Chlamydophila pneumoniae : Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes

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Section I : Agent infectieux

Nom

Chlamydophila pneumoniae

Type d'agent

Bactérie

Taxonomie

Famille

Chlamydiaceae

Genre

Chlamydophila

Espèce

Pneumoniae

Synonyme ou renvoi

Originellement appelée Chlamydia souche TWAR, en 1989, cette bactérie a été reclassée comme étant une nouvelle espèce, Chlamydia pneumoniaeNote de bas de page 1. En 1999, le genre a été rebaptisé Chlamydophila, mais le changement n'a pas été adopté universellement. C. pneumoniae est communément appelé par les deux noms de genreNote de bas de page 2.

Caractéristiques

Brève description

C. pneumoniae est une bactérie non mobile, intracellulaire obligatoire à Gram négatif. Son génome est d'environ 1,23 MbpNote de bas de page 3. C. pneumoniae a deux formes développementales : un corps élémentaire métaboliquement inactif et infectieux, adapté à la survie extracellulaire, et un corps réticulé reproducteur non infectieux, métaboliquement actifNote de bas de page 4. Les corps élémentaires de C. pneumoniae sont habituellement en forme de poire, tandis que les corps élémentaires des autres membres du genre sont habituellement rondsNote de bas de page 3. Les corps élémentaires sont de tailles plus petites (0.2 µm) alors que les corps réticulés sont de tailles plus grandes (0.8 µm)Note de bas de page 5. Trois biovars de C. pneumoniae ont été identifiés : humain, koala et équinNote de bas de page 3Note de bas de page 6.

Propriétés

C. pneumoniae peut être cultivée dans le vitellus d'embryons de poulets et dans certaines lignées cellulaires comme les cellules de la lignée humaine (LH) et les cellules Hep-2Note de bas de page 3. C. pneumoniae se reproduit dans le cytoplasme des cellules hôtes, au sein de vacuoles membranaires de l'hôte (inclusions) jusqu'à ce qu'ils occupent la majeure partie du cytoplasme. C. pneumoniae sont ensuite libérés de la cellule hôte soit par extrusion, soit par lyse pour infecter les cellules voisinesNote de bas de page 5. C. pneumoniae peut se propager systématiquement à d'autres tissus hors des poumons par l'intermédiaire des cellules mononucléées du sang périphérique et peut se multiplier dans divers types de cellulesNote de bas de page 5. C pneumoniae peut survivre dans des conditions stressantes sous forme persistante non infectieuse et rester dans la cellule hôte sous forme de corps réticulés avant sa réactivationNote de bas de page 5.

Section II : Identification des dangers

Pathogénicité et toxicité

C. pneumoniae cause des infections des voies respiratoires supérieures et inférieures (p. ex., la pharyngite, la sinusite, la bronchite, pneumonie contractée dans la collectivité) chez les humainsNote de bas de page 1. Chez la plupart des personnes, l'infection est asymptomatique ou légère et autolimitanteNote de bas de page 7Note de bas de page 8. Les premiers symptômes comprennent la rhinorrhée, les céphalées (dans 25 % à 60 % des cas), la fièvre (dans 25 % à 45 % des cas), l'enrouement (dans 65 % à 75 % des cas) et les maux de gorge (dans 70 % à 80 % des cas)Note de bas de page 8. Ces symptômes se résorbent habituellement après une semaine et sont suivis d'une toux sèche (dans 75 % à 90 % des cas) qui peut persister pendant des semaines, voire des moisNote de bas de page 7Note de bas de page 8Note de bas de page 9. Même si C. pneumoniae peut causer une forme grave de pneumonie, les décès sont raresNote de bas de page 10Note de bas de page 11.

C. pneumoniae semble capable de persister dans le corps après une infection aiguëNote de bas de page 7 et elle a été associée à diverses affections chroniques chez les adultes, y compris l'athéroscléroseNote de bas de page 12Note de bas de page 13Note de bas de page 14, la maladie cardiovasculaireNote de bas de page 5, l'obstruction de la veine du couNote de bas de page 15, l'apparition et l'exacerbation de l'asthmeNote de bas de page 16Note de bas de page 17, la bronchopneumopathie chronique obstructiveNote de bas de page 18, la démence tardiveNote de bas de page 19, l'arthriteNote de bas de page 20Note de bas de page 21, la sclérose en plaquesNote de bas de page 22 et des éruptions cutanées et des muqueusesNote de bas de page 23.

L'athérosclérose est l'accumulation de plaque dans les artères et constitue un précurseur des maladies cardiovasculaires. Dans les cellules vasculaires, C. pneumoniae induit un stress oxydatif et la production de protéines inflammatoires qui accélèrent le développement des lésions athérosclérotiquesNote de bas de page 24. La prévalence de C. pneumoniae dans les plaques athérosclérotiques est de 40 à 50 %Note de bas de page 25.

C. pneumoniae peut favoriser l'apparition d'asthme en induisant un nombre élevé d'éosinophiles et de neutrophiles dans les voies respiratoires. S'il n'est pas traité, C. pneumoniae peut provoquer une infection chronique qui induit davantage de réponses inflammatoires. La prévalence signalée d'asthmatiques infectés par C. pneumoniae est variable, allant de 15 à 92 %Note de bas de page 26.

De plus, C. pneumoniae peut infecter le cerveau et le système nerveux central, possiblement via les nerfs olfactifs, et augmenter le facteur de risque de démence en favorisant des dépôts bêta-amyloïdes dans le cerveauNote de bas de page 27. De 80 à 90 % des patients atteints de démence à apparition tardive contenaient C. pneumoniae dans leur tissu cérébralNote de bas de page 27.

Des infections à C. pneumoniae ont été identifiées chez des koalas, des chevaux, des bandicoots, des amphibiens et des reptilesNote de bas de page 18. Bien que les caractéristiques cliniques chez d'autres animaux sont moins connues, C. pneumoniae provoque des infections des voies respiratoires chez les koalas; les infections peuvent être asymptomatiques ou les koalas peuvent présenter des symptômes similaires à ceux observés chez les humainNote de bas de page 3Note de bas de page 28.

Épidémiologie

C. pneumoniae cause des infections des voies respiratoires chez les enfants et les adultes dans le monde entier. L'infection primaire se produit principalement chez les enfants d'âge scolaire, alors que la réinfection se produit chez les adultes. La séroprévalence est d'environ 50 % à l'âge de 20 ans, de 80 % chez les hommes âgés et 70 % chez les femmes âgéesNote de bas de page 18. L'incidence de la pneumonie contractée dans la collectivité chez les adultes nécessitant une hospitalisation aux États-Unis est d'environ 24,8 cas par 10 000 personnes par annéeNote de bas de page 29. C. pneumoniae est responsable de 6 % à 20 % des cas de pneumonie contractée dans la collectivitéNote de bas de page 8 et 5 % des cas de bronchiteNote de bas de page 7. Les personnes atteintes du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) non traitées présentent un risque plus élevé d'infection à C. pneumoniae que les personnes en santéNote de bas de page 30. La maladie peut être plus grave chez les personnes âgées et les personnes atteintes d'une maladie cardiorespiratoireNote de bas de page 8. Les décès dus aux infections respiratoires causées par C. pneumoniae sont raresNote de bas de page 10Note de bas de page 11. Des éclosions sporadiques d'infection des voies respiratoires causées par C. pneumoniae ont été signalées dans des établissements de soins de longue durée, des centres correctionnels et des bases militairesNote de bas de page 31Note de bas de page 32Note de bas de page 33.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels

Les humainsNote de bas de page 1, les chevauxNote de bas de page 6, les koalasNote de bas de page 28, les bandicoots de BougainvilleNote de bas de page 34, les reptiles (les serpents, les iguanes, les caméléons, les tortues)Note de bas de page 35, et les oiseauxNote de bas de page 36 et les amphibiens (les grenouilles)Note de bas de page 36.

Autres hôtes

Des souris, des lapins, des crapauds, des hamsters et des primates non humains ont été infectés expérimentalementNote de bas de page 37Note de bas de page 38Note de bas de page 39Note de bas de page 40.

Dose infectieuse

Inconnue.

Période d'incubation

Environ 21 joursNote de bas de page 7.

Transmissibilité

La transmission de C. pneumoniae se fait par exposition à des surfaces contaminées et par transfert ultérieur aux tissus muqueuxNote de bas de page 41Note de bas de page 42. La transmission peut aussi se produire par exposition à des aérosols infectieux au moyen de contact proche de personne à personne, mais cela ne semble pas être un mode de transmission efficaceNote de bas de page 23.

Section III : Dissémination

Réservoir

Les humainsNote de bas de page 43.

Zoonose

Aucune. Cependant, des découvertes de génotypes animaux chez l'homme suggèrent la possibilité d'une zoonoseNote de bas de page 44.

Vecteurs

Aucun.

Section IV – Viabilité et stabilité

Sensibilité/résistance aux médicaments

La croissance de C. pneumoniae est inhibée in vitro par la tétracycline, les macrolides, les azalides, les cétolides, le chloramphénicol, la rifampine et les fluoroquinolonesNote de bas de page 3. Le cycle de développement est interrompu en présence d'antibiotiques bêta-lactaminesNote de bas de page 3. Il a récemment été démontré que le Lefamulin inhibe efficacement la synthèse des protéines dans les organismes pulmonaires, notamment C. pneumoniae, et il a été approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, l'Agence européenne des médicaments (AEM) et Santé Canada pour traiter la pneumonie nosocomialeNote de bas de page 45.

C. pneumoniae est insensible aux sulfonamidesNote de bas de page 2Note de bas de page 3Note de bas de page 46. La souche TW-183 de C. pneumoniae a montré une certaine résistance in vitro à la rifampine et au rifalazil en raison de mutations génétiquesNote de bas de page 47. La souche mutée CV-6 de C. pneumoniae a montré une résistance in vitro aux quinolonesNote de bas de page 48.

Sensibilité aux désinfectants

Il a été démontré que l'application topique de l'oxydant N-chlorotaurine (0,1 %) inactive efficacement les C. pneumoniae intracellulaires in vitroNote de bas de page 49. L'eau de javel (0,25 %), l'éthanol (70 %), le glutaraldéhyde (2 %), le peroxyde d'hydrogène (7,5 %), l'acide peracétique (0,2 %) et l'orthophthalaldéhyde (0,55 %) sont efficaces contre d'autres membres du genre ChlamydophilaNote de bas de page 50.

Inactivation physique

C. pneumoniae est sensible à la chaleur et aux rayons UVNote de bas de page 51. C. pneumoniae peut être inactivé par un traitement thermique à 90 °C pendant 30 minutes et par une exposition à une source de lumière UV de 30 W pendant 30 minutes à une distance de 15 cmNote de bas de page 51Note de bas de page 52.

Survie à l'extérieur de l'hôte

C. pneumoniae peut persister sur une surface sèche inanimée pendant 30 heuresNote de bas de page 41. Il peut survivre dans un milieu liquide à 15 °C pendant deux semainesNote de bas de page 53 et sur les mains pendant 10 à 15 minutesNote de bas de page 41.

Section V – Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance

C. pneumoniae peut être détecté dans des échantillons cliniques à l'aide de méthodes fondées sur la culture, la détection d'antigènes ou d'anticorps et des méthodes moléculairesNote de bas de page 54. Les antigènes de C. pneumoniae peuvent être détectés dans les cellules à l'aide d'une peroxydase ou d'un marqueur fluorescentNote de bas de page 55. Les anticorps contre C. pneumoniae peuvent être détectés à l'aide d'épreuves de détection des anticorps par micro immunofluorescence (MIF) et immuno enzymatiques (ELISA)Note de bas de page 9. Pour la détection de C. pneumoniae, la FDA a approuvé des essais PCR commerciaux comme FilmArray® Respiratory Panel (BioFire Diagnostics, Salt Lake City, Utat) et NxTag® Respiratory Pathogen Panel (Luminex Inc., Austin, Texas)Note de bas de page 9Note de bas de page 29Note de bas de page 55. Les méthodes moléculaires, y compris les tests PCR, sont considérées comme la « référence en la matière »Note de bas de page 56.

Remarque : Les recommandations spécifiques pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi qu'une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Premiers soins et traitement

Le traitement de première line pour C. pneumoniae est avec les macrolidesNote de bas de page 47. Le plus actif est la clarithromycine avec une concentration minimale inhibitrice de 0,004 à 0,03 µg/mL. D'autres traitement incluent l'azithromycine (0,05 à 0,25 µg/mL) et l'érythromycine (0,015 à 0,25 µg/mL)Note de bas de page 47. Les infections sont également couramment traitées avec des tétracyclines, telles que la doxycycline et la minocycline, qui ont une concentration minimale inhibitrice de 0,015 à 0,25 µg/mLNote de bas de page 47. Les quinolones présentent également une activité inhibitrice contre C. pneumoniae avec différents niveaux de concentrations inhibitrices, telles que la garenoxacine (0,015 à 0,03 µg/L), la gémifloxacine (0,06 à 0,25 µg/L) ou la lévofloxacine (0,25 à 1 µg/L)Note de bas de page 47. Les schémas thérapeutiques impliquent généralement plusieurs médicaments en raison de la complexité de l'éradication des infections chroniquesNote de bas de page 2.

Remarque : Les recommandations spécifiques concernant les premiers soins et les traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention après exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention après l'exposition sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Immunisation

Aucune.

Remarque : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité et en consultant le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie

Aucune.

Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Section VI – Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées en laboratoire

Deux travailleurs de laboratoire ont développé une infection asymptomatique des voies respiratoires par C. pneumoniae après exposition à des matières infectieuses en aérosolNote de bas de page 57. Quatre techniciens de laboratoire ont présenté une pneumonie à C. pneumoniae après avoir cultivé un isolat en laboratoireNote de bas de page 58. Un technicien de laboratoire s'est présenté avec de la fatigue, de la fièvre et une pneumonie sévère après une exposition aux aérosolsNote de bas de page 59.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité et le Guide canadien sur la biosécurité pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d'exposition. Une ligne directrice canadienne sur la biosécurité décrivant les procédures de déclaration est également disponible.

Sources et échantillons

Échantillons par aspiration ou par écouvillon nasopharyngé, échantillons provenant d'une biopsie vasculaire et pulmonaire, sang, plaques athérosclérotiques et tissu cérébralNote de bas de page 2Note de bas de page 25Note de bas de page 27.

Dangers primaires

Auto inoculation avec des matières infectieuses et exposition des muqueuses aux matières infectieuses, y compris les aérosols infectieuxNote de bas de page 42.

Dangers particuliers

Aucun.

Section VII – Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque

C. pneumoniae est un pathogène humain du groupe de risque 2 et un pathogène animal du groupe de risque 2Note de bas de page 60Note de bas de page 61.

Exigences de confinement

Les installations, l'équipement et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 2 tels que décrits dans la Norme canadienne sur la biosécurité pour le travail avec des matières, des animaux ou des cultures infectieux ou possiblement infectieux.

Vêtements de protection

Les exigences applicables au niveau de confinement 2 pour l'équipement et les vêtements de protection individuelle décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées. L'équipement de protection individuelle peut inclure l'utilisation d'un sarrau de laboratoire et de chaussures spécialisées (par exemple, des bottes, des chaussures) ou de chaussures de protection supplémentaires (par exemple, des couvre-bottes ou des couvre-chaussures) lorsque les sols peuvent être contaminés (par exemple, les box, les salles de nécropsie), des gants lorsque le contact direct de la peau avec des matériaux ou des animaux infectés est inévitable, et une protection oculaire lorsqu'il existe un risque connu ou potentiel d'exposition à des éclaboussures.

Remarque : Une évaluation locale des risques permettra de déterminer la protection appropriée pour les mains, les pieds, la tête, le corps, les yeux, le visage et les voies respiratoires. De plus, les exigences relatives à l'équipement de protection individuelle pour la zone de confinement et les activités de travail doivent être documentées.

Autres précautions

Une enceinte de sécurité biologique (ESB) ou d'autres dispositifs de confinement primaire à utiliser pour les activités avec des récipients ouverts, sur la base des risques associés aux caractéristiques inhérentes de la matière réglementée, à la possibilité de produire des aérosols infectieux ou des toxines aérosolisées, à la manipulation de fortes concentrations de matières réglementées ou à la manipulation de grands volumes de matières réglementées.

Utilisation d'aiguilles et de seringues strictement limitée. Le pliage, le cisaillement, le rebouchage ou l'élimination d'aiguilles de seringues est à éviter, et, si nécessaire, à effectuer uniquement comme spécifié dans les procédures d'opération normalisées (PON). Des précautions supplémentaires sont requises pour les travaux comprenant des animaux ou des activités à grande échelle.

Renseignements supplémentaires

Pour les laboratoires de diagnostic qui manipulent des échantillons primaires provenant de patients susceptibles d'être infectés par C. pneumoniae, les ressources suivantes peuvent être consultées :

Section VIII – Manutention et entreposage

Déversements

Laisser les aérosols se déposer. Tout en portant de l'équipement de protection individuelle, couvrir doucement le déversement avec du papier absorbant et appliquer un désinfectant approprié, à partir du périmètre et en allant vers le centre. Permettre un contact suffisant avec le désinfectant avant le nettoyage (Guide canadien sur la biosécurité).

Élimination

Toutes les matières ou substances qui sont en contact avec les matières réglementées doivent être entièrement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement ou des procédures d'opérations normalisées (PON) doivent être en place afin de déplacer ou de transporter les déchets en toute sécurité hors de la zone de confinement vers une zone de décontamination désignée ou une tierce partie. On peut y parvenir en utilisant des technologies et des procédés de décontamination qui se sont avérés efficaces contre les matières réglementées, comme les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse (Guide canadien sur la biosécurité).

Entreposage

Les exigences applicables en matière de confinement de niveau 2 pour l'entreposage, décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité, doivent être respectées. Les contenants primaires de matières réglementées enlevés de la zone de confinement doivent être étiquetés, étanches aux fuites, résistants aux impacts et gardés soit dans des équipements d'entreposage verrouillés, soit dans une zone à accès limité.

Section IX – Renseignements sur la réglementation et autres

Renseignements sur la réglementation canadienne

Les activités contrôlées avec C. pneumoniae nécessitent un permis d'agent pathogène humain et de toxines, délivré par l'Agence de la santé publique du Canada. C. pneumoniae est un pathogène animal terrestre au Canada; par conséquent, l'importation de C. pneumoniae nécessite un permis d'importation en vertu du Règlement sur la santé des animaux (RSA), délivré par l'Agence de la santé publique du Canada. L'Agence délivre un « document de licence sur les agents pathogènes et les toxines » pour une licence sur les agents pathogènes humains et les toxines et un permis d'importation RSA.

Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

Dernière mise à jour

Septembre, 2023

Rédigé par

Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.

Mise en garde

L'information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements.

Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les directives et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes et toxines au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.

Tous droits réservés © Agence de la santé publique du Canada, 2023, Canada

Références

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Note de bas de page 27

Chacko, A., A. Delbaz, H. Walkden, S. Basu, C. W. Armitage, T. Eindorf, L. K. Trim, E. Miller, N. P. West, J. A. St John, K. W. Beagley, et J. A. K. Ekberg. 2022. Chlamydia pneumoniae can infect the central nervous system via the olfactory and trigeminal nerves and contributes to Alzheimer's disease risk. Sci. Rep. 12:2759-9.

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Note de bas de page 28

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Note de bas de page 29

Jain, S., D. J. Williams, S. R. Arnold, K. Ampofo, A. M. Bramley, C. Reed, C. Stockmann, E. J. Anderson, C. G. Grijalva, W. H. Self, Y. Zhu, A. Patel, W. Hymas, J. D. Chappell, R. A. Kaufman, J. H. Kan, D. Dansie, N. Lenny, D. R. Hillyard, L. M. Haynes, M. Levine, S. Lindstrom, J. M. Winchell, J. M. Katz, D. Erdman, E. Schneider, L. A. Hicks, R. G. Wunderink, K. M. Edwards, A. T. Pavia, J. A. McCullers, L. Finelli, et CDC EPIC Study Team. 2015. Community-acquired pneumonia requiring hospitalization among U.S. children. N. Engl. J. Med. 372:835-845.

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Note de bas de page 31

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Note de bas de page 32

Conklin, L., J. Adjemian, J. Loo, S. Mandal, C. Davis, S. Parks, T. Parsons, B. McDonough, J. Partida, K. Thurman, M. H. Diaz, A. Benitez, T. Pondo, C. G. Whitney, J. M. Winchell, N. Kendig, et C. Van Beneden. 2013. Investigation of a Chlamydia pneumoniae outbreak in a Federal correctional facility in Texas. Clin. Infect. Dis. 57:639-647.

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Note de bas de page 33

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Note de bas de page 34

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Note de bas de page 38

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Note de bas de page 39

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Note de bas de page 49

Bellmann-Weiler, R., V. Maass, R. Arnitz, G. Weiss, M. Maass, et M. 2. Nagl. 2018. The endogenous antiseptic N-chlorotaurine irreversibly inactivates Chlamydia pneumoniae and Chlamydia trachomatis. Journal of Medical Microbiology,. 67:1410-1415.

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Note de bas de page 50

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Note de bas de page 52

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Note de bas de page 53

Matsuo, J., M. Kobayashi, S. Nakamura, Y. Mizutani, T. Yao, I. Hirai, Y. Yamamoto, et H. Yamaguchi. 2010. Stability of Chlamydophila pneumoniae in a harsh environment without a requirement for acanthamoebae. Microbiol. Immunol. 54:63-73.

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Note de bas de page 55

Babady, N. E., M. R. England, K. L. Jurcic Smith, T. He, D. S. Wijetunge, Y. W. Tang, R. R. Chamberland, M. Menegus, E. M. Swierkosz, R. C. Jerris, et W. Greene. 2018. Multicenter Evaluation of the ePlex Respiratory Pathogen Panel for the Detection of Viral and Bacterial Respiratory Tract Pathogens in Nasopharyngeal Swabs. J. Clin. Microbiol. 56:10.1128/JCM.01658-17. Print 2018 Feb.

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Note de bas de page 56

Stivala, A., C. Genovese, C. Bonaccorso, V. Di Salvatore, G. Petronio Petronio, A. Garozzo, et M. Salmeri. 2020. Comparison of Cell Culture with Three Conventional Polymerase Chain Reactions for Detecting Chlamydophila pneumoniae in Adult's Pharyngotonsillitis. Curr. Microbiol. 77:2841-2846.

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Note de bas de page 57

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Note de bas de page 58

Surcel, H. M., H. Syrjälä, M. Leinonen, P. Saikku, et E. Herva. 1993. Cell-mediated immunity to Chlamydia pneumoniae measured as lymphocyte blast transformation in vitro. Infect. Immun. 61:2196-2199.

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Note de bas de page 59

Tuuminen, T., K. Salo, et H. Surcel. 2002. A Casuistic Immunologic Response in Primary and Repeated Chlamydophila pneumoniae Infections in an Immunocompetent Individual. J. Infect. 45:202-206.

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Note de bas de page 60

Gouvernement du Canada. Jan 2019. ePATHogene – la base de données sur les groupes de risque. Fev 2019:.

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Note de bas de page 61

Agence de la santé publique du Canada. 2018. Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines (LAPHT) (L.C. 2009, ch.24).

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