Aggregatibacter actinomycetemcomitans : Fiche technique santé‑sécurité : agents pathogènes
Partie I : Agent infectieux
Nom
Aggregatibacter actinomycetemcomitans
Type d'agent
Bactérie
Taxonomie
Famille
Pasteurellaceae
Genre
Aggregatibacter
Espèce
actinomycetemcomitans
Synonyme ou renvoi
Anciennement Actinobacillus actinomycetemcomitans, Haemophilus actinomycetemcomitans ou Bacterium actinomycetemcomitansNote de bas de page 1Note de bas de page 2.
Caractéristiques
Brève description
Aggregatibacter actinomycetemcomitans est un coccobacille non mobile à Gram négatif, positif à la catalase et mesurant environ 0,4 x 0,1 μmNote de bas de page 1. Les fimbrias peuvent se présenter en éventail péritriche, mesurant plus de 2 μm de diamètre, et en faisceaux, format des colonies présentant un centre en forme d'étoile (étoile-positives) ou des colonies étoile-négatives pour les souches sans fimbriasNote de bas de page 1Note de bas de page 3. Sept sérotypes (a-g) ont été identifiés en se basant sur le polysaccharide de surface situé sur la chaîne latérale ONote de bas de page 4. Le génome de la souche modèle IDH781 est d'environ 2.2 Mpb avec un contenu G+C de 44.3 %, similaire à d'autres souchesNote de bas de page 5.
Propriétés
A. actinomycetemcomitans est un organisme anaérobique facultatif fastidieux qui se développe bien dans un environnement microaérophile ayant de 5 % à 10 % de CO2Note de bas de page 6. Des colonies matures se forment sur gélose chocolat en deux ou trois joursNote de bas de page 7. Les isolats contiennent de la catalase. A. actinomycetemcomitans est une bactérie commensale de la cavité buccale humaine; elle se trouve dans la plaque dentaire et le biofilm oral. Leur protéine adhésine leur permet de s'attacher aux surfaces de la cavité buccaleNote de bas de page 8. Les facteurs de virulence produits par A. actinomycetemcomitans comprennent la leucotoxine (LtxA), l'épithéliotoxine, la bactériocine, la collagénase et une entérotoxine cytolétale et distendante (CLDT)Note de bas de page 9. Le potentiel de virulence varie selon les souches; la souche JP2 est très leucotoxiqueNote de bas de page 10. Les protéines immunosuppressives sécrétées par A. actinomycetemcomitans inhibent la synthèse de l'ADN, ARN, et des immunoglobines G et M dans les lymphocytes humains et la réponse des cellules B et T aux mitogènesNote de bas de page 4.
Partie II : Identification des dangers
Pathogénicité et toxicité
A. actinomycetemcomitans est le principal agent causal de la parodontite agressive localiséeNote de bas de page 11Note de bas de page 12Note de bas de page 13. Le développement de la maladie parodontale est associé à la présence d'un nombre élevé de bactéries A. actinomycetemcomitans; le seuil de charge bactérienne estimé est de 3,3 x 104 cellules de A. actinomycetemcomitansNote de bas de page 14. La parodontite agressive localisée est caractérisée par une perte osseuse autour des premières molaires et incisives, ainsi que des saignements aux sites d'infectionNote de bas de page 15.
A. actinomycetemcomitans est également impliquée dans de nombreuses maladies non buccales, y compris l'endocardite, l'endophtalmie, les abcès cérébraux, les infections de la peau, l'ostéomyélite, l'arthrite septique, les infections des voies urinaires, les infections pulmonaires et la spondylarthriteNote de bas de page 16Note de bas de page 17Note de bas de page 18Note de bas de page 19Note de bas de page 20Note de bas de page 21.
L'endocardite infectieuse causée par A. actinomycetemcomitans peut présenter des symptômes tels que la fièvre intermittente, les frissons, le malaise et la perte de poidsNote de bas de page 22. L'infection a un intervalle moyen de trois mois entre l'apparition des symptômes et le diagnostic. Le taux de mortalité global de l'endocardite associée à A. actinomycetemcomitans est d'environ 18 %Note de bas de page 11Note de bas de page 14.
L'endophtalmie causée par A. actinomycetemcomitans se présente principalement par une diminution de l'acuité visuelle accompagnée de fièvre et de douleur. Les symptômes persistent entre trois jours et trois mois. L'infection est traitée avec succès en utilisant d'antibiotiques et possiblement une vitrectomie. Aucun décès n'a été rapportéNote de bas de page 23.
L'ostéomyélite causée par A. actinomycetemcomitans peut présenter des symptômes tels que la douleur, l'enflure, un écoulement de pus, et de la faiblesse dans la région affectée. Les symptômes sont présent de deux jours à sept mois. Le traitement avec antibiotiques et débridement est généralement efficace contre l'infectionNote de bas de page 24.
A. actinomycetemcomitans a récemment été associée avec le développement d'une maladie coronarienne et d'athérosclérose possiblement causées par l'activation de réponses immunitaires croiséesNote de bas de page 25.
A. actinomycetemcomitans a été identifiée chez des espèces primates non-humains et détectée chez des félins et canins domestiques ayant une maladie parodontaleNote de bas de page 18Note de bas de page 26.
Épidémiologie
Les infections à A. actinomycetemcomitans se produisent dans le monde entier, est présente chez 10 % des enfants et environ 25-30 % des individus en santé sont porteurs de la bactérieNote de bas de page 27. Cette bactérie est généralement associée à une parodontite sévère (chronique) et agressiveNote de bas de page 13. Une parodontite grave touche de 5 % à 20 % des adultes dans le monde, alors que la prévalence de la parodontite agressive est de 0,1 % à 5 %Note de bas de page 13Note de bas de page 28Note de bas de page 29Note de bas de page 30. Le taux de portage de A. actinomycetemcomitans varie géographiquement et entre différents groupes ethniques, ce qui peut être dû à la génétique de l'hôteNote de bas de page 13. La présence de la souche JP2 hautement leucotoxique est la plus répandue chez les populations africaines et leurs descendants, tandis que les populations asiatiques sont régulièrement colonisées par le sérotype c de l'A. actinomycetemcomitansNote de bas de page 13Note de bas de page 31Note de bas de page 32. Les sérotypes a, b et c sont plus fréquents dans la cavité buccaleNote de bas de page 1. La souche JP2 infecte plus souvent les populations plus jeunes de 35 ans et moins alors que le sérotype c infecte les populations plus âgéesNote de bas de page 33.
Distribution des hôtes
Hôtes naturels
Les humains et autres primatesNote de bas de page 5 ainsi que les félins et canins domestiquesNote de bas de page 26Note de bas de page 27.
Autres hôtes
Les rats et les cobayes sont des hôtes infectés expérimentalementNote de bas de page 34Note de bas de page 35.
Dose infectieuse
Inconnue.
Période d'incubation
Inconnue.
Transmissibilité
La transmission de personne à personne peut se faire par la saliveNote de bas de page 12Note de bas de page 36. Toutefois, le transfert de bactéries n'entraîne pas nécessairement la colonisation de l'hôteNote de bas de page 37. La transmission verticale et horizontale d'A. actinomycetemcomitans a été signaléeNote de bas de page 38Note de bas de page 39Note de bas de page 40. Les brosses à dents et les couverts partagés ainsi qu'un contact avec des blessures ou des muqueuses sont des moyens de transmission potentielsNote de bas de page 41Note de bas de page 42Note de bas de page 43.
Partie III : Dissémination
Réservoir
Les humains.
Zoonose/zoonose inverse
Aucune.
Vecteurs
Aucun.
Partie IV : Stabilité et viabilité
Sensibilité/Résistance aux médicaments
Habituellement sensible aux carbapénémasesNote de bas de page 6Note de bas de page 44, à la mezlocillineNote de bas de page 6, aux aminoglycosidesNote de bas de page 6Note de bas de page 45Note de bas de page 46, aux fluoroquinolonesNote de bas de page 6Note de bas de page 44Note de bas de page 46, aux céphalosporinesNote de bas de page 45, à l'amoxicillineNote de bas de page 47Note de bas de page 48, à l'azithromycineNote de bas de page 47, à la doxycyclineNote de bas de page 49, au métronidazoleNote de bas de page 50, au cotrimoxazoleNote de bas de page 6, à la rifampicineNote de bas de page 6, au chloramphénicolNote de bas de page 6Note de bas de page 44, à la clarithromycineNote de bas de page 6 et à l'azithromycineNote de bas de page 6. Des effets synergiques ont été observés contre A. actinomycetemcomitans lorsque le métronidazole et certains antibiotiques bêta-lactamines (p. ex., l'amoxicilline, le cefixime) sont utilisés conjointementNote de bas de page 51.
Habituellement résistant à la vancomycineNote de bas de page 6, à l'érythromycineNote de bas de page 6Note de bas de page 42, à la clindamycineNote de bas de page 6, à la méthicillineNote de bas de page 6 et la tétracyclineNote de bas de page 46.
Sensibilité aux désinfectants
Il a été démontré que l'utilisation de chlorhexidine à 0,2 % a des effets antibactériens contre l'A. actinomycetemcomitans isolé du biofilm et cultivé sur géloseNote de bas de page 52. L'hypochlorite de sodium et le peroxyde d'hydrogène sont efficaces contre les bactéries à Gram négatif du biofilmNote de bas de page 53Note de bas de page 54. Parmi les autres désinfectants chimiques utilisés contre des bactéries étroitement apparentées, il y a la chloramine-TNote de bas de page 54, les formulations de composés d'ammonium quaternaireNote de bas de page 54, l'éthanol et l'isopropanol allant de 60 % à 90 %Note de bas de page 54, le glutaraldéhyde à 2,5 %Note de bas de page 55, le formaldéhyde à 6 %Note de bas de page 55 et le glyoxal à 6,8 %Note de bas de page 55.
Inactivation physique
Les cellules d'A. actinomycetemcomitans peuvent être inactivées par irradiation au moyen d'un laser à diode bleue (DL bleu) et d'une diode électroluminescente bleue (DEL bleue) ou d'un DL rouge et d'une DEL rouge à des longueurs d'onde de 450, 430-460, 635 et 630 nm, respectivement, et à une densité d'énergie appliquée de 60J/cm2 pendant 60 secondesNote de bas de page 56Note de bas de page 57. L'application de la chaleur humide (121 °C pendant 15 minutes) et de la chaleur sèche (170 °C pendant une heure) est habituellement efficace pour éliminer la plupart des bactéries telles que A. actinomycetemcomitansNote de bas de page 58.
Survie à l'extérieur de l'hôte
A. actinomycetemcomitans a été récupérée à partir d'hémocultures incubées pendant plus de 14 joursNote de bas de page 6.
Partie V : Premiers soins et soins médicaux
Surveillance
Le diagnostic se fait par la surveillance des symptômes cliniques. A. actinomycetemcomitans peut être identifié par isolement bactérien sur des milieux de croissance enrichis (p. ex., gélose chocolat), suivie d'essais de confirmation à l'aide du séquençage de l'ARNr 16S ou de la spectrométrie de masse en temps de vol pour la désorption-ionisation laser assistée par matrice (MALDI-TOF)Note de bas de page 59.
Remarque : Les recommandations spécifiques pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi qu'une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.
Premiers soins et traitements
Les infections peuvent être traitées avec des antibiotiques appropriés. L'amoxicilline combinée au métronidazole est couramment utilisée pour traiter les infections à A. actinomycetemcomitansNote de bas de page 50.
Remarque : Les recommandations spécifiques concernant les premiers soins et les traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention après exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention après l'exposition sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.
Immunisation
Aucun vaccin n'a été élaboré. Toutefois, une nouvelle stratégie utilisant des vésicules de membrane externe comme vaccin post-exposition chez la souris a montré des effets de clairance bactérienne par rapport à un groupe témoin non vaccinéNote de bas de page 60.
Remarque : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité et en consultant le Guide canadien d'immunisation.
Prophylaxie
Aucune.
Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.
Partie VI : Dangers pour le personnel de laboratoire
Infections contractées en laboratoire
Aucune infection de ce type n'a été signalée à ce jour.
Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité et le Guide canadien sur la biosécurité pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d'exposition. Une ligne directrice canadienne sur la biosécurité décrivant les procédures de déclaration est également disponible.
Sources et échantillons
Échantillons biologiques qui peuvent contenir A. actinomycetemcomitans comprennent la plaque dentaire, la saliveNote de bas de page 61Note de bas de page 62, le tissu cardiaqueNote de bas de page 62Note de bas de page 63 et le sang humainNote de bas de page 6.
Dangers primaires
Exposition de la muqueuse et inoculation parentérale accidentelle. L'inoculation de A. actinomycetemcomitans dans la circulation sanguine a le potentiel de provoquer une infection dans d'autres parties du corpsNote de bas de page 18Note de bas de page 63.
Dangers particuliers
Aucun.
Parties VII : Contrôle de l'exposition et protection personnelle
Classification par groupe de risque
A. actinomycetemcomitans est un pathogène humain du groupe de risque 2 et un pathogène animal du groupe de risque 1Note de bas de page 64.
Exigences de confinement
Il s'agit des installations de confinement de niveau 2, de l'équipement et des pratiques opérationnelles décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité pour les travaux avec des matières, des animaux ou des cultures infectieux ou potentiellement infectieux.
Vêtements de protection
Les exigences applicables au niveau de confinement 2 pour l'équipement et les vêtements de protection individuelle décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées. L'équipement de protection individuelle peut inclure l'utilisation d'un sarrau de laboratoire et de chaussures spécialisées (par exemple, des bottes, des chaussures) ou de chaussures de protection supplémentaires (par exemple, des couvre-bottes ou des couvre-chaussures) lorsque les sols peuvent être contaminés (par exemple, les box, les salles de nécropsie), des gants lorsque le contact direct de la peau avec des matériaux ou des animaux infectés est inévitable, et une protection oculaire lorsqu'il existe un risque connu ou potentiel d'exposition à des éclaboussures.
Autres précautions
Une enceinte de sécurité biologique (ESB) ou d'autres dispositifs de confinement primaire à utiliser pour les activités avec des récipients ouverts, sur la base des risques associés aux caractéristiques inhérentes de la matière réglementée, à la possibilité de produire des aérosols infectieux ou des toxines aérosolisées, à la manipulation de fortes concentrations de matières réglementées ou à la manipulation de grands volumes de matières réglementées.
Utilisation d'aiguilles et de seringues strictement limitée. Le pliage, le cisaillement, le rebouchage ou l'élimination d'aiguilles de seringues est à éviter, et, si nécessaire, à effectuer uniquement comme spécifié dans les procédures d'opération normalisées (PON). Des précautions supplémentaires sont requises pour les travaux comprenant des animaux ou des activités à grande échelle.
Pour les laboratoires de diagnostic qui manipulent des échantillons primaires provenant de patients susceptibles d'être infectés par A. actinomycetemcomitans, les ressources suivantes peuvent être consultées :
- Ligne directrice canadienne sur la biosécurité : Activités de diagnostic humain
- Lignes directrices canadiennes sur la biosécurité : Évaluation locale des risques
Partie VIII : Manutention et entreposage
Déversements
Laisser les aérosols se déposer. Tout en portant de l'équipement de protection individuelle, couvrir doucement le déversement avec du papier absorbant et appliquer un désinfectant approprié, à partir du périmètre et en allant vers le centre. Permettre un contact suffisant avec le désinfectant avant le nettoyage (Guide canadien sur la biosécurité).
Élimination
Toutes les matières ou substances qui sont en contact avec les matières réglementées doivent être entièrement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement ou des procédures d'opérations normalisées (PON) doivent être en place afin de déplacer ou de transporter les déchets en toute sécurité hors de la zone de confinement vers une zone de décontamination désignée ou une tierce partie. On peut y parvenir en utilisant des technologies et des procédés de décontamination qui se sont avérés efficaces contre les matières réglementées, comme les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse (Guide canadien sur la biosécurité).
Entreposage
Les exigences applicables en matière de confinement de niveau 2 pour l'entreposage, décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité, doivent être respectées. Les contenants primaires de matières réglementées enlevés de la zone de confinement doivent être étiquetés, étanches aux fuites, résistants aux impacts et gardés soit dans des équipements d'entreposage verrouillés, soit dans une zone à accès limité.
Partie IX : Renseignements réglementaires et autres renseignements
Contexte réglementaire canadien
Les activités contrôlées avec A. actinomycetemcomitans nécessitent un permis d'agent pathogène humain et de toxines, délivré par l'Agence de la santé publique du Canada.
Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :
- Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines et Règlement sur les agents pathogènes humains et les toxines
- Règlement sur le transport des marchandises dangereuses
Mise à jour
Septembre 2023
Préparé par
Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.
Mise en garde
L'information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements.
Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les lignes directrices et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.
Tous droits réservés © Agence de la santé publique du Canada, 2023, Canada
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