Orthopoxvirus simien : Substances infectieuses Fiche de données de sécurité sur les agents pathogènes

Section I : Agent infectieux

Nom

Orthopoxvirus simien

Type d’agent

Virus

Taxonomie

Famille

Poxviridae

Sous-famille

Chordopoxvirinae

Genre

Orthopoxvirus

Espèce

Orthopoxvirus simien

Synonyme ou renvoi

Virus de l'Orthopoxvirose simienne, OVS, virus du monkeypox, virus de la variole du singe Note de bas de page 1Note de bas de page 2Note de bas de page 3Note de bas de page 4.

Caractéristiques

Brève description

Virus appartenant à la famille des Poxviridae, à la sous-famille des Chordopoxvirinae et au genre Orthopoxvirus Note de bas de page 1Note de bas de page 3Note de bas de page 4. L'OVS est un virus enveloppé en forme de brique de 200 à 250 nm, doté de tubules en saillie à la surface et d'un élément central en forme d'haltère Note de bas de page 3. Le génome de l'Orthopoxvirus simien (OVS) est formé d'ADN linéaire bicaténaire. L'OVS est relié, sur le plan antigénique, aux virus de la variole et de la vaccine Note de bas de page 5.

Section II : Détermination du risque

Pathogénicité et toxicité

La mpox (variole simienne) se caractérise par l'apparition de symptômes non spécifiques, qui peuvent comprendre de la fièvre, des maux de tête, des dorsalgies, lymphadénopathie et une fatigue au cours du stade prodromique, qui dure de deux à trois jours Note de bas de page 1Note de bas de page 3Note de bas de page 6. Ce stade est suivi d'une période de deux à quatre semaines durant laquelle les éruptions cutanées apparaissent et passent par différentes phases (macules, papules, vésicules, puis pustules), suivies de l'ombilication, de la formation de croûtes et d'une desquamation Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 7. L'éruption se produit généralement dans une distribution centrifuge, s'étendant souvent aux paumes et à la plante des pieds Note de bas de page 3. Les lésions peuvent aussi apparaître sur les muqueuses, conjonctive, dans la bouche, sur la langue et sur les organes génitaux Note de bas de page 4. La présentation clinique de la mpox est similaire à celle de la variole, à l'exception de l'adénopathie marquée et des symptômes généralement moins graves observés dans la mpox Note de bas de page 5Note de bas de page 8. Par conséquent, l'adénopathie est considérée comme un élément essentiel pour distinguer la mpox Note de bas de page 4Note de bas de page 8Note de bas de page 9. Le taux de létalité est d'environ 1 à 10 % en Afrique, et plus élevé chez les jeunes enfants Note de bas de page 3Note de bas de page 7. Chez les enfants non vaccinés contre la variole, le taux de mortalité varie entre 1 et 14 % Note de bas de page 8Note de bas de page 9.

Transmissibilité

L’OVS est transmis à l'humain lors d'une morsure ou d'un contact direct avec des lésions, du sang ou des liquides biologiques d'un animal infecté Note de bas de page 1Note de bas de page 4Note de bas de page 6Note de bas de page 7. La transmission entre humains peut se faire par les voies respiratoires, le contact direct avec les liquides biologiques d'une personne infectée, ou des objets contaminés par le virusNote de bas de page 4Note de bas de page 6Note de bas de page 9Note de bas de page 16. Le taux de transmission entre humains est à la hausse, le taux d'attaque secondaire étant d'environ 10 %Note de bas de page 3Note de bas de page 9.

La transmission interhumaine de l'OVS est possible; une chaîne de jusqu'à six événements de transmission interhumaine séquentiels a été documentée Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 13.

Épidémiologie

La mpox touche tous les groupes d'âge; toutefois, les enfants de moins de 16 ans constituent la plus grande proportion de cas de mpox Note de bas de page 8. Le virus sévit de façon naturelle en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale, à proximité de la jungle tropicale Note de bas de page 3.

Les isolats de l'OVS provenant de l'Afrique de l'Ouest semblent être moins virulents et/ou transmissibles aux humains et aux primates non humains que ceux du bassin du Congo. Par ailleurs, l'arrêt de la vaccination contre la variole semble avoir accru le risque chez l'humain d'être atteint d'une forme grave de la mpox.

Le premier cas humain de mpox a été observé en 1970, chez un enfant de neuf mois de la République démocratique du Congo (anciennement le Zaïre), dans une région où la variole était éradiquée en 1968 Note de bas de page 5Note de bas de page 7Note de bas de page 10. Au cours de l'année suivante, six nouveaux cas de mpox chez des humains ont été rapportés au Libéria, en Sierra Leone et au Nigeria Note de bas de page 11. Entre 1970 et 1979, 47 cas humains de mpox ont été recensés, dont 38 au Zaïre Note de bas de page 3Note de bas de page 4. Au total, 338 cas ont été identifiés en République démocratique du Congo entre 1981 et 1986, et plus de 400 cas ont été signalés entre février 1996 et octobre 1997 Note de bas de page 12Note de bas de page 13.

En 2003, on a observé les premiers cas humains de mpox de l'hémisphère occidental lors de l'éclosion survenue dans des États du Midwest américain (Illinois, Indiana, Kansas, Missouri, Ohio et Wisconsin) par suite de l'importation d'Afrique de l'Ouest (Ghana) de rongeurs infectés par le virus Note de bas de page 1Note de bas de page 3Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 14.

Distribution des hôtes

Hôtes naturels

Humains, écureuils, primates non humains, chiens de prairie à queue noire, athérures africains (Atherurus africanus), rats et musaraignes Note de bas de page 1Note de bas de page 2Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 10Note de bas de page 12Note de bas de page 13Note de bas de page 14Note de bas de page 15.

Dose infectieuse

Inconnue.

Période d’incubation

Entre 7 et 17 jours, approximativement Note de bas de page 3Note de bas de page 7.

Section III : Dissémination

Réservoir

On croit que les écureuils arboricoles (Funisciurus spp. et, dans une moindre mesure, Heliosciurus spp.) sont des réservoirs de l'OVS, bien que les raisons ne soient pas encore bien comprises Note de bas de page 3Note de bas de page 5Note de bas de page 12Note de bas de page 15.

Zoonose/Zoonose inversée

Oui Note de bas de page 1Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 5Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 8Note de bas de page 10Note de bas de page 12Note de bas de page 13Note de bas de page 14Note de bas de page 15Note de bas de page 17.

Vecteurs

Inconnu Note de bas de page 3.

Section IV : Viabilité et stabilité

Sensibilité aux medicaments

Le cidofovir est considéré comme un agent thérapeutique potentiel pour les infections à l'OSV, car il s'est avéré actif contre de nombreux virus à ADN in vitro, y compris l'OSV Note de bas de page 18.

Sensibilité aux désinfectants

Les orthopoxvirus sont sensibles à l'hypochlorite de sodium à 0,5 %, aux désinfectants ménagers à base de chloroxylène, au glutaraldéhyde, au formaldéhyde et au paraformaldéhyde Note de bas de page 19Note de bas de page 20.

Inactivation physique

Les orthopoxvirus sont inactivés par la chaleur (stérilisation en autoclave et incinération) Note de bas de page 19Note de bas de page 20.

Survie à l’extérieur de l’hôte

Sous forme séchée, les orthopoxvirus sont stables, à la température ambiante Note de bas de page 16.

Section V : Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance

Surveiller la présence de symptômes (fièvre inexpliquée, éruptions cutanées ou adénopathie proéminente) et confirmer le diagnostic en laboratoire par isolement du virus, analyse PCR, inhibition de l'hémagglutination, microscopie électronique, ELISA, buvardage de Western ou analyse immunohistochimique Note de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 5Note de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 9Note de bas de page 15Note de bas de page 17.

Remarque : Les méthodes diagnostiques ne sont pas nécessairement disponibles dans tous les pays. Les recommandations particulières pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi que sur une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Premiers soins et traitement

Il n'existe aucun médicament antiviral homologué pour traiter les infections à l'OSV; on fait plutôt appel à des traitements de soutien Note de bas de page 4.

Remarque : Les recommandations particulières concernant les premiers soins et le traitement en laboratoire devraient provenir du plan d’intervention après exposition, qui est développé dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d’intervention post-exposition sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Immunisation

La vaccination par le virus de la vaccine (vaccin antivariolique) est efficace à environ 85 % contre la mpox Note de bas de page 4Note de bas de page 16.

Remarque : Vous trouverez de plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale dans le Guide canadien sur la biosécurité et en consultant le Guide canadien d’immunisation.

Prophylaxie

Administration du vaccin antivariolique dans les quatre à quatorze jours suivant le contact initial avec un cas confirmé de mpox Note de bas de page 4Note de bas de page 16.

Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale se trouvent dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Section VI : Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées au laboratoire

Aucun cas signalé à ce jour Note de bas de page 16.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité et le Guide canadien sur la biosécurité pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d’exposition. Une ligne directrice canadienne sur la biosécurité décrivant les procédures de déclaration est également disponible.

Sources et échantillons

Liquides ou croûtes des lésions, sécrétions des voies respiratoires et tissus provenant d'hôtes infectés Note de bas de page 4Note de bas de page 15Note de bas de page 16.

Dangers principaux

Ingestion, inoculation parentérale, exposition de muqueuses ou de lésions cutanées à des gouttelettes ou à des aérosols infectieux ou contact avec des liquides ou tissus infectieux Note de bas de page 9Note de bas de page 16. Chez les femmes enceintes, la mpox peut causer des complications fœtales Note de bas de page 23.

Dangers particuliers

Morsures de primates non humains ou de rongeurs infectés, ou contact avec des objets contaminés par le virus (p. ex., literie ou vêtements) Note de bas de page 1.

Section VII : Contrôle de l’exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque

L’OVS est classé comme un agent pathogène humain du groupe de risque 3, un agent zoopathogène du groupe de risque 3, et un agent biologique à cote de sécurité élevée (ABCSE). Note de bas de page 21.

Exigences relatives au confinement

Les installations, les équipements et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 3 décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité et l’avis de biosécurité pour l’orthopoxvirus simien (OVS), pour les travaux impliquant des matières, des animaux, ou des cultures infectieuses ou potentiellement infectieuses.

Veuillez noter qu’il existe d’autres exigences en matière de sécurité, comme l’obtention d’une habilitation de sécurité conformément à la Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines pour les travaux impliquant des ABCSE.

Vêtements de protection

Avant d'entrer dans le laboratoire, le personnel doit enlever sa tenue de ville et ses bijoux pour ensuite mettre des vêtements et des chaussures réservés aux travaux en laboratoire, ou mettre un vêtement protecteur complet (c'est-à-dire qui couvre entièrement la tenue de ville). Une protection supplémentaire peut être portée par-dessus les vêtements de laboratoire lors de la manipulation directe de matériel infectieux, comme une blouse ne s'ouvrant pas à l'avant avec poignets serrés, des gants et une protection respiratoire. Une protection pour les yeux doit être utilisée lorsqu'il y a un risque connu ou potentiel d'éclaboussure Note de bas de page 22.

Les exigences applicables au niveau de confinement 3 en matière d’équipement et de vêtements de protection individuelle décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées. Au minimum, l'utilisation de vêtements de protection dédiés couvrant tout le corps, des chaussures de protection dédiées et/ou des chaussures de protection supplémentaires, de gants lors de la manipulation de matières infectieuses ou d'animaux, d'une protection faciale lorsqu'il existe un risque connu ou potentiel d'exposition à des éclaboussures ou à des objets volants, de masque respiratoire lorsqu'il existe un risque d'exposition à des aérosols infectieux, et d'une couche supplémentaire de vêtements de protection avant de travailler avec des matières infectieuses ou des animaux.

Remarque : Une évaluation locale des risques permettra de déterminer la protection appropriée pour les mains, les pieds, la tête, le corps, les yeux, le visage et les voies respiratoires. De plus, les exigences relatives à l’équipement de protection individuelle pour la zone de confinement doivent être documentées.

Autres mesures de précaution

Toutes les activités avec du matériel infectieux doivent s'effectuer dans une enceinte de sécurité biologique (ESB) ou dans un autre dispositif de confinement primaire adéquat, avec un équipement de protection individuelle. La centrifugation des matières infectées doit s'effectuer dans des enceintes scellées placées dans des réservoirs hermétiques ou des rotors qui sont remplis et vidés dans une ESB. L'utilisation d'aiguilles, de seringues et d'autres objets tranchants doit être strictement restreinte. Les plaies ouvertes, les coupures et les éraflures doivent être couvertes avec des pansements imperméables. Des précautions supplémentaires doivent être envisagées pour les activités avec des animaux ou à grande échelle Note de bas de page 22.

Informations complémentaires

Pour les laboratoires de diagnostic clinique manipulant des échantillons de patients pouvant contenir du OVS, les ressources suivantes peuvent être consultées:

Section VIII: Manutention et entreposage

Déversements

Laisser les aérosols se poser et, tout en portant des vêtements de protection, couvrir délicatement le déversement avec des essuies-tout et appliquer un désinfectant approprié, en commençant par le périmètre et en se rapprochant du centre. Laisser agir suffisamment longtemps avant de nettoyer (30 minutes) (Guide canadien sur la biosécurité).

Élimination

Décontaminer les déchets par stérilisation à la vapeur, incinération ou désinfection chimique Note de bas de page 11.

Tous les matériaux et substances qui ont été en contact avec l’agent infectieux doivent être complètement décontaminés avant d’être retirés de la zone de confinement. Pour ce faire, on peut utiliser des technologies et des procédés de décontamination dont l’efficacité contre le matériel infectieux a été démontrée, tels que les désinfectants chimiques, l’autoclave, l’irradiation, l’incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse (Guide canadien sur la biosécurité).

Entreposage

Dans des contenants étanches et scellés, étiquetés de façon appropriée et verrouillés dans une installation de confinement niveau 3 Note de bas de page 11.

Les exigences applicables au stockage de niveau de confinement 3 décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées.

Les contenants d’agents biologiques à cote de sécurité élevée (ABCSE) entreposés en dehors de la zone de confinement doivent être étiquetés, étanches, résistants aux chocs et conservés dans un équipement d’entroposageverrouillé, fixe (c'est-à-dire non mobile) et dans une zone à accès limité (Guide canadien sur la biosécurité).

L’inventaire des agents biologiques à cote de sécurité élevée (ABCSE) entreposés à long terme doit être tenu à jour et inclure les éléments suivants:

  • une identification précise des agents pathogènes, des toxines et des autres matières infectieuses réglementées ; et
  • un moyen de permettre la détection d’un échantillon manquant ou volé rapidement.

Section IX: Renseignements sur la réglementation et autres

Contexte réglementaire canadien

Les activités réglementées avec l’OVS nécessitent un permis d’agent pathogène humain et de toxines délivré par l’Agence de la santé publique du Canada. L’OVS est un pathogène animal non indigène au Canada ; par conséquent, l’importation de l’OVS nécessite un permis d’importation délivré par l’Agence canadienne d’inspection des aliments.

Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

L’OVS est un agent biologique à cote de sécurité élevée (ABCSE). Il existe des exigences de sécurité supplémentaires, telles que l'obtention d'une habilitation de sécurité en vertu de la Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines, pour les travaux impliquant des ABCSE.

L'importation, le transport et l'utilisation de pathogènes au Canada sont régis par de nombreux organismes de réglementation, dont l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement Canada et Transports Canada. Il incombe aux utilisateurs de veiller à respecter tous les règlements et toutes les lois, directives et normes applicables.

Mise à jour

Février 2023

Préparé par

Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.

Avertissement

L’information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : Agents Pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l’utilisation de ces renseignements.

Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les lignes directrices et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : Agents Pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.

Droits d’auteur © Agence de la santé publique du Canada, 2023, Canada

Références

Note de bas de page 1

Reynolds, M. G., W. B. Davidson, A. T. Curns, C. S. Conover, G. Huhn, J. P. Davis, M. Wegner, D. R. Croft, A. Newman, N. N. Obiesie, G. R. Hansen, P. L. Hays, P. Pontones, B. Beard, R. Teclaw, J. F. Howell, Z. Braden, R. C. Holman, K. L. Karem, et I. K. Damon. 2007. Spectrum of infection and risk factors for human monkeypox, United States, 2003. Emerg. Infect. Dis. 13:1332-1339.

Retour à la référence de la note de bas de page 1

Note de bas de page 2

Rimoin, A. W., N. Kisalu, B. Kebela-Ilunga, T. Mukaba, L. L. Wright, P. Formenty, N. D. Wolfe, R. L. Shongo, F. Tshioko, E. Okitolonda, J. -. Muyembe, R. W. Ryder, et H. Meyer. 2007. Endemic human monkeypox, Democratic Republic of Congo, 2001-2004. Emerg. Infect. Dis. 13:934-937.

Retour à la référence de la note de bas de page 2

Note de bas de page 3

Parker, S., A. Nuara, R. M. L. Buller, et D. A. Schultz. 2007. Human monkeypox: An emerging zoonotic disease. Future Microbiol. 2:17-34.

Retour à la référence de la note de bas de page 3

Note de bas de page 4

Nalca, A., A. W. Rimoin, S. Bavari, et C. A. Whitehouse. 2005. Reemergence of monkeypox: Prevalence, diagnostics, and countermeasures. Clin. Infect. Dis. 41:1765-1771.

Retour à la référence de la note de bas de page 4

Note de bas de page 5

Acha, P. N., et B. Szyfres. 2005. Zoonoses & communicable diseases common to man & animals, third edition: A review by Peter Kerr. Aust. Mammal. 27:107.

Retour à la référence de la note de bas de page 5

Note de bas de page 6

Croft, D. R., M. J. Sotir, C. J. Williams, J. J. Kazmierczak, M. V. Wegner, D. Rausch, M. B. Graham, S. L. Foldy, M. Wolters, I. K. Damon, K. L. Karem, et J. P. Davis. 2007. Occupational risks during a monkeypox outbreak, Wisconsin, 2003. Emerg. Infect. Dis. 13:1150-1157.

Retour à la référence de la note de bas de page 6

Note de bas de page 7

Multistate outbreak of monkeypox - Illinois, Indiana, and Wisconsin, 2003. 2003. Morbidity and Mortality Weekly Report, 52:537-540.

Retour à la référence de la note de bas de page 7

Note de bas de page 8

Heymann, D. L. 2008. Control of Communicable Diseases Manual (19th Edition ed.). Washington, D.C.: American Public Health Association.

Retour à la référence de la note de bas de page 8

Note de bas de page 9

Weber, D. J., et W. A. Rutala. 2001. Risks and prevention of nosocomial transmission of rare zoonotic diseases. Clin. Infect. Dis. 32:446-456.

Retour à la référence de la note de bas de page 9

Note de bas de page 10

Ladnyj, I. D., P. Ziegler, and E. Kima. 1972. A human infection caused by monkeypox virus in Basankusu Territory, Democratic Republic of the Congo. Bull. World Health Organ. 46:593-597.

Retour à la référence de la note de bas de page 10

Note de bas de page 11

Foster, S. O., E. W. Brink, D. L. Hutchins, J. M. Pifer, B. Lourie, C. R. Moser, E. C. Cummings, O. E. Kuteyi, R. E. Eke, J. B. Titus, E. A. Smith, J. W. Hicks, et W. H. Foege. 1972. Human monkeypox. Bull. World Health Organ. 46:569-576.

Retour à la référence de la note de bas de page 11

Note de bas de page 12

Pattyn, S. R. 2000. Monkeypoxvirus infections. OIE Rev. Sci. Tech. 12:92-97.

Retour à la référence de la note de bas de page 12

Note de bas de page 13

Hutin, Y. J., R. J. Williams, P. Malfait, R. Pebody, V. N. Loparev, S. L. Ropp, M. Rodriguez, J. C. Knight, F. K. Tshioko, A. S. Khan, M. V. Szczeniowski, et J. J. Esposito. 2001. Outbreak of human monkeypox, Democratic Republic of Congo, 1996 to 1997. Emerging Infect. Dis. 7:434-438.

Retour à la référence de la note de bas de page 13

Note de bas de page 14

Update: Multistate outbreak of monkeypox - Illinois, Indiana, Kansas, Missouri, Ohio, and Wisconsin, 2003. 2003. Morbidity and Mortality Weekly Report, 52:642-646.

Retour à la référence de la note de bas de page 14

Note de bas de page 15

Mukinda, V. B. K., G. Mwema, M. Kilundu, D. L. Heymann, A. S. Khan, J. J. Esposito, H. Koen, M. Delfi, J. J. Muyembe-Tamfum, T. F. Kweteminga, A. Moudi, L. Mangindula, V. N. Loparev, J. M. Parsons, D. L. Jue, T. W. Crews, et J. C. Knight. 1997. Re-emergence of human monkeypox in Zaire in 1996. Lancet. 349:1449-1450.

Retour à la référence de la note de bas de page 15

Note de bas de page 16

Centers for Disease Control and Prevention. 2007. In Richmond J. Y., McKinney R. W. (Eds.), Biosafety in Microbiological and Biomedical Laboratories (BMBL) (5th Edition ed.). Washingtion D.C.: Centers for Disease Control and Prevention.

Retour à la référence de la note de bas de page 16

Note de bas de page 17

Dubois, M. E., et M. K. Slifka. 2008. Retrospective analysis of monkeypox infection. Emerg. Infect. Dis. 14:592-599.

Retour à la référence de la note de bas de page 17

Note de bas de page 18

De Clercq, E. 2002. Cidofovir in the treatment of poxvirus infections. Antiviral Res. 55:1-13.

Retour à la référence de la note de bas de page 18

Note de bas de page 19

Butcher, W., et D. Ulaeto. 2005. Contact inactivation of orthopoxviruses by household disinfectants. J. Appl. Microbiol. 99:279-284.

Retour à la référence de la note de bas de page 19

Note de bas de page 20

Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Guide D - Specimen Collection and Transport Guidelines. PDF Disponible à l'adresse http://www.bt.cdc.gov/agent/smallpox/response-plan/files/guide-d.pdf

Retour à la référence de la note de bas de page 20

Note de bas de page 21

Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines. S.C. 2009, c.24, deuxième session, quarantième législature, 57-58 Elizabeth II, 2009. (2009).

Retour à la référence de la note de bas de page 21

Note de bas de page 22

L’Agence de la santé publique du Canada. (2015). Norme canadienne sur la biosécurité. Gouvernement du Canada, Ottawa, Ontario.

Retour à la référence de la note de bas de page 22

Note de bas de page 23

Mbala, P. K., J. W. Huggins, T. Riu-Rovira, S. M. Ahuka, P. Mulembakani, A. W. Rimoin, J. W. Martin, et J. -. T. Muyembe. 2017. Maternal and Fetal Outcomes among Pregnant Women with Human Monkeypox Infection in the Democratic Republic of Congo. J. Infect. Dis. 216:824-828.

Retour à la référence de la note de bas de page 23

Détails de la page

Date de modification :