Biographies des membres : Groupe d’experts sur l’AMM et la maladie mentale
- Mona Gupta (Présidente)
- Rose Carter (Vice-présidente)
- Jennifer A. Chandler
- Ellen Cohen (démissionné 28 décembre, 2021)
- Justine Dembo
- Sara Goulet
- Karen Hetherington
- Jeffrey Kirby (démissionné 27 avril, 2022)
- Trevor Morey
- Leora Simon
- Donna Stewart
- Cornelia (Nel) Wieman
Mona Gupta (Présidente)
Mona Gupta, M.D. C.M., FRCPC, Ph. D., est psychiatre au Centre Hospitalier de l'Université de Montréal et professeure agrégée de clinique au Département de Psychiatrie et d’Addictologie at the Université de Montréal. Elle effectue des recherches actives dans le domaine de l’éthique et de la philosophie de la psychiatrie et elle est rédactrice en chef de la revue Philosophy, Psychiatry and Psychology. Elle a été présidente du comité consultatif sur l’aide médicale à mourir (AMM) de l’Association des Médecins Psychiatres du Québec et elle est coauteure de son document de réflexion du mois de décembre 2020 sur l’aide à mourir et les troubles mentaux. Elle a également été membre du groupe d’experts du Conseil des académies canadiennes sur l’AMM : Groupe de travail du comité d’experts sur l’AMM lorsqu’un trouble mental est le seul problème médical invoqué dont le rapport a été déposé au Parlement du Canada en décembre 2018.
Rose M. Carter (Vice-présidente)
Rose Carter est avocate chez Dentons Canada LLP (Edmonton) dans le domaine du droit de la santé. Elle apporte plus de 30 ans d’expérience en droit de la santé. Elle aide divers médecins ainsi que des professionnels scientifiques à s’orienter dans les exigences réglementaires de la pratique privée et publique. Elle a fourni des conseils juridiques à de nombreuses reprises à des médecins sur l’aide médicale à mourir depuis sa légalisation. Au cours de ses trois décennies de pratique, Rose, en tant qu’avocate plaidante, a comparu devant tous les niveaux de tribunaux de l’Alberta, ainsi que devant divers tribunaux de droit administratif.
En complément de sa pratique du droit, Rose consacre beaucoup de temps en tant que membre actif et précieux de la communauté juridique et médicale. Elle est professeure auxiliaire à la Faculté de Médecine et de Dentisterie de l’Université de l’Alberta, où elle donne des conférences sur les questions de droit médical aux membres de la faculté, aux médecins en exercice, aux résidents et aux étudiants. Elle sert les communautés médicales du Canada en tant que présidente du comité d’appel du Conseil médical du Canada et membre du conseil du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Elle est membre du Centre d’éthique de la santé John-Dossetor, service clinique, Edmonton.
Rose a été félicitée pour ses vastes connaissances et son expérience dans diverses publications respectées et a reçu le prix Women in Law Leadership Award : Leadership dans la profession (pratique privée).
Jennifer A. Chandler
Jennifer A. Chandler est professeure titulaire à la Faculté de droit et nommée conjointement à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa. Elle est titulaire de la chaire de recherche Bertram Loeb (de 2016 à aujourd’hui). La professeure Chandler est membre du Centre de droit, politique et éthique de la santé (directrice intérimaire en 2020-2021), du Centre de recherche en droit, technologie et société et de l’Institut de recherche sur le cerveau de l’Université d’Ottawa. Elle est diplômée en droit de l’université Queen’s (Canada) et de l’université Harvard. Elle a également été membre du groupe d’experts du Conseil des académies canadiennes, nommé par le gouvernement, qui a terminé son examen de la législation canadienne sur l’aide médicale à mourir en 2018. Elle est corédactrice de l’ouvrage de 2016 Law and Mind : Mental Health Law and Policy in Canada (LexisNexis Canada), et enseigne le droit en santé mentale et la neuroéthique aux étudiants en droit du Juris Doctor et de deuxième cycle depuis 2012. La professeure Chandler fournit des conseils sur les aspects éthiques, juridiques et sociétaux de la recherche en neurosciences et en santé mentale en tant que membre du conseil consultatif de l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies des Instituts de recherche en santé du Canada. Elle fait également partie de comités de rédaction internationaux dans le domaine du droit, de l’éthique et des neurosciences, notamment Neuroethics, la série de livres Springer Advances in Neuroethics, et la série de livres Palgrave-MacMillan Law, Neuroscience and Human Behavior. Elle dirige un groupe de discussion international appelé Mind-Brain-Law, qui réunit des étudiants, des universitaires et des praticiens issus des sciences, de la médecine, des sciences humaines et des sciences sociales.
Ellen Cohen
Grâce à son expérience personnelle de la maladie mentale et en tant que membre d’une famille qui la soutient, Ellen a toujours su qu’elle pourrait aider. En tant que défenseure, éducatrice et organisatrice, elle a connu une longue carrière dans la défense des droits, le travail social et la santé mentale. Elle est titulaire d’un diplôme en sociologie et en bien-être social, ainsi que d’un diplôme en services sociaux; c’est aussi une apprenante à vie. Ellen a occupé des postes à tous les niveaux du gouvernement, en tant que travailleuse sociale pour la ville de Toronto, en tant qu’agente de probation et de libération conditionnelle en Ontario et en tant qu’éducatrice de la petite enfance. Elle a travaillé pendant plus de 30 ans dans le domaine de la santé mentale communautaire, facilitant et soutenant la mise en place de l’infrastructure ontarienne des organisations dirigées par des consommateurs et des survivants.
Elle a fait du bénévolat dans la communauté au sein de divers conseils et comités et partage une longue histoire avec le Réseau national pour la santé mentale (RNSM). Elle a une connaissance approfondie de la santé mentale tout au long de la vie et des problèmes auxquels sont confrontés les personnes vivant avec une maladie mentale au Canada, ainsi que de l’intersection de la maladie mentale au sein les communautés de personnes handicapées et de personnes sourdes. Ellen est l’actuelle coprésidente de l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM) où elle représente le point de vue des consommateurs en tant que membre du RNSM.
En se concentrant sur la communauté des personnes handicapées, le RNSM joue désormais un rôle central dans le rapprochement entre la communauté de la santé mentale et le mouvement plus large des personnes handicapées, et dans la promotion d’une prise de conscience relativement aux recoupements entre les différentes formes de handicap au sein du secteur de la santé mentale. Ce passage à la communauté des personnes handicapées a permis au RNSM de s’impliquer activement dans le domaine des droits de la personne et de la justice sociale aux côtés de ses partenaires de la communauté des personnes handicapées qui travaillent sur des questions liées à la bonne santé et au bien-être de tous les Canadiens d’un océan à l’autre.
Justine Dembo
La Dre Justine Dembo, M.D., FRCPC, est professeure adjointe au département de psychiatrie de l’université de Toronto et psychiatre au Centre des sciences de la santé Sunnybrook à Toronto, où elle se spécialise dans les troubles obsessionnels compulsifs au Centre des troubles anxieux de Thompson. Elle a fait ses études de médecine et sa résidence en psychiatrie à l’université de Toronto. Elle est évaluatrice de l’AMM depuis l’affaire Carter c. Canada en 2015, et elle est mentor auprès de l’Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’aide médicale à mourir (ACEPA) pour d’autres cliniciens confrontés à des évaluations complexes. Depuis 2009, elle mène des recherches, enseigne et publie des articles sur le recoupement entre l’AMM et la maladie mentale. Elle a été invitée à participer à de nombreuses conférences et événements éducatifs. Elle a été témoin expert dans les affaires Truchon c. Canada et Lamb c. Canada, et elle a soumis un mémoire et témoigné aux audiences du Sénat concernant le projet de loi C-7 en février 2021.
Elle est également membre du Groupe de travail de l’Association des psychiatres du Canada (APC) sur l’AMM et la maladie mentale, et coauteure d’un document de réflexion actuellement produit par l’APC. Elle est membre du groupe de travail et de la communauté de pratique sur l’AMM du Centre conjoint de bioéthique depuis 2015. Elle coanime des séminaires sur l’AMM pour les résidents en psychiatrie de l’Université de Toronto lors de leurs rotations de consultation-liaison. Par ailleurs, elle est actuellement la chercheuse principale d’une étude qualitative examinant l’AMM pour laquelle la seule condition sous-jacente est la maladie mentale, et cochercheuse d’une autre étude qualitative examinant l’AMM dans des conditions médicales chroniques complexes.
Sara Goulet
La Dre Sara Goulet est une médecin de famille métis qui a grandi dans la vallée de la rivière Rouge. Comme son père, pilote de brousse, elle parcourt le nord du Manitoba et la région du Kivalliq au Nunavut. Elle fournit des services de soins de santé aux communautés des Premières Nations et des Inuits depuis 2007. Dre Goulet fournit un leadership et un soutien aux médecins venant en avion à Services de santé Ongomiizwin. Pour mieux servir ces communautés, elle s’efforce également de maintenir ses connaissances, ses compétences et ses relations en offrant des services d’hospitaliste au Centre des sciences de la santé dans le service d’évaluation clinique et le service des soins intensifs chirurgicaux.
Dre Goulet est actuellement vice-doyenne chargée des admissions au Max Rady College of Medicine de l’Université du Manitoba. Dans le cadre de cette fonction, elle espère continuer à favoriser la diversité au sein du Collège et à explorer les moyens de soutenir les projets visant à augmenter le nombre d’étudiants inuits, métis et des Premières Nations pouvant accéder aux études de médecine.
En outre, Dre Goulet s’est jointe à l’équipe de l’AMM au Manitoba dans le but d’étudier comment intégrer les modes de connaissance autochtones dans le processus d’évaluation, de traitement et de soutien des patients autochtones en cette période de transition. Ce travail s’inscrit directement dans la vision de Dre Goulet d’un système de soins de santé où les patients autochtones sont respectés, honorés et reconnus pour les connaissances qu’ils apportent à la santé et au bien-être et qui améliorent la perspective biomédicale occidentale. Elle croit que l’intégration des systèmes de connaissance occidentaux et autochtones est la clé de la guérison, de l’espoir et de la réconciliation.
Karen Hetherington
Karen Hetherington, B.A., M.S., est présidente de l’Association canadienne pour la santé mentale, division nationale et division du Québec. Sa carrière est axée sur la prévention et la promotion dans le domaine de la santé mentale communautaire et sur les politiques de santé mentale. Elle possède une riche expérience des aspects cliniques et administratifs de l’écosystème de la santé mentale, tant dans le secteur public que dans le secteur à but non lucratif.
Conférencière récemment retraitée de l’École de service social de l’Université McGill, elle continue d’enseigner dans le cadre du programme de certificat en santé mentale de la Faculté de l’éducation permanente de l’Université de Montréal. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sociologie et d’une maîtrise en psychoéducation de l’Université de Montréal.
Présidente fondatrice de plusieurs organismes communautaires au Québec, elle est la directrice d’OPTION MILIEU, qui se spécialise dans la planification des services et la formation en santé mentale. Elle a été membre fondatrice de l’Association québécoise pour la réadaptation psychosociale (AQRP) et siège au conseil d’administration du Regroupement québécois des organismes communautaires en psychothérapie. Pendant plus de 15 ans, elle a été consultante principale auprès de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’élaboration de politiques de santé mentale en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Jeffrey Kirby
Le Dr Jeffrey Kirby est professeur (retraité) au département de bioéthique de la faculté de médecine de l’Université Dalhousie. Il a une formation et une expérience professionnelle en médecine, en philosophie et en éthique des soins de santé. Ses activités académiques et ses intérêts de recherche comprennent les analyses éthiques de pratiques complexes en matière de soins de santé, les éléments et dimensions éthiques de l’aide médicale à mourir (AMM), l’éthique des soins de santé mentale, l’éthique des soins intensifs, l’éthique du don et de la transplantation d’organes, l’éthique organisationnelle et l’élaboration de politiques de santé équitables sur le plan social par l’utilisation de méthodologies de participation délibérative innovantes.
Dr Kirby a publié un ensemble d’articles universitaires dans des revues internationales de bioéthique à fort impact sur une variété de sujets liés à l’AMM, notamment : l’aide à mourir pour des souffrances résultant de conditions de santé mentale, les distinctions moralement pertinentes entre les circonstances de l’AMM paradigmatique et non paradigmatique, l’élaboration de politiques de santé aux niveaux méso et macro (liées à l’AMM), le don d’organes après l’AMM et l’objection de conscience institutionnelle à l’égard de l’AMM. Il a fait plusieurs soumissions, virtuelles et écrites, liées au projet de loi C-7 au Comité sénatorial des affaires juridiques et constitutionnelles concernant les questions pertinentes à l’examen potentiel des troubles de santé mentale comme seules conditions d’admissibilité à l’AMM au Canada.
Dr Kirby a une expérience antérieure de la prestation directe de services de soins de santé mentale en tant que médecin-psychothérapeute universitaire. Dans le cadre du plaidoyer pour la justice sociale de (feu) Marion Ernst Kirby, il est activement engagé dans des engagements bénévoles relatifs à la prestation pragmatique de services de santé et d’aide sociale aux membres de groupes sociaux historiquement marginalisés et autrement défavorisés, notamment les personnes souffrant de maladies mentales graves et persistantes et les personnes mal logées.
Trevor Morey
Trevor Morey (le pronom préféré est « il ») est un médecin de médecine familiale et de soins palliatifs communautaires basé à Toronto, en Ontario. Il travaille en tant que médecin au sein de l’équipe PEACH (Palliative Education and Care for the Homeless) basée à l’Inner City Health Associates, au Temmy Latner Centre for Palliative Care et au Casey House Hospital. Il est conférencier au Département de médecine familiale et communautaire à l’Université de Toronto.
Il est membre du conseil d’administration de l’Inner City Family Health Team et responsable de la communication pour Health Providers Against Poverty, une organisation communautaire de défense des droits. Il est actuellement membre d’un groupe de travail au sein du Service correctionnel du Canada afin d’améliorer l’accès aux services de soins palliatifs pour les personnes dans le système correctionnel. Trevor est le responsable de la recherche pour l’équipe PEACH et se passionne pour l’accès équitable aux soins palliatifs.
Il a obtenu son diplôme de médecine à l’université Queen’s et a effectué sa résidence en médecine familiale avec des compétences accrues en soins palliatifs à l’université de Toronto. Il est membre du Collège des médecins de famille du Canada.
Leora Simon
Leora Simon a participé à des initiatives de mobilisation des patients et des communautés dans le domaine des soins de santé et de la recherche pendant plus de dix ans, à la fois en tant que personne ayant une expérience vécue et en tant que coordinatrice et assistante de recherche. Leora est actuellement présidente du Conseil national des personnes ayant une expérience vécue, un comité consultatif auprès du bureau national de l’Association canadienne pour la santé mentale et du conseil d’administration national. Dans le cadre de son rôle, elle représente également la voix des personnes ayant une expérience vécue de la maladie mentale au sein du conseil national. Leora est également membre du comité technique de recherche clinique, qualitative et quantitative, un groupe qui travaille à l’élaboration de normes nationales pour la conduite de la recherche sur l’homme.
Leora a obtenu sa maîtrise en sciences en médecine expérimentale (recherche biomédicale fondamentale) à l’Université McGill. Elle travaille actuellement en tant qu’administratrice et coordinatrice de recherche au Département d’épidémiologie, de biostatistique et de santé au travail de l’Université McGill. Leora s’efforce de combiner ses connaissances scientifiques, sa formation à la recherche et son expérience vécue pour améliorer la qualité, l’efficacité et l’accès aux services de santé et aux services communautaires centrés sur la personne pour les personnes en situation de vulnérabilité.
Donna Stewart
La Dre Donna Stewart, C.M., M.D., FRCPC est professeure à l’Université de Toronto, avec une nomination principale en psychiatrie et des nominations conjointes en médecine, chirurgie, obstétrique et gynécologie, anesthésiologie et médecine de la douleur et médecine familiale et communautaire. Elle est scientifique principale au Toronto General Hospital Research Institute. Son travail clinique au Réseau universitaire de la santé porte sur les troubles mentaux chez les personnes atteintes d’une affection médicale et la santé des femmes. Elle a également effectué plus de 200 évaluations de l’AMM et a mené des recherches et publié dans des revues médicales sur ce sujet. Elle est membre du Groupe de travail de l’Association des psychiatres du Canada sur l’AMM, de l’Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’AMM, de Dying with Dignity Canada et du Centre de bioéthique de l’Université de Toronto.
Dre Stewart a obtenu la médaille d’or en médecine à l’université Queen’s et a exercé en tant que médecin de famille dans le nord du Canada avant de devenir psychiatre il y a près de 50 ans. Elle a occupé la première chaire de santé des femmes au monde de 1995-2015. Elle est une éducatrice médicale, une chercheuse et une clinicienne accomplie et a publié plus de 400 articles universitaires évalués par des pairs et quatre livres sur des sujets médicaux. Elle a reçu de nombreux prix et, en 2014, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada. Elle a rédigé un mémoire et a témoigné lors des audiences du Sénat sur l’AMM pour les maladies mentales en février 2021.
Cornelia (Nel) Wieman
La Dre Nel Wieman est la médecin en chef adjointe par intérim du First Nations Health Authority (FNHA) en Colombie-Britannique. Elle est Anishinaabe (Première Nation de Little Grand Rapids, Manitoba) et vit, travaille et joue sur le territoire non cédé des peuples Salish de la côte – nations səl̓ílwətaʔɬ (Tsleil-Waututh), Sḵwx̱wú7mesh (Squamish) et xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam). Dre Wieman est présidente de l’Association des médecins autochtones du Canada (AMAC) depuis 2016.
Elle a obtenu son diplôme de médecine et sa formation spécialisée en psychiatrie à l’Université McMaster. Première femme psychiatre autochtone au Canada, Dre Wieman a plus de 20 ans d’expérience clinique, travaillant avec des peuples dans des environnements ruraux et urbains, ainsi que des réserves. Parmi ses activités antérieures, elle a codirigé un programme de recherche en santé autochtone à l’École de santé publique Dalla Lana de l’Université de Toronto et le Réseau de recherche en santé mentale chez les Autochtones, a été vice-présidente du Comité d’éthique de la recherche de Santé Canada et a siégé au conseil d’administration des Instituts de recherche en santé du Canada. Elle a également travaillé et enseigné dans de nombreux milieux universitaires, a présidé des groupes consultatifs nationaux au sein de la Direction générale de la santé des Premières Nations et des Inuits des Services aux Autochtones Canada, et a siégé en tant que directrice dans de nombreux conseils d’administration, dont la Fondation Indspire et la Pacific Blue Cross. Elle siège au comité exécutif du consortium national de la formation médicale autochtone. Elle a récemment rejoint l’équipe de travail provinciale de la Colombie-Britannique chargée de veiller à la mise en œuvre des recommandations découlant du rapport « In Plain Sight ».
Dre Wieman est membre du corps professoral de l’Université Simon Fraser, de l’Université de la Colombie-Britannique et de l’Université McMaster.
Détails de la page
- Date de modification :