fin de document ix. Avec cette augmentation générale du nombre de délinquants âgés, le SCC est susceptible de connaître une demande accrue pour répondre aux besoins de santé attribués au vieillissement, comme les maladies chroniques, les maladies cardiovasculaires et le diabèteNotes de fin de document x.

Les délinquants doivent avoir accès à des services de santé pour répondre à leurs besoins divers en soins de santé tout au long de leur continuum de soins. Des études ont révélé que les services de santé dans les établissements ont des effets positifs sur la santé des délinquants. Selon une étude, l'éducation en matière de santé en milieu carcéral avait des effets importants à long terme sur la connaissance des délinquants au sujet de la transmission des maladies infectieusesNotes de fin de document xi. Étant donné que la plupart des délinquants seront mis en liberté, leurs problèmes de santé courants pourraient avoir une incidence sur les collectivités dans lesquelles ils sont mis en libertéNotes de fin de document xii. De ce fait, les services de santé du SCC représentent une occasion importante de répondre aux besoins de santé des délinquants.

1.2 Politiques et lois

La prestation des services de santé aux citoyens canadiens est une responsabilité que se partagent les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. En vertu de la législation fédérale, et conformément aux exigences organisationnelles, le SCC a le mandat d'offrir des services de santé aux délinquants sous responsabilité fédérale. D'après le paragraphe 86(1) de la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition (LSCMLC), le SCC a l'obligation de veiller « à ce chaque détenu reçoive les soins de santé essentiels et qu'il ait accès, dans la mesure du possible, aux soins qui peuvent faciliter sa réadaptation et sa réinsertion socialeNotes de fin de document xiii ».

Outre la LSCMLC, le SCC est guidé, à l'interne, par une série de Directives du commissaire (DC) à l'appui des obligations législatives. Les DC spécifiques aux services de santé comprennent les suivantesNotes de bas de page 1 :

1.3 Description du programme

Selon le Cadre national des services de santé essentiels, on définit les services de santé comme étant des services de santé physique et mentale comprenant la promotion de la santé, la prévention des maladies, le maintien de la santé, l'éducation du patient, le diagnostic et le traitement des maladies. En conformité avec la structure de programmes du SCC, des services de santé sont offerts dans trois domainesNotes de fin de document xiv :

  1. Services cliniques : « le dépistage, le diagnostic et le traitement des maladies aiguës ou chroniques »
  2. Santé publique : « divers services et ressources fournis aux détenus (santé mentale, bien-être, maladies infectieuses, etc.) en ce qui concerne la promotion et l'éducation en matière de santé; la prévention, le contrôle et la gestion des maladies infectieuses; et la planification de la continuité des soins en vue de la réinsertion sociale dans la collectivité ».
  3. Santé mentale : « le dépistage, l'intervention, le traitement et les services de soutien ainsi que la planification de la continuité des soins offerts aux détenus qui ont des besoins importants en santé mentale pour ce qui touche les émotions, la pensée ou le comportement ».

1.3.1 Activités liées à l'admission

Au cours du processus d'admission, les délinquants subissent des évaluations des besoins en matière de santé, des examens de dépistage, des tests et des interventions pour des besoins immédiats en matière de soins de santé mentale, clinique et publique. Des initiatives de prévention des maladies ainsi que des activités de promotion de la santé et d'éducation sont également offertes aux délinquants. La surveillance et l'analyse continues des besoins des délinquants en matière de santé commencent à l'admission et se poursuivent tout au long de l'incarcération.

1.3.2 Activités liées à l'incarcération

Selon le mandat du SCC, des services de santé essentiels sont fournis aux délinquants pendant l'incarcération. Cela comprend des dépistages et des évaluations continus au besoin, ainsi que diverses interventions en santé mentale, clinique et publique. Les mesures de prévention des maladies, les activités de promotion et d'éducation en matière de santé ainsi que la surveillance et l'analyse des besoins en matière de santé des délinquants, que l'on a commencées à l'admission, se poursuivent tout au long de la période d'incarcération.

Services de santé mentale : Une gamme de programmes et de services sont offerts dans les établissements pour répondre aux besoins des délinquants en matière de santé mentale. Les services de santé mentale primaires consistent en des interventions individuelles et en groupe (p. ex. hygiène du sommeil, gestion du stress, counseling), et supposent l'intervention en situation de crise, au besoin. Les délinquants qui ont besoin de soins de santé mentale intermédiaires peuvent accéder à des services d'intensité élevée ou modérée; les délinquantes peuvent également accéder au MVS. Les délinquants ayant des besoins aigus auxquels on ne peut répondre au sein de l'établissement peuvent recevoir des soins à un centre régional de traitement (CRT).

Services cliniques : On fournit aux délinquants des soins primaires (p. ex. services dentaires, services de pharmacie) et des services de gestion des maladies chroniques. Les délinquants ont également accès à des spécialistes dans la collectivité, s'il y a lieu. En outre, le SCC offre la gestion des maladies infectieuses, notamment le programme de traitement de substitution aux opiacés (TSO) qui est mis à la disposition des délinquants ayant des problèmes de toxicomanie.

Services de santé publique : Le SCC offre un certain nombre d'activités éducatives en santé publique pour lutter contre les maladies infectieuses, comme le Cours d'éducation par les pairs (CEP), qui vise à former les délinquants en tant que conseillers pairs et à fournir de l'information sur les maladies infectieuses. Les délinquants peuvent également avoir accès à des initiatives de réduction des méfaits (p. ex. Programme d'échange d'aiguilles, trousses de désinfection à l'eau de Javel, condoms).

1.3.3 Activités prélibératoires et dans la collectivité

Au cours de la planification prélibératoire, le SCC assure la planification courante de la continuité des soins pour préparer les délinquants aux transitions dans les soins, y compris la mise en liberté dans la collectivitéNotes de bas de page 2. Les délinquants ayant des besoins importants en santé mentale peuvent faire l'objet d'un renvoi pour la planification clinique de la continuité des soins. Ce processus vise à garantir que les délinquants bénéficient de la continuité des soins grâce à l'établissement de plans et de services de transition complets.

Dans la collectivité, le SCC offre des services de santé physique essentiels pour les délinquants résidant dans les centres correctionnels communautaires (CCC), où la protection provinciale n'est pas disponible. Cela peut inclure des rendez-vous, des soins dentaires, des lunettes et/ou de l'équipement et des dispositifs médicaux. Dans certaines régions, le SCC peut offrir une protection supplémentaire pour les médicaments. À certains endroits, le SCC fournit des services de santé mentale limités dans la collectivité afin d'offrir un soutien aux délinquants ayant des besoins importants en santé mentale. Ces services sont fournis par des professionnels de la santé mentale et peuvent inclure le suivi et l'évaluation, l'éducation, les services d'accompagnement clinique, les services mobiles et le renforcement des capacités communautaires.

2.0 Méthode de l'évaluation

2.1 Portée de l'évaluation

Nous avons a déterminé la portée de l'évaluation grâce à diverses activités visant à définir les priorités de l'évaluation, à savoir :

Des consultations continues auprès du Bureau de première responsabilité (BPR), du Secteur des services de santé et des principaux intervenants ont permis de préciser la portée de l'évaluation et d'organiser l'évaluation des services de santé en trois périodes : admission, incarcération, et processus prélibératoire et surveillance dans la collectivité. Ces trois périodes reflètent le continuum de soins fournis aux délinquants par le SCC et examinent les services de santé clinique, publique et mentale. Chaque période est brièvement décrite ci-dessous.

2.1.1 Admission

Les questions d'évaluation liées à l'admission étaient axées sur les dépistages et les outils d'évaluation à l'admission, ainsi que sur les interventions spécifiques en matière de services de santé, les activités de promotion de la santé et l'accès aux renseignements sur la santé. On a également examiné le besoin continu de services de santé du SCC, l'harmonisation avec les priorités du gouvernement, et les rôles et responsabilités fédéraux ont également été explorés. Des questions spécifiques ont été incluses en ce qui concerne la satisfaction des besoins en soins de santé des délinquantes, des délinquants autochtones et des délinquants âgés à l'admission.

2.1.2 Incarcération

Les questions d'évaluation liées à l'incarcération ont porté sur l'intégration et la continuité des services de santé, y compris les défis ou les améliorations associés à la nouvelle structure de gouvernance, la planification et la coordination des services de santé et les lacunes liées à l'accès aux professionnels de la santé et aux activités de promotion de la santé. Des questions spécifiques ont été incluses en ce qui concerne la satisfaction des besoins des délinquantes, des délinquants autochtones et des délinquants âgés pendant l'incarcération.

2.1.3 Processus prélibératoire et surveillance dans la collectivité

Pour ce qui est du processus prélibératoire et de la surveillance dans la collectivité, les questions d'évaluation étaient axées sur la planification courante et clinique de la continuité des soins et les services de santé mentale dans la collectivité. Les défis afférents à l'identification des délinquants et au paiement pour les services de santé essentiels ont également été examinés. Des questions spécifiques ont été incluses en ce qui concerne la satisfaction des besoins des délinquantes, des délinquants autochtones et des délinquants âgés pendant le processus prélibératoire et la surveillance dans la collectivité.

2.2 Approche

Pour évaluer les services de santé du SCC, nous avons fait appel à une conception mixte, qui combine des méthodes qualitatives et quantitatives. Plusieurs sources de données ont servi à traiter les enjeux et questions de l'évaluation. En voici quelques-unes ci-dessous.

2.2.1 Analyse documentaire et examen des documents

Un examen approfondi de la littérature évaluée par les pairs et des documents internes et externes a été mené, notamment :

2.2.2 Données qualitativesNotes de bas de page 3

Entrevues auprès des délinquants : Admission et incarcération

Les entrevues avec les délinquants concernant l'admission et l'incarcération ont été menées pendant les visites dans des établissements entre novembre 2014 et janvier 2015. Un guide d'entrevue a été élaboré à l'aide de questions ouvertes et fermées (comme des échelles d'opinions en cinq points, des questions dichotomiques et à choix multiples). Les critères de participation au questionnaire sur l'admission comprenaient des délinquants admis au SCC au cours des trois à douze mois précédents. Les critères relatifs au questionnaire sur l'incarcération comprenaient les délinquants qui étaient incarcérés sous la responsabilité du SCC depuis au moins 15 mois au moment de l'évaluation. Au total, 104 délinquants ont pris part aux entrevues sur l'admission, et 149, à celles sur l'incarcération.

Les données recueillies grâce aux deux questionnaires ont été saisies dans le logiciel Snap Survey et exportées en format SPSS (Statistical Package for Social Sciences) et Excel de Microsoft. Les membres de l'équipe de l'évaluation ont analysé les données qualitatives recueillies grâce aux questions ouvertes durant le processus itératif et inductifNotes de bas de page 4, afin de définir les thèmes pertinents. Les données qualitatives obtenues au moyen des questions fermées ont été analysées au moyen de techniques d'analyse descriptive. Les fréquences et les pourcentages ont été calculés en fonction du nombre de réponses valides aux questions.

Entrevues auprès des délinquants : Centre régional de traitement

Des entrevues auprès des délinquants ont été menées dans les CRT situés dans les régions du Québec et des Prairies entre le 26 et le 29 janvier 2015. Un guide d'entrevue a été élaboré à l'aide de questions ouvertes et fermées (questions dichotomiques et à choix multiples). Au total, 32 délinquants ont pris part aux entrevues. Ils étaient incarcérés pour une période minimale de deux mois à une période maximale de 108 mois.

Questionnaires électroniques accessibles au personnel

Quatre questionnaires électroniques ont été préparés à l'aide du logiciel Snap Survey et administrés sur le site intranet du SCC (InfoNet). On demandait au personnel des services de santé et au personnel n'œuvrant pas dans le domaine de la santé de faire part de leur points de vue et de leur expérience en ce qui concerne la prestation de services de santé aux délinquants tout au long du continuum de soins. Les répondants représentaient l'ensemble des niveaux de sécurité, des régions, des sexes et des établissements au Canada. En outre, une consultation électronique a été développée à l'aide de Word de Microsoft et a été envoyée par Outlook. On a analysé les données en utilisant les mêmes méthodes et processus que ceux employés pour les entrevues avec les délinquants.

Admission et incarcération

Processus prélibératoire et surveillance dans la collectivité

2.2.3 Données quantitatives

Données automatisées

Nous avons utilisé diverses sources de données automatisées lors de l'évaluation, notamment celles qui suivent.

Données sur les délinquants : Des données relatives aux renvois, aux évaluations et aux services en santé mentale ont été extraites du Système informatisé de dépistage des troubles mentaux à l'évaluation initiale (SIDTMEI) et du Système de suivi de la santé mentale (SSSM) et analysées à l'aide du logiciel Statistical Analysis System (SAS). Des données supplémentaires relatives aux profils de sous-population, aux caractéristiques des délinquants et aux résultats correctionnels (p. ex. incidents survenant en établissement) ont été extraites du Système de gestion des délinquant(e)s (SGD) et analysées à l'aide de SAS.

Données sur les ressources humaines : Les données extraites de la base de données du Système de gestion des ressources humaines (SGRH) ont été fournies par le Secteur de la gestion des ressources humaines du SCC. Les données relatives aux classifications du personnel, aux postes et aux lieux, ainsi que des données spécifiques à la formation sur les perceptions autochtones ont été récupérées pour la période de 2014 à 2016.

Données financières : On a analysé à l'aide d'Excel les données relatives aux dépenses affectées aux services de santé, récupérées dans le Système intégré de gestion des finances et du matériel (SIGFM) pour la période allant de 2012-2013 à 2015-2016.

2.3 Mesures

Analyse des données qualitatives

On utilise l'échelle suivante dans le présent rapport pour montrer l'importance des thématiques qualitativesNotes de bas de page 9 émergentes et faciliter l'interprétation des résultats de l'évaluation :

2.4 Limites et stratégies d'atténuation

Les évaluations font face à des contraintes qui peuvent avoir des répercussions sur la validité et la fiabilité des constatations et des recommandations des évaluations. Le tableau suivant décrit les limites rencontrées ainsi que l'incidence subie et les stratégies d'atténuation mises en place pour s'assurer que les décideurs font confiance aux constatations et recommandations de l'évaluation.

Limite Incidence Stratégie d'atténuation
Données manquantes ou peu fiables (p. ex. orientation des services dans le domaine de la santé, délais d'attente, participation à un programme, niveau de besoins, dépenses engagées, identification des délinquants, activités de planification clinique de la continuité des soins). Incapacité de rendre compte de l'efficacité, de l'efficience et/ou de la rentabilité de l'évaluation des services de santé. Les données peu fiables ont été exclues de nos analyses, et des recommandations ont été formulées concernant le suivi et la consignation des renseignements pertinents.
Taille de l'échantillon trop petite pour effectuer des analyses et/ou tirer des conclusions :
  • Délinquants âgés (p. ex. outil de dépistage/d'évaluation des services de santé à l'admission)
  • Délinquantes et délinquants autochtones (p. ex. incidence du traitement en santé mentale sur les résultats correctionnels dans les établissements ordinaires et les CRT)
L'information détaillée pour des populations spécifiques de délinquants n'est pas complète.

Incapacité d'analyser l'efficacité et l'efficience des services pour des populations spécifiques (p. ex. délinquants et délinquants autochtones) de manière indépendante.
Les exigences et les services en matière de santé concernant les délinquants âgés ont été évalués dans d'autres volets de l'évaluation, dans la mesure du possible (p. ex. services de santé pour des populations spécifiques).

Les analyses globales comprenaient les délinquantes et les délinquants autochtones.
Les résultats correctionnels (p. ex. incidents survenus en établissement) pourraient être attribuables au temps qui passe (c.-à-d. les résultats sont davantage susceptibles de se produire plus tard durant la peine d'un délinquant) ou la participation à un traitement en santé mentale. Difficulté à déterminer la validité conceptuelle de l'analyse. Un échantillon aléatoire de délinquants a été choisi comme groupe de référence, et des échéances de traitement arbitraires ont été mises en œuvre dans le but de comparer les résultats.
Pendant un traitement en santé mentale, les délinquants peuvent manifester une instabilité affective accrue, ce qui donne lieu à des résultats en milieu correctionnel (c.-à-d. des incidents survenus en établissement). Difficulté à déterminer si le traitement a eu une incidence importante sur les résultats correctionnels pendant le traitement. On présentera les résultats en indiquant qu'il convient d'interpréter avec prudence les résultats obtenus pendant le traitement.
Un petit nombre d'entrevues auprès des CRT ont été réalisées. Les expériences déclarées ne représentent qu'un petit sous-ensemble de la population. D'autres sources de données ont été utilisées pour corroborer et fournir de l'information supplémentaire sur les données recueillies lors des entrevues.

4.0 Conclusion

Le concept d'universalité concernant les soins de santé est décrit dans la Loi canadienne sur la santéNotes de fin de document ccix, ce qui signifie que tous les Canadiens ont le droit d'accéder aux soins de santé conformément au régime d'assurance maladie de leur province respective; dans le cas des personnes incarcérées sous responsabilité fédérale, le SCC fournit l'accès aux soins de santé.

L'évaluation a révélé que les Services de santé du SCC sont pertinents et répondent aux besoins des délinquants sous responsabilité fédérale. Des répercussions positives ont été constatées en ce qui concerne les soins de santé mentale en établissement où les délinquants ont présenté une probabilité réduite d'incidents, d'accusations graves et de placement en isolement non sollicité suite aux traitements. On a relevé plusieurs domaines clés pouvant faire l'objet d'améliorations en matière de services, tels que :

La présente évaluation permettra au SCC d'améliorer la prestation des services de santé pour l'ensemble des délinquants dans le continuum de soins.

Annexe A : Politiques et lois

Voici une liste des Directives du commissaire comprenant un volet lié à la santé :

Annexe B : Besoins en matière de services de santé

Besoins en matière de services de santé clinique

Délinquants de sexe masculinNotes de fin de document ccx

DélinquantesNotes de fin de document ccxiii

Besoins en matière de services de santé publiqueNotes de bas de page 148

Les problèmes de santé publique les plus couramment déclarés par les délinquants et les délinquantes sont décrits ci-dessous.

Délinquants de sexe masculinNotes de fin de document ccxiv

Selon les données autodéclarées :

DélinquantesNotes de fin de document ccxv

Selon les données autodéclarées :

Besoins en matière de santé mentale

Délinquants de sexe masculin

Délinquantes

Annexe D : Efficacité de l'évaluation initiale de santé au sein de certaines populations de délinquants

Délinquants autochtones

Délinquants membres des minorités visibles

Délinquants âgés

Délinquantes

Annexe E : Description des initiatives d'éducation en matière de santé

Programme de sensibilisation à la réception (PSR) :

Cours d'éducation par les pairs (CEP) et Cours d'éducation par les pairs autochtones (CEPA) :

Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide pour détenus (ASPSD) :

Fiches de renseignements des Services de santé :

Annexe F : Services de santé mentale en établissement

Traitement de santé mentale dans les établissements ordinaires

Tableau 1 : Régression à risques proportionnels, traitement de santé mentale dans les établissements ordinaires et périodes suite au traitement – probabilité des résultats correctionnels (n = 3 167)
Intervalle de confiance de 95 %
Variables B RR Inférieur Supérieur

* p <0,05; **p < 0,01; ***p <0,001. Les logarithmes du rapport de vraisemblance pour tous les modèles étaient significatifs dans l'ensemble (c.-à-d. p < 0,0001).

Chaque modèle a tenu compte du risque, des besoins, de la motivation, du potentiel de réinsertion sociale, de l'âge, du sexe et du statut d'Autochtone. Les effets du temps ont également été pris en compte pour les variables qui ne correspondaient pas à l'hypothèse des risques proportionnels.

Les seuils de signification pour les ratios de risque ont été corrigés pour tenir compte de la dépendance au moyen de l'estimateur « sandwich » modifié (Allison, 2010).

Les incidents de voies de fait, l'automutilation et le placement en isolement sollicité ne sont pas inclus en raison du faible nombre de délinquants ayant vécu de tels événements.

Incidents : Tous
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,04070 0,960 0,863 1,068
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,09101 0,913* 0,836 0,997
Incidents : Comportement
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,04524 1,046 0,854 1,281
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,07826 0,925 0,794 1,077
Accusations mineures
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,02530 1,026 0,897 1,173
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,06023 0,942 0,836 1,060
Accusations graves
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,12578 0,882 0,727 1,070
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,35008 0,705*** 0,602 0,825
Isolement non sollicité
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,13634 0,873* 0,769 0,990
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,38467 0,681*** 0,605 0,765
Achèvement de programmes correctionnels nationaux
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,17865 1,196*** 1,078 1,327
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,20870 1,232*** 1,122 1,352
Cours terminés/crédits obtenus
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,02233 1,023 0,901 1,160
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,29131 1,338*** 1,188 1,508

Traitement de santé mentale dans les établissements ordinaires : délinquants autochtones

Tableau 2 : Régression à risques proportionnels, traitement de santé mentale dans les établissements ordinaires et périodes après le traitement – probabilité des résultats correctionnels pour les délinquants autochtones (n = 802)
Intervalle de confiance de 95 %
Variables B RR Inférieur Supérieur

* p < 0,05; **p < 0,01; ***p < 0,001. Les logarithmes du rapport de vraisemblance pour tous les modèles étaient significatifs dans l'ensemble (c.-à-d. p < 0,0001).

Chaque modèle a tenu compte du risque, des besoins, de la motivation, du potentiel de réinsertion sociale, de l'âge, du sexe et du statut d'Autochtone. Les effets du temps ont également été pris en compte pour les variables qui ne correspondaient pas à l'hypothèse des risques proportionnels.

Les valeurs de signification pour les ratios de risque ont été corrigées pour tenir compte de la dépendance au moyen de l'estimateur « sandwich » modifié (Allison, 2010).

Les incidents de voies de fait, l'automutilation et le placement en isolement sollicité ne sont pas inclus en raison du faible nombre de délinquants ayant vécu de tels événements.

Incidents : Tous
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,02019 0,980 0,795 1,207
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,07465 0,928 0,784 1,098
Incidents : Comportement
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,00847 0,992 0,686 1,434
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,24882 0,780 0,580 1,048
Accusations mineures
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,00244 0,998 0,807 1,234
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,07810 0,925 0,751 1,139
Accusations graves
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,06992 0,932 0,639 1,360
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,20298 0,816 0,639 1,043
Isolement non sollicité
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,12117 0,886 0,700 1,122
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,35983 0,698** 0,555 0,877
Achèvement de programmes correctionnels nationaux
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,32006 1,377** 1,137 1,668
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,26252 1,300** 1,090 1,551
Cours terminés/crédits obtenus
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,00478 0,995 0,804 1,233
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,20521 1,228* 1,002 1,505

Traitement de santé mentale dans les CRT

Tableau 3 : Régression à risques proportionnels, traitement de santé mentale dans les CRT et périodes après le traitement – probabilité des résultats correctionnels (n = 617)
Intervalle de confiance de 95 %
Variables B RR Inférieur Supérieur

* p < 0,05; **p < 0,01; ***p < 0,001. Les logarithmes du rapport de vraisemblance pour tous les modèles étaient significatifs dans l'ensemble (c.-à-d. p < 0,0001).

Chaque modèle a tenu compte du risque, des besoins, de la motivation, du potentiel de réinsertion sociale, de l'âge, du sexe et du statut d'Autochtone. Les effets du temps ont également été pris en compte pour les variables qui ne correspondaient pas à l'hypothèse des risques proportionnels.

Les valeurs de signification pour les ratios de risque ont été corrigées pour tenir compte de la dépendance au moyen de l'estimateur « sandwich » modifié (Allison, 2010).

Les placements en isolement sollicité ne sont pas inclus en raison du faible nombre de délinquants ayant vécu de tels événements.

Incidents : Tous
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,19464 1,215*** 1,087 1,358
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,21539 0,806*** 0,714 0,911
Incidents : Comportement
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,38367 1,468** 1,141 1,887
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,34242 0,710* 0,541 0,933
Accusations mineures
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,27319 1,314** 1,099 1,571
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,23994 0,787* 0,654 0,947
Accusations graves
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) 0,04428 1,045 0,799 1,368
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,41555 0,660* 0,454 0,959
Isolement non sollicité
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,23779 0,788 0,605 1,027
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,05286 0,949 0,679 1,324
Achèvement de programmes correctionnels nationaux
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,36885 0,692** 0,524 0,912
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,37151 0,690*** 0,554 0,859
Cours terminés/crédits obtenus
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,49070 0,612*** 0,513 0,731
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) -0,20673 0,813** 0,695 0,951
Incidents : Tous
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,22237 0,801 0,565 1,135
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,05852 1,060 0,824 1,364
Incidents : Comportement
Durant le traitement (par rapport à avant le traitement) -0,28018 0,756 0,548 1,041
Suite au traitement (par rapport à avant le traitement) 0,05759 1,059 0,776 1,445

Annexe G : Services de santé mentale dans la collectivité

Tableau 1 : Résultats en matière de récidive pour les participants de sexe masculin et de sexe féminin qui ont participé à l'ISMC et ceux faisant partie du groupe n'ayant pas participé à l'ISMC

Récidive dans les 24 mois suivant la mise en liberté
Hommes Femmes
n (%) N n (%) N
Services d'un spécialiste de la SMC 74 (30 %) 249 9 (27 %) 33
Services de PCCS 34 (52 %) 65 6 (43 %) 14
PCCS/spécialiste de la SMC 27 (43 %) 63 3 (17 %) 18
Groupe n'ayant pas bénéficié des services d'un spécialiste de la SMC 138 (51 %) 269 19 (33 %) 58
Récidive dans les 48 mois suivant la mise en liberté
Hommes Femmes
n (%) N n (%) N
Services d'un spécialiste de la SMC 90 (36 %) 249 10 (30 %) 33
Services de PCCS 38 (59 %) 65 7 (50 %) 14
PCCS/spécialiste de la SMC 32 (51 %) 63 5 (28 %) 18
Groupe n'ayant pas bénéficié des services d'un spécialiste de la SMC 165 (61 %) 269 27 (47 %) 58

Source : MacDonald, S. F., L. A. Stewart et S. Feeley. Incidence de l'Initiative sur la santé mentale dans la collectivité (Rapport de recherche R-337), Ottawa (Ontario), 2014.

Annexe H : Planification clinique de la continuité des soins — Rôles et responsabilités

Le processus de planification clinique de la continuité des soins suppose une coordination entre plusieurs membres clés du personnel dont l'intervention est fonction des besoins en santé du délinquant.

Rôles et responsabilités en matière de planification clinique de la continuité des soins

La Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soinsNotes de bas de page 163, les Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements et les Lignes directrices intégrées en santé mentale décrivent les rôles et responsabilités du personnel du SCC en matière de PCCSNotes de fin de document ccxlvii.

Annexe I : Références et renseignements supplémentaires pour les sous-populations de délinquants

Délinquantes

ProfilNotes de fin de document cclviii

Besoins fréquents en matière de santéNotes de fin de document cclix

Politiques et lignes directrices liées à la santé

Stratégies et initiatives liées à la santéNotes de fin de document cclxii

Perceptions générales des services de santé pour les délinquantesNotes de bas de page 166

Délinquants autochtones

ProfilNotes de fin de document cclxviii

Besoins fréquents en matière de santé

Politiques et lignes directrices liées à la santé

Stratégies et initiatives liées à la santéNotes de fin de document cclxxiii

Perceptions générales des services de santé pour les délinquantes autochtonesNotes de bas de page 171

Délinquants d'autres minorités visibles

ProfilNotes de fin de document cclxxvi

Groupement ethnique Total (%)
Autochtone 5 223 (23 %)
Asiatique 1 256 (5 %)
Noir 1 768 (8 %)
Blanc 13 521 (59 %)
Hispanique 237 (1 %)
Autre 964 (4 %)

Perceptions générales des services de santé pour les délinquants d'autres minorités visiblesNotes de bas de page 173

Services de santé en établissement :

Services de santé mentale dans la collectivité :

Délinquants âgés

ProfilNotes de fin de document cclxxvii

Besoins fréquents en matière de santé

Politiques et lignes directrices liées à la santéNotes de fin de document cclxxxi

Stratégies et initiatives liées à la santéNotes de fin de document cclxxxv

Perceptions générales des services de santé pour les délinquants âgésNotes de bas de page 179

Services de santé en établissement :

Services de santé mentale dans la collectivité :

Bibliographie

Notes de fin de document i

Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition. L. C. 1992, ch. 20.

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Notes de fin de document ii

Sécurité publique Canada. Aperçu statistique : Le système correctionnel et la mise en liberté sous condition, Ottawa (Ontario), 2015, p. 48.

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Notes de fin de document iii

Infonet. Services de santé. Consulté à l'adresse http://infonet/fra/Sectors/HealthServices/pages/home.aspx, 2016.

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Notes de fin de document iv

Service correctionnel du Canada. Rapports sur les plans et les priorités 2016-2017, Ottawa (Ontario), 2016, p. 8-14.

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Notes de fin de document v

Beaudette, J., J. Power et L. Stewart. La prévalence nationale des troubles mentaux chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2015; Service correctionnel du Canada. Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale, Ottawa (Ontario), Services de santé, 2015; Derkzen, D., L. Booth, A. McConnell et K. Taylor. Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2012; Nolan, A. et L. Stewart. État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014; ; Stewart et coll. État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document vi

Massoglia, M. « Incarceration as exposure: The prison, infectious disease, and other stress-related illnesses », Journal of Health and Social Behaviour 49(1), 2008, 56-71; Stewart, L., J. Sapers, A. Nolan et J. Power. État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014; Thompson, B. et R. Finch. « Hepatitis C virus infection », Clinical Microbiology and Infection, 11(2), 2005, 87.

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Notes de fin de document vii

Awofeso, N. « Prisons as social determinants of hepatitis C virus and tuberculosis infections », Public Health Reports 125, 2010, 25-33; Massoglia, M. « Incarceration as exposure: The prison, infectious disease, and other stress-related illnesses », Journal of Health and Social Behaviour 49(1), 2008, 56-71, 2008; Williams, N. « Prison health and the health of the public: Ties that bind », Journal of Correctional Health Care 13(2), 2007, 80-92.

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Notes de fin de document viii

Awofeso, N. « Prisons as social determinants of hepatitis C virus and tuberculosis infections », Public Health Reports 125, 2010, 25-33; Massoglia, M. « Incarceration as exposure: The prison, infectious disease, and other stress-related illnesses », Journal of Health and Social Behaviour 49(1), 2008, 56-71, 2008; Williams, N. « Prison health and the health of the public: Ties that bind », Journal of Correctional Health Care 13(2), 2007, 80-92.

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Notes de fin de document ix

Sécurité publique Canada. Aperçu statistique : Le système correctionnel et la mise en liberté sous condition, Ottawa (Ontario), 2015, p. 48.

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Notes de fin de document x

Nolan, A. et L. Stewart. État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014; Stewart et coll. État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document xi

Sifunda, S. et coll. « The effectiveness of a peer-led HIV/AIDS and STI health education intervention for prison inmates in South Africa », Health Education & Behavior 35(4), 2008, 494-508.

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Notes de fin de document xii

Dumont, D. et coll. « Public health and the epidemic of incarceration », Annual Review of Public Health 33, 2012, 325-329.

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Notes de fin de document xiii

Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition. L. C. 1992, ch. 20. Consulté à l'adresse https://www.canlii.org/fr/ca/legis/lois/lc-1992-c-20/104969/lc-1992-c-20.html.

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Notes de fin de document xiv

Service correctionnel du Canada. Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario) (23 juillet 2015).

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Notes de fin de document xv

Hayton, P. (2007). Protecting and promoting health in prisons: A settings approach. In L. Moller, et al. (Eds.), Health in prisons: A WHO guide to the essentials of prison health (pp. 15-20). Copenhagen, DK: WHO Publications.

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Notes de fin de document xvi

L. Stewart, J. Sapers, A. Nolan et J. Power, État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314). Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xvii

Awofeso, N. (2010). Prisons as social determinants of hepatitis C virus and tuberculosis infections. Public Health Reports, 125, 25-33.; Massoglia, M. (2008). Incarceration as exposure: The prison, infectious disease, and other stress-related illnesses. Journal of Health and Social Behavior, 49(1), 56-71.; Tarbuck, A. (2001). Health of elderly inmates. Age and Ageing, 30(5), 369-370.

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Notes de fin de document xviii

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document xix

A. Nolan et L. Stewart, État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014. Stewart et coll. État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xx

A. Nolan et L. Stewart, État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxi

Service correctionnel du Canada, Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale du SCC, Services de santé, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document xxii

J. Beaudette et L. Stewart, Recherche en bref : Les délinquants âgés incarcérés dans des établissements du Service correctionnel du Canada (RS 14-21), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxiii

L. Stewart, J. Sapers, A. Nolan et J. Power, État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport trimestriel sur la santé publique EF 2013-2014, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxv

Service correctionnel du Canada, Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale du SCC, Services de santé, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document xxvi

A. Nolan et L. Stewart, État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014. Stewart et coll., État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314). Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxvii

Agence de la santé publique du Canada, La tuberculose au Canada 2013 – Prédiffusion, Ottawa, Ontario, 2013.

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Notes de fin de document xxviii

Service correctionnel du Canada, Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale du SCC, Services de santé, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document xxix

Statistique Canada, Coup d'œil sur la santé : Troubles mentaux et troubles liés à l'utilisation de substances au Canada, 2013. Consulté le 18 septembre 2013 au http://www.statcan.gc.ca/pub/82-624-x/2013001/article/11855-fra.htm.

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Notes de fin de document xxx

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale : Résultats de fin d'exercice 2013-2014, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document xxxi

J. Beaudette, J. Power et L. Stewart, Prévalence nationale des problèmes de santé mentale chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2015. D. Derkzen, L. Booth, A. McConnell et K. Taylor, Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document xxxii

American Psychological Association, DSM-IV and DSM-5 criteria for the personality disorders, Washington (D. C.), 2012.

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Notes de fin de document xxxiii

Toutes les statistiques relatives à l'automutilation proviennent de : J. Power, A. Gordon, J.Sapers et J.Beaudette, Une étude de reproduction de l'étude intitulée Incidents d'automutilation survenus dans les établissements du SCC sur une période de 30 mois (R-293), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document xxxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur les plans et les priorités 2015-2020, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document xxxv

Service correctionnel du Canada, Secteur des Services de santé du SCC : Priorités pour 2013-2015, 2013. Consulté au http://infonet/Sectors/HealthServices?lang=en.

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Notes de fin de document xxxvi

Service correctionnel du Canada, Secteur des Services de santé du SCC : Priorités pour 2013-2015, 2013. Consulté au http://infonet/Sectors/HealthServices?lang=en.

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Notes de fin de document xxxvii

Gouvernement du Canada, Plan d'action sur la santé mentale pour les délinquants sous responsabilité fédérale, Ottawa, Ontario, 2014. Consulté au http://www.securitepublique.gc.ca/cnt/cntrng-crm/crrctns/mntl-hlth-ctn-pln-fr.aspx.

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Notes de fin de document xxxviii

Gouvernement du Canada, Réaliser le vrai changement : Discours du Trône ouvrant la première session de la quarante-deuxième législature du Canada, 2015. Consulté au http://discours.gc.ca/fr/contenu/realiser-le-vrai-changement.

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Notes de fin de document xxxix

Gouvernement du Canada, Lettre de mandat du ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, 2015. Consulté au http://pm.gc.ca/fra/lettre-de-mandat-du-ministre-de-la-securite-publique-et-de-la-protection-civile.

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Notes de fin de document xl

Loi canadienne sur la santé. L.R.C. 1985, ch. C-6, consulté au http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/c-6/page-1.html. Loi constitutionnelle de 1982. Annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada (R-U), 1982, ch. 11, consulté au http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/Const/page-15.html. Pour de plus amples renseignements, voir : N. M. Chenier, Responsabilité fédérale en matière de prestation de services de santé à certains groupes (PRB 04-52F), 2014, Bibliothèque du Parlement, Ottawa, Ontario. M. Tiedemann, Le rôle fédéral dans le domaine de la santé et des soins de santé, Parlement du Canada, Ottawa, Ontario, 2008.

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Notes de fin de document xli

Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition. L.C. 1992, ch. 20, consulté au http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/C-44.6/page-1.html.

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Notes de fin de document xlii

J. Thomas, Rapport sur le cadre d'évaluation de la diversification des modes de prestation de services, Ottawa, Ontario, 2010. J. Thomas, Mise en œuvre des recommandations du Rapport sur le cadre d'évaluation de la diversification des modes de prestation de service : Rapport en vue de la réunion du Comité de direction du SCC qui sera tenue le 5 octobre 2011, Ottawa, Ontario, 2011.

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Notes de fin de document xliii

N. Hall et C. Weaver, A framework for diversion of persons with a mental disorder in BC, Association canadienne pour la santé mentale, Vancouver, C.-B, 2008.

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Notes de fin de document xliv

N. Hall et C. Weaver, A framework for diversion of persons with a mental disorder in BC, Association canadienne pour la santé mentale, Vancouver, C.-B., 2008. Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419. J. Livingston, C. Weaver, N. Hall et S. Verdun-Jones, Criminal justice diversion for persons with mental disorders: A review of best practices, 2008, Association canadienne pour la santé mentale, Vancouver, C.-B. M. Munetz et P. Griffin, Use of the sequential intercept model as an approach to decriminalization of people with serious mental illness, Psychiatric Services, 57(4), pages 544-549, 2006.

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Notes de fin de document xlv

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la prestation des services de santé mentale dans la collectivité, Ottawa, Ontario, 2013.

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Notes de fin de document xlvi

Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes : Santé mentale et bien-être, 2007. Consulté au http://www.statcan.gc.ca/pub/82-617-x/index-fra.htm.

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Notes de fin de document xlvii

L. Friedli et M. Parsonage, Mental health promotion: Building an economic case, Northern Ireland Association for Mental Health, Belfast, Irlande, 2007. J. Hill, Early identification of individuals at risk for antisocial personality disorder, The British Journal of Psychiatry, 182(44), art. 11-14, 2003.

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Notes de fin de document xlviii

S. Aos, M. Miller et E. Drake, Evidence-based public policy options to reduce future prison construction, criminal justice costs, and crime rates, Washington State Institute for Public Policy, Olympia, Washington, 2006.

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Notes de fin de document xlix

Centre national de prévention du crime, Le programme Stop Now and Plan – SNAPMD Prévention du crime en action, Sécurité publique Canada, Ottawa, Ontario, 2013.

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Notes de fin de document l

D. Farrington et C. Koegl, The monetary benefits and costs of the Stop Now and Plan Program for boys aged 6-11, based on the prevention of later offending, Journal of Quantitative Criminology, 31(2), 2014, pages 263-287.

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Notes de fin de document li

Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419. C. Sarteschi, M. Vaughn et K. Kim, Assessing the effectiveness of mental health courts: A quantitative review, Journal of Criminal Justice, 39(1), 2011, pages 12-20.

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Notes de fin de document lii

A. Cowell, N. Broner et R. Dupont, The cost effectiveness of criminal justice diversion programs for people with serious mental illness co-occurring with substance abuse: Four case studies, Journal of Contemporary Criminal Justice, 20(3), 2004, pages 292-315.

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Notes de fin de document liii

Centre de toxicomanie et de santé mentale et Conseil canadien de développement social, Le logement : la clé du rétablissement – Évaluation des besoins en matière de logement et de services connexes des personnes ayant des problèmes de santé mentale ou une maladie mentale, Commission de la santé mentale du Canada, Calgary, Alberta, 2011. Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419. A. Lindberg, Examining the program costs and outcomes of San Francisco's Behavioral Health Court: Predicting success, Office of Collaborative Justice Programs, Cour supérieure de la Californie, comté de San Francisco, San Francisco, Californie, 2009. Ridgely et coll., Justice, treatment and cost: An evaluation of the fiscal impact of Allegheny Country Mental Health Court. RAND, Santa Monica, Californie, 2007.

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Notes de fin de document liv

D. Laliberté, G. Rosario, L. Léonard, D. Smith-Moncrieffe et A. Warner, Résultats des programmes de prévention du crime pour les jeunes de 12 à 17 ans, Centre national de prévention du crime, Sécurité publique Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lv

Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419.

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Notes de fin de document lvi

Service correctionnel du Canada, Analyse du processus d'évaluation initiale des soins infirmiers et du bilan comparatif des médicaments 2013-2014, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lvii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale Résultats de fin d'exercice 2013-2014, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lviii

Agrément Canada, Rapport d'agrément : Services de santé du Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lix

Wilton et coll., Résultats de recherche émergents – Concordance entre trois outils de dépistage des troubles mentaux (résumé de recherche numéro B-58), Ottawa, Ontario, Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document lx

Service correctionnel du Canada, Exigences en matière de soins de santé relatives à l'arrivée et au transfèrement d'un détenu, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lxi

Service correctionnel du Canada, Version 2.2 du Système informatisé de dépistage des troubles mentaux à l'évaluation initiale – Lignes directrices nationales, Ottawa, Ontario, 2014. Service correctionnel du Canada, Dépistage des troubles mentaux, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document lxii

Wilton et coll., Résultats de recherche émergents – Concordance entre trois outils de dépistage des troubles mentaux (résumé de recherche numéro B-58), Ottawa, Ontario, Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document lxiii

Wilton et coll., Résultats de recherche émergents – Concordance entre trois outils de dépistage des troubles mentaux (résumé de recherche numéro B-58), Ottawa, Ontario, Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document lxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale Résultats de fin d'exercice 2014-15, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document lxv

Wilton et coll., Résultats de recherche émergents – Concordance entre trois outils de dépistage des troubles mentaux (résumé de recherche numéro B-58), Ottawa, Ontario, Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document lxvi

Wilton et coll., Résultats de recherche émergents – Concordance entre trois outils de dépistage des troubles mentaux (résumé de recherche numéro B-58), Ottawa, Ontario, Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document lxvii

Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition. L. C. 1992, ch. 20.

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Notes de fin de document lxviii

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxix

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015, page 7.

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Notes de fin de document lxx

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015, page 2.

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Notes de fin de document lxxi

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015, Annexe A.

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Notes de fin de document lxxii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement des Services de santé 2012-2013, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document lxxiii

Service correctionnel du Canada, Données de surveillance non publiées des Services de santé, 2016.

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Notes de fin de document lxxiv

Service correctionnel du Canada, Données de surveillance non publiées des Services de santé, 2016.

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Notes de fin de document lxxv

Service correctionnel du Canada, Données de surveillance non publiées des Services de santé, 2016.

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Notes de fin de document lxxvi

Service correctionnel du Canada, Données de surveillance non publiées des Services de santé, 2016.

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Notes de fin de document lxxvii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement des Services de santé 2012-2013, Ottawa (Ontario), 2013, page 14.

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Notes de fin de document lxxviii

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxix

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxx

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015, page 1.

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Notes de fin de document lxxxi

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxxii

Service correctionnel du Canada, Vers un continuum de soins, 2012. Consulté au http://www.csc-scc.gc.ca/002/006/002006-2000-fra.shtml.

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Notes de fin de document lxxxiii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale – Résultats de fin d'année 2014-15, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale – Résultats de fin d'année 2014-15, Ottawa (Ontario), 2015, page 13.

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Notes de fin de document lxxxv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale – Résultats de fin d'année 2014-15, Ottawa (Ontario), 2015, page 16.

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Notes de fin de document lxxxvi

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxxvii

Association canadienne d'informatique de la santé, 2015 Canadian telehealth report, Toronto (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document lxxxviii

Service correctionnel du Canada, Services de santé : Ontario Telemedicine Network, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document lxxxix

Agrément Canada, Rapport d'agrément : Services de santé du Service correctionnel du Canada, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document xc

W. Glauser, M. Nolan et A. Remfry, Telemedicine on the rise across Canada, 2015. Consulté au http://healthydebate.ca/2015/06/topic/telemedicine-across-canada.

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Notes de fin de document xci

Service correctionnel du Canada, Services de santé : Ontario Telemedicine Network, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document xcii

Service correctionnel du Canada, Services de santé : Élargir l'utilisation de la télémédecine, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document xciii

P. Schaenman et coll., Opportunities for cost savings in corrections without sacrificing service quality: Inmate health care, Washington (D. C.), 2013, page 20.

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Notes de fin de document xciv

PEW Charitable Trusts and MacArthur Foundation, State prison health care spending: An examination, 2014. Consulté au http://www.pewtrusts.org/mwg-internal/de5fs23hu73ds/progress?id=90xXyrs8KPMaqrCmWFgw_Lg5J4mOsLwoxa-1IUpxoP8. J. Reno et coll., Telemedicine can reduce correctional health care costs: An evaluation of a prison telemedicine network, Washington (D. C.), 1999.

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Notes de fin de document xcv

J. Reno et coll., Telemedicine can reduce correctional health care costs: An evaluation of a prison telemedicine network, Washington (D. C.), 1999.

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Notes de fin de document xcvi

M. Ollove, State prisons turn to telemedicine to improve health and save money, 2016. Consulté au http://www.pewtrusts.org/en/research-and-analysis/blogs/stateline/2016/01/21/state-prisons-turn-to-telemedicine-to-improve.

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Notes de fin de document xcvii

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document xcviii

B. Barua, Waiting your turn: Wait times for health care in Canada, The Fraser Institute, Vancouver (C.-B.), 2015.

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Notes de fin de document xcix

Santé Canada, Rencontre des premiers ministres sur les soins de santé, 2012. Consulté au http://canadiensensante.gc.ca/health-system-systeme-sante/services/quality-qualite/wait-attente/meeting-rencontre-fra.php?_ga=1.260626379.71184447.1475670956.

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Notes de fin de document c

Association canadienne d'informatique de la santé, 2013 Canadian telehealth report, Toronto (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ci

Association canadienne d'informatique de la santé, 2013 Canadian telehealth report, Toronto (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cii

Association canadienne d'informatique de la santé, 2013 Canadian telehealth report, Toronto (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ciii

W. Glauser, M. Nolan et A. Remfry, Telemedicine on the rise across Canada, 2015. Consulté au http://healthydebate.ca/2015/06/topic/telemedicine-across-canada.

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Notes de fin de document civ

W. Glauser, M. Nolan et A. Remfry, Telemedicine on the rise across Canada, 2015. Consulté au http://healthydebate.ca/2015/06/topic/telemedicine-across-canada.

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Notes de fin de document cv

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 710-2-3 : Processus de transfèrement des détenus, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cvi

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015, page 3.

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Notes de fin de document cvii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cviii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015, page 4.

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Notes de fin de document cix

Inforoute Santé du Canada, Les nouveaux avantages provenant de l'utilisation du dossier médical électronique dans les cabinets de médecins, Toronto (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cx

Inforoute Santé du Canada, Les nouveaux avantages provenant de l'utilisation du dossier médical électronique dans les cabinets de médecins, Toronto (Ontario), 2013. D. Knight, Electronic medical records: Moving jails forward, 2009. Consulté au http://www.corrections.com/news/article/22296-electronic-medical-records-moving-jails-forward.

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Notes de fin de document cxi

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxiii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2011-2012, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document cxiv

Service correctionnel du Canada, Promotion de la santé. 2016. Consulté au http://infonet/eng/Sectors/HealthServices/PublicHealth/Pages/HealthPromotion.aspx.

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Notes de fin de document cxv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement des Services de santé 2012-2013, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cxvi

Service correctionnel du Canada, Promotion de la santé. 2016. Consulté au http://infonet/eng/Sectors/HealthServices/PublicHealth/Pages/HealthPromotion.aspx.

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Notes de fin de document cxvii

Service correctionnel du Canada, Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide à l'intention des détenus – Manuel du participant, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document cxviii

Service correctionnel du Canada, Promotion de la santé. 2016. Consulté au http://infonet/eng/Sectors/HealthServices/PublicHealth/Pages/HealthPromotion.aspx.

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Notes de fin de document cxix

A. Nolan et L. Stewart (non publié, en révision), Initiatives de promotion de la santé et d'éducation en matière de santé en milieu correctionnel : analyse documentaire, Service correctionnel du Canada, Ottawa (Ontario).

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Notes de fin de document cxx

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 705 : Cadre du processus d'évaluation initiale et du Plan correctionnel, Ottawa (Ontario), 2014, p. 3.

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Notes de fin de document cxxi

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement des Services de santé 2012-2013, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cxxii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé publique – Résultats de fin d'exercice 2013-14, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxiii

Service correctionnel du Canada, Rapport ministériel sur le rendement, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale – Résultats de fin d'année 2014-15, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxxv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé publique – Résultats de fin d'exercice 2013-14, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxvi

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé publique – Résultats de fin d'exercice 2013-14, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxvii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement de la Direction de la santé publique – Résultats de fin d'exercice 2013-14, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxviii

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 843 : Gestion des comportements d'automutilation et suicidaires chez les détenus, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cxxix

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2010-2011, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document cxxx

D. Zakaria, J. Thompson et F. Borgatta, La relation entre la connaissance du VIH et du VHC, l'éducation en matière de santé et les comportements à risque et visant à réduire les méfaits chez les détenus canadiens sous responsabilité fédérale (Rapport de recherche 195), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2010.

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Notes de fin de document cxxxi

D. Zakaria, J. Thompson et F. Borgatta, La relation entre la connaissance du VIH et du VHC, l'éducation en matière de santé et les comportements à risque et visant à réduire les méfaits chez les détenus canadiens sous responsabilité fédérale (Rapport de recherche 195), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2010.

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Notes de fin de document cxxxii

A. Nolan et L. Stewart (non publié, en révision), Initiatives de promotion de la santé et d'éducation en matière de santé en milieu correctionnel : analyse documentaire, Service correctionnel du Canada, Ottawa (Ontario).

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Notes de fin de document cxxxiii

Santé Canada et Agence de la santé publique du Canada, Évaluation de l'Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada de 2008-09 à 2012-13, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxxiv

S. EI Saadany et coll., Economic burden of hepatitis C in Canada and the potential impact of prevention: Results from a disease model, The European Journal of Health Economics, 6(2), (2005), p. 159-165.

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Notes de fin de document cxxxv

Santé Canada et Agence de la santé publique du Canada, Évaluation de l'Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada de 2008-09 à 2012-13, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxxvi

Santé Canada et Agence de la santé publique du Canada, Évaluation de l'Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada de 2008-09 à 2012-13, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxxxvii

D. Cohen, S. Wu et T. Farley., Comparing the cost-effectiveness of HIV prevention interventions, Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes, 37(3), (2004), p. 1404-1414.

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Notes de fin de document cxxxviii

D. Cohen, S. Wu et T. Farley., Comparing the cost-effectiveness of HIV prevention interventions, Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes, 37(3), (2004), p. 1404-1414.

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Notes de fin de document cxxxix

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur les infections transmissibles sexuellement, Ottawa (Ontario), 2013, p. 65; Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa (Ontario), 2014, p. 3.

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Notes de fin de document cxl

Service correctionnel du Canada, Rapport sur l'examen national du Programme de traitement de substitution aux opiacés du SCC, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cxli

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxlii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices 800-6 : Distribution de l'eau de Javel, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxliii

Service correctionnel du Canada Rapport sur la conformité et les risques opérationnels (automne 2015), Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxliv

Service correctionnel du Canada Rapport sur la conformité et les risques opérationnels (automne 2015), Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxlv

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document cxlvi

Service correctionnel du Canada, Processus normalisés des centres régionaux de traitement, Ottawa (Ontario), 2015, p. 1.

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Notes de fin de document cxlvii

Service correctionnel du Canada, Vers un continuum de soins : Stratégie en matière de santé mentale du Service correctionnel du Canada, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document cxlviii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 12.

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Notes de fin de document cxlix

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 30.

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Notes de fin de document cl

Service correctionnel du Canada, Rapport sur la mesure du rendement de la Direction de la santé mentale, résultats à la fin de l'exercice 2014-2015, Ottawa (Ontario), 2015, p. 19.

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Notes de fin de document cli

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 2.

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Notes de fin de document clii

Service correctionnel du Canada, Vers un continuum de soins : Stratégie en matière de santé mentale du Service correctionnel du Canada, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document cliii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 22-23.

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Notes de fin de document cliv

Infonet, Prévention du suicide et de l'automutilation, 2016. Consulté sur http://infonet/fra/Sectors/HealthServices/MentalHealth/Pages/SuicideandSIB.aspx.

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Notes de fin de document clv

Service correctionnel du Canada, Comités régionaux sur les cas complexes de santé mentale : mandat, Ottawa (Ontario), s.d.

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Notes de fin de document clvi

Service correctionnel du Canada, Données non publiées sur les Services de santé, 2016.

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Notes de fin de document clvii

Service correctionnel du Canada, Comités régionaux sur les cas complexes de santé mentale : mandat, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document clviii

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 4.

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Notes de fin de document clix

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 4.

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Notes de fin de document clx

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document clxi

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document clxii

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document clxiii

Service correctionnel du Canada. Vérification du processus de mise en liberté, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document clxiv

Service correctionnel du Canada. Directive du commissaire 712-4 : Processus de mise en liberté, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document clxv

Service correctionnel du Canada. Directive du commissaire 566-12 : Effets personnels des délinquants, Ottawa (Ontario), 2015, p.10.

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Notes de fin de document clxvi

Accord interprovincial sur l'admissibilité et la transférabilité, tel que cité dans Service correctionnel du Canada. Pièces d'identité des délinquants : examen et recommandations, Ottawa (Ontario), 2011, p. 11.

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Notes de fin de document clxvii

Service correctionnel du Canada Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document clxviii

Service correctionnel du Canada. Directive du commissaire 860 : Argent des délinquants. Ottawa (Ontario), 2014, p. 3.

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Notes de fin de document clxix

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 8.

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Notes de fin de document clxx

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 11.

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Notes de fin de document clxxi

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 13-14.

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Notes de fin de document clxxii

Service correctionnel du Canada. Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document clxxiii

Service correctionnel du Canada. Formulaire national, Ottawa (Ontario), 2016, p.16; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 14; Service correctionnel du Canada. Directive du commissaire 712-4 : Processus de mise en liberté, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2 et 5-6.

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Notes de fin de document clxxiv

Service correctionnel du Canada. Cadre national relatif aux soins de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document clxxv

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2015, p. 45 et 48.

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Notes de fin de document clxxvi

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 7 et 51.

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Notes de fin de document clxxvii

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 7; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 5.

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Notes de fin de document clxxviii

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 45.

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Notes de fin de document clxxix

MacDonald, S. F., L. A. Stewart et S. Feeley. Rapport de recherche : Incidence de l'Initiative sur la santé mentale dans la collectivité (ISMC) (rapport no R-337), 2014.

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Notes de fin de document clxxx

Allegri et coll. Rapport d'évaluation - Initiative sur la santé mentale dans la collectivité, Ottawa (Ontario), 2008.

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Notes de fin de document clxxxi

MacDonald, S. F., L. A. Stewart et S. Feeley. Rapport de recherche : Incidence de l'Initiative sur la santé mentale dans la collectivité (ISMC) (rapport no R-337), 2014.

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Notes de fin de document clxxxii

Service correctionnel du Canada. Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale, Ottawa (Ontario), 2015, p.63.

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Notes de fin de document clxxxiii

Service correctionnel du Canada. Rapport sur le rendement de la Direction de la santé mentale – Résultats de fin d'année 2014-15, Ottawa (Ontario), 2015, p.29.

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Notes de fin de document clxxxiv

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, page 2; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 8 et 50.

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Notes de fin de document clxxxv

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la prestation des services de santé mentale dans la collectivité, Ottawa (Ontario), 2014, p. 18.

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Notes de fin de document clxxxvi

Service correctionnel du Canada. Cadre national relatif aux soins de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document clxxxvii

Service correctionnel du Canada, Nouvelle structure de gouvernance, 2015. Consulté sur http://infonet/fra/Sectors/HealthServices/Pages/governance.aspx.

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Notes de fin de document clxxxviii

Agrément Canada, Service correctionnel du Canada, Services de santé, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document clxxxix

Agrément Canada, Service correctionnel du Canada, Services de santé, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxc

Service correctionnel du Canada, Rapport ministériel sur le rendement 2013-2014, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxci

Myers, R. et coll., « Burden of disease and cost of chronic hepatitis C virus infection in Canada », Canadian Journal of Gastroenterology and Hepatology, 28(5), 2014, 243-250.

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Notes de fin de document cxcii

Rein, D. et coll., « The cost-effectiveness, health benefits, and financial costs of new antiviral treatments for hepatitis C virus », Clinical Infectious Disease 61(2), 2015, 157-68.

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Notes de fin de document cxciii

Réseau canadien d'info-traitements sida (CATIE), Prévention et traitement du virus de l'hépatite C (VHC), s.d. Consulté sur http://www.catie.ca/fr/traitementactualites/traitementsida-191/agents-anti-vhc/prevention-traitement-virus-lhepatite-c-vhc.

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Notes de fin de document cxciv

Rein, D. et coll., « The cost-effectiveness, health benefits, and financial costs of new antiviral treatments for hepatitis C virus », Clinical Infectious Disease 61(2), 2015, 157-68.

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Notes de fin de document cxcv

Réseau canadien d'info-traitements sida (CATIE), À propos de quelques termes : RVS12 contre RVS24., s.d. Consulté sur http://www.catie.ca/fr/traitementactualites/traitementsida-207/virus-lhepatite-c/propos-quelques-termes-rvs12-contre-rvs24.

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Notes de fin de document cxcvi

Pearlman, B. et N. Traub, « Sustained virologic response to antiviral therapy for chronic hepatitis C virus infection: A cure and so much more », Journal of Clinical Infectious Diseases 52(7), 2011, 889-900.

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Notes de fin de document cxcvii

Service correctionnel du Canada, Rapport trimestriel sur la santé publique, exercice 2013-2014, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cxcviii

Service correctionnel du Canada, Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale, Ottawa (Ontario), 2015.

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Notes de fin de document cxcix

Smith, J. et coll., Treatment outcomes for chronic hepatitis C infection with direct acting antivirals among inmates in federal corrections. Présentation à l'Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS), conférence nationale, Ottawa (Ontario), 10-12 avril 2016.

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Notes de fin de document cc

Myers, R. et coll., « An update on the management of chronic hepatitis C: 2015 consensus guidelines from the Canadian Association for the Study of the Liver », Canadian Journal of Gastroenterology and Hepatology, 29(1), 2015, 19-34.

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Notes de fin de document cci

Singal A.G. et coll., « A Sustained Viral Response Is Associated With Reduced Liver-Related Morbidity and Mortality in Patients With Hepatitis C Virus », Journal of Clinical Gastroenterology and Hepatology, (8), 2010, 280-288. Consulté le 21 septembre 2016 sur http://www.cghjournal.org/mwg-internal/de5fs23hu73ds/progress?id=LzDy1jjDi96bBAv9UIcPmTGoZH7EeLartCzJBPL5JMc,&dl.

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Notes de fin de document ccii

Myers, R. et coll., « An update on the management of chronic hepatitis C: 2015 consensus guidelines from the Canadian Association for the Study of the Liver », Canadian Journal of Gastroenterology and Hepatology, 2015. Consulté le 30 août 2016 sur http://www.liver.ca/files/Professional_Education Partnerships/Information Resources_for_HCP/CASL_Hep_C_Consensus_Guidelines_Update_-_Jan_2015.pdf.

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Notes de fin de document cciii

Agence de la santé publique du Canada, Rapport sur l'hépatite B et C au Canada : 2012, 2016. Consulté le 1er septembre 2016 sur http://canadiensensante.gc.ca/publications/diseases-conditions-maladies-affections/hepatitis-b-c-2012-hepatite-b-c/index-fra.php.

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Notes de fin de document cciv

Tianhua, He. et coll., « Prevention of Hepatitis C by Screening and Treatment in United States Prisons », Annals of Internal Medicine, 164(2), 2015, 84-92.

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Notes de fin de document ccv

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa (Ontario), 2013, p. 4.

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Notes de fin de document ccvi

Service correctionnel du Canada, Stratégie d'intervention intensive pour les délinquantes, Ottawa (Ontario), 2011.

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Notes de fin de document ccvii

Service correctionnel du Canada, Contrat conclu entre le Service correctionnel du Canada et l'Institut Philippe-Pinel de Montréal, Ottawa (Ontario), 2008.

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Notes de fin de document ccviii

Service correctionnel du Canada, Incidence de l'Initiative sur la santé mentale dans la collectivité (ISMC), R-337, Ottawa (Ontario), 2014; Allegri et coll., Rapport d'évaluation : Initiative sur la santé mentale dans la collectivité, Ottawa (Ontario), 2008.

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Notes de fin de document ccix

Loi canadienne sur la santé, LRC 1985, ch. C-6. Consulté à l'adresse http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/C-6/page-2.html#docCont.

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Notes de fin de document ccx

À moins d'indications contraires, les taux de prévalence autodéclarée proviennent de L. Stewart et coll., État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document ccxi

Service correctionnel du Canada, Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale du SCC, Services de santé, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document ccxii

Gouvernement du Canada, Maladies du cœur – santé du cœur, 2015. Consulté au http://canadiensensante.gc.ca/diseases-conditions-maladies-affections/disease-maladie/heart-disease-fra.php?_ga=1.256875213.71184447.1475670956. M. Munro, First Nations need obesity prevention socio-economic issues contribute to hypertension, heart disease and diabetes epidemic, report says, 2012. Consulté le 26 janvier 2012 au http://www.naho.ca/blog/2012/01/26/first-nations-need-obesity-prevention-socio-economic-issues-contribute-to-hypertension-heart-disease-and-diabetes-epidemic-report-says/.

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Notes de fin de document ccxiii

A. Nolan et L. Stewart, État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document ccxiv

L. Stewart et coll., État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-314), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document ccxv

A. Nolan et L. Stewart, État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2014.

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Notes de fin de document ccxvi

Beaudette et coll., La prévalence nationale des troubles mentaux chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document ccxvii

Beaudette et coll., La prévalence nationale des troubles mentaux chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2015.

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Notes de fin de document ccxviii

American Psychological Association, DSM-IV and DSM-5 criteria for the personality disorders, Washington (D. C.), 2012.

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Notes de fin de document ccxix

Beaudette et coll., La prévalence nationale des troubles mentaux chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2015. Derkzen et coll., Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document ccxx

Derkzen et coll., Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document ccxxi

Derkzen et coll., Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Service correctionnel du Canada, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document ccxxii

American Psychological Association, DSM-IV and DSM-5 criteria for the personality disorders, Washington (D. C.), 2012.

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Notes de fin de document ccxxiii

M. Munetz et P. Griffin, Use of the sequential intercept model as an approach to decriminalization of people with serious mental illness, Psychiatric Services, 57(4), 2006, pages 544-549.

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Notes de fin de document ccxxiv

Voir par exemple M. Compton et coll., Use of force preferences and perceived effectiveness of actions among Crisis Intervention Team (CIT) police officers and non-CIT officers in escalating psychiatric crisis involving a subject with Schizophrenia, Schizophrenia Bulletin, 37(4), 2011, pages 737-745. H. J. Steadman et M. Naples, Assessing the effectiveness of jail diversion programs for persons with serious mental illness and co-occuring substance abuse disorder, Behavioural Sciences and the Law, 23(2), 2005, pages 163-170.

C) A. Watson et coll., Outcomes of police contacts with persons with mental illness: The impact of CIT, Administration and Policy in Mental Health, 37(4), 2010, pages 302-317.

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Notes de fin de document ccxxv

J. Thomas, Rapport sur le cadre d'évaluation de la diversification des modes de prestation de services, Ottawa, Ontario, 2010.

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Notes de fin de document ccxxvi

Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419.

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Notes de fin de document ccxxvii

Sarteschi et coll., Assessing the effectiveness of mental health courts: A quantitative review, Journal of Criminal Justice, 39(1), 2011, pages 12-20. J. Thomas, Rapport sur le cadre d'évaluation de la diversification des modes de prestation de services, Ottawa, Ontario, 2010.

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Notes de fin de document ccxxviii

D. Farrington et C. Koegl, The monetary benefits and costs of the Stop Now and Plan Program for boys aged 6-11, based on the prevention of later offending, Journal of Quantitative Criminology, 31(2), 2014, pages 263-287.

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Notes de fin de document ccxxix

C. Griffiths, Y. Dandurand et D. Murdoch, La réintégration sociale des délinquants et la prévention du crime, Centre national de prévention du crime, Sécurité publique Canada, Ottawa, Ontario, 2007.

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Notes de fin de document ccxxx

Service correctionnel du Canada, Stratégie sur la santé mentale en milieu correctionnel au Canada : Un partenariat fédéral, provincial et territorial, Ottawa, Ontario, 2012.

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Notes de fin de document ccxxxi

Livingston et coll., Criminal justice diversion for persons with mental disorders: A review of best practices, Association canadienne pour la santé mentale, Vancouver, C.-B., 2008.

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Notes de fin de document ccxxxii

N. Hall et C. Weaver, A framework for diversion of persons with a mental disorder in BC, Association canadienne pour la santé mentale, Vancouver, C.-B., 2008.

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Notes de fin de document ccxxxiii

Heilbrun et coll., Community-based alternatives for justice-involved individuals with severe mental illness: Review of the relevant research, Criminal Justice and Behavior, 39(4), 2012, pages 351-419.

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Notes de fin de document ccxxxiv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2012-2013, Ottawa, Ontario, 2013.

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Notes de fin de document ccxxxv

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2012-2013, Ottawa, Ontario, 2013.

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Notes de fin de document ccxxxvi

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2012-2013. Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ccxxxvii

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2012-2013. Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ccxxxviii

Service correctionnel du Canada, Programme des services de santé : Maladies infectieuses, 2015. Consulté au http://infonet/eng/Regions/Prairie/OurRegion/Institutions/WebSites/EIFW/OurInstitution/Divisions/Interventions/HealthServices/Programs/Pages/InfectiousDiseases.aspx.

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Notes de fin de document ccxxxix

Service correctionnel du Canada, Stratégie de lutte contre les maladies infectieuses pour les délinquantes 2008-2013, Ottawa (Ontario), 2009.

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Notes de fin de document ccxl

Service correctionnel du Canada, Stratégie de lutte contre les maladies infectieuses pour les délinquantes 2008-2013, Ottawa (Ontario), 2009.

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Notes de fin de document ccxli

Service correctionnel du Canada, Rapport sur le rendement du Secteur des services de santé 2012-2013. Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ccxlii

Service correctionnel du Canada, Programme des services de santé : Maladies infectieuses, 2015. Consulté au http://infonet/eng/Regions/Prairie/OurRegion/Institutions/WebSites/EIFW/OurInstitution/Divisions/Interventions/HealthServices/Programs/Pages/InfectiousDiseases.aspx.

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Notes de fin de document ccxliii

Service correctionnel du Canada, Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide à l'intention des détenus : Manuel de l'animateur, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document ccxliv

Service correctionnel du Canada, Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide à l'intention des détenus : Manuel de l'animateur, Ottawa (Ontario), 2012.

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Notes de fin de document ccxlv

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 843 : Gestion des comportements d'automutilation et suicidaires chez les détenus, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document ccxlvi

Service correctionnel du Canada, Atelier de sensibilisation et de prévention du suicide à l'intention des détenus : Manuel de l'animateur, Ottawa (Ontario), 2012

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Notes de fin de document ccxlvii

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements. Ottawa (Ontario), 2014, p. 5, 8, 10 et 11; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 8 et 50.

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Notes de fin de document ccxlviii

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2; Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 46.

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Notes de fin de document ccxlix

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 50.

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Notes de fin de document ccl

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 5.

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Notes de fin de document ccli

Service correctionnel du Canada. Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 8.

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Notes de fin de document cclii

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document ccliii

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document ccliv

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document cclv

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document cclvi

Service correctionnel du Canada. Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins, Ottawa (Ontario), 2014, p. 2.

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Notes de fin de document cclvii

Service correctionnel du Canada. (2014). Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements, Ottawa (Ontario), 2014, p. 10.

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Notes de fin de document cclviii

Données tirées du dépôt de données en octobre 2016 pour toutes les délinquantes, données à jour le 4 octobre 2016.

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Notes de fin de document cclix

Derkzen et coll., Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2012; Nolan, A. et Stewart, L., État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document cclx

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 800 : Services de santé, Ottawa (Ontario), 2013, p. 4.

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Notes de fin de document cclxi

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 578 : Stratégie d'intervention intensive dans les établissements pour femmes. Ottawa (Ontario), 2013, p. 5.

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Notes de fin de document cclxii

Service correctionnel du Canada, La Stratégie de 2002 en matière de santé mentale pour les délinquantes, Ottawa (Ontario), 2002; Service correctionnel du Canada, Stratégie de lutte contre les maladies infectieuses pour les délinquantes 2008-2013, Ottawa (Ontario), 2009; Infonet, Promotion de la santé, 2016. Consulté sur http://infonet/fra/Sectors/HealthServices/PublicHealth/Pages/HealthPromotion.aspx; Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document cclxiii

Service correctionnel du Canada, Stratégie de lutte contre les maladies infectieuses pour les délinquantes 2008-2013, Ottawa (Ontario), 2009.

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Notes de fin de document cclxiv

Service correctionnel du Canada, Stratégie de lutte contre les maladies infectieuses pour les délinquantes 2008-2013, Ottawa (Ontario), 2009, p. 8.

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Notes de fin de document cclxv

Service correctionnel du Canada, La Stratégie de 2002 en matière de santé mentale pour les délinquantes, Ottawa (Ontario), 2002, p. 5.

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Notes de fin de document cclxvi

Service correctionnel du Canada, La Stratégie de 2002 en matière de santé mentale pour les délinquantes, Ottawa (Ontario), 2002, p. 24.

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Notes de fin de document cclxvii

Hartle, Kelly, Mise en œuvre du nouveau mentorat par les pairs dans les établissements pour délinquantes, Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 16 mai 2016.

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Notes de fin de document cclxviii

Données tirées du dépôt de données en octobre 2016 pour tous les délinquants autochtones, données à jour le 4 octobre 2016.

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Notes de fin de document cclxix

Service correctionnel du Canada, Rapport sur les plans et les priorités 2016-17, Ottawa (Ontario), 2016; Sécurité publique Canada, Aperçu statistique : Le système correctionnel et la mise en liberté sous condition, Ottawa (Ontario), 2015, p. 64.

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Notes de fin de document cclxx

Beaudette et coll., La prévalence nationale des troubles mentaux chez les délinquants de sexe masculin sous responsabilité fédérale nouvellement admis (R-357), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2015; Derkzen et coll., Besoins en santé mentale des délinquantes sous responsabilité fédérale (R-267), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2012; Nolan, A. et Stewart, L., État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014; Stewart et coll., État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin nouvellement admis sous responsabilité fédérale (R-314), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document cclxxi

Service correctionnel du Canada, Directive du commissaire 702 : Délinquants autochtones. Ottawa (Ontario), 2013, p. 3.

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Notes de fin de document cclxxii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 5.

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Notes de fin de document cclxxiii

Service correctionnel du Canada, Démarche de bien-être menant à une réinsertion sociale axée sur la santé et la sécurité : stratégie pour la santé des Autochtones 2009-2012, Ottawa (Ontario), 2010; Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur la communication de renseignements personnels sur la santé, Ottawa (Ontario), 2015; Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016; données tirées du Système de gestion des ressources humaines (SGRH) en septembre 2016.

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Notes de fin de document cclxxiv

Service correctionnel du Canada, Démarche de bien-être menant à une réinsertion sociale axée sur la santé et la sécurité : stratégie pour la santé des Autochtones 2009-2012, Ottawa (Ontario), 2010, p. 6.

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Notes de fin de document cclxxv

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 11.

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Notes de fin de document cclxxvi

Données tirées du dépôt de données en octobre 2016 pour tous les groupements ethniques, données à jour le 4 octobre 2016.

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Notes de fin de document cclxxvii

Données tirées du dépôt de données en octobre 2016 pour tous les délinquants âgés (c.-à-d. les délinquants âgés de plus de 50 ans), données à jour le 4 octobre 2016.

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Notes de fin de document cclxxviii

Association médicale canadienne, La santé et les soins de santé pour une population vieillissante, Ottawa (Ontario), 2013, p. 2.

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Notes de fin de document cclxxix

Agence de la santé publique du Canada, Rapport sur l'état de la santé publique au Canada, Ottawa (Ontario), 2014, p. 3.

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Notes de fin de document cclxxx

Nolan, A. et Stewart, L., État de santé physique déclaré par les nouvelles délinquantes purgeant une peine de ressort fédéral (R-332), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014; Stewart et coll., État de santé physique autodéclaré des délinquants de sexe masculin nouvellement admis sous responsabilité fédérale (R-314), Ottawa (Ontario), Service correctionnel du Canada, 2014.

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Notes de fin de document cclxxxi

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur les installations correctionnelles fédérales, Ottawa (Ontario), 2014; Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015; Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016.

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Notes de fin de document cclxxxii

Service correctionnel du Canada, Cadre national des services de santé essentiels, Ottawa (Ontario), 2015, annexe A.

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Notes de fin de document cclxxxiii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices intégrées en santé mentale, Ottawa (Ontario), 2016, p. 28.

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Notes de fin de document cclxxxiv

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur les installations correctionnelles fédérales, Ottawa (Ontario), 2014.

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Notes de fin de document cclxxxv

Service correctionnel du Canada, Stratégie de prévention des chutes, Ottawa (Ontario), 2011; Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur les événements indésirables, Ottawa (Ontario), 2013; Infonet, Trousse de ressources sur les délinquants âgés, 2015. Consulté sur http://infonet/fra/SoloSites/ResponsivityPortal/SpecialNeedsResource/Pages/Aging_Offenders.aspx; Infonet, Peer Assisted Living Program (PAL), 2016. Consulté sur http://infonet/eng/Regions/Pacific/832rhc/service_delivery/Pages/mental_health_services.aspx.

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Notes de fin de document cclxxxvi

Service correctionnel du Canada, Stratégie de prévention des chutes, Ottawa (Ontario), 2011, p. 9.

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Notes de fin de document cclxxxvii

Service correctionnel du Canada, Lignes directrices sur les événements indésirables, Ottawa (Ontario), 2013.

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Notes de fin de document cclxxxviii

Infonet, Peer Assisted Living Program (PAL), 2016. Consulté sur http://infonet/eng/Regions/Pacific/832rhc/service_delivery/Pages/mental_health_services.aspx.

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Footnotes

Note de bas de page 1

Une liste exhaustive des DC comprenant un volet lié à la santé se trouve à l'annexe A.

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Note de bas de page 2

Les transitions dans les soins comprennent également les transfèrements entre des établissements du SCC.

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Note de bas de page 3

En anglais, le gouvernement fédéral a cessé d'utiliser le terme « Autochtones » pour décrire les membres issus des Premières Nations, les Inuits et les Métis; il utilise désormais le terme « Indigenous ». La transition a eu lieu lors de l'évaluation. Les instruments de collecte de données ont utilisé le terme « Aboriginal »; toutefois, le rapport d'évaluation l'a remplacé par le terme « Indigenous », le cas échéant.

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Note de bas de page 4

Un processus itératif et inductif d'analyse qualitative définit les nouveaux thèmes et la signification des données par un processus réflexif répétitif (voir Srivastava et Hopwood, 2009, et Patton, 1980).

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Note de bas de page 5

La plupart des répondants appartenaient aux groupes Soins infirmiers (53,9 %, n = 62) et Psychologie (18,3 %, n = 21), et les autres provenaient des secteurs suivants : travail social (7,8 %, n = 9), travail de bureau (6,1 %, n = 7), services administratifs (4,3 %, n = 5), pharmacie (2,6 %, n = 3), programmes de bien-être social (2,6 %; n = 3) et autres.

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Note de bas de page 6

Le plus important pourcentage de répondants provenait des classifications Soins infirmiers (46,4 %, n = 89) et Psychologie (24,0 %, n = 46). En outre, les répondants des classifications suivantes ont répondu aux questionnaires : services administratifs (8,9 %, n = 17), travail de bureau (7,3 %, n = 14), pharmacie (3,6 %, n = 7), travail social (3,1 %, n = 6), soutien technologique et scientifique (2,6 %, n = 5), direction et programmes de bien-être social (1,6 %, n = 3).

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Note de bas de page 7

La plupart des répondants travaillaient dans les établissements (94,5 %, n = 156), et une faible proportion, dans les administrations régionales (AR; 5,5 %, n = 9). Les répondaient travaillaient, pour la plupart, dans des établissements pour hommes (80,1 %; n = 125); quelques-uns (19,8 %, n = 31) ont indiqué travailler dans des établissements pour femmes. La plus forte proportion de répondants (38,9 %, n = 63) était les éducateurs, suivis des agents correctionnels (21,6 %, n = 35) et des employés travaillant dans les programmes de bien-être social (19,1 %, n = 31). Quelques répondants provenaient des secteurs suivants : services administratifs (12,3 %, n = 20), groupe de la direction (3,7 %; n = 6) et autres groupes (4,3 %, n = 7).

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Note de bas de page 8

Il y avait principalement deux catégories distinctes de répondants. Le plus important pourcentage de répondants provenait de l'équipe de gestion des cas (57 %, n = 165). Environ la moitié des répondants étaient des agents de libération conditionnelle dans la collectivité (53 %, n = 87), et un faible nombre, des agents de libération conditionnelle en établissement (22 %, n = 36) et des responsables des agents de libération conditionnelle (13 %, n = 21). L'autre catégorie était le personnel des Services de santé (39 %, n = 112), dont certains répondants étaient des membres du personnel infirmier en établissement (34 %, n = 38), des membres du personnel infirmier spécialisé en santé mentale dans la collectivité (26 %, n = 29), et un petit nombre, des travailleurs sociaux cliniques (14 %; n = 16). Il restait un petit nombre de répondants non catégorisés (5 %, n = 14).

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Note de bas de page 9

Cette échelle a été adaptée d'Emploi et Développement social Canada.

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Note de bas de page 10

Certains problèmes de santé chroniques peuvent également donner lieu à des épisodes aigus (p. ex. crise cardiaque).

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Note de bas de page 11

Ces taux se fondant sur les autodéclarations de traumatismes crâniens actuels ou passés, ils peuvent donc regrouper un vaste éventail de blessures. Un examen des dossiers de santé a révélé que 2 % des délinquants présentaient des signes de lésions cérébrales actuelles ou récentes. Voir Service correctionnel du Canada (2015). Estimations de prévalence des maladies chroniques chez les détenus sous responsabilité fédérale du SCC. Services de santé, Ottawa (Ontario).

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Note de bas de page 12

On détermine qu'il y a un besoin en matière de santé mentale par le fait d'avoir bénéficié d'au moins un service axé sur un traitement de santé mentale ou d'avoir séjourné dans un centre de traitement au cours des six derniers mois.

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Note de bas de page 13

Désigne un taux de prévalence au cours d'une période d'un mois (taux de prévalence des troubles actuels [c.-à-d. troubles présents un mois avant l'étude]).

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Note de bas de page 14

Désigne un taux de prévalence au cours d'une période d'un an (expérience continue d'un trouble actif parmi les membres de l'échantillon [c.-à-d. au cours de l'année qui a précédé l'étude]).

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Note de bas de page 15

Le taux de prévalence au cours de la vie désigne la proportion d'une population qui a présenté un état particulier à un moment ou l'autre de la vie. On utilise ce taux pour parler des troubles de la personnalité parce que ces derniers se manifestent par des modes chroniques de comportement.

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Note de bas de page 16

Le SCC est membre du Groupe de travail FPT des responsables des services correctionnels sur la santé et la santé mentale.

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Note de bas de page 17

Le SCC travaille en partenariat avec des organisations gouvernementales et non gouvernementales de l'ensemble du pays qui offrent du soutien aux délinquants présentant des besoins en matière de santé mentale, tant à l'échelle provinciale que nationale (p. ex. Commission de la santé mentale du Canada, Association canadienne pour la santé mentale, Organisation nationale de la santé autochtone, etc.).

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Note de bas de page 18

Cela suppose une collaboration avec le personnel de gestion de cas (p. ex. ALC en établissement et dans la collectivité) en vue d'évaluer les besoins psychologiques des délinquants souffrant de troubles mentaux, de cerner les ressources offertes dans la collectivité et d'établir des liens avec celles-ci, ainsi que d'établir des plans exhaustifs de continuité des soins qui faciliteront le maintien des services de santé mentale dans la collectivité.

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Note de bas de page 19

Les services comprennent une évaluation et une planification exhaustives des interventions, la prestation de services directs tels que le counseling individuel, la consultation du personnel de gestion de cas dans le but de faciliter la gestion des délinquants dans la collectivité, ainsi que la défense des intérêts des délinquants qui présentent des besoins en matière de santé mentale.

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Note de bas de page 20

Il a été démontré que les troubles des conduites chez les enfants et les jeunes sont un facteur précurseur de trouble de la personnalité chez les adultes, état particulièrement fréquent au sein de la population carcérale (Fazel, S. et Danesh, J. (2002). Serious mental disorder in 23000 prisoners: A systematic review of 62 surveys. The Lancet, 359(9306), pages 545-550.

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Note de bas de page 21

La TMS est un modèle de programme qui cible les jeunes ayant de graves problèmes de comportement en intervenant sur le plan des systèmes ou des paramètres liés aux comportements problématiques. (MST Services, Inc. (2015). Multisystemic therapy. Consulté au http://mstservices.com/what-is-mst/what-is-mst.)

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Note de bas de page 22

Par exemple, parmi l'échantillon des participants au programme Streets to Homes (programme offert à Toronto qui aide les sans-abris à se trouver un logement à long terme), un peu moins de la moitié présentait des troubles de santé mentale. Qui plus est, le nombre d'arrestations et d'incarcérations a diminué de 56 % et de 68 % respectivement (Ville de Toronto, 2009), tel que mentionné dans Centre de toxicomanie et de santé mentale et Conseil canadien de développement social (2011). Le logement : la clé du rétablissement – Évaluation des besoins en matière de logement et de services connexes des personnes ayant des problèmes de santé mentale ou une maladie mentale. Commission de la santé mentale du Canada, Calgary (Alberta).

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Note de bas de page 23

Bien que le présent document fasse mention d'« évaluations », il convient de noter que les processus et outils comportent également un volet de dépistage.

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Note de bas de page 24

Le dépistage des risques de chute est également effectué lors de l'évaluation initiale après 24 heures. Si les critères de dépistage sont respectés, les délinquants seront évalués selon l'échelle des chutes de Morse dans le but de déterminer s'il convient de mettre en œuvre des interventions axées sur la prévention des chutes.

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Note de bas de page 25

L'évaluation initiale de l'état de santé est également effectuée dans le cadre de l'évaluation initiale après 14 jours dans le cas des délinquants de 50 ans et plus ou de ceux qui ont besoin de soins particuliers, de façon à cerner les besoins spéciaux de ces populations en matière de services de santé.

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Note de bas de page 26

Les différents types d'admission de délinquants relatifs à chaque évaluation sont décrits à la page 61 de ce rapport.

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Note de bas de page 27

Pourcentage de délinquants interrogés lors de la période d'évaluation initiale qui ont affirmé s'être soumis à chacun des outils d'évaluation initiale de l'état de santé : évaluations après 24 heures et après 14 jours, 95 % (n = 95); dépistage des maladies infectieuses, 95 % (n = 93); et SIDTMEI, 89 % (n = 57).

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Note de bas de page 28

Le SCC met sur pied des comités d'enquête chaque fois qu'un incident grave se produit, en plus de procéder à des examens des cas de décès lorsque des délinquants décèdent de causes naturelles. Seuls les rapports des comités d'enquête liés à des questions de santé ont été examinés dans le cadre de la présente évaluation. Ces rapports avaient trait à une agression contre un membre du personnel, à une agression contre un détenu, au suicide d'un détenu, à la tentative de suicide d'un détenu, à un décès survenu à la suite d'une tentative de suicide, à une blessure qu'un détenu s'est infligée lui-même, à une interruption de surdose, à la prise d'un détenu en otage, à une blessure infligée à un détenu, ainsi qu'au décès d'un détenu dont la cause demeure inconnue.

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Note de bas de page 29

La présente évaluation s'est penchée sur les rapports disponibles au début des travaux, y compris des rapports rédigés et diffusés au cours de l'exercice 2012-2013.

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Note de bas de page 30

Dans la plupart des cas où une évaluation initiale de santé a été effectuée en retard, il s'agissait de l'évaluation après 14 jours. À terme, toutes ces évaluations ont été réalisées, et les rapports ne comportaient aucun élément de preuve indiquant que le moment auquel les évaluations ont été réalisées avait eu un effet sur les incidents. Dans le cadre de l'une des enquêtes, l'évaluation initiale de l'état de santé des délinquants de 50 ans et plus n'a pas été effectuée, mais rien n'indiquait que la non-réalisation de l'évaluation s'était répercutée sur l'incident.

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Note de bas de page 31

Moins du quart des répondants des services de santé familiers avec les outils évalués ont signalé des difficultés liées à l'exactitude des outils d'évaluation après 24 heures (23 %, n = 13), d'évaluation après 14 jours (22 %, n = 11) ou de dépistage des maladies infectieuses (14 %, n = 6). Quelques membres du personnel de santé ont signalé des difficultés relatives à l'orientation des délinquants vers les services de santé à la lumière des résultats de l'évaluation après 24 heures (24 %, n = 13), de l'évaluation après 14 jours (20 %, n = 10) ou du dépistage des maladies infectieuses (10 %, n = 4). Il convient de noter que le nombre de répondants variait selon l'outil d'évaluation, car les questions à ce sujet ont été posées seulement aux membres du personnel qui connaissaient chacun des outils.

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Note de bas de page 32

Selon des entrevues réalisées avec un échantillon de délinquants récemment admis au SCC (dans les 3 à 7 mois suivant l'admission).

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Note de bas de page 33

Pourcentage de délinquants interrogés à l'évaluation initiale qui étaient insatisfaits du moment auquel les évaluations initiales de l'état de santé sont effectuées (14 %, n = 15). Dans le cas des répondants au questionnaire du personnel, les pourcentages d'insatisfaction étaient les suivants : évaluation après 24 heures, 13 %, n = 8; évaluation après 14 jours, 20 %, n = 11; dépistage des maladies infectieuses, 20 %, n = 9; et SIDTMEI, 32 %, n = 7.

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Note de bas de page 34

Il n'a pas été possible d'examiner l'efficacité et la sur-identification des besoins pour tous les outils d'évaluation initiale de l'état de santé mentale, puisque l'information sur les orientations générés par les autres outils ne fait pas l'objet d'un suivi électronique.

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Note de bas de page 35

Le SIDTMEI répartit les délinquants en trois groupes : (1) les délinquants signalés, c.-à-d., ceux qui nécessitent un suivi en santé mentale; (2) les délinquants ayant des besoins indéterminés, c.-à-d., ceux qui présentent des besoins de niveau modéré en matière de services de santé mentale et pour lesquels le personnel de santé mentale est tenu de procéder à tout le moins à un examen du dossier pour déterminer s'il a besoin d'une évaluation ou de services de suivi en matière de santé mentale; et (3) les délinquants écartés, c.-à-d., ceux qui n'ont pas besoin de services de suivi en santé mentale.

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Note de bas de page 36

Parmi les délinquants ayant des besoins indéterminés, 39,5 % (n = 602, y compris 44 délinquants admis dans un centre régional de traitement) ont reçu un traitement de santé mentale et 60,5 % (n = 922) n'ont pas reçu de traitement.

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Note de bas de page 37

Ces pourcentages sont semblables à ceux qui sont présentés par Martin et coll. (2013), qui se sont penchés sur le modèle de notation appliqué dans la version actuelle du SIDTMEI pour tous les délinquants admis dans la région du Pacifique au cours d'une période de 15 mois, soit d'octobre 2006 à décembre 2007. Voir Martin, S.; Wamboldt, A.; O'Connor, S.; Fortier, J. et Simpson, A. (2013). A comparison of scoring models for computerise mental health screening for federal prison inmates. Criminal Behaviour and Mental Health, 23(1), pages 6-17.

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Note de bas de page 38

Aux fins de l'examen de la période d'évaluation initiale, les services axés sur le traitement n'ont été inclus que s'ils découlaient d'une référence effectuée dans les 4 mois suivant l'admission du délinquant. Les services axés sur le traitement comprennent le counseling individuel ou de groupe; le counseling individuel ou de groupe en matière de santé mentale; les cliniques psychiatriques; la formation axée sur l'acquisition de compétences, les soins de soi ou les activités de la vie quotidienne; les interventions relatives au suicide ou à l'automutilation; ainsi que la planification du traitement.

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Note de bas de page 39

La date d'admission dans un centre régional de traitement se situait entre la date d'admission du délinquant en 2013-2014 ou en 2014-2015 et la date d'extraction des données en septembre 2015.

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Note de bas de page 40

Cette information n'était pas disponible, puisque les sources de données relatives aux autres orientations vers des traitements de santé mentale (autre que le SIDTMEI) ne font l'objet d'aucun suivi électronique.

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Note de bas de page 41

Un délinquant a refusé l'orientation vers des services, et 49 délinquants ont refusé au moins un service de santé mentale, c'est-à-dire un service axé sur le traitement ou autre (tel qu'une évaluation qui aurait pu donner lieu à un service axé sur le traitement). Par conséquent, tous ces délinquants ont été inclus dans la catégorie des refus aux fins de cette analyse.

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Note de bas de page 42

D'autres problèmes pourraient s'être répercutés sur les résultats, y compris la possibilité que les références ou les traitements recommandés par le SIDTMEI aient lieu après la période d'évaluation initiale ou que des erreurs d'entrée de données aient été commises dans le SSSM.

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Note de bas de page 43

Les difficultés liées à la communication et à la culture comprennent la barrière linguistique et les obstacles qui résultent du fait que l'évaluation n'a pas permis de cerner les problèmes de santé mentale d'un délinquant en raison de différences culturelles relatives aux croyances entourant la santé mentale.

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Note de bas de page 44

En ce qui concerne le personnel, les pourcentages allaient de 61 % pour l'évaluation après 14 jours à 73 % pour le SIDTMEI ou le dépistage des maladies infectieuses (voir l'Annexe D : EFFICACITÉ DE L'ÉVALUATION INITIALE AU SEIN DE CERTAINES POPULATIONS DE DÉLINQUANTS pour de plus amples renseignements).

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Note de bas de page 45

Ce pourcentage représente les délinquants autochtones qui se sont dits intéressés à suivre un cheminement traditionnel de guérison et qui ont mentionné qu'aucun Aîné n'était présent lors des évaluations initiales de santé.

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Note de bas de page 46

Les lignes directrices relatives aux services de santé ne précisent pas qu'un Aîné doit être présent lors des évaluations initiales de l'état de santé, sauf dans le cas de l'évaluation du SIDTMEI, dans le cadre de laquelle les délinquants peuvent demander la présence d'un conseiller autochtone, comme le prévoient les Lignes directrices nationales - Version 2.2 (juin 2014).

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Note de bas de page 47

Ces outils d'évaluation sont appliqués selon des sources, des formats et des délais divers. Par exemple, l'évaluation après 24 heures est effectuée tôt dans le processus, par un membre du personnel infirmier, afin d'évaluer les besoins immédiats du délinquant. Le SIDTMEI est rempli après l'évaluation après 24 heures, par le délinquant lui-même qui répond à des questions sur un ordinateur; il vise à recueillir un plus vaste éventail de renseignements sur la santé mentale (y compris sur le TDAH et les déficiences cognitives).

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Note de bas de page 48

Il convient de noter que bon nombre de membres du personnel non clinique ont indiqué qu'ils ignoraient s'il y avait chevauchement ou non. Les pourcentages présentés ici représentent les membres du personnel qui étaient au courant du problème.

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Note de bas de page 49

Peu de membres du personnel (9 %, n = 4) ont dit avoir éprouvé des problèmes liés à la réalisation efficace du dépistage des maladies infectieuses.

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Note de bas de page 50

Les références peuvent aussi être effectuées à la suite d'une demande directe du délinquant ou d'observations du personnel.

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Note de bas de page 51

En ce qui concerne le chevauchement de l'orientation vers des services de santé mentale : à l'occasion (21 %), fréquemment (60 %), toujours (4 %).

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Note de bas de page 52

Le personnel des Services de santé a également indiqué qu'il existe une duplication de l'orientation entre les outils d'évaluation initiale des services de santé et les références recommandés par le personnel ou demandés par les délinquants. Il a également été mentionné que les mêmes références sont parfois demandés par différents membres du personnel (p. ex. personnel infirmier, agents correctionnels).

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Note de bas de page 53

Une fois que l'évaluation initiale d'un délinquant est terminée, et qu'il a été déterminé que celui-ci doit faire l'objet d'une orientation vers les services de santé mentale, on remplit les formulaires nécessaires, qui sont ensuite passés en revue par le psychologue en chef (ou son délégué) de manière à déterminer les mesures de suivi qui s'imposent. L'équipe chargée de la présente évaluation a examiné les données sur les services de santé mentale qui concernaient une cohorte constituée de tous les délinquants admis dans un établissement sous responsabilité fédérale en vertu d'un mandat de dépôt au cours d'une période de deux ans (2013-2014 et 2014-2015). Il importe de noter que l'on considère que les délinquants admis dans un centre régional de traitement présentent le niveau le plus élevé de besoins en matière de santé mentale et que l'information sur les services qui leur sont offerts n'est pas consignée de façon uniforme dans le SSSM. Par conséquent, les références consignés dans le SSSM relativement à des délinquants admis dans un centre régional de traitement ont été exclus de l'analyse, puisque les données n'auraient pas été exhaustives dans le cas de ces délinquants.

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Note de bas de page 54

De tous les délinquants qui ont fait l'objet d'au moins une référence (n = 5 643), 42 % (n = 2 368) n'ont bénéficié que d'une seule référence et 58 % (n = 3 275), de plusieurs (32 % ont fait l'objet de deux références et 26 %, de trois ou plus).

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Note de bas de page 55

Ces 68 délinquants étaient visés par 75 des références annulés en raison d'une duplication. Les références vers un professionnel de la santé mentale peuvent ensuite donner lieu à un traitement plus poussé ou être annulés par ce professionnel pour divers motifs, notamment la duplication.

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Note de bas de page 56

Le SSSM consigne l'identité de la personne qui a effectué une référence (p. ex. personnel de santé mentale, personnel des Services de santé, agent de libération conditionnelle, délinquant), mais ne précise pas l'outil d'évaluation à l'origine de cette référence.

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Note de bas de page 57

Quelque 5 % des délinquants ont fait l'objet de références au terme des trois évaluations; un autre 8 % des délinquants a été référé à l'issue de l'évaluation du SIDTMEI et de l'évaluation après 24 heures; 5 % ont été référés à l'issue de l'évaluation du SIDTMEI et de l'évaluation après 14 jours; et 3 % ont fait l'objet de références résultant des évaluations après 24 heures et après 14 jours.

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Note de bas de page 58

En ce qui concerne le chevauchement des références vers les services de santé physique : à l'occasion (26 %), fréquemment (46 %), toujours (8 %).

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Note de bas de page 59

L'information relative à l'orientation vers les services de santé physique ne fait pas actuellement l'objet d'un suivi électronique. Il a donc été impossible d'évaluer dans quelle mesure les références multiples vers les mêmes services peuvent être faits à partir des sources de données sur la santé physique.

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Note de bas de page 60

Il convient de noter qu'un petit pourcentage du personnel a constaté des chevauchements entre chacun des quatre grands outils d'évaluation des services de santé et d'autres outils également appliqués à l'évaluation initiale. Les répondants n'ont toutefois pas précisé quels étaient les autres outils concernant lesquels ils avaient observé une duplication de l'information sur la santé physique.

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Note de bas de page 61

Les services non essentiels de santé clinique peuvent comprendre les orthèses, les appareils respiratoires, les services chiropratiques et les traitements au fluorure. Il incombe au délinquant d'assumer les coûts de tels services. Les Services de santé peuvent contribuer à coordonner l'accès des délinquants à ces services.

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Note de bas de page 62

Rendez-vous liés à des problèmes de santé publique au cours de la dernière année : 90 % (n = 122) des délinquants ont dit avoir obtenu un rendez-vous avec un médecin, 61 % (n = 83) ont rencontré un membre du personnel infirmier et 32 % (n = 44) ont vu un dentiste.

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Note de bas de page 63

« Un traitement est offert aux délinquants du SCC dont on sait qu'ils souffrent d'une infection au VIH. Les décisions concernant le début d'un traitement et la poursuite de celui-ci compte tenu des effets secondaires, de la résistance ou de la réaction constituent des décisions cliniques qui sont prises par le spécialiste traitant et le patient. » [Traduction] (Page 14.)

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Note de bas de page 64

Les services intermédiaires de santé mentale ne font pas partie du champ d'application de la présente évaluation étant donné qu'au début de celle-ci, ces services n'avaient pas encore été entièrement mis en œuvre dans les établissements du SCC.

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Note de bas de page 65

Le roulement de la population carcérale désigne le nombre de délinquants qui se trouvent dans un établissement au cours d'une période donnée.

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Note de bas de page 66

Les services de santé mentale peuvent comprendre des séances de counseling, des interventions en situation de crise et la formation axée sur les compétences.

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Note de bas de page 67

Rendez-vous concernant la santé mentale au cours de la dernière année : quelques délinquants ont déclaré avoir eu un rendez-vous avec un psychiatre (24 %, n = 33), un psychologue (21 %, n = 29) ou un travailleur social (3 %, n = 4).

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Note de bas de page 68

Pourcentages de délinquants signalés qui ont bénéficié d'un suivi en 2014, par région : Atlantique, 99 % (n = 207); Québec, 98 % (n = 212); Ontario, 99 % (n = 270); Prairies, 93 % (n = 286); et Pacifique, 73 % (n = 53). Les délinquants doivent obtenir un service de suivi dans les 50 jours suivant leur admission ou dans les 40 jours suivant la référence.

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Note de bas de page 69

Il convient de noter que les pratiques de présentation de rapports peuvent différer d'une province à l'autre.

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Note de bas de page 70

Parmi les 6 autres appels, 1 délinquant a été admis à l'hôpital régional et 2 délinquants ont refusé les soins offerts; l'issue de l'appel est inconnue dans les 3 cas restants.

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Note de bas de page 71

Relevant du Département de la justice des États-Unis, les services correctionnels américains inclus dans l'examen étaient les établissements fédéraux des États du Colorado, de la Pennsylvanie, de la Louisiane, du Wyoming et du Texas.

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Note de bas de page 72

Parmi eux, n = 19 ont déclaré recevoir des soins continus pour des problèmes de santé clinique, n = 10 pour des problèmes de santé mentale, et n = 4 pour une maladie infectieuse, au moment de leur transfèrement.

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Note de bas de page 73

Sur la totalité des cinq régions du SCC ciblées par la surveillance du RCRO, des non-conformités ont été relevées dans les régions de l'Atlantique, du Québec, des Prairies et du Pacifique.

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Note de bas de page 74

Un sondage a été mené auprès de deux groupes de membres du personnel des Services de santé aux fins de la présente évaluation : ceux qui travaillent auprès des délinquants au moment de l'évaluation initiale et ceux qui travaillent auprès des délinquants au cours de leur incarcération (après le placement pénitentiaire). L'information présentée dans cette section a été recueillie auprès du personnel des Services de santé qui travaille auprès des délinquants au cours de leur incarcération. Certaines questions d'ordre général au sujet de l'accès aux services et de l'échange d'information ont cependant également été posées au personnel qui travaille auprès des délinquants au moment de l'évaluation initiale. Les réponses à ces questions ont ensuite été analysées afin de déceler des ressemblances ou des différences quant aux thèmes et aux enjeux. De façon générale, les réponses du personnel des deux groupes étaient similaires.

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Note de bas de page 75

Par exemple, un agent correctionnel n'a peut-être pas « besoin de savoir » quels médicaments particuliers le délinquant prend, mais il a besoin de connaître les effets que ces médicaments peuvent avoir sur la mobilité ou le comportement du délinquant et qui peuvent ainsi se répercuter sur la sécurité ou la gestion de cas.

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Note de bas de page 76

Il convient de noter que ces chiffres comprennent tous les rapports de comités d'enquête relatifs à des incidents ayant nécessité des enquêtes de niveau I et II qui ont été menées à terme en 2013-2014 et en 2014-2015. Les rapports de comités d'enquête de 2013-2014 et 2014-2015 n'étaient pas tous terminés au moment d'obtenir les données.

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Note de bas de page 77

La mise en œuvre du système dans tous les établissements des régions de l'Ontario et du Pacifique, ainsi que dans un établissement de chacune des autres régions, devrait débuter en septembre 2016. La mise en œuvre complète dans tous les établissements est prévue pour mars 2017.

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Note de bas de page 78

En ce qui concerne les délinquantes, le CEP et le Programme de soutien par les pairs pour délinquantes ont récemment été fusionnés dans un nouveau programme, le Programme de mentorat par les pairs, qui devrait être mis en œuvre en 2016-2017.

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Note de bas de page 79

L'information et les documents sur la santé sont présentés pendant la période d'admission (le plus souvent, le PSR et l'ASPSD) et tout au long de l'incarcération après le placement pénitentiaire (le plus souvent, le CEP/CEPA et des fiches de renseignements). Deux séries d'entrevues ont été réalisées auprès de deux groupes de délinquants différents – un à l'admission initiale et l'autre pendant l'incarcération (après le placement). Les résultats cités proviennent de l'un ou l'autre de ces groupes, s'il y a lieu.

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Note de bas de page 80

Excluant les établissements à sécurité maximale, les centres régionaux de traitement, les centres psychiatriques régionaux, les centres de réception et les pavillons de ressourcement.

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Note de bas de page 81

Les établissements n'avaient pas tous un programme de CEP actif (par région) : 4/5 (Atlantique), 7/9 (Québec), 10/11 (Ontario), 7/9 (Prairies), 7/7 (Pacifique).

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Note de bas de page 82

Les établissements offrant le CEPA étaient concentrés dans les régions ayant une forte population de délinquants autochtones, comme la région des Prairies et les pavillons de ressourcement.

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Note de bas de page 83

Tous les établissements n'avaient pas un programme de CEPA actif. Par région : 2/2 (Atlantique), 2/4 (Québec), 4/4 (Ontario), 10/11 (Prairies), 5/5 (Pacifique).

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Note de bas de page 84

Parmi les délinquants interrogés, 14 % (n = 21) ont participé au CEP et 7 % (n = 11) ont participé au CEPA afin de devenir « travailleur » pour le CEP et le CEPA, respectivement. Quelques délinquants (n = 8) ont précisé qu'ils étaient actuellement travailleurs ou bénévoles pour le CEP ou le CEPA.

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Note de bas de page 85

De plus, une version narrative du PSR peut être visionnée sur des écrans dans la salle d'attente des Services de santé.

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Note de bas de page 86

La plupart des délinquants ont aussi indiqué que les documents fournis dans le cadre du PSR (97 %, n = 37), du CEP/CEPA (95 %, n = 18) et de l'ASPSD (92 %, n = 35) étaient faciles à comprendre.

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Note de bas de page 87

VIH : Les délinquants (hommes et femmes) qui ont participé aux programmes d'éducation en matière de santé en savaient plus sur le VIH (83 %; 86 %) que ceux qui n'y avaient pas participé (78 %; 80 %).

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Note de bas de page 88

VHC : De même, les délinquants (hommes et femmes), qui avaient participé aux programmes d'éducation en matière de santé en savaient plus sur le VHC (73 %; 78 %) que ceux qui n'y avaient pas participé (68 %; 68 %).

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Note de bas de page 89

Un grand nombre de membres du personnel général estiment également que les programmes et les documents d'éducation en général avaient une incidence positive sur la connaissance des délinquants à propos des services et des programmes de santé offerts au SCC et la façon d'y avoir accès (67 %, n = 30).

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Note de bas de page 90

Coûts directs et indirects : soins médicaux, productivité de la main-d'œuvre, perte de qualité de vie.

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Note de bas de page 91

Les trois autres sont l'Agence de la santé publique du Canada, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et Santé Canada.

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Note de bas de page 92

Les données de surveillance du SCC indiquent que la majorité des délinquants atteints du VIH/VHC ont contracté l'infection avant leur incarcération dans un établissement fédéral.

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Note de bas de page 93

Voici une liste plus détaillée de ces programmes et services : éducation et formation du personnel, dépistage et tests, normalisation des tests de dépistage du VIH, dépistage des dépendances, éducation et sensibilisation en matière de santé campagne de lutte contre le stigmate associé au VIH, programmes d'entraide par les pairs, évaluation des risques et counseling, vaccination, diagnostic et traitement des hépatites virales (A et B), counseling pour toxicomanes, traitement de substitution aux opioïdes, intervention d'urgence en cas de surdose et counseling, distribution d'eau de Javel, renvoi/counseling en santé mentale, distribution de condoms et de digues dentaires, prophylaxie post-exposition, traitement contre le VIH et le VHC, planification de la continuité des soins, diagnostic et traitement de la tuberculose.

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Note de bas de page 94

Ces résultats visent une période antérieure de deux ans et une période postérieure de deux ans.

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Note de bas de page 95

Dans les deux années suivant le début du PTEM, la proportion d'achèvement ou de participation avait plus que doublé pour les programmes de toxicomanie, passant d'environ 29 % à 63 % dans la période postérieure.

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Note de bas de page 96

Le risque de réincarcération était 36 % plus élevé chez les délinquants de sexe masculin n'ayant pas participé au PTEM que chez les délinquants qui y avaient participé et qui poursuivaient le traitement à la méthadone.

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Note de bas de page 97

Les membres du personnel des Services de santé et du personnel général ont déclaré que les condoms (99 %, n = 99; 91 %, n = 73), l'eau de Javel (83 %, n = 83; 86 %, n = 69), les digues dentaires (70 %, n = 70; 56 %, n = 45) et les lubrifiants (74 %, n = 74; 63 %, n = 50) étaient disponibles dans leur établissement, respectivement.

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Note de bas de page 98

Les services de santé mentale intermédiaires n'ont pas été inclus dans la portée de la présente évaluation, car ces services n'avaient pas encore été entièrement mis en œuvre dans les établissements du SCC au début de l'évaluation.

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Note de bas de page 99

Certains délinquants reçoivent des traitements à la fois dans un établissement ordinaire et dans un CRT. Aux fins d'analyse, ces délinquants ont été inclus dans le « groupe des CRT ». On a mis l'accent sur les effets des soins qu'ils ont reçus au CRT (c.-à-d. que les résultats « après le traitement » ont été évalués après les traitements reçus dans un CRT, peu importe si les traitements se sont poursuivis après le retour du délinquant en établissement).

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Note de bas de page 100

Les accusations d'infractions disciplinaires peuvent être différentes des incidents en établissement, car les membres du personnel correctionnel peuvent régler de façon informelle les incidents en établissement (DC 580; paragraphes 41(1) et (2) de la LSCMLC). Les incidents en établissement ont été inclus dans l'analyse si le délinquant a été considéré comme étant l'instigateur de l'incident ou y étant associé.

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Note de bas de page 101

Il n'a pas été possible de procéder à une analyse statistique du placement en isolement sollicité en raison des faibles taux de l'indicateur.

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Note de bas de page 102

En plus des voies de fait, du comportement et de l'automutilation, d'autres sous-catégories d'incidents sont consignées dans le SGD (p. ex. possession d'objets interdits, infractions contre les biens, évasions et décès). Même si toutes les sous-catégories ont été incluses dans l'analyse pour les « incidents généraux », seules les trois catégories ayant des liens théoriques aux besoins en santé mentale ont été incluses pour l'analyse des sous-incidents (c.-à-d. voies de fait, comportement, automutilation).

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Note de bas de page 103

Au nombre des services axés sur les traitements, mentionnons les séances de counseling de groupe ou individuelles en santé mentale; les cliniques psychiatriques; la formation d'acquisition de compétences, les soins de soi et les activités de la vie quotidienne; les interventions en matière de suicide ou d'automutilation; la planification des traitements, les séances de counseling de groupe ou individuelles. De nombreux délinquants comptaient plusieurs « périodes de traitement », mais la période de traitement comptant le plus de services de traitement a été sélectionnée pour l'analyse.

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Note de bas de page 104

Des analyses statistiques distinctes n'ont pas été menées pour les délinquantes en raison du faible nombre de délinquantes qui reçoivent des traitements de santé mentale dans les établissements ordinaires. Cependant, les délinquantes font partie de l'échantillon général « tous les délinquants ».

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Note de bas de page 105

Des analyses statistiques distinctes n'ont pas été menées pour les délinquantes en raison du faible nombre de délinquantes qui reçoivent des traitements de santé mentale dans les établissements ordinaires. Cependant, les délinquantes font partie de l'échantillon général « tous les délinquants ».

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Note de bas de page 106

Les incidents liés au comportement comprennent les troubles mineurs/graves, les comportements perturbateurs, la toxicomanie, les problèmes disciplinaires, les menaces proférées à l'endroit du personnel/d'autrui et l'extraction de cellule.

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Note de bas de page 107

Les délinquants dans le groupe témoin étaient 16,6 % (RR = 0,834; IC de 95 % = de 0,770 à 0,903) moins susceptibles d'être placés en isolement non sollicité vers la fin de leur peine, comparativement au début de leur peine.

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Note de bas de page 108

Les délinquants dans le groupe témoin étaient 15 % (RR = 1,150; IC de 95 % = de 1,028 à 1,288) plus susceptibles de terminer un cours ou d'obtenir des crédits vers la fin de leur peine, comparativement au début de leur peine.

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Note de bas de page 109

Les délinquants dans le groupe témoin étaient 21,8 % (RR = 1,218; IC de 95 % = de 1,148 à 1,293) plus susceptibles de terminer un programme correctionnel national au milieu de leur peine, comparativement au début de leur peine.

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Note de bas de page 110

Les renvois sont examinés, et les délinquants peuvent ne pas être admis à un CRT parce qu'ils n'y sont pas admissibles ou qu'ils n'y consentent pas.

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Note de bas de page 111

Cette information a été tirée du SSSM pour la présente évaluation.

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Note de bas de page 112

Les délinquants recevant des traitements dans les CRT de deux régions ont été interrogés (n = 32) au sujet de leurs expériences à cet égard. En raison de l'état de santé variable de cette population et du nombre restreint de délinquants interrogés, les questions ont été posées de façon ouverte afin de favoriser la discussion sur certains thèmes liés à l'admission, aux traitements et aux services reçus.

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Note de bas de page 113

Certains des autres délinquants dans les CRT ont indiqué qu'ils n'étaient pas au courant de la planification du traitement ou qu'ils n'y avaient pas participé (21 %, n = 6). D'autres ont dit connaître le processus de planification (p. ex. avoir pris part à des rencontres), mais ils ne se rappelaient pas avoir participé à l'élaboration de leurs objectifs et de leur plan de traitement (32 %, n = 9).

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Note de bas de page 114

La mise en œuvre des soins de santé mentale intermédiaire a été terminée en avril 2016.

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Note de bas de page 115

Si, après évaluation au moyen de l'EBSM, on détermine que les délinquants n'ont pas de besoins ou des besoins faibles, les soins de soi peuvent également être une option, au besoin (p. ex. des séances psychoéducatives sur un certain sujet de santé mentale ou le perfectionnement de compétences).

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Note de bas de page 116

Le Secteur des services de santé a indiqué que les données électroniques sur l'EBSM n'étaient pas toujours entrées comme requis.

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Note de bas de page 117

Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation des résultats des membres du personnel général en raison du nombre restreint de répondants.

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Note de bas de page 118

La vérification du processus de libération (2012) a également révélé que des délinquants n'étaient pas toujours mis en liberté avec leurs médicaments.

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Note de bas de page 119

Récupérés dans l'entrepôt de données le 28 février 2016 pour tous les délinquants ayant un dossier actif à cette date. Les délinquants étaient codés comme ayant une carte de santé si leur dossier le plus récent dans le SGD indiquait qu'ils avaient une carte de santé en leur possession, dans leurs effets personnels, ou que cette carte était entre les mains d'une personne offrant du soutien dans la collectivité.

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Note de bas de page 120

La vérification a échantillonné des dossiers de mise en liberté de la période allant d'avril 2010 à mars 2011.

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Note de bas de page 121

D'après la consultation menée auprès des directeurs régionaux des Services de santé (DRSS) en août 2016.

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Note de bas de page 122

D'après la consultation menée auprès des DRSS en août 2016.

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Note de bas de page 123

Le Rapport sur l'essentiel de l'état de santé à la mise en liberté comprend d'autres renseignements liés à la santé en ce qui concerne la mise en liberté, notamment les rendez-vous requis avec des spécialistes de la santé dans la collectivité ainsi que les besoins en matière d'adaptation liés à des déficiences fonctionnelles et/ou cognitives, etc.

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Note de bas de page 124

Comprenant : planificateurs cliniques de la continuité des soins, membres du personnel infirmier en santé mentale dans la collectivité, travailleurs sociaux cliniques.

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Note de bas de page 125

Il convient de souligner que les membres du personnel n'ont pas tous répondu à cette question. Les pourcentages sont déclarés en fonction du nombre total de réponses du personnel à cette question.

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Note de bas de page 126

Comprenant : planificateurs cliniques de la continuité des soins, membres du personnel infirmier en santé mentale dans la collectivité, travailleurs sociaux cliniques.

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Note de bas de page 127

Des cliniques d'identification dans la collectivité sont offertes dans de multiples régions, par exemple par l'intermédiaire de centres de ressources de logements communautaires, de centres de santé communautaire, des cliniques d'aide juridique et d'autres organismes de services communautaires.

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Note de bas de page 128

Cela s'ajoute aux dépenses en services de santé dans la collectivité dans d'autres domaines comme la santé mentale et autres coûts liés à l'administration générale, aux soins infirmiers ou à la méthadone.

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Note de bas de page 129

Source : Système intégré de gestion des finances et du matériel (SIGFM), données extraites en septembre 2016.

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Note de bas de page 130

Le type de médicament dicte la durée de la provision fournie à la libération. Conformément au Formulaire national du SCC, une provision de médicaments non narcotiques et non contrôlés est généralement fournie pour 14 jours, tandis qu'une provision de narcotiques et de médicaments contrôlés (p. ex. pour le traitement du TDAH) est fournie pour une période de trois jours, et si le médecin le juge approprié. Cette distinction n'est pas clarifiée dans les Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements ou la DC 712-4 Processus de mise en liberté.

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Note de bas de page 131

Il faut interpréter ces données avec prudence, car les profils de risque n'étaient pas équivalents entre les groupes, et la taille du groupe pour les délinquantes était trop petite pour permettre une analyse de survie, et seule une analyse de période de suivi fixe a été effectuée.

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Note de bas de page 132

Les services de santé mentale dans la collectivité offerts aux délinquants peuvent comprendre un counseling en santé mentale (individuel ou en groupe), des services d'accompagnement, l'intervention en cas de tentative de suicide ou d'automutilation, des évaluations, etc.

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Note de bas de page 133

Délai de la PCCS : « La rapidité de la PCCS est fonction de la date de mise en liberté prévue du délinquant, du processus de gestion des cas et du niveau de besoins prévu. »

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Note de bas de page 134

Les autres membres du personnel ont déclaré être « ni d'accord ni en désaccord » (21 %, n=30) ou « pas du tout d'accord/tout à fait d'accord » (36 %, n=52).

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Note de bas de page 135

Notre échantillon comprenait des délinquants qui en étaient à leur première mise en liberté sous condition (2014-2015), mais seulement s'ils demeuraient dans la collectivité pendant 30 jours ou plus (ce qui leur donnait ainsi le temps de recevoir des services de santé mentale).

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Note de bas de page 136

Le besoin en santé mentale s'entend d'un délinquant qui a reçu des services de santé mentale axés sur le traitement six mois avant sa mise en liberté. Veuillez noter que cela fournit une approximation du besoin. Des renseignements fiables provenant d'autres données (comme l'Échelle des besoins en santé mentale) n'étaient pas disponibles. Par conséquent, le fait de bénéficier de services de santé mentale axés sur le traitement en établissement six mois avant la mise en liberté a été utilisé comme indicateur indirect du besoin en santé mentale du délinquant.

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Note de bas de page 137

L'absence de besoin en santé mentale désignait des délinquants qui n'avaient pas reçu de services axés sur le traitement dans les six mois précédant la mise en liberté.

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Note de bas de page 138

La Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins a été mise au point en avril 2013 à titre de référence accompagnant les Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements.

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Note de bas de page 139

Les chiffres et pourcentages reflètent le nombre d'employés ayant déclaré que chacune des catégories suivantes de membres du personnel effectuaient « souvent » ou « toujours » le suivi à l'égard des plans cliniques de continuité des soins.

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Note de bas de page 140

D'après 65 % (n=50) des membres du personnel ayant répondu à cette question, au moins 20 % des délinquants étaient mis en liberté dans une région disposant d'un nombre limité de spécialistes de la santé mentale dans la collectivité.

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Note de bas de page 141

La figure 1 présente la proportion de membres du personnel ayant convenu que la structure de gouvernance avait eu un effet sur certains enjeux. Les autres membres du personnel n'estimaient pas que la structure de gouvernance avait eu une incidence ou ont fourni la réponse neutre « Ni en accord, ni en désaccord ».

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Note de bas de page 142

Cela comprenait les membres du personnel des services de santé et du personnel général en établissement et dans la collectivité.

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Note de bas de page 143

Certains membres du personnel des services de santé (31 %, n = 40) étaient en désaccord ou fortement en désaccord avec l'énoncé selon lequel les services de santé destinés aux délinquants ayant de multiples besoins en matière de soins de santé sont offerts de façon intégrée afin de mieux répondre à leurs besoins. Quelques-uns (16 %, n = 20) n'étaient ni en accord ni en désaccord avec l'énoncé selon lequel les services de santé destinés aux délinquants ayant de multiples besoins en matière de soins de santé sont offerts de façon intégrée.

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Note de bas de page 144

La Direction générale de la santé mentale diffuse également ses renseignements en établissant une distinction entre les sexes et le statut d'Autochtone ou de non-Autochtone.

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Note de bas de page 145

Planification de la santé publique : 26 % (n = 23) en accord; 38 % (n = 33) ni en accord, ni en désaccord; et 36 % (n = 31) en désaccord. Planification de la santé clinique : 33 % (n = 32) en accord; 34 % (n = 33) ni en accord, ni en désaccord; et 32 % (n = 31) en désaccord. Planification de la santé mentale : 34 % (n = 37) en accord; 36 % (n = 39) ni en accord, ni en désaccord; et 31 % (n = 34) en désaccord.

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Note de bas de page 146

Les dépenses de programmes directes comprennent les dépenses liées aux résultats stratégiques (garde, interventions correctionnelles et surveillance dans la collectivité), mais excluent les dépenses liées aux services internes.

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Note de bas de page 147

La recherche a révélé qu'une rechute tardive survient chez moins de 1 % des patients.

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Note de bas de page 148

Les taux de prévalence présentés dans cette section se fondent sur l'information autodéclarée par les délinquants à l'admission et ne tiennent pas compte des résultats des tests effectués dans le cadre de l'évaluation initiale. Les taux de maladies infectieuses autodéclarées peuvent être inférieurs aux taux réels de prévalence. Des renseignements sur les taux de prévalence associés à des groupes particuliers de délinquants du SCC pour la période de 2000 à 2006 sont présentés au http://www.csc-scc.gc.ca/publications/infdscfp-2005-06/tb-fra.shtml.

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Note de bas de page 149

Étant donné les fréquences d'autodéclaration inférieures à cinq, les taux de prévalence des infections au VHC et au VIH ont été présentés ensemble dans le rapport de recherche consulté.

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Note de bas de page 150

Ces chiffres concernent des taux actuels de prévalence au cours d'un mois.

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Note de bas de page 151

Il convient d'user de prudence au moment d'interpréter ces résultats, étant donné le faible nombre de délinquants d'origine autochtone dans certaines catégories.

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Note de bas de page 152

Des taux actuels sont présentés dans la mesure du possible. Dans certains cas toutefois, seuls des taux au cours de la vie étaient disponibles.

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Note de bas de page 153

Pourcentage des répondants au questionnaire à l'intention du personnel des Services de santé ne faisant état d'aucun problème ou obstacle relatif aux délinquants autochtones : évaluation après 24 heures, 82 %, n = 44; évaluation après 14 jours, 80 %, n = 41; dépistage des maladies infectieuses, 86 %, n = 36; et SIDTMEI, 72 %, n = 13. Aucun délinquant autochtone interrogé à l'évaluation initiale n'a signalé d'obstacle particulier en ce qui a trait aux évaluations (0 %, n = 31).

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Note de bas de page 154

Pourcentage des répondants au questionnaire à l'intention du personnel des Services de santé ayant mentionné que des Aînés ne sont jamais ou sont rarement présents au moment de l'administration des outils d'évaluation initiale : évaluation après 24 heures, 64 %, n = 38; évaluation après 14 jours, 61 %, n = 34; dépistage des maladies infectieuses, 73 %, n = 33; et SIDTMEI, 73 %, n = 16.

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Note de bas de page 155

Parmi les délinquants qui ont participé à la présente évaluation, 33 % (n = 34) se sont déclarés Autochtones des Premières Nations (84 %, n = 27) ou Métis (16 %, n = 5), et 68 % (n = 23) d'entre eux ont dit souhaiter s'engager dans un cheminement de guérison traditionnel.

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Note de bas de page 156

Évaluation après 24 heures : 97 % (n = 4 192) de l'ensemble de la population de délinquants (Autochtones et non-Autochtones) ont été soumis à un dépistage dans les délais prescrits, comparativement à 94 % (n = 904) des délinquants autochtones. Évaluation après 14 jours : 70 % (n = 3 010) de l'ensemble de la population de délinquants (Autochtones et non-Autochtones) ont été soumis à un dépistage dans les délais prescrits, comparativement à 70 % (n = 659) des délinquants autochtones.

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Note de bas de page 157

Pourcentages des répondants au questionnaire à l'intention du personnel des Services de santé qui n'ont mentionné aucun obstacle ou problème concernant les délinquants membres de minorités visibles : évaluation après 24 heures, 83 %, n = 45; évaluation après 14 jours, 77 %, n = 39; dépistage des maladies infectieuses, 85 %, n = 34; et SIDTMEI, 67 %, n = 12.

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Note de bas de page 158

Pourcentages des répondants au questionnaire à l'intention du personnel des Services de santé qui n'ont mentionné aucun obstacle ou problème concernant les délinquants âgés : évaluation après 24 heures, 80 %, n = 44; évaluation après 14 jours, 86 %, n = 44; dépistage des maladies infectieuses, 88 %, n = 35; et SIDTMEI, 75 %, n = 12. Presque tous les délinquants âgés qui ont répondu à cette question d'entrevue ont indiqué qu'ils n'avaient pas éprouvé de problème particulier lors des évaluations initiales (93 %, n = 13).

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Note de bas de page 159

Il est difficile de tirer des conclusions de cette information étant donné le petit nombre de répondants qui ont déclaré appartenir au groupe des délinquants âgés (c.-à-d. âgés de plus de 50 ans) lors des entrevues menées au cours de la période d'évaluation initiale (n = 16). Les exigences et les services liés à la santé des délinquants âgés seront examinés dans le cadre des autres volets de la présente évaluation chaque fois que la situation le permet.

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Note de bas de page 160

Pourcentages des répondants au questionnaire à l'intention du personnel des Services de santé qui n'ont mentionné aucun obstacle ou problème concernant les délinquantes : évaluation après 24 heures, 88 %, n = 28; évaluation après 14 jours, 88 %, n = 30; dépistage des maladies infectieuses, 90 %, n = 26; et SIDTMEI, 100 %, n = 11. Presque toutes les délinquantes interrogées à l'évaluation initiale ont indiqué qu'elles n'avaient pas éprouvé de problème particulier lors des évaluations initiales (95 %, n = 19). Quelque 20 % (n = 21) des délinquants qui ont participé à la présente évaluation étaient des femmes.

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Note de bas de page 161

Évaluation après 24 heures : 97 % (n = 4 192) de l'ensemble de la population de délinquants (hommes et femmes) ont été soumis à un dépistage dans les délais prescrits, comparativement à 98 % (n = 232) des délinquantes. Évaluation après 14 jours : 70 % (n = 3 010) de l'ensemble de la population de délinquants (hommes et femmes) ont été soumis à un dépistage dans les délais prescrits, comparativement à 87 % (n = 204) des délinquantes. SIDTMEI : 84 % (n = 3 538) de l'ensemble de la population de délinquants (hommes et femmes) a utilisé cet outil dans les délais prescrits, comparativement à 80 % (n = 189) des délinquantes.

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Note de bas de page 162

Des membres du personnel des Services de santé ont déclaré que le PSR contenait de l'information sur les services de santé offerts au SCC (87 %, n = 33), sur la façon d'obtenir ces services (92 %, n = 35) et sur la façon de prévenir les maladies infectieuses en milieu carcéral (95 %, n = 36).

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Note de bas de page 163

La Matrice (outil) pour la planification de la continuité des soins a été mise au point en avril 2013 à titre de référence accompagnant les Lignes directrices sur la planification de la continuité des soins et les transfèrements.

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Note de bas de page 164

La population totale de délinquants comprend tous les délinquants actifs, c'est-à-dire ceux qui sont incarcérés dans un établissement du SCC, qui ont obtenu une permission de sortir d'un établissement du SCC, qui sont en détention temporaire, qui font l'objet d'une surveillance active et qui ont été illégalement en liberté pendant moins de 90 jours.

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Note de bas de page 165

Les résultats pour la santé physique étaient fondés sur un examen, mené à partir du dossier, des besoins en santé signalés par les délinquants au moment de l'évaluation initiale, et les résultats liés à la santé mentale ont été obtenus à partir d'outils cliniques utilisés auprès d'un échantillon de délinquants.

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Note de bas de page 166

Les autres membres du personnel ont dit être « ni en accord, ni en désaccord » ou « en désaccord/fortement en désaccord ».

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Note de bas de page 167

La population totale de délinquants comprend tous les délinquants actifs, c'est-à-dire ceux qui sont incarcérés dans un établissement du SCC, qui ont obtenu une permission de sortir d'un établissement du SCC, qui sont en détention temporaire, qui font l'objet d'une surveillance active et qui ont été illégalement en liberté pendant moins de 90 jours.

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Note de bas de page 168

Les résultats pour la santé physique étaient fondés sur un examen de dossier des besoins en santé signalés par les délinquants au moment de l'évaluation initiale, et les résultats liés à la santé mentale ont été obtenus à partir d'outils cliniques utilisés auprès d'un échantillon de délinquants.

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Note de bas de page 169

Les services respectant la culture sont fournis par des professionnels qui connaissent et comprennent la culture autochtone et qui sont ouverts aux choix des délinquants concernant les pratiques de guérison autochtones traditionnelles et qui les soutiennent.

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Note de bas de page 170

La collaboration à l'intérieur et à l'extérieur du SCC signifie, à l'interne, la collaboration entre l'AC, les AR et chaque établissement du SCC; et entre le Secteur des services de santé et la Direction des initiatives pour les Autochtones. À l'externe, la collaboration devrait survenir entre les partenaires internes et la collectivité autochtone, ainsi qu'à l'échelle fédérale, provinciale/territoriale.

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Note de bas de page 171

Les autres membres du personnel ont dit être « ni en accord, ni en désaccord » ou « en désaccord/fortement en désaccord ».

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Note de bas de page 172

La population totale de délinquants comprend tous les délinquants actifs, c'est-à-dire ceux qui sont incarcérés dans un établissement du SCC, qui ont obtenu une permission de sortir d'un établissement du SCC, qui sont en détention temporaire, qui font l'objet d'une surveillance active et qui ont été illégalement en liberté pendant moins de 90 jours.

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Note de bas de page 173

Les autres membres du personnel ont dit être « ni en accord, ni en désaccord » ou « en désaccord/fortement en désaccord ».

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Note de bas de page 174

La population totale de délinquants comprend tous les délinquants actifs, c'est-à-dire ceux qui sont incarcérés dans un établissement du SCC, qui ont obtenu une permission de sortir d'un établissement du SCC, qui sont en détention temporaire, qui font l'objet d'une surveillance active et qui ont été illégalement en liberté pendant moins de 90 jours.

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Note de bas de page 175

Les résultats pour la santé physique étaient fondés sur un examen, mené à partir du dossier, des besoins en santé signalés par les délinquants au moment de l'évaluation initiale.

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Note de bas de page 176

Pavillons de ressourcement exploités par le SCC.

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Note de bas de page 177

En date d'août 2015, l'âge minimal pour mener une évaluation des délinquants incarcérés est passé de 50 ans ou plus à 65 ans ou plus.

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Note de bas de page 178

L'évaluation du « risque de chute » est une pratique organisationnelle exigée par Agrément Canada.

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Note de bas de page 179

Les autres membres du personnel ont dit être « ni en accord, ni en désaccord » ou « en désaccord/fortement en désaccord ».

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