Plan de gestion de la dryoptéride côtière au Canada [proposition] 2011 : Approches pour l’atteinte des objectifs

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Les mesures ont été rangées dans les catégories de mesures établies par le Cadre de conservation de la C.-B., et leur état d’avancement est indiqué entre parenthèses :

On en sait très peu sur les capacités de reproduction de la dryoptéride côtière au Canada. Il faut effectuer d’autres études pour comprendre les conditions nécessaires au succès de la reproduction sexuée, comme la germination des spores, la reproduction des gamétophytes et la survie des jeunes sporophytes, ainsi que pour déterminer si des conditions de microsite particulières sont essentielles à la reproduction sexuée. Il serait utile de mieux comprendre la capacité de dispersion et le système de reproduction de l’espèce.

On n’a pas étudié la composition génétique des populations de la C.-B., ni les différences entre les sous-populations et entre les populations de la C.-B et celles des Etats-Unis. De telles études permettraient de déterminer le principal mode de reproduction (reproduction sexuée par spores ou reproduction végétative par division du rhizome). La détermination de la composition génétique pourrait indiquer quel stade du cycle vital est le mieux protégé pour la survie de l’espèce (p. ex. protéger les attributs de l’habitat qui soutiennent la reproduction par spores ou la reproduction végétative).

On ne comprend pas l’impact à l’échelle des populations des perturbations naturelles, comme l’érosion et l’exposition au soleil, au vent et aux tempêtes, ainsi que l’effet d’un régime de feu modifié. On ignore les effets des plantes, ravageurs et maladies (en particulier l’encre des chênes rouges) exotiques envahissantes sur l’espèce.

Les attributs essentiels de l’habitat de la dryoptéride côtière n’ont pas été déterminés; on manque de connaissances sur le régime d’humidité du sol, la composition du sol (y compris la granulométrie et la teneur en matière organique), la profondeur du sol, la composition de la végétation (y compris la présence et l’abondance d’espèces végétales envahissantes), la pente, l’orientation et l’altitude.

On ignore pourquoi la répartition de l’espèce est limitée, si l’espèce a des exigences particulières en matière d’habitat et si des régimes de perturbations naturelles contribuent à sa répartition.

Il faudrait effectuer d’autres relevés dans la zone d’occurrence de l’espèce pour découvrir d’éventuelles populations non signalées sur des falaises rocheuses inaccessibles et des pentes boisées sèches et abruptes sur les îles Gulf nordiques et l’île de Vancouver.

Aucune surveillance des populations n’a été effectuée pour en déterminer les tendances, ce qu’il faudrait faire au moins une fois aux dix ans dans le cadre d’un programme d’inventaire, de surveillance et d’évaluation.

Tableau 3. Mesures de gestion recommandées pour la dryoptéride côtière en Colombie-Britannique.
Priorité Obj. no Menace ou préoccupation Stratégie générale Mesure de gestion
Urgent 1 Destruction de l’habitat
(UICN no 1.1)
Protection de l’habitat Protéger l’habitat des neuf populations se trouvant sur des terrains privés par des approches d’intendance ou l’acquisition des terrains. Surveiller les populations (Hornby no 1 et 2) visées par une convention de conservation et une aire protégée commune.

Surveiller l’habitat des populations dans des parcs provinciaux afin de reconnaître et d’appliquer les zones de gestion spéciale et les descriptions de zone.

Déterminer et mettre au point les pratiques de gestion optimales de l’habitat de la dryoptéride côtière afin d’orienter les activités d’intendance.

Amener tous les propriétaires et gestionnaires fonciers touchés à participer à l’intendance de l’habitat là où aucune mesure de protection ne s’applique actuellement.

Entreprendre des mesures d’intendance avec la coopérative de camping et l’organisme de conservation au site de l’île Hornby no 1 (pointe Norman), notamment en vue de réduire le fauchage au site.
Nécessaire 2 Activités récréatives
(UICN no 6.1);
érosion
(UICN no 11.4);
espèces exotiques
(UICN no 8.1)
Atténuation des menaces Déterminer les effets des activités récréatives, de l’érosion causée par les tempêtes hivernales et des plantes exotiques envahissantes.

Surveiller l’empiètement des plantes envahissantes et éliminer au besoin les arbustes et petits arbres exotiques pour les empêcher d’ombrager les dryoptérides côtières.
Nécessaire 3, 5 Lacunes dans les connaissances;
toutes les menaces
Espèces exotiques
(UICN no 8.1)
Inventaire, surveillance et évaluation

Inventaire et surveillance
Inventorier les populations qui n’ont pas été inventoriées récemment.

Effectuer des inventaires dans les milieux propices à l’espèce qui n’ont jamais fait l’objet d’un relevé, afin de déterminer s’il existe d’autres populations.

Surveiller chaque population au moins une fois aux dix ans afin de déterminer ses tendances et l’effet des menaces.

Surveiller l’empiètement des arbustes exotiques.
Utile 3, 4, 5 Activités récréatives
(UICN no 6.1);
érosion
(UICN no 11.4);
espèces exotiques
(UICN no 8.1)
Vulgarisation et communication Produire des documents d’éducation et de vulgarisation sur la dryoptéride côtière.

Produire des documents d’interprétation à afficher sur place concernant les populations menacées par des activités récréatives dans des parcs provinciaux.

De concert avecl’Équipe de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry, sensibiliser davantage le public à la dryoptéride côtière par des activités d’éducation et de vulgarisation.

Sensibiliser davantage le public à l’encre des chênes rouges afin de réduire au minimum la propagation d’espèces potentiellement contaminées.

Distribuer des documents de sensibilisation et des documents sur les pratiques de gestion optimales aux propriétaires ou gestionnaires des terres qui abritent la dryoptéride côtière.

Distribuer des documents de vulgarisation aux représentants d’Islands Trust pour les îles Denman et Hornby.

Distribuer des documents de vulgarisation aux groupes de randonneurs ou de naturalistes des îles Denman et Hornby.
Utile 5 Lacunes dans les connaissances Recherche Déterminer les attributs essentiels de l’habitat de la dryoptéride côtière.

Déterminer la composition génétique des sous-populations de la C.-B. et la comparer à celle des populations des États-Unis. Déterminer le principal mode de reproduction de l’espèce.

Déterminer le degré d’impact des perturbations naturelles.

Déterminer les effets des plantes exotiques envahissantes et de l’encre des chênes rouges.

Déterminer si les attributs de l’habitat et les perturbations naturelles contribuent à la répartition restreinte de l’espèce.

La plupart des populations de dryoptérides côtières (9 sur 13) se trouvent au moins en partie sur des terres privées. La protection de l’habitat sur les terres privées peut comprendre diverses mesures, par exemple collaborer avec les propriétaires fonciers à l’élaboration d’activités d’intendance, établir des ententes ou servitudes de conservation et restreindre le développement immobilier par l’établissement de zones de permis d’aménagement (Development Permit Areas). Toutes les populations de dryoptérides côtières, sauf celle de la pointe Dorcas, se trouvent sur le territoire couvert par le Islands Trust. Le Islands Trust est une fédération d’administrations locales indépendantes qui planifie l’utilisation des terres et règlemente le développement immobilier sur les îles Gulf afin d’établir des aires de conservation pour les résidants locaux et la province. Les milieux occupés par l’espèce dans des parcs provinciaux doivent être surveillés afin de s’assurer afin de reconnaître et d’appliquer les zones de gestion spéciale et les descriptions de zone. Une seule des populations sur une terre privée (Denman no 3) est actuellement protégée par un accord d’intendance conclu avec Denman Island Conservancy.

Il faudrait, de concert avec des fiducies foncières locales et l’Équipe de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry, communiquer avec les propriétaires fonciers concernés afin de les informer des mesures d’intendance de la dryoptéride côtière et de bonne gestion de son habitat.

Il faudrait inventorier de nouveau les populations des îles Amelia, Gerald et Mistaken, car elles n’ont pas fait l’objet d’un relevé systématique depuis neuf ans. Il faut aussi réaliser un inventaire détaillé de certaines populations (p. ex. Hornby no 1 et no 3 et Denman no 1) qui seraient plus étendues que ce qui avait été signalé (Martin, comm. pers., 2007). Il faudrait surveiller chaque population aux dix ans pour en évaluer la situation et les tendances.

Des inventaires devraient aussi porter sur l’habitat potentiel de la dryoptéride côtière (c.-à-d. des pentes sèches ou escarpements rocheux orientés au sud-est, au sud ou au sud-ouest) sur les îles Gulf et les côtes propices de l’île de Vancouver afin de découvrir d’éventuelles populations.

Il faudrait surveiller les effets des activités récréatives, des espèces végétales exotiques envahissantes et de l’érosion causée par les tempêtes hivernales. Sur les terres fédérales, des arbustes et petits arbres exotiques empiètent sur l’habitat de la dryoptéride côtière; il faudrait les surveiller et les éliminer au besoin (Fairbarns, 2006).

Il faut continuer de communiquer avec le public pour accroître sa sensibilisation à la dryoptéride côtière et aux autres espèces en péril.

Il faut notamment sensibiliser les intervenants et la communauté au lien entre l’encre des chênes rouges et la dryoptéride côtière afin de limiter la propagation de la maladie à partir de plants provenant de pépinières.

Il faut effectuer de la recherche pour combler les principales lacunes dans les connaissances. La recherche visant à déterminer les caractéristiques essentielles de l’habitat de la dryoptéride côtière pourrait être menée en association avec les activités d’inventaire et de surveillance. De la recherche devrait aussi être menée pour déterminer les bonnes mesures de gestion des plantes envahissantes ainsi que les éventuels effets de l’encre des chênes rouges.

La dryoptéride côtière est présente à proximité d’autres espèces en péril dans des chênaies de Garry, ainsi que dans des prés maritimes, des mares printanières ou autres milieux humides saisonniers associées à des écosystèmes à chêne de Garry et à d’autres écosystèmes connexes. Par conséquent, la protection et l’intendance de l’habitat des chênes de Garry contribueront à la protection d’autres espèces dans ces milieux.

Le présent plan de gestion constitue un volet du programme de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry et des écosystèmes connexes, en particulier de l’approche stratégique D, soit la protection et le rétablissement des espèces en péril (GOERT, 2002). Les espèces en péril dans ces milieux adjacents sont visées par plusieurs programmes de rétablissement multi-espèces (Agence Parcs Canada, 2006a, 2006b et 2006c).

Puisque la dryoptéride côtière est présente sur des terres privées, les activités d’intendance sont essentielles à sa conservation et à son rétablissement. On reconnaît que pour protéger avec succès bon nombre d’espèces en péril, il doit y avoir des initiatives volontaires de la part des propriétaires fonciers pour préserver des écosystèmes naturels abritant ces espèces. Voici des exemples d’activités d’intendance pour les propriétaires fonciers : suivre les lignes directrices ou pratiques de gestion optimales visant à satisfaire aux besoins des espèces en péril; protéger volontairement des zones importantes d’habitat sur des terres privées; faire inscrire des servitudes de conservation sur les titres de propriété; faire don de terrains privés écosensibles, en tout ou en partie; vendre une partie ou la totalité de sa propriété pour protéger certains écosystèmesou certaines espèces en péril; vendre sa propriété pour en assurer la conservation. Par exemple, des organisations gouvernementales et non gouvernementales ont collaboré avec succès avec des propriétaires de terres privées de la C.-B. pour conserver ces terres. Des programmes d’intendance et des fiducies foncières locales, comme le Islands Trust, le Land Trust Alliance, Conservancy Hornby Island et Denman Island Conservancy, pourraient aider à cet égard.

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Tracy Cornforth, coordonnatrice des ressources naturelles, ministère de la Défense nationale, BFC Esquimalt, Victoria (C.-B.).
Marta Donovan, Conservation Data Centre, Victoria (C.-B.).
Matt Fairbarns, Aruncus Consulting, Victoria (C.-B.).
Dave Fraser, ministère de l’Environment de la Colmbie-Britannique, Victoria (C.-B.).
Paul Furman, horticulteur, Bay Natives Nursery, San Francisco (Californie).
Richard Martin, botaniste, île Denman (C.-B.).
Norm Mogensen, Heron Rocks Camping Co-operative, île Hornby (C.-B.).
Pete Veilleux, East Bay Wild, 1972A 36th Avenue, Oakland (Californie).
Patrick Williston, Gentian Botanical Research, Smithers (C.-B.).
Bert Wilson, horticulteur, Las Pilitas Nursery (Californie).

La protection peut être réalisée au moyen de divers mécanismes, y compris des accords volontaires d'intendance, des conventions de conservation, la vente de terres privées par des propriétaires consentants, les désignations relatives à l'utilisation des terres et la désignation d'aires protégées.

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