Plan de gestion de la dryoptéride côtière au Canada [proposition] 2011 : Approches pour l’atteinte des objectifs
Les mesures ont été rangées dans les catégories de mesures établies par le Cadre de conservation de la C.-B., et leur état d’avancement est indiqué entre parenthèses :
- Établir le rapport de situation (terminé)
- Le rapport du COSEPAC a été rédigé (COSEPAC, 1998), et la réévaluation réalisée (COSEPAC, 2001). Mise à jour prévue pour 2011.
- Envoyer au COSEPAC (terminé)
- La dryoptéride côtière a été désignée espèce préoccupante (COSEPAC, 2001).
- La dryoptéride côtière a été désignée espèce préoccupante (COSEPAC, 2001).
- Planification (terminée)
- Le plan de gestion de la C.-B. a été rédigé (présent document, 2010).
- Surveiller les tendances (en cours)
- Un inventaire de la population des îles Ballenas a été réalisé dans le cadre d’un relevé des plantes rares sur certains terrains du ministère de la Défense nationale (Fairbarns, 2006).
- La population de la pointe Dorcas et la plupart des populations des îles Denman et Hornby ont été inventoriées de nouveau en 2007 (Maslovat, 2007).
- L’Équipe de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry a financé un relevé détaillé de la dryoptéride côtière sur l’île Denman (Maslovat, 2007).
- Protection de l’habitat et intendance de terres privées (en cours)
- Dans le cadre de son programme d’intendance, la Denman Conservancy Association a communiqué avec des propriétaires fonciers, effectué des visites sur le terrain, préparé des plan d’intendance et réalisé des programme de surveillance et d’éducation concernant la dryoptéride côtière et d’autres espèces (Denman Conservancy Association, 2006). Il existe un accord d’intendance avec le propriétaire d’un terrain de l’île Denman qui abrite une des populations.
- La sous-population du chemin Reginald de Denman no 1 et deux sous-populations de Denman no 2 se trouvent dans la zone de permis d’aménagement (Development Permit Area) no 2, qui se caractérise par de fortes pentes (Islands Trust, 2004). Dans cette zone, la coupe d’arbres est restreinte, et il faut un permis pour construire une route ou un bâtiment.
- Des membres de la coopérative de camping Heron Rocks arrachent les espèces envahissantes qui côtoient les dryoptérides côtières de la sous-population Hornby no 1 (Mogensen, comm. pers., 2007).
- Le site Web de l’Équipe de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry (en anglais seulement) (GOERT, 2003) présente une fiche d’information (en anglais seulement) sur l’espèce.
- Le plan directeur du parc provincial Boyle désigne les milieux occupés par la dryoptéride côtière comme des Special Features Zones, qui visent à protéger des éléments ou processus naturels ou culturels importants en raison de leur caractère particulier, de leur fragilité et de leur valeur patrimoniale. Les installations et services dans le parc doivent être limités au minimum, et les activités récréatives doivent se restreindre à la marche et à l’observation de la nature (B.C. Parks, 1990).
- Le document sur les objectifs et le plan de zonage du parc provincial Helliwell ne mentionne pas expressément la dryoptéride côtière, même s’il donne le nombre total d’espèces présentes dans le parc qui sont inscrites à la liste bleue ou rouge. Selon le document, l’objectif principal du parc consiste à protéger des écosystèmes rares et en péril, et son objectif secondaire est de favoriser les activités récréatives à faible impact. Les milieux occupés par la dryoptéride côtière dans le parc sont désignés Special Features Zones (B.C. Parks, 2003).
- Le plan écosystémique pour le parc provincial Helliwell prescrit des mesures de gestion des zones de prairies et de falaises qui abritent la dryoptéride côtière dans le parc : entre autres, limiter au minimum la perturbation du sol, restreindre l’accès et fermer ces zones durant la floraison printanière (Balke et al. 2001).
On en sait très peu sur les capacités de reproduction de la dryoptéride côtière au Canada. Il faut effectuer d’autres études pour comprendre les conditions nécessaires au succès de la reproduction sexuée, comme la germination des spores, la reproduction des gamétophytes et la survie des jeunes sporophytes, ainsi que pour déterminer si des conditions de microsite particulières sont essentielles à la reproduction sexuée. Il serait utile de mieux comprendre la capacité de dispersion et le système de reproduction de l’espèce.
On n’a pas étudié la composition génétique des populations de la C.-B., ni les différences entre les sous-populations et entre les populations de la C.-B et celles des Etats-Unis. De telles études permettraient de déterminer le principal mode de reproduction (reproduction sexuée par spores ou reproduction végétative par division du rhizome). La détermination de la composition génétique pourrait indiquer quel stade du cycle vital est le mieux protégé pour la survie de l’espèce (p. ex. protéger les attributs de l’habitat qui soutiennent la reproduction par spores ou la reproduction végétative).
On ne comprend pas l’impact à l’échelle des populations des perturbations naturelles, comme l’érosion et l’exposition au soleil, au vent et aux tempêtes, ainsi que l’effet d’un régime de feu modifié. On ignore les effets des plantes, ravageurs et maladies (en particulier l’encre des chênes rouges) exotiques envahissantes sur l’espèce.
Les attributs essentiels de l’habitat de la dryoptéride côtière n’ont pas été déterminés; on manque de connaissances sur le régime d’humidité du sol, la composition du sol (y compris la granulométrie et la teneur en matière organique), la profondeur du sol, la composition de la végétation (y compris la présence et l’abondance d’espèces végétales envahissantes), la pente, l’orientation et l’altitude.
On ignore pourquoi la répartition de l’espèce est limitée, si l’espèce a des exigences particulières en matière d’habitat et si des régimes de perturbations naturelles contribuent à sa répartition.
Il faudrait effectuer d’autres relevés dans la zone d’occurrence de l’espèce pour découvrir d’éventuelles populations non signalées sur des falaises rocheuses inaccessibles et des pentes boisées sèches et abruptes sur les îles Gulf nordiques et l’île de Vancouver.
Aucune surveillance des populations n’a été effectuée pour en déterminer les tendances, ce qu’il faudrait faire au moins une fois aux dix ans dans le cadre d’un programme d’inventaire, de surveillance et d’évaluation.
La plupart des populations de dryoptérides côtières (9 sur 13) se trouvent au moins en partie sur des terres privées. La protection de l’habitat sur les terres privées peut comprendre diverses mesures, par exemple collaborer avec les propriétaires fonciers à l’élaboration d’activités d’intendance, établir des ententes ou servitudes de conservation et restreindre le développement immobilier par l’établissement de zones de permis d’aménagement (Development Permit Areas). Toutes les populations de dryoptérides côtières, sauf celle de la pointe Dorcas, se trouvent sur le territoire couvert par le Islands Trust. Le Islands Trust est une fédération d’administrations locales indépendantes qui planifie l’utilisation des terres et règlemente le développement immobilier sur les îles Gulf afin d’établir des aires de conservation pour les résidants locaux et la province. Les milieux occupés par l’espèce dans des parcs provinciaux doivent être surveillés afin de s’assurer afin de reconnaître et d’appliquer les zones de gestion spéciale et les descriptions de zone. Une seule des populations sur une terre privée (Denman no 3) est actuellement protégée par un accord d’intendance conclu avec Denman Island Conservancy.
Il faudrait, de concert avec des fiducies foncières locales et l’Équipe de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry, communiquer avec les propriétaires fonciers concernés afin de les informer des mesures d’intendance de la dryoptéride côtière et de bonne gestion de son habitat.
Il faudrait inventorier de nouveau les populations des îles Amelia, Gerald et Mistaken, car elles n’ont pas fait l’objet d’un relevé systématique depuis neuf ans. Il faut aussi réaliser un inventaire détaillé de certaines populations (p. ex. Hornby no 1 et no 3 et Denman no 1) qui seraient plus étendues que ce qui avait été signalé (Martin, comm. pers., 2007). Il faudrait surveiller chaque population aux dix ans pour en évaluer la situation et les tendances.
Des inventaires devraient aussi porter sur l’habitat potentiel de la dryoptéride côtière (c.-à-d. des pentes sèches ou escarpements rocheux orientés au sud-est, au sud ou au sud-ouest) sur les îles Gulf et les côtes propices de l’île de Vancouver afin de découvrir d’éventuelles populations.
Il faudrait surveiller les effets des activités récréatives, des espèces végétales exotiques envahissantes et de l’érosion causée par les tempêtes hivernales. Sur les terres fédérales, des arbustes et petits arbres exotiques empiètent sur l’habitat de la dryoptéride côtière; il faudrait les surveiller et les éliminer au besoin (Fairbarns, 2006).
Il faut continuer de communiquer avec le public pour accroître sa sensibilisation à la dryoptéride côtière et aux autres espèces en péril.
Il faut notamment sensibiliser les intervenants et la communauté au lien entre l’encre des chênes rouges et la dryoptéride côtière afin de limiter la propagation de la maladie à partir de plants provenant de pépinières.
Il faut effectuer de la recherche pour combler les principales lacunes dans les connaissances. La recherche visant à déterminer les caractéristiques essentielles de l’habitat de la dryoptéride côtière pourrait être menée en association avec les activités d’inventaire et de surveillance. De la recherche devrait aussi être menée pour déterminer les bonnes mesures de gestion des plantes envahissantes ainsi que les éventuels effets de l’encre des chênes rouges.
- Établissement d’ici 2013 des pratiques de gestion optimales de l’habitat de la dryoptéride côtière afin d’orienter les activités d’intendance sur les terres privées et publiques abritant l’espèce.
- Élaboration d’ici 2013 de plans de gestion des terres pour toutes les populations occupant des terres provinciales (quatre sites) et fédérales (un site).
- Activités d’intendance entreprises par neuf propriétaires de terrains privés d’ici 2014.
- Application d’ici 2014 de mesures de protection sur trois sites provinciaux et un site fédéral.
- Étude des impacts des trois menaces principales sur les terres privées et provinciales abritant la dryoptéride côtière d’ici 2015.
- Inventaire d’ici 2015 des populations qui n’ont pas été examinées récemment.
- Inventaire d’ici 2015 de 20 endroits propices à l’espèce qui n’ont fait l’objet d’aucun relevé.
- Surveillance de l’empiètement d’arbustes exotiques sur des terres du MDN d’ici 2015.
- Surveillance de toutes les populations aux 10 ans.
- Production d’ici 2012 de documents d’éducation et de vulgarisation sur la dryoptéride côtière.
- Distribution d’ici 2013 de documents de sensibilisation et de documents sur les pratiques de gestion optimales aux propriétaires des terrains abritant neufpopulations (dont deux se trouvent aussi dans des parcs provinciaux), aux propriétaires ou gestionnaires de terres provinciales et à un propriétaire de terres fédérales.
- Distribution d’ici 2013 de documents de vulgarisation aux représentants d’Islands Trust pour les îles Denman et Hornby.
- Distribution d’ici 2013 de documents de vulgarisation aux groupes de randonneurs ou de naturalistes des îles Denman et Hornby.
- Recherche entreprise d’ici 2016 pour combler les lacunes dans les connaissances (p. ex. attributs essentiels de l’habitat, composition génétique, type de reproduction, niveau d’impact des perturbations naturelles, effets des plantes exotiques envahissantes et facteurs limitant la répartition).
La dryoptéride côtière est présente à proximité d’autres espèces en péril dans des chênaies de Garry, ainsi que dans des prés maritimes, des mares printanières ou autres milieux humides saisonniers associées à des écosystèmes à chêne de Garry et à d’autres écosystèmes connexes. Par conséquent, la protection et l’intendance de l’habitat des chênes de Garry contribueront à la protection d’autres espèces dans ces milieux.
Le présent plan de gestion constitue un volet du programme de rétablissement des écosystèmes à chêne de Garry et des écosystèmes connexes, en particulier de l’approche stratégique D, soit la protection et le rétablissement des espèces en péril (GOERT, 2002). Les espèces en péril dans ces milieux adjacents sont visées par plusieurs programmes de rétablissement multi-espèces (Agence Parcs Canada, 2006a, 2006b et 2006c).
Puisque la dryoptéride côtière est présente sur des terres privées, les activités d’intendance sont essentielles à sa conservation et à son rétablissement. On reconnaît que pour protéger avec succès bon nombre d’espèces en péril, il doit y avoir des initiatives volontaires de la part des propriétaires fonciers pour préserver des écosystèmes naturels abritant ces espèces. Voici des exemples d’activités d’intendance pour les propriétaires fonciers : suivre les lignes directrices ou pratiques de gestion optimales visant à satisfaire aux besoins des espèces en péril; protéger volontairement des zones importantes d’habitat sur des terres privées; faire inscrire des servitudes de conservation sur les titres de propriété; faire don de terrains privés écosensibles, en tout ou en partie; vendre une partie ou la totalité de sa propriété pour protéger certains écosystèmesou certaines espèces en péril; vendre sa propriété pour en assurer la conservation. Par exemple, des organisations gouvernementales et non gouvernementales ont collaboré avec succès avec des propriétaires de terres privées de la C.-B. pour conserver ces terres. Des programmes d’intendance et des fiducies foncières locales, comme le Islands Trust, le Land Trust Alliance, Conservancy Hornby Island et Denman Island Conservancy, pourraient aider à cet égard.
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Pete Veilleux, East Bay Wild, 1972A 36th Avenue, Oakland (Californie).
Patrick Williston, Gentian Botanical Research, Smithers (C.-B.).
Bert Wilson, horticulteur, Las Pilitas Nursery (Californie).
La protection peut être réalisée au moyen de divers mécanismes, y compris des accords volontaires d'intendance, des conventions de conservation, la vente de terres privées par des propriétaires consentants, les désignations relatives à l'utilisation des terres et la désignation d'aires protégées.
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