Les jeunes Canadiens contribuent à la lutte contre les changements climatiques

Les jeunes Canadiens s’inquiètent des répercussions des changements climatiques sur leur avenir, mais il y a de l’espoir. Les histoires suivantes ont un thème commun : si nous prenons tous des mesures pour lutter contre les changements climatiques, qu’elles soient petites ou grandes, nous pouvons améliorer la situation. Chaque geste posé inspire d’autres personnes à prendre part à la lutte contre l’un des plus grands défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. #EnsemblePourLaMiseEnOeuvre

Amy Huang

En dotant les jeunes de connaissances sur les changements climatiques, sur ce qu’ils peuvent faire pour les combattre et sur la manière dont nous pouvons nous y adapter, nous pouvons les motiver à agir. Amy s’est renseignée sur les changements climatiques à l’école secondaire, ce qui l’a motivée à faire des choix plus respectueux de l’environnement, comme prendre les transports en commun au lieu de se déplacer en voiture. Pendant son temps libre, elle travaille également à un projet de conception technique qui permettra de réduire les déchets alimentaires et de promouvoir des pratiques agricoles durables afin de réduire au minimum les émissions de dioxyde de carbone du secteur.

Ian Lindsay

Ian agit pour le climat en se tenant informé des questions climatiques et environnementales et en faisant des choix davantage durables. En étant informés, les Canadiens peuvent prendre des mesures individuelles en vue d’une action collective contre les changements climatiques. Ian applique ses connaissances dans sa vie personnelle, en réduisant considérablement sa consommation de viande rouge, en diminuant ses déplacements en voiture, en utilisant des technologies qui favorisent l’économie d’énergie comme un thermostat intelligent et en donnant la priorité à l’efficacité énergétique dans la recherche de sa première maison.

À tous les stades de la vie, l’action climatique est importante, car il n’y a pas d’autre option ni d’autre solution de rechange pour l’environnement.

Katherine Wright

La passion de Katherine pour les animaux et l’environnement a contribué à son choix de carrière. Elle est actuellement biologiste de la faune au sein d’Environnement et Changement climatique Canada, où elle contribue à protéger les espèces sauvages en utilisant des outils législatifs et en travaillant en collaboration avec des partenaires. Dans ses emplois précédents, elle a contribué aux activités de restauration de l’habitat, de recherche et de reproduction ou de réintroduction concernant différentes espèces. Le moment le plus gratifiant de sa carrière jusqu’à présent a été de voir naître des animaux et de les élever pour les intégrer dans la nature. Elle est également reconnaissante d’avoir la chance de travailler auprès de la population pour la sensibiliser sur les sujets touchant la faune. Dans sa vie personnelle, elle essaie de réduire son empreinte écologique en faisant des choix durables, comme ramasser les déchets, éviter les produits emballés dans du plastique, acheter local, faire du compostage, jardiner, acheter un véhicule électrique et communiquer avec les conseillers municipaux afin de faire pression en faveur de changements à l’échelle locale. Si Katherine reconnaît la nécessité de mesures plus ambitieuses de la part des gouvernements et des entreprises, elle démontre également que les mesures individuelles ont des répercussions sur l’environnement et en valent la peine. Nous n’arriverons à rien si nous disons « à quoi bon, personne d’autre ne le fait ».

Nahid Mir

Nahid a grandi en passant beaucoup de temps avec sa famille à profiter du plein air et de la nature. C’est pourquoi l’environnement et l’action climatique sont si importants pour elle. Elle aimerait voir un monde où nous trouvons des solutions durables afin de lutter contre les changements climatiques et où les pays prennent davantage de mesures en vue de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Agir et lutter contre les changements climatiques est essentiel pour que les prochaines générations puissent continuer à découvrir et à apprécier les merveilles naturelles et la biodiversité de notre planète.

Pierre-Olivier Gaudreault

Pierre-Olivier est un amateur actif de plein air. Pour que ses aventures de ski, de camping ou de vélo de montagne soient aussi peu polluantes que possible, il a acheté un véhicule électrique il y a deux ans. Depuis, il a effectué trois voyages de Montréal à Vancouver, ainsi qu’au parc national de Yosemite et à San Francisco, en Californie, démontrant ainsi qu’il est possible de parcourir de longues distances avec un véhicule électrique. Heureusement, il vit maintenant en Colombie-Britannique, et plus près des montagnes! Le plus souvent possible, Pierre-Olivier essaie de limiter le nombre de ses déplacements en avion. Lorsqu’il ne peut l’éviter, il compense ses émissions de carbone en achetant des crédits qui contribuent à des projets liés au climat.

Il a également supprimé la viande rouge de son alimentation, car elle a la plus grande incidence sur l’environnement, achète des vins locaux et des articles d’occasion lorsque cela est possible.

Sam Loutet

Les jeunes Canadiens veulent un meilleur avenir pour eux-mêmes et pour les générations qui les suivront. En grandissant, Sam a ressenti une affinité avec la nature. Aujourd’hui, elle milite en faveur de l’action climatique avec Écosystème Jeunesse Canada pour que d’autres puissent avoir un lien et une expérience semblables à la sienne.

Selon Sam, nous faisons tous partie de notre environnement. Il est important pour elle que nous revenions à une manière de penser et d’être mettant en évidence la relation réciproque entre les personnes et leur environnement. En plaidant pour l’action climatique, elle peut porter ces questions à l’avant-plan et remettre en question les systèmes qui nous ont plongés dans la crise climatique que nous connaissons aujourd’hui.

Stephanie Tulipano

Nous avons tous un rôle à jouer dans la protection de notre planète. Pour Stephanie, il y a trois choses simples que les Canadiens peuvent faire. La première est de s’informer au sujet des changements climatiques et d’être attentif à notre degré d’écoanxiété. Il existe de nombreuses ressources, telles que des documentaires, des balados, des articles d’actualité, des rapports et des revues universitaires, qui peuvent nous aider à comprendre pourquoi cette question est si importante dans nos vies. La seconde est de parler des changements climatiques avec ses amis, sa famille et ses pairs. Cela permettra de créer des conversations pertinentes qui pourront inspirer une action collective. Enfin, comprendre comment nous pouvons utiliser nos compétences, ressources et passions existantes afin de lutter contre les changements climatiques peut contribuer à changer les choses de manière notable pour l’avenir!

Yoko Lu

Ayant grandi à Shanghai et à Tokyo, Yoko a connu très tôt de nombreuses catastrophes naturelles telles que des typhons, des inondations, des tempêtes et des tremblements de terre. Au fil des ans, elle s’est familiarisée avec les questions environnementales et leurs répercussions sur les communautés. Cela a contribué à éveiller son intérêt pour les questions environnementales. Pendant ses études de premier cycle, elle a fondé le Wildlife Conservation Club. Plus de 200 étudiants y ont adhéré dès la première année, et l’organisation continue d’être active en vue de préserver la faune et ses habitats. Yoko a également soutenu et participé à de nombreux événements et initiatives d’envergure internationale, notamment au groupe de travail des jeunes de la Stockholm+50, et elle participera à la prochaine Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15) à Montréal. Elle estime que les jeunes, qu’ils soient issus de pays développés ou en développement, doivent être partie prenante des discussions sur le climat, à tous les niveaux, afin de garantir la prise en compte de vastes perspectives.

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