Enquête canadienne sur la consommation de substances (ECCS) : sommaire des résultats pour 2023
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Organisation : Santé Canada
Date de publication : décembre 2024
Contexte
L'Enquête canadienne sur la consommation de substances (ECCS) (anciennement l'Enquête canadienne sur l'alcool et les drogues) est menée tous les deux ans par Santé Canada (SC). Elle a pour but de recueillir des données auprès de personnes vivant au Canada afin de déterminer la prévalence de la consommation d'alcool et de drogues et les tendances dans ce domaine. Les données de l'ECCS servent à l'élaboration, à la mise en œuvre et à l'évaluation de stratégies, de politiques et de programmes axés sur la consommation d'alcool et de drogues au Canada. L'ECCS et ses prédécesseurs sont l'une des principales sources de données nationales sur la consommation de substances dont dispose Santé Canada depuis 2008.
L'ECCS a évolué au fil des ans. À l'origine, l'Enquête de surveillance de l'usage du tabac au Canada (ESUTC, de 1999 à 2012) mesurait la consommation de tabac, alors que l'Enquête de surveillance canadienne de la consommation d'alcool et de drogues (ESCCAD, de 2008 à 2012) mesurait la consommation d'alcool et de drogues. En 2013, l'ESUTC et l'ESCCAD ont été fusionnées pour former l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues (ECTAD). L'ECTAD a été menée tous les deux ans de 2013 à 2017. En 2019, Santé Canada a scindé l'ECTAD en deux enquêtes : l' Enquête canadienne sur l'alcool et les drogues (ECAD), qui porte sur la surveillance de la consommation d'alcool et de drogues, et l'Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECTN), qui porte sur le tabagisme et le vapotage. En 2023, l'ECAD a été renommée l'ECCS suite à d'importants changements méthodologiques.
L'ECCS de 2023 a été réalisée de mai à décembre 2023.
Données démographiques
Figure 1 : Texte descriptif
Une figure avec deux cases côte à côte. Le côté gauche décrit les répondants de l'ECCS de 2023 : 14 % âgés de 15 à 24 ans, 22 % âgés de 65 ans et plus. 50% d'hommes, 49% de femmes, 1% de non binaires. 74 % de Blancs, 5 % d'Asiatiques du Sud, 4 % de Noirs, 4 % d'Asie de l'Est. Toutes les autres races représentées à 3% ou moins. Revenu du ménage : 8 % inférieur à 20 000 $, 20 % supérieur à 150 000 $.
À droite, les données démographiques du recensement de 2021 étaient : 11 % âgés de 15 à 24 ans, 20 % âgés de 65 ans et plus. 50% d'hommes, 50% de femmes, 0,1% de non binaires. 70 % de Blancs, 7 % d'Asiatiques du Sud, 5 % d'Autochtones, 4 % de Noirs. Revenu du ménage : 5 % inférieur à 20 000 $, 20 % supérieur à 150 000 $.
Reconception du plan d'échantillonnage
La méthode utilisée pour contacter les répondants a été modifiée entre l'ECAD de 2019 et l'ECCS de 2023. Cette modification avait pour but de joindre un plus grand nombre de répondants, en particulier parmi les 15 à 24 ans. Les notes techniques décrivent plus en détail les modifications qui ont été apportées. En raison de ces changements, nous ne recommandons pas de comparer les résultats. Les résultats l'ECCS de 2023 sont indépendants.
L'accroissement de la taille de l'échantillon nous permet, dans le présent rapport, de mettre en évidence les différences entre la consommation de substances chez les adultes et celle chez les jeunes et jeunes adultes. Elle nous permet également de rendre compte des différences dans la consommation de substances entre les personnes ayant déclaré avoir une santé mentale mauvaise ou passable et celles dont la santé mentale était très bonne ou une excellente.
Figure 2 : Texte descriptif
Une figure décrivant le plan d'échantillonnage et les impacts de la reconception de l'ECAD de 2019 à l'ECCS de 2023.
Le plan d'échantillonnage de l'ECAD de 2019 prévoyait un échantillonnage des ménages, un recrutement par courrier et un lien vers une enquête en ligne inclus dans l'envoi postal.
Pour l'ECCS de 2023, le plan comprenait : un échantillonnage et un recrutement téléphoniques, des jeunes et des jeunes adultes supplémentaires recrutés à partir d'un panel probabiliste, un lien envoyé par SMS ou par courrier électronique, et l'offre d'un incitatif de 20 $ pour la participation de 1 303 jeunes âgés de 15 à 19.
Pour l'impact de la reconception, il y a eu 10 293 répondants pour l'ECAD de 2019 et 36 180 pour l'ECCS de 2023.
Pour l'ECAD de 2019, 591 jeunes et jeunes adultes âgés de 15 à 24 ans ont été recrutés. Pour l'ECAD de 2023, il y en avait 7026.
Pour l'ECAD de 2019, les résultats ont été présentés au niveau de la population. Pour l'ECCS de 2023, les résultats sont présentés au niveau de la population et sous un angle d'équité.
Pour l'ECAD de 2019, il y a eu un minimum de 744 répondants par province. Pour l'ECCS de 2023, il y a eu un minimum de 2450 répondants par province.
Consommation de substances chez la population générale au Canada
Consommation de substances légales par la population générale
Figure 3 : Texte descriptif
Ce graphique montre les prévalences de consommation au cours de la vie et des 12 derniers mois des substances légales d'intérêt. Pour les cigarettes et le vapotage, la consommation des 30 derniers jours est affichée au lieu des 12 derniers mois.
Prévalence de la consommation d'alcool au cours de la vie : 90 %
Prévalence de la consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois : 79 %
Prévalence de la consommation de cannabis au cours de la vie : 63 %
Prévalence de la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois : 32 %
Prévalence de la consommation de sédatifs au cours de la vie : 22 %
Prévalence de la consommation de sédatifs au cours des 12 derniers mois : 13 %
Prévalence de la consommation d'opioïdes au cours de la vie : 30 %
Prévalence de la consommation d'opioïdes au cours des 12 derniers mois : 13 %
Prévalence de l'utilisation de cigarettes au cours de la vie : 51 %
Prévalence de l'utilisation de cigarettes au cours des 30 derniers jours : 13 %
Prévalence de l'utilisation de produits de vapotage au cours de la vie : 23 %
Prévalence de l'utilisation de produits de vapotage au cours des 30 derniers jours : 10 %
Prévalence de la consommation de stimulants au cours de la vie : 10 %
Prévalence de la consommation de stimulants au cours des 12 derniers mois : 5 %
L'alcool a été la substance d'intérêt la plus souvent consommée au cours des 12 derniers mois, suivi du cannabis, puis des sédatifs, des opioïdes et des cigarettes.
La plupart des personnes qui avaient consommé de l'alcool au cours de leur vie en avaient également consommé au cours des 12 derniers mois (88 %).
Parmi les personnes qui avaient également consommé d'autres substances légales au cours de leur vie, les pourcentages de celles qui en avaient consommé au cours des 12 derniers mois étaient les suivants : sédatifs (60 %), cannabis (51 %), opioïdes (43 %) et cigarettes (25 %) [au cours des 30 derniers jours/de la vie].
Consommation de substances illégales par la population générale
Figure 4 : Texte descriptif
Ce graphique montre les prévalences de consommation des substances illégales d'intérêt au cours de la vie et des 12 derniers mois.
Prévalence de la consommation de toute substance illégale au cours de la vie : 21 %
Prévalence de la consommation de toute substance illégale au cours des 12 derniers mois : 8 %
Prévalence de la consommation de psychédéliques au cours de la vie : 16 %
Prévalence de la consommation de psychédéliques au cours des 12 derniers mois : 6 %
Prévalence de la consommation de cocaïne ou de crack au cours de la vie : 12 %
Prévalence de la consommation de cocaïne ou de crack au cours des 12 derniers mois : 3 %
Prévalence de la consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours de la vie : 9 %
Prévalence de la consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours des 12 derniers mois : 2 %
Les psychédéliques ont été les substances illégales les plus souvent consommées, suivies de la cocaïne ou du crack et de l'ecstasy ou autres drogues de synthèse similaires.
Parmi les personnes qui avaient consommé des substances illégales au cours de leur vie, 38 % l'avaient fait au cours des 12 derniers mois.
< 1 % ont consommé, en 2023, des amphétamines ou des méthamphétamines, des dissociatifs, de l'oxyde nitreux, de la salvia, des inhalants, de l'héroïne, du fentanyl illégal ou du kratom.
Consommation combinée de deux substances ou plus par la population générale (polyconsommation)
La polyconsommation a été définie comme la consommation de toute substance d'intérêt en même temps ou à la même occasion que la consommation d'alcool, de cannabis ou d'opioïdes sur ordonnance.
Les associations les plus fréquentes ont été les suivantes : alcool lors de la consommation de cannabis (21 %), cannabis lors de la consommation d'alcool (20 %) et psychédéliques lors de la consommation d'alcool (4 %).
28 % ont consommé deux substances ou plus en même temps ou à la même occasion au cours des 12 derniers mois.
Consommation de substances chez les jeunes et les jeunes adultes au Canada
Consommation de substances légales par les jeunes et les jeunes adultes
Figure 5 : Texte descriptif
Cette figure montre les prévalences de consommation au cours de la vie et au cours des 12 derniers mois des substances légales d'intérêt chez les jeunes et les jeunes adultes âgés de 15 à 24 ans. Pour les cigarettes et le vapotage, la consommation des 30 derniers jours est affichée au lieu des 12 derniers mois.
Prévalence de la consommation d'alcool au cours de la vie : 80 %
Prévalence de la consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois : 73 %
Prévalence de la consommation de cannabis au cours de la vie : 60 %
Prévalence de la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois : 48 %
Prévalence de l'utilisation de produits de vapotage au cours de la vie : 50 %
Prévalence de l'utilisation de produits de vapotage au cours des 30 derniers jours : 28 %
Prévalence de la consommation de stimulants au cours de la vie : 21 %
Prévalence de la consommation de stimulants au cours des 12 derniers mois : 14 %
Prévalence de l'utilisation de cigarettes au cours de la vie : 28 %
Prévalence de l'utilisation de cigarettes au cours des 30 derniers jours : 14 %
Prévalence de la consommation de sédatifs au cours de la vie : 20 %
Prévalence de la consommation de sédatifs au cours des 12 derniers mois : 13 %
Prévalence de la consommation d'opioïdes au cours de la vie : 20 %
Prévalence de la consommation d'opioïdes au cours des 12 derniers mois : 10 %
Au cours des 12 derniers mois, les jeunes et les jeunes adultes étaient légèrement moins susceptibles d'avoir consommé de l'alcool (73 %) ou des opioïdes pharmaceutiques (10 %) que les adultes (80 % et 14 %, respectivement).
Les jeunes et les jeunes adultes étaient proportionnellement tout aussi nombreux que les adultes (13 à 14 %) à consommer des sédatifs au cours des 12 derniers mois ou à avoir fumé une cigarette au cours des 30 derniers jours (également 13 à 14 %).
Les jeunes et les jeunes adultes étaient plus susceptibles de consommer du cannabis (48 %), des produits de vapotage (28 % – au cours des 30 derniers jours) et des stimulants (14 %) que les adultes (30 %, 7 % et 4 %, respectivement).
Bien que la majorité des opioïdes (94 %), des stimulants (82 %) et des sédatifs (93 %) sur ordonnance aient été consommés à des fins médicales, les jeunes et les jeunes adultes étaient de deux à trois fois plus susceptibles que les adultes de consommer ces produits à des fins non médicales.
Consommation de substances illégales par les jeunes et les jeunes adultes
Figure 6 : Texte descriptif
Cette figure montre les prévalences au cours de la vie et au cours des 12 derniers mois de consommation des substances illégales d'intérêt par les jeunes et les jeunes adultes âgés de 15 à 24 ans.
Prévalence de la consommation de toute substance illégale au cours de la vie : 21 %
Prévalence de la consommation de toute substance illégale au cours des 12 derniers mois : 14 %
Prévalence de la consommation de psychédéliques au cours de la vie : 17 %
Prévalence de la consommation de psychédéliques au cours des 12 derniers mois : 12 %
Prévalence de la consommation de cocaïne ou de crack au cours de la vie : 8 %
Prévalence de la consommation de cocaïne ou de crack au cours des 12 derniers mois : 5 %
Prévalence de la consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours de la vie : 8 %
Prévalence de la consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours des 12 derniers mois : 3 %
Les jeunes et les jeunes adultes étaient proportionnellement aussi nombreux que les adultes à avoir consommé une substance illégale au cours de leur vie (21 %). Ils étaient également tout aussi susceptibles (16 à 17 %) d'avoir consommé des psychédéliques au cours de leur vie.
Les jeunes et les jeunes adultes étaient toutefois plus de deux fois plus susceptibles d'avoir consommé des psychédéliques au cours des 12 derniers mois que les adultes (5 %). En conséquence, les 16 % d'adultes ayant déclaré avoir consommé des psychédéliques au cours de leur vie ont dit en avoir consommé pour la première fois, en moyenne à l'âge de 20 ou 21 ans.
Les jeunes et les jeunes adultes ont été plus de deux fois plus susceptibles que les adultes d'avoir consommé une drogue illégale au cours des 12 derniers mois – s'expliquant par la consommation de psychédéliques.
Consommation combinée de deux substances ou plus par les jeunes et les jeunes adultes
Les associations les plus fréquentes ont été les suivantes : alcool lors de la consommation de cannabis (36 %), cannabis lors de la consommation d'alcool (35 %), suivis par psychédéliques lors de la consommation de cannabis (8 %) et psychédéliques lors de la consommation d'alcool (7 %).
42 % des jeunes et des jeunes adultes ont consommé deux substances ou plus en même temps ou à la même occasion au cours des 12 derniers mois.
Santé mentale et consommation de substances
18 % des personnes ont déclaré que leur santé mentale était mauvaise ou passable.
Figure 7 : Texte descriptif
Ce graphique montre les prévalences de consommation des substances légales d'intérêt au cours des 12 derniers mois, pour ceux qui jugent leur santé mentale comme étant mauvaise ou passable par rapport à ceux qui jugent leur santé mentale comme étant très bonne ou excellente. Pour les cigarettes et le vapotage, la consommation des 30 derniers jours est affichée au lieu des 12 derniers mois.
Consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 53 %
Consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 23 %
Consommation de sédatifs au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 27 %
Consommation de sédatifs au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 8 %
Utilisation de produits de vapotage au cours des 30 derniers jours par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 21 %
Utilisation de produits de vapotage au cours des 30 derniers jours par ceux qui évaluent leur santé mentale comme étant très bonne ou excellente : 6 %
Utilisation de cigarettes au cours des 30 derniers jours par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 20 %
Utilisation de cigarettes au cours des 30 derniers jours par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 10 %
Consommation d'opioïdes au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 19 %
Consommation d'opioïdes au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 11 %
Consommation de stimulants au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 13 %
Consommation de stimulants au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 2 %
^ Prévalence du tabagisme et du vapotage au cours des 30 jours, comparativement à la prévalence de la consommation d'autres substances au cours des 12 derniers mois
Au cours des 12 derniers mois, la prévalence de la consommation d'alcool n'a pas varié en fonction de la santé mentale autoévaluée (79 %).
Si l'on exclut l'alcool, les personnes ayant déclaré avoir une santé mentale mauvaise ou passable ont été environ deux fois susceptibles de consommer des substances légales que celles dont la santé mentale autoévaluée était très bonne ou excellente.
Figure 8 : Texte descriptif
Ce graphique montre les prévalences de consommation des substances illégales d'intérêt au cours des 12 derniers mois, pour ceux qui jugent leur santé mentale comme étant mauvaise ou passable par rapport à ceux qui jugent leur santé mentale comme étant très bonne ou excellente.
Consommation de toute substance illégale au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 16 %
Consommation de toute substance illégale au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 4 %
Consommation de psychédéliques au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 12 %
Consommation de psychédéliques au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 3 %
Consommation de cocaïne ou de crack au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 6 %
Consommation de cocaïne ou de crack au cours des 12 derniers mois par ceux qui jugent leur santé mentale très bonne ou excellente : 1 %
Consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme mauvaise ou passable : 4 %
Consommation d'ecstasy ou de drogues de synthèse similaires au cours des 12 derniers mois par ceux qui évaluent leur santé mentale comme très bonne ou excellente : 1 %
Ceux qui considéraient que leur santé mentale était mauvaise ou passable ont été quatre fois plus susceptibles d'avoir consommé une drogue illégale au cours des 12 derniers mois.
Les résultats complets sont disponibles en ligne.
Ces résultats sommaires ne présentent qu'une petite partie des données recueillies dans le cadre de l'ECCS de 2023. Tous les indicateurs peuvent être consultés sur un outil en ligne, qui permet de désagréger les indicateurs en fonction de nombreux facteurs sociodémographiques.
Les notes techniques, qui décrivent en détail les changements apportés à la méthodologie, sont également publiées avec ce rapport. Pour les notes techniques, le questionnaire de 2023, et les rapports des versions précédentes de l'ECCS, consultez la page de l'Enquête canadienne sur la consommation de substances.
Pour en savoir plus sur l'enquête et ses résultats, veuillez envoyer un courriel à odss.bssd@hc-sc.gc.ca
Citation recommandée
Enquête canadienne sur la consommation de substances – Sommaire des résultats pour 2023. (2024) Gouvernement du Canada. Santé Canada. Direction des substances contrôlées et de la réponse aux surdoses, Bureau de la recherche et de la surveillance des drogues.
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