Section 3 : Défis stratégiques

Trois grands défis relativement au mandat de la Loi ont été identifiés lors des consultations.

La Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE 1999) continuera très vraisemblablement de jouer un rôle dans les réponses stratégiques futures à ces défis plus généraux.

Cette situation entraîne un « écart réglementaire » sur le territoire domanial et les terres autochtones, lequel va au-delà de la portée de la LCPE 1999, englobant un vaste éventail d'aspects de la gestion de l'environnement, notamment la gestion de l'eau potable et la gestion des ressources.

Les défis à relever ont été répartis entre les catégories suivantes :

Contexte

Exemples de mesures fédérales prises pour gérer les risques sur le territoire domanial

Questions
Contexte

Exemples de pouvoirs d'Affaires indiennes et du Nord canadien au nord du 60e parallèle

Questions

Les questions ont été réparties dans les deux catégories suivantes :

Contexte

Certaines des grandes activités industrielles menées sur les réserves sont gérées par deux lois actuellement en vigueur :

Questions
Commentaires des parties intéressées

Quelques approches actuelles concernant les pouvoirs juridiques et la gouvernance sur les terres autochtones

Questions
Commentaires des parties intéressées

L'annexe 4 contient cinq lois et règlements connexes qui correspondent aux repères de la LCPE (1999) visant les organismes vivants:

Les organismes vivants visés par ces lois ne sont pas assujettis aux dispositions de la LCPE 1999 relatives à la déclaration et à l'évaluation.

Dans le cas des autres législations fédérales qui ne rencontre pas les repères de la LCPE, Environnement Canada et Santé Canada ont négocié des ententes afin de s'assurer que ces ministères fourniront leur expertise afin de soutenir les évaluations réalisées en vertu de la LCPE (1999).

Bien qu'Environnement Canada et Santé Canada soient tenus, en vertu de la LCPE 1999, d'évaluer tout nouvel organisme vivant qui n'est pas adéquatement visé par une autre loi fédérale, le défi réside dans le fait qu'on ne peut souvent trouver que dans d'autres ministères des spécialistes capable de procéder à ces évaluations.

Plusieurs comités d'experts externes, notamment la Société royale du Canada, le Comité consultatif externe sur la réglementation intelligente et le Comité consultatif canadien de la biotechnologie, ont déterminé qu'il est de plus en plus nécessaire d'avoir un cadre fédéral plus complet et plus cohérent pour les produits de la biotechnologie.

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2022-04-06