Biographies des membres
Par ordre alphabétique :
Biographies des membres
Skye Barbic
Dre Skye Barbic est ergothérapeute agréée dans la province de la Colombie-Britannique. Passionnée par le domaine de la santé mentale communautaire, elle a exercé dans trois provinces canadiennes (Ontario, Québec et Colombie-Britannique) au cours des 14 dernières années. Dre Barbic occupe actuellement un poste de professeure adjointe au département d’ergologie et d’ergothérapie de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) et de responsable de la recherche à Foundry (foundrybc.ca). Elle est membre associée du département de psychiatrie de l’Université de la Colombie-Britannique et a été nommée chercheuse scientifique au Centre for Health Evaluation and Outcome Sciences (CHÉOS).
La formation de Dre Barbic en science des échelles d’évaluation et de mesure de la santé comprend un doctorat à l’Université McGill et une bourse postdoctorale au Centre de toxicomanie et de santé mentale à Toronto et au département de psychiatrie de l’Université de la Colombie-Britannique. Elle se passionne pour le rôle de l’engagement du patient, les méthodes psychométriques modernes et la technologie pour éclairer les soins fondés sur des preuves dans le système de santé mentale au Canada et dans d’autres contextes.
Judith Bartlett
Médecin métis pendant plusieurs dizaines d’années dans le secteur de la santé, Dre Judith G. Bartlett a été un « médecin volant du nord », une administratrice de services de santé du programme fédéral de santé des Premières Nations, un professeur agrégé à la faculté de médecine de l’Université du Manitoba et directrice d’une unité de recherche stratégique.
Dre Bartlett a effectué des recherches approfondies et compte un grand nombre de publications universitaires et de rapports sur la santé des Premières Nations, des Métis et des populations autochtones étrangères. Son domaine de recherche est axé sur la santé des populations et l’application des connaissances. Elle a poursuivi à temps partiel la pratique clinique tout au long de sa carrière en médecine familiale et en traitement des toxicomanies.
Sa passion dans la vie est la conception et l’application des cadres holistiques nommés « Aboriginal Life Promotion FrameworkMD (1993) » et « Wellness AreasMD (1996) » dans des programmes, la recherche et la planification stratégique en santé. Dre Bartlett a été une bénévole dévouée dans plus de cinquante conseils et comités, dont cinq ans comme membre du Groupe interorganisme en éthique de la recherche du Canada. C’est sa façon de « donner au suivant » en contrepartie de toutes les occasions extraordinaires qui se sont présentées à elle.
Dillon Black
Dillon Black, M.Serv.Soc., milite pour mettre fin à la violence contre les personnes de genre non conforme et refuse les étiquettes de genre. Féministe militant pour les droits des LGBTABI+, ayant un engagement ferme envers la justice sociale, l'équité en santé et le développement communautaire grâce à une approche intersectionnelle tenant compte des traumatismes. Au cours des six dernières années, Dillon a travaillé de concert avec la Coalition d'Ottawa contre la violence faite aux femmes en coordonnant un projet novateur visant à accroître la responsabilité institutionnelle à la suite de violence sexuelle et fondée sur le sexe pour répondre aux besoins des collectivités marginalisées à l'échelle régionale et nationale.
En outre, Dillon poursuit un doctorat en criminologie et surveillance à l'Université d'Ottawa sous la supervision de Dr Valerie Steeves, J.D., Ph. D. La recherche doctorale de Dillon portera sur la surveillance et la résistance au sein des collectivités marginalisées au Canada au carrefour de la vie privée, de la politique sociale, des technologies et de la violence fondée sur le sexe.
En 2018, Dillon a été nommée membre du Conseil consultatif sur l'égalité des sexes pour la présidence canadienne du G7 par le premier ministre Justin Trudeau.
Julie Kathleen Campbell
Julie Kathleen Campbell est titulaire d’un diplôme en psychologie de l’Université de Sherbrooke et d’une maîtrise en psychologie communautaire de l’Université du Québec à Montréal. Avant d’ouvrir son bureau privé offrant des services de psychologie, elle a fondé le centre de prévention du suicide, le Faubourg, dans les Laurentides (au Québec). Elle y agissait en tant que directrice générale et chargée de formation clinique pendant plus de 20 ans. Auparavant, Mme Campbell était également présidente de l’Association québécoise de prévention du suicide.
Mme Campbell agissait en tant que consultante en prévention du suicide auprès des jeunes dans la province de l’Ontario, dans le cadre d’un contrat conclu avec le Centre d’excellence de l’Ontario en santé mentale des enfants et des adolescents. Elle agit en tant que consultante et formatrice, et travaille en collaboration au sein des communautés inuites et du Nord-du-Québec. En 2017, elle est devenue directrice générale de l’Association canadienne pour la prévention du suicide. Elle est également coprésidente du Groupe de collaboration pancanadien sur la prévention du suicide et membre de l’Ordre des psychologues du Québec.
Brooke Chambers
Mme Brooke Chambers est une défenseure de la santé mentale. En 1989, alors à peine âgée de 19 ans, elle est devenue la plus jeune policière, et seule femme noire à cette époque, à être recrutée par la Police provinciale de l’Ontario. Au fil des années, elle a occupé des postes dans divers secteurs : sécurité routière, enquêtes sur les accidents, formation des agents, mobilisation des communautés, politiques et planification stratégiques et enquêtes sur des cas de fraude. Puis, elle a réorienté sa carrière pour devenir conseillère financière, une profession qui l’a amenée à gérer des biens dont la valeur dépassait 60 millions de dollars. Toutefois, au bout de huit ans, Mme Chambers a dû renoncer à travailler en raison de son diagnostic de trouble bipolaire.
Mme Chambers a siégé au conseil d’administration de la Fondation Herbert H. Carnegie Future Aces. Elle est titulaire d’un certificat supérieur du Collège de police de l’Ontario et du titre professionnel de Planificateur financier personnel (PFP), décerné par le Canadian Securities Institute.
Il lui aura fallu 15 ans pour se rétablir de la maladie mentale, une expérience qui vaut bien doctorat en trouble bipolaire, comme elle le dit si bien. Elle est l’auteur du livre Calling in Sick: Living With Bipolar in Canada, qui paraîtra bientôt.
Manon Charbonneau
Dre Manon Charbonneau est professeure adjointe en enseignement clinique à l’Université de Montréal. Elle est connue pour son rôle de leadership dans la défense de la cause de la santé mentale à l’échelle régionale, provinciale et nationale. Elle siège au conseil d’administration de la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) depuis 2013 et est la première présidente du Comité des politiques publiques de l’Association des psychiatres du Canada (APC), où elle dirige les efforts de l’Association pour réduire la stigmatisation et la discrimination entourant la maladie mentale.
Depuis 2015, elle est fière d’occuper les fonctions de formatrice dans de nombreuses collectivités des Premières Nations et de diffuser le programme Premiers soins en matière de santé mentale (PSSM), un programme de formation de la CSMC fondé sur des données probantes.
Dre Charbonneau est très impliquée dans sa communauté et a participé au Relais pour la vie de la Société canadienne du cancer en 2009 en tant que médecin et en tant que personne ayant vécu à la fois la dépression et le cancer.
Marion Cooper
Marion Cooper est directrice générale de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) Manitoba et Winnipeg, et agit en tant que responsable des partenariats stratégiques avec le bureau national de l’ACSM qui appuie les partenariats avec les organisations et communautés autochtones afin de promouvoir la santé mentale au sein de la population. Elle est travailleuse sociale clinique autorisée et chef de file dans le domaine de la santé et de la dépendance. Elle a également occupé divers postes dans le secteur communautaire depuis 1992. Elle a joué un rôle clé dans la création de l’Unité de la promotion de la santé mentale de l’Office régional de la santé de Winnipeg.
De 2003 à 2014, Mme Cooper a occupé différents postes, dont celui de gestionnaire de projet de la promotion de la santé mentale, la prévention des troubles mentaux et l’intervention précoce. Auparavant, elle était présidente de l’Association canadienne pour la santé mentale et coprésidente du Pan-Canadian Committee for Mental Health Promotion and Mental Illness Prevention (comité pancanadien de promotion de la santé mentale et de prévention des troubles mentaux). Mme Cooper est passionnée de restauration, de transformation de systèmes et d’innovation afin de promouvoir la santé mentale de l’ensemble de la population.
David Gardner
Dr David Gardner est pharmacien et professeur au Département de psychiatrie de l’Université Dalhousie, avec nomination conjointe au collège de pharmacie. Il est titulaire d’un baccalauréat ès sciences en pharmacie de l’Université de Toronto (1988), d’un doctorat en pharmacie de l’Université de la Colombie-Britannique (1997) et d’une maîtrise ès sciences en santé communautaire et en épidémiologie de l’Université Dalhousie (2003).
Ses travaux de recherche sont axés sur l’utilisation sûre, efficace et rationnelle des médicaments psychotropes ainsi que sur le renforcement des capacités en matière de soins et de services de santé mentale communautaires et de lutte à la toxicomanie. Dr Gardner est coresponsable et codéveloppeur du programme Bloom, le programme de partenariats communautaires en santé mentale et en toxicomanies de la Nouvelle-Écosse. Il dirige également Sleepwell, un programme qui vise à réduire la consommation de somnifères au Canada tout en augmentant l’utilisation de la thérapie cognitivo-comportementale. Il est membre exécutif du Réseau canadien pour la déprescription et auteur du livre Antipsychotics and Their Side Effects.
Carol Hopkins
Carol Hopkins est directrice exécutive de la Thunderbird Partnership Foundation (une division de la Fondation nationale autochtone de partenariat pour la lutte contre les dépendances) et est enseignante à l’École de service social du Collège universitaire King’s (Université Western Ontario). Elle œuvre dans le domaine de la lutte aux toxicomanies et de la santé mentale des Premières Nations depuis plus de vingt ans. Elle est titulaire d’une maîtrise en travail social de l’Université de Toronto ainsi que d’un diplôme en savoir autochtone sacré (qui équivaut à un doctorat dans le secteur de l’éducation en Occident). Elle est membre de la nation Lenape de Moraviantown (Ontario) et a récemment été faite officière de l’Ordre du Canada.
Mme Hopkins a coprésidé plusieurs initiatives d’examen des pratiques exemplaires et des politiques et a joué un rôle déterminant dans l’élaboration du Cadre du continuum du mieux-être mental des Premières Nations, du document Honorer nos forces : Cadre renouvelé du programme de lutte contre les toxicomanies chez les Premières Nations du Canada, du Cadre du bien-être autochtone, des lignes directrices en matière de meilleures pratiques de traitement de la consommation d’inhalant adaptées à la culture, et de l’évaluation du mieux-être des Autochtones. Elle a reçu le Prix des Champions de la santé mentale ainsi que le prix Innovations de Santé Canada.
Shaleen Jones
Shaleen Jones est directrice exécutive du Eating Disorders Nova Scotia. Mme Jones est un défenseur, une éducatrice et un agitateur dans le domaine de la santé mentale.
Au cours des vingt dernières années, Mme Jones a travaillé avec quelques organisations communautaires, en occupant des positions de direction avec l’Association canadienne pour la santé mentale, Peer Support Canada, Liang House, et le British Columbia Eating Disorders Association.
Riche de son expérience vécue et de son expérience familiale, Mme Jones est passionnée par le rétablissement, le pouvoir transformateur du soutien par les pairs pour apporter des changements systématiques durables à l’échelle du secteur. Elle a été une des premières personnes à offrir un soutien par les pairs pour les personnes aux prises avec des troubles de l’alimentation et, en 2015, elle a obtenu sa certification en soutien par les pairs auprès de Peer Support Canada. Mme Jones a reçu le prix Inspiring Lives de la Mental Health Foundation de la Nouvelle-Écosse et, à titre de membre du Hallway Group de la Commission de la santé mentale du Canada, elle continue de faire la promotion de la transformation des systèmes de santé mentale.
Nick Kates
Dr Nick Kates est psychiatre, professeur et président du département de psychiatrie et de neurosciences comportementales de l’Université McMaster, avec nomination conjointe au département de médecine familiale. Il est également membre associé du département de la santé, du vieillissement et de la société de l’Université McMaster. Pendant douze ans, il a été directeur du Mental Health and Nutrition Program de la HSO/FHT d’Hamilton (programme de nutrition et de santé mentale de l’organisation de services de santé d’Hamilton) qui a permis d’intégrer des conseillers en santé et des diététistes dans 170 cabinets de médecins de famille et, pendant cinq ans, il a été directeur provincial du Quality Improvement and Innovation Partnership (QIIP) qui fait la promotion de l’amélioration de la qualité quant aux pratiques de soins primaires.
Dr Kates a été consultant tant à l’échelle nationale qu’internationale concernant le réaménagement des systèmes de prestation des soins, les façons d’établir des liens entre les services de soins de santé mentale et les services de soins primaires, la santé mentale globale, en ayant recours à des méthodes d’amélioration de la qualité visant à rehausser la qualité des soins, et à l’établissement de réseaux de services intégrés. Il a reçu le titre de « distinguished fellow » (éminent collaborateur) de l’American Psychiatric Association et de l’Association des psychiatres du Canada. Il est membre honoraire du Collège des médecins de famille du Canada (CMFC) et coprésident du Groupe de travail sur les soins de santé mentale partagés, une initiative conjointe du CMFC et de l’Association et de l’Association des psychiatres du Canada.
Christopher Lalonde
Dr Christopher Lalonde est psychologue du développement et professeur de psychologie à l'Université de Victoria. Il est vice-président du Human Research Ethics Board (comité d'éthique pour la recherche sur des sujets humains) à l'Université de Victoria. Il collabore en ce moment avec des membres des Premières Nations en Colombie-Britannique et de l'Assemblée des chefs du Manitoba à un programme de recherche visant à mieux comprendre pourquoi la promotion de la culture autochtone et la poursuite de l'autodétermination sont associées à une diminution des taux de suicide et de blessures chez les jeunes.
Laurence Martin-Caron
Laurence Martin-Caron est titulaire d’une maîtrise en travail social de l’université Laval en Éducation, avec une spécialisation en capital social des territoires et entreprenariat collectif.
Il est actuellement chargé de projet pour l’Association québécoise pour la réadaptation psychosociale (AQRP), un chef de file dans les enjeux du rétablissement et de la réadaptation en santé mentale, principalement au Québec mais aussi de plus en plus dans le reste du Canada et outremers.
M. Martin-Caron est consulté tant par des individus et des organisations sur des questions portant sur le dévoilement, l’insertion en emploi, le rétablissement et la stigmatisation, qu’au pan des organisations communautaires et publiques (professionnels et gestionnaires), de la direction de la santé mentale au Québec, le réseau de la santé du Nouveau-Brunswick et d’autres partenaires canadiens d’autres provinces et du pallier fédéral tels que Inforoute Canada, la CSMC via le Hallway Group, le Collaboratif de cybersanté mentale et le programme Headstrong visant à réaliser des sommets jeunesses en santé mentale.
Emma McCann
Emma McCann est une militante passionnée du bien-être et de l’engagement du patient dans les systèmes de santé mentale. de la santé mentale et une facilitatrice de la mobilisation des jeunes. Elle est faciltatrice d’engagement des jeunes au Centre for Addiction and Mental Health. Dans ce role, elle a servi en tant que conseiller spécial à l’initiative des carrefours bien-être pour les jeunes de l’Ontario. Emma est co-présidente du Frayme Advisory on Youth Matters et member du Frayme Knowledge Mobilization Committee.
Mme McCann croit fermement à l’importance de mobiliser les jeunes et les familles dans la conception des systèmes et la prestation des services en tant qu’experts dans leurs propres soins de santé. Cela fait sept ans qu’elle œuvre dans le domaine de la santé mentale, et au cours de ces années, elle a conseillé et dirigé des projets à l’échelle communautaire, nationale et internationale. Mme McCann étudie à l’Université de Toronto.
Jack Saddleback
Jack Saddleback est un homme Cri transgenre, bispirituel, et gai de la Nation crie de Samson de Maskwacis (Alberta). Pendant son mandat, M. Saddleback a travaillé avec succès avec les diverses communautés de l’enseignement pour faire pression en faveur de la participation des Autochtones, de la santé mentale et d’une culture du consentement dans les établissements de tout le Canada. En tant que coordinateur de la culture et des projets avec OUTSaskatoon, il travaille en étroite collaboration avec la communauté homosexuelle et la communauté autochtone afin de traiter de travaux de réconciliation et de décolonisation intégrant une perspective intersectionelle.
M. Saddleback a siégé au Conseil des jeunes de la Commission de la santé mentale du Canada en tant que représentant de la Saskatchewan, rôle qu’il a assumé pendant six ans. De concert avec ses homologues, membres du conseil, M. Saddleback a fait pression auprès de personnalités politiques, de décideurs et de membres de la collectivité pour mettre la santé mentale des jeunes sur le devant de la scène. Non content d’être un activiste pour la cause de la santé mentale, il milite en faveur de la participation des Autochtones, des enjeux en matière de diversité sexuelle et de sexospécificité, de questions de bispiritualité, de santé sexuelle et du sensibilisation au VIH/sida.
M. Saddleback, l’ancien président de l’University of Saskatchewan Students' Union (USSU), est le troisième Autochtone et le premier transgenre à occuper ce poste.
Vicky Stergiopoulos
Dre Vicky Stergiopoulos est chercheuse-clinicienne et médecin en chef du Centre de toxicomanie et de santé mentale. Elle est vice-présidente, Soins cliniques et Innovation, et professeure au département de psychiatrie de l’Université de Toronto. Ses activités cliniques et de recherche sont axées sur l’élaboration et l’évaluation d’interventions visant à répondre aux besoins des sans-abris et des personnes qui ont souvent recours à des services de santé mentale.
La Dre Stergiopoulos s’intéresse grandement aux politiques en santé mentale, au développement communautaire et au réaménagement de notre système de soins en santé mentale en vue de l’améliorer.
Petrea Taylor
Dre Petrea Taylor est une infirmière autorisée et une boursière postdoctorale à l’Université du Nouveau-Brunswick où elle a obtenu son doctorat en études interdisciplinaires. Dans le cadre de sa recherche, elle s’intéresse notamment à l’analyse féministe portant sur la santé mentale, le suicide et la violence contre les femmes. Depuis 2006, Dre Taylor agit à titre d’infirmière clinicienne spécialisée en toxicomanie et en santé mentale au sein du Réseau de santé Horizon de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Elle a publié plusieurs présentations sur le suicide et a créé des programmes de sensibilisation pour les cliniciens fournissant des soins actifs et communautaires.
Dre Taylor possède une expertise en prévention du suicide et contribue à la transition des systèmes vers une approche axée sur le « rétablissement ». Elle accorde une grande importance au travail en partenariat avec des gens dont l’expérience peut aider les autres. Sa propre expérience de guérison après un traumatisme sexuel, une dépression et un trouble de l’alimentation renforce sa pratique.
Nicholas van den Berg
Nicholas van den Berg est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en psychologie de l’Université Bishop’s à Sherbrooke, Québec. M. van den Berg s’implique auprès de Jack.org, un réseau national encourageant les jeunes à devenir des défenseurs de la santé mentale et à normaliser la conversation à ce sujet par l’entremise de diverses initiatives. Il a aussi agi à titre de représentant de Jack.org dans le cadre d’activités nationales de sensibilisation à la santé mentale.
Après ses études à l’Université Bishop’s, M. van den Berg est devenu membre du comité consultatif sur les jeunes de Frayme, une plateforme d’échange de connaissances destinée aux organismes internationaux de santé mentale des jeunes. Il est actuellement étudiant au doctorat à l’Université d’Ottawa en psychologie expérimentale.
Sa propre expérience l’ayant amené dans les dédales du milieu des soins de santé mentale, M. van den Berg offre un point de vue se fondant sur son expérience en sensibilisation à la santé mentale et des conseils sur la modification des politiques du point de vue de la recherche.