ARCHIVÉ – Portrait d’un processus d’intégration

Trouver un emploi

Une étude de Picot, Hou et Coulombe (2007)1 a permis de conclure que les immigrants récents qui ont été admis dans les années 1990 avaient subi une dégradation de leur situation économique. Certains immigrants sont désavantagés sur le marché du travail, en particulier les nouveaux arrivants, du fait qu’ils manquent de relations, de connaissances et de renseignements relatifs au marché du travail du pays d’accueil. Au cours des quatre premières années de l’établissement, le défi le plus crucial à relever par les immigrants de l’ELIC a été de trouver un emploi, ce que confirme le plus haut pourcentage d’immigrants ayant rencontré ce problème parmi les quatre principales tâches d’établissement et d’intégration à chaque cycle (Tableau 1). Comment les immigrants de l’ELIC s’adaptent-ils et s’intègrent-ils au marché du travail canadien? L’achèvement des trois cycles permet de brosser un portrait dynamique de ce processus.

Taux d’emploi plus proche de la moyenne canadienne

Six mois après leur arrivée, plus de 7 sur 10 (72 %) des 157 600 immigrants de l’ELIC avaient tenté de trouver un emploi. Deux ans après leur admission, 58 % (91 500) d’entre eux avaient cherché un emploi. Quatre ans après l’arrivée, ce nombre était passé à 49 % (77 300) (Tableau 1). La tendance à la baisse du nombre d’immigrants qui cherchaient un emploi semble indiquer une amélioration de la situation d’emploi au fil du temps. Les immigrants étaient de moins en moins nombreux à chercher du travail à mesure qu’ils obtenaient des emplois et en étaient satisfaits. Le taux d’emploi par rapport à la population2 pour tous les immigrants de l’ELIC est passé de 45 % 6 mois après l’admission à 59 % deux ans après l’admission et à 68 % quatre ans après l’arrivée. Ce taux a rattrapé et surpassé le taux d’emploi moyen canadien de 62,7 % en 20053.

Toutefois, le taux de chômage de 19 % 4 ans après l’admission, bien qu’il ait diminué par rapport au taux de 37 % 6 mois après l’arrivée et de 28 % 24 mois après l’arrivée, était beaucoup plus élevé que le taux moyen canadien de 6,8 % en 2005.4 Ce résultat indique que malgré les gains importants sous forme d’employabilité accrue, les nouveaux immigrants ont tout de même dû faire face à des difficultés à trouver un emploi.

Les travailleurs qualifiés étaient le plus susceptibles de se heurter à des obstacles à l’emploi

Parmi les immigrants qui cherchaient du travail, un grand nombre ont déclaré des difficultés à trouver un emploi pendant les quatre premières années au Canada. Six mois après l’arrivée, 78 600 (70 %) des immigrants avaient déclaré au moins une difficulté à trouver un emploi; deux ans après l’admission, 62 700 (69 %) ont déclaré avoir eu des difficultés, et quatre ans après l’arrivée, ce nombre était passé à 45 900 (59 %). Bien que cette tendance indique des progrès modérés sur le marché du travail, ceux-ci variaient selon la catégorie d’immigration (Figure 2).

Les travailleurs qualifiés, tant les demandeurs principaux que leurs conjoints et personnes à charge, étaient plus susceptibles de déclarer des difficultés à trouver un emploi dans les trois cycles. Toutefois, avec le temps, on a constaté une diminution constante du nombre de membres de ce groupe déclarant des difficultés à s’intégrer au marché du travail. Les personnes faisant partie de la catégorie du regroupement familial, les autres immigrants économiques et les réfugiés étaient moins susceptibles de déclarer des difficultés à trouver un emploi et la proportion d’immigrants ayant connu des difficultés est demeurée très stable dans les trois cycles, comparativement aux travailleurs qualifiés.

Malgré leurs compétences liées au marché du travail et leur taux d’emploi plus élevé, les travailleurs qualifiés formaient le groupe le plus sujet aux obstacles à l’emploi. L’examen des types de difficultés à trouver un emploi peut nous fournir certaines réponses à ce problème.

La proportion de nouveaux arrivants ayant cherché du travail qui déclarait des difficultés à trouver un emploi augmentait avec l’âge. Au cours de la période comprise entre 24 et 48 mois après leur admission, les immigrants de 15 à 24 ans étaient moins susceptibles de se heurter à des obstacles à leur intégration au marché du travail (48 %) que leurs aînés (61 % pour les immigrants de 25 à 44 ans et 66 % pour les immigrants de 45 ans ou plus). La combinaison de la souplesse à l’égard de l’emploi, d’une perception différente de ce qui constitue un « bon emploi » et d’une meilleure adaptation au nouveau marché du travail peut expliquer la plus faible fréquence avec laquelle les jeunes membres de la population active se heurtaient à des obstacles à l’emploi.

Figure 2 : Difficultés à trouver un emploi rencontrées par les immigrants, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

Figure 2 : Difficultés à trouver un emploi rencontrées par les immigrants, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

La reconnaissance des compétences ou de l’expérience acquises à l’étranger était cruciale, en particulier pour les travailleurs qualifiés 

Pour tous les immigrants de l’ELIC, le manque d’expérience de travail canadienne, la reconnaissance des titres de compétences étrangers et les problèmes de langue ont été parmi les plus graves difficultés à trouver un emploi au cours des quatre premières années au Canada qui ont été déclarées (Figure 3). Toutefois, les problèmes liés à la reconnaissance des compétences ou de l’expérience acquises à l’étranger étaient particulièrement sérieux pour les travailleurs qualifiés, surtout pour ceux qui étaient des demandeurs principaux. Dès la quatrième année d’établissement au Canada, ce problème était devenu l’obstacle le plus important (23 %) pour ce groupe.

Les jeunes immigrants de 15 à 24 ans ont mentionné le manque d’expérience de travail canadienne (30 %) et le manque de possibilités d’emploi (21 %) comme étant les problèmes les plus importants en matière de recherche d’emploi, alors que ceux qui avaient l’âge d’activité maximale (25 à 44 ans) ont déclaré la reconnaissance des titres de compétences étrangers (20 %) et le manque d’expérience canadienne (19 %) comme étant les deux principaux problèmes dans ce domaine. Quant aux immigrants de 45 ans ou plus, ils ont indiqué que la reconnaissance des titres de compétences (21 %) et les difficultés de langue (18 %) posaient problème dans la recherche d’emploi.

Figure 3 : Les trois principales difficultés à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

Figure 3 : Les trois principales difficultés à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

Bien que la proportion d’immigrants ayant déclaré la langue comme étant un obstacle à l’intégration au marché du travail ait diminué au fil du temps dans presque toutes les catégories d’immigration, le manque de connaissance de l’une des langues officielles du Canada était toujours le principal problème auquel devaient faire face les réfugiés et les immigrants de la catégorie économique quatre ans après l’admission (25 % et 22 % respectivement).

Les nouveaux arrivants ont dû surmonter des obstacles plus importants au Québec que dans les Prairies, où ils s’en sont mieux tirés sur le marché du travail

Les nouveaux arrivants vivant au Québec ont dû surmonter des obstacles plus importants sur le marché du travail. Comme le démontre la Figure 4, le taux d’emploi par rapport à la population chez les immigrants établis au Québec était le plus bas de toutes les provinces à trois époques différentes. Le taux d’emploi en Colombie-Britannique était inférieur à la moyenne au cours des quatre premières années. Par contre, les immigrants établis dans les provinces des Prairies (Manitoba, Saskatchewan et Alberta) continuaient de mieux s’en sortir que leurs homologues des autres provinces. La proportion d’immigrants éprouvant des difficultés à s’intégrer au marché du travail affichait une répartition conforme au taux d’emploi. Au cours de la période des deux à quatre ans qui a suivi l’admission, des personnes qui avaient cherché du travail, les immigrants établis au Québec (61 %), en Ontario (64 %) et en Colombie-Britannique (53 %) étaient plus susceptibles de déclarer des difficultés à trouver un emploi. Si l’on examine la principale difficulté à trouver un emploi que déclaraient les personnes interrogées selon la province, on constate que les problèmes linguistiques et la reconnaissance des titres de compétences étrangers étaient les deux principales difficultés auxquelles se heurtaient les immigrants au Québec. Les écarts entre les provinces reflètent les conditions économiques et la situation sur le marché du travail qui prévalaient dans telle ou telle région pendant cette période.

Figure 4 : Taux d’emploi selon la province de résidence – Cycles 1, 2 et 3

Figure 4 : Taux d’emploi selon la province de résidence – Cycles 1, 2 et 3

Les immigrants étaient plus susceptibles de recevoir de l’aide au cours des six premiers mois

Plus de un sur cinq nouveaux arrivants ayant rencontré des difficultés sur le marché du travail demandait une forme d’aide concernant le principal problème lié à la recherche d’emploi quatre ans après l’admission (Figure 4)5. Nous avons constaté que les nouveaux arrivants étaient plus susceptibles de recevoir de l’aide au cours des six premiers mois qui ont suivi leur arrivée au Canada. Dans l’ensemble, 35 % des immigrants ont reçu de l’aide pour des difficultés liées à l’emploi au cours de la période initiale d’entrevues; ce pourcentage est passé à 21 % au cours du cycle 2 et à 22 % au cours du cycle 3. Parmi les réfugiés et les personnes admises dans la catégorie des autres immigrants économiques, on constate une baisse spectaculaire des pourcentages de ceux qui ont reçu de l’aide au cours de la période de six mois à deux ans ayant suivi l’admission (de 41 % à 16 % pour les réfugiés et de 52 % à 21 % pour les autres immigrants économiques).

Figure 5 : Ont reçu de l’aide pour la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration – Cycles 1, 2 et 3

Figure 5 : Ont reçu de l’aide pour la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration – Cycles 1, 2 et 3

Les réseaux sociaux ont continué de jouer un rôle important pour ce qui est d’aider les immigrants à surmonter les obstacles à l’emplois

Le réseau social a joué un rôle important pour ce qui est d’aider les immigrants de l’ELIC à accéder au marché du travail. Les réseaux d’amis constituaient la principale ressource sur laquelle comptaient les nouveaux arrivants pour résoudre leurs problèmes d’emploi durant les quatre premières années au Canada (Tableau 2), surtout en ce qui concerne les immigrants économiques (demandeurs principaux admis à titre de travailleurs qualifiés, ainsi que leurs conjoints et personnes à charge, et membres des autres catégories économiques). On ne s’étonnera pas si les membres de la parenté et de la famille constituaient la principale source d’aide pour les immigrants de la catégorie du regroupement familial, compte tenu de la présence d’un réseau de parenté à l’arrivée pour ce groupe. Les réfugiés avaient tendance à compter sur la famille et les agences d’immigration au cours des premiers mois (37 % et 23 % respectivement six mois après l’admission); mais progressivement, les amis sont devenus pour eux la principale source d’aide (39 % et 32 % respectivement deux ans et quatre ans après l’établissement).

Il convient de souligner que le rôle joué par les organismes gouvernementaux pour ce qui est d’aider les nouveaux arrivants à s’intégrer au marché du travail était plus important au fil des années. Quatre ans après l’admission, les organismes gouvernementaux se classaient au deuxième rang des sources d’aide le plus souvent déclarées pour tous les immigrants de l’ELIC (22 %), alors que six mois après l’arrivée, seuls 11 % des nouveaux arrivants recevaient de l’aide de ces organismes.

Tableau 2 : Sources d’aide pour la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration

Types particuliers de besoins non comblés Catégorie d'iImmigration
Catégorie du regroupement familial Travailleurs qualifiés (DP)  Travailleurs qualifiés
(C et PC)
Autres immigrants économiques  Réfugiés Tous les immigrants2
Immigrants ayant reçu de l'aide à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 1 5 919 12 136 6 573 1 121 1 583 27 443
Sources d'aide pour la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 1
Ami 26 % 44 % 33 % 51 % 17 % 36 %
Membre de la parenté/famille 58 % 13 % 18 % 31 % 37 % 26 %
École 14 %E 17 % 22 % 17 % 20 % 18 %
Agence d'immigration 6 %E 14 % 13 % 6 %E 23 % 12 %
Organisme gouvernemental 5 %E 16 % 11 % F F 11 %
Immigrants ayant reçu de l'aide à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 2 2 580 5 881 3 645 386 848 13 437
Sources d'aide – Cycle 2
Ami 29 %E 36 % 36 % 64 % 39 % 36 %
École 16 %E 22 % 21 %E F 18 %E 20 %
Organisme gouvernemental 15 %E 24 % 18 %E F 13 %E 19 %
Membre de la parenté/famille 32 %E 6 %E 12 %E F F 14 %
Immigrants ayant demandé de l'aide à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 31 1 947 4 396 2 865 211E 602 10 048
Sources d'aide – Cycle 31
Ami 41 %E 43 % 37 % F 32 %E 41 %
Organisme gouvernemental 24 %E 22 %E 22 %E F 28 %E 22 %
École 9 %E 18 %E 18 %E F F 16 %
Membre de la parenté/famille 17 %E F 14 %E F F 11 %

1La question source a été considérablement modifiée dans le questionnaire du cycle 3. Plutôt que de demander au RL s'il avait reçu de l’aide à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi, on lui a demandé s’il avait demandé de l’aide relativement à cette difficulté.

2Les chiffres indiqués sous la rubrique « Tous les immigrants » comprennent un petit nombre d'immigrants admis au titre de catégories non mentionnées dans le tableau.

EÀ utiliser avec précaution.

F Trop peu fiable pour être publié.

Source : Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada – Cycle 3, 2005.

Environ trois immigrants sur dix ont déclaré ne pas avoir reçu l’aide nécessaire à l’égard de leurs difficultés à trouver un emploi au cours des quatre premières années

Bon nombre de nouveaux arrivants qui éprouvaient des difficultés à trouver un emploi ont déclaré ne pas avoir reçu l’aide nécessaire pour résoudre leur principale difficulté. La proportion d’un cycle à l’autre était très stable : 30 % six mois après l’admission, 26 % deux ans après l’admission et 28 % quatre ans après l’arrivée. Les travailleurs qualifiés, tant les demandeurs principaux que leurs conjoints et les personnes à leur charge, étaient plus susceptibles de déclarer des besoins non comblés. Chose étonnante, à mesure que le temps passait, un plus grand nombre d’immigrants de la catégorie du regroupement familial déclaraient qu’ils avaient besoin d’aide mais n’en recevaient pas (19 % six mois après l’admission, 20 % deux ans après l’arrivée et 23 % quatre ans après l’admission), ce qui est contraire à la diminution de la tendance à déclarer des besoins non comblés dans toutes les autres catégories d’immigration.

Figure 6 : Immigrants n’ayant pas reçu l’aide nécessaire à l’égard de la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

Figure 6 : Immigrants n’ayant pas reçu l’aide nécessaire à l’égard de la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration — Cycles 1, 2 et 3

Ce dont les immigrants avaient le plus besoin, au moment de s’intégrer au marché du travail, c’était de renseignements et de conseils, alors que le besoin d’une formation liée au travail s’est fait sentir au fil du temps.

Des renseignements sur les possibilités d’emploi et des conseils sur le marché du travail local étaient ce dont les immigrants de l’ELIC avaient le plus besoin dans le processus initial d’intégration au marché du travail (Tableau 3). Ces deux types de besoins constituaient le type d’aide le plus souvent mentionné d’un cycle à l’autre. À la fin de leur quatrième année au Canada, 37 % et 27 % des immigrants respectivement déclaraient avoir besoin de renseignements et de conseils. Une autre tendance remarquable était le fait qu’à mesure que le temps passait, les besoins d’une formation liée au travail ont acquis une importance croissante pour les immigrants de l’ELIC en général, surtout pendant la période allant de deux ans après l’admission à quatre ans après l’arrivée (la proportion s’est considérablement modifiée, passant de 7 % deux ans après l’admission à 31 % deux ans plus tard).

Plus de la moitié (52 %) des immigrants de 15 à 24 ans ayant déclaré des besoins non comblés ont mentionné que les renseignements étaient une aide nécessaire, mais non reçue, alors que 32 % de ceux qui avaient l’âge d’activité maximale (25 à 44 ans) ont exprimé le besoin d’une formation liée au travail.

Tableau 3 : Certains types d’aide nécessaire à l’égard de la principale difficulté à trouver un emploi, selon la catégorie d’immigration

Types particuliers de besoins non comblés Catégorie d'immigration
Catégorie du regroupement familial Travailleurs qualifiés (DP)  Travailleurs qualifiés
(C et PC)
Autres immigrants économiques Réfugiés Tous les immigrants1
Immigrants n'ayant pas obtenu l'aide nécessaire à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 1 2 824 12 739 6 689 498 892 23 756
Conseils/Counselling 40 % 46 % 44 % F 34 % 44 %
Renseignements 37 % 39 % 42 % F 36 % 39 %
Langue 12 %E 10 % 10 % F 23 %E 11 %
Finances 11 %E 9 % 9 % F 19 %E 10 %
Immigrants n'ayant pas obtenu l'aide nécessaire à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 2 2 358 9 008 3 841 409 809 16 533
Renseignements 50 % 45 % 40 % 58 %E 42 % 44 %
Conseils/Counselling 37 % 41 % 38 % 42 %E 39 % 39 %
Langue 15 %E 7 % 12 % F 14 %E 10 %
Finances 11 %E 8 % 8 %E F 16 %E 8 %
Formation liée au travail 8 %E 9 % F F F 7 %
Immigrants n'ayant pas obtenu l'aide nécessaire à l'égard de la principale difficulté à trouver un emploi – Cycle 3 1 886 6 065 3 678 340E 707 12 840
Renseignements 33 %E 37 % 39 % F 38 %E 37 %
Formation liée au travail 31 %E 34 % 30 % F 26 %E 31 %
Conseils/Counselling 25 %E 28 % 26 % F 29 %E 27 %
Langue F 7 %E 9 %E F F 8 %

1Les chiffres indiqués sous la rubrique « Tous les immigrants » comprennent un petit nombre d'immigrants admis au titre de catégories non mentionnées dans le tableau.

EÀ utiliser avec précaution.

FTrop peu fiable pour être publié.

Source : Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada – Cycle 3, 2005

Notes

1Picot, G., F. Hou et S. Coulombe. 2007. « Le faible revenu chronique et la dynamique du faible revenu chez les nouveaux immigrants ». Direction des études analytiques – documents de recherche, no 294, Statistique Canada.

2Pour obtenir des statistiques détaillées sur la main-d’œuvre concernant les immigrants de l’ELIC, voir l’annexe.

3Source : Statistique Canada, CANSIM, tableaux 282-0002 et 282-0022, et numéro 71F0004XCB au catalogue.

4Source : Statistique Canada, CANSIM, tableaux 282-0002 et 282-0022, et numéro 71F0004XCB au catalogue.

5La question source a été modifiée de façon importante dans le questionnaire du cycle 3. Plutôt que de demander si le répondant longitudinal (RL) avait reçu de l’aide pour la principale difficulté à trouver un emploi (comme cela avait été le cas dans les deux cycles précédents), on lui a demandé s’il avait demandé de l’aide relativement à cette difficulté.

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