Un propriétaire foncier de Pakenham, en Ontario, a reçu l’ordre d’effectuer d’importants travaux de restauration, dont le coût est estimé à 1 million de dollars, après avoir détruit l’habitat du poisson sur un affluent de la rivière Indian. La Cour de justice de l’Ontario a rendu l’ordonnance à la suite d’une enquête menée par Pêches et Océans Canada (MPO) en vertu de la Loi sur les pêches.
L'industrie québécoise du poisson et des fruits de mer doit s'adapter à un marché en constante évolution. En travaillant ensemble dans le cadre du Fonds des pêches du Québec (FPQ), le gouvernement du Canada et le gouvernement du Québec aident l'industrie à innover et à encourager l’utilisation de nouvelles technologies et de nouveaux procédés pour soutenir le développement durable du secteur.
Les partenariats avec les collectivités autochtones font partie intégrante des efforts visant à régénérer les populations de saumons dans l’intérêt de tous les Canadiens. Ces collaborations s’appuient sur les riches pratiques culturelles et écologiques que les Premières Nations défendent depuis des générations. En travaillant ensemble, le Canada et les Premières Nations élaborent des stratégies pour mieux intégrer le savoir et les pratiques d’intendance autochtones traditionnels dans les efforts de rétablissement du saumon du Pacifique.
Dans le cadre de l’engagement du gouvernement du Canada à faire croître l’économie, la ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, l’honorable Diane Lebouthillier, a annoncé aujourd’hui un investissement de 27 millions de dollars pour les havres de pêche de Natashquan, Kegaska et Baie-Trinité, sur la Côte-Nord du Québec.
Les Canadiens ne devraient pas avoir à choisir entre élever une famille et travailler. Et c’est particulièrement vrai pour ceux qui travaillent dans l’industrie de la pêche au Canada, où il s’agit autant d’une culture et d’un mode de vie que d’un travail.
Des données fiables et opportunes sur les prises sont essentielles pour soutenir des pêches durables et des économies côtières fortes. Par le passé, les pêcheurs fournissaient ces données sur les prises à Pêches et Océans Canada (MPO) au moyen de journaux de bord papier, ce qui ralentissait la prise de décision en matière de gestion et de protection des pêches.
Le secteur des pêches fait partie intégrante de l’histoire des collectivités côtières au Québec. Encore à ce jour, il demeure un moteur économique important. Dans le contexte des changements climatiques et des bouleversements qui secouent l’industrie des pêches, il est essentiel de créer de nouvelles opportunités pour la soutenir et la développer.
La pêche est vitale pour de nombreuses collectivités côtières et constitue un moteur de l’économie du Canada atlantique. Le secteur des fruits de mer évolue rapidement avec l’adoption de nouvelles technologies innovantes pour améliorer l’efficacité, la qualité, et la durabilité des fruits de mer. Afin de soutenir ces nouveaux projets au sein des collectivités locales, le gouvernement du Canada et la Province du Nouveau-Brunswick ont annoncé aujourd’hui l’octroi d’un financement dans le cadre du Fonds des pêches de l’Atlantique (FPA) pour des projets dans le secteur des poissons et des fruits de mer du Nouveau-Brunswick.
Les espèces aquatiques envahissantes (EAE) peuvent avoir des répercussions écologiques et économiques importantes sur les écosystèmes d'eau douce au Canada. C'est pourquoi, pour la troisième année consécutive, Pêches et Océans Canada (MPO), en collaboration avec l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), a inspecté et décontaminé des embarcations pour s'assurer qu'elles étaient exemptes de moules zébrées et d'autres EAE, contribuant ainsi à protéger les écosystèmes, la biodiversité, et l'économie du Canada.
Les ports pour petits bateaux sont au cœur de nombreuses collectivités côtières, réunissant les gens pour travailler et se divertir, tout en soutenant les emplois dans l'industrie du poisson et des fruits de mer pour plus de 45 000 Canadiens. Dans le cadre du budget de 2024, 463,3 millions de dollars sur trois ans seront investis pour réparer et entretenir les ports pour petits bateaux, y compris ceux endommagés par l'ouragan Fiona, à compter de 2024-2025. Cela s'ajoute au budget annuel de 90 millions de dollars du ministère pour ces ports.