Porphyromonas gingivalis : Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes

Section I – Agent infectieux

Nom

Porphyromonas gingivalis

Type d'agent

Bactérie

Taxonomie

Famille

Porphyromonadaceae

Genre

Porphyromonas

Espèce

gingivalis

Synonyme ou renvoi

Aussi connu sous le nom de Bacteroides gingivalisNote de bas de page 1. Autrefois, Bacteroides melaninogenicusNote de bas de page 2.

Caractéristiques

Brève description

Les P. gingivalis sont des coccobacilles à Gram-négatif, non-motiles, qui mesurent 0,5 µm par 1,0 à 3,0 µmNote de bas de page 3. Il s'agit d'anaérobes obligatoires préférant des environnements humidité élevée et nécessitant du protohème; pour cette raison, les cellules sont souvent cultivées sur de la gélose au sang à 37 °CNote de bas de page 3Note de bas de page 4. Les colonies apparaissent d'abord de couleur claire, et après 4 à 8 jours, deviennent rouge foncé ou noir en raison de l'accumulation de fer dans les cellulesNote de bas de page 4Note de bas de page 5.

Propriétés

P. gingivalis a une panoplie de déterminants de virulence, dont des capsules, des fimbriae, des lipopolysaccharides (LPS), des hémagglutinines et des protéinases (p. ex., des gingipaines)Note de bas de page 5Note de bas de page 6Note de bas de page 7. L'activité protéolytique importante de P. gingivalis aide à sa survie et croissance dans l'hôte et est fortement impliquée dans la progression de la maladieNote de bas de page 6. La virulence varie d'une souche à l'autre en raison de différences dans leur capacité d'invasion et leurs activités protéolytiquesNote de bas de page 8Note de bas de page 9Note de bas de page 10.

Section II – Identification des dangers

Pathogénicité et toxicité

P. gingivalis colonise le sillon gingival de la cavité buccale humaine, mais a été retrouvé sur la langue, des amygdales et dans la salive. P. gingivalis est présent chez 10 à 25 % des personnes ayant une bonne santé parodontale et chez 69 à 79 % des personnes atteintes d'une maladie parodontaleNote de bas de page 11Note de bas de page 12Note de bas de page 13. La présence de P. gingivalis est associée à l'initiation et à la progression de la parodontite agressive généralisée qui est une condition chronique qui peut persister des années lorsque non traitéeNote de bas de page 3Note de bas de page 5Note de bas de page 14. Une parodontite agressive se caractérise par une perte rapide de l'attache des dents et une destruction osseuse chez des personnes qui sont autrement en bonne santé. Une parodontite agressive est plus susceptible de se produire chez les jeunes groupes d'âge et s'appelait initialement : parodontite précoceNote de bas de page 15. La gravité de la maladie parodontale va de l'inflammation légère des gencives et des structures de soutien des dents, à la destruction chronique des tissus qui entraîne la formation d'une poche parodontale et finalement la perte des dentsNote de bas de page 5Note de bas de page 6. Les autres symptômes de la parodontite sont le saignement des gencives et la résorption de l'os alvéolaireNote de bas de page 16.

P. gingivalis a également été impliqué dans des abcès pulmonaires, une pneumonie par aspiration et des infections pulmonairesNote de bas de page 3Note de bas de page 17. Des études suggèrent qu'une maladie parodontale associée à P. gingivalis représente un facteur de risque pour des maladies cardiovasculaires et est associée à des naissances de bébés à faible poidsNote de bas de page 18Note de bas de page 19Note de bas de page 20Note de bas de page 21. La colonisation de P. gingivalis et la parodontite sont associées à une incidence plus élevée de mortalité chez des patients atteints d'un cancer orodigestifNote de bas de page 22. P. gingivalis a été associé à d'autres maladies systémiques telles que l'athérosclérose, l'hypertension, l'évolution défavorable de la grossesse, les maladies inflammatoires de l'intestin, le diabète sucré, la stéatose hépatique non alcoolique, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie d'AlzheimerNote de bas de page 16Note de bas de page 23.

P. gingivalis ne semble pas causer de maladie chez des hôtes animaux naturels, bien que des animaux infectés expérimentalement puissent développer une maladie parodontaleNote de bas de page 24Note de bas de page 25.

Épidémiologie

La maladie causée par P. gingivalis reste dans les populations humainesNote de bas de page 21. P. gingivalis est associé à une parodontite sévère (chronique) et agressiveNote de bas de page 26. Une parodontite grave touche 5 à 20 % des adultes dans le mondeNote de bas de page 27Note de bas de page 28, alors que la prévalence de parodontite agressive est de 0,1 à 5 %Note de bas de page 23Note de bas de page 24Note de bas de page 29. Le taux d'incidence de parodontite sévère varie d'un pays à l'autre, allant de 251 à 1 428 nouveaux cas pour 100 000 personnes/annéeNote de bas de page 25. Parmi les adultes de 30 ans et plus aux États-Unis, les populations présentant la plus forte prévalence de parodontite totale sont les hommes (50,2 %), les adultes sous le seuil de pauvreté fédéral (60,4 %) et les fumeurs actifs (62,4 %)Note de bas de page 30.

Le diabète, le VIH et le syndrome de Down sont associés à des taux accrus de maladies parodontalesNote de bas de page 5Note de bas de page 31Note de bas de page 32. Une mauvaise hygiène bucco-dentaire et le vieillissement sont également des facteurs qui peuvent prédisposer à l'infection par P. gingivalisNote de bas de page 33.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels

HumainsNote de bas de page 21.

Autres hôtes

Dans un contexte expérimental, P. gingivalis peut causer une infection chez divers animaux (p. ex. rongeurs, lapins, porcs, chiens, primates non humains)Note de bas de page 34Note de bas de page 35. Les primates non humains exposés oralement avec P. gingivalis peuvent développer une maladie parodontaleNote de bas de page 36.

Dose infectieuse

Inconnue.

Période d'incubation

Inconnue.

Transmissibilité

P. gingivalis peut se propager par la salive et un contact direct avec une muqueuse, mais la transmission n'entraîne pas toujours de colonisationNote de bas de page 37Note de bas de page 38. Les brosses à dents partagées et les ustensiles sont des moyens de transmission possiblesNote de bas de page 25Note de bas de page 39Note de bas de page 40. Le contact avec un membre de la famille infecté par P. gingivalis augmente le risque de colonisation de P. gingivalis chez les autres membres de la familleNote de bas de page 40.

Section III – Dissémination

Réservoir

Les humains.

Zoonose

Aucune.

Vecteurs

Aucun.

Section IV – Viabilité et stabilité

Sensibilité/résistance aux médicaments

P. gingivalis est généralement sensible à l'amoxicilline-clavulanateNote de bas de page 41Note de bas de page 42Note de bas de page 43, à la piperacilline-tazobactamNote de bas de page 44, le cephaclorNote de bas de page 41, aux céphalosporinesNote de bas de page 44, à la tétracycline et la doxycyclineNote de bas de page 41Note de bas de page 43, à la clindamycineNote de bas de page 41Note de bas de page 43, à l'imipenemNote de bas de page 44, au métronidazoleNote de bas de page 41Note de bas de page 44, à la moxifloxacineNote de bas de page 45Note de bas de page 46, à l'azithromycineNote de bas de page 45 et la cefoxitineNote de bas de page 45.

Certains isolats de P. gingivalis résistent à la ciprofloxacineNote de bas de page 43, à l'érythromycineNote de bas de page 41Note de bas de page 43 et à l'azithromycineNote de bas de page 41 ainsi que d'autres antibiotiques tels que le métronidazole (21,56 %), l'amoxicilline (25,49 %) et la clindamycine (23,52 %)Note de bas de page 46Note de bas de page 47. Sur une période de 20 ans, la résistance in vitro de P. gingivalis a augmenté de manière significative à la clindamycine (multipliée par 15 pour atteindre 9,3 % des patients) et à l'amoxicilline (multipliée par 28 pour atteindre 2,8 % des patients)Note de bas de page 46Note de bas de page 48.

Sensibilité aux désinfectants

L'acide hypochloreux, l'hypochlorite de sodium, l'éthanol à 70 % et la chlorhexidine sont efficaces contre le biofilm de P. gingivalisNote de bas de page 49. Un traitement à l'eau ozonée (2 mg/L)Note de bas de page 50, à l'oxyde nitriqueNote de bas de page 51, à des solutions d'iode povidoneNote de bas de page 50, et des composés d'ammonium quaternaire, tel que le chlorure de cétylpyridinium (0,05 %)Note de bas de page 52, cause une réduction significative des cellules viables de P. gingivalis. Le traitement au dioxyde de chlore gazeux est efficace contre les cellules de P. gingivalis qui se sont développées sur des matériaux à surfaces lissesNote de bas de page 53. Les rinçages de bouche antiseptiques sont efficaces pour tuer P. gingivalis dans un biofilmNote de bas de page 54.

Inactivation physique

L'irradiation UV a un effet bactéricide sur les cellules de P. gingivalisNote de bas de page 51. L'application de la chaleur humide (121 °C pendant 15 minutes) et de la chaleur sèche (170 °C pendant 1 heure) est généralement efficace pour éliminer la plupart des bactériesNote de bas de page 55. Il a été démontré que le Plasma basse température à pression atmosphérique avait un effet inactivant significatif sur P. gingivalisNote de bas de page 56. Les thérapies photodynamique et photothermique permettent également d'éradiquer P. gingivalis de manière significativeNote de bas de page 57.

Survie à l'extérieur de l'hôte

D'autres agents pathogènes buccaux survivent moins de 8 heures à l'extérieur de la cavité buccaleNote de bas de page 39. En général, la persistance bactérienne sur les surfaces inanimées dépend des conditions environnementales, telles que l'humidité relative, la température, le biofilm et le type de surfaceNote de bas de page 58.

Section V – Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance

Le diagnostic se fait par la surveillance des symptômes cliniques. Des spécimens oraux sont cultivés sur une gélose sélective contenant de la colistine, de la bacitracine et de l'acide nalidixique afin d'inhiber la croissance de bactéries buccales typiques de la cavité buccaleNote de bas de page 59. P. gingivalis peut être identifié par PCR ou à l'aide de systèmes de détection biochimiqueNote de bas de page 60Note de bas de page 61Note de bas de page 62.

Remarque : Les recommandations spécifiques pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi qu'une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Premiers soins et traitement

Les infections peuvent être traitées avec des antibiotiques appropriés et/ou des procédures dentaires, comme le débridement de surface, afin d'éliminer les bactéries de la plaqueNote de bas de page 63.

Remarque : Les recommandations spécifiques concernant les premiers soins et les traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention après exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention après l'exposition sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Immunisation

Aucun vaccin n'est actuellement disponible; cependant, le développement de vaccins contre P. gingivalis est un domaine de recherche actifNote de bas de page 63.

Remarque : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité et en consultant le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie

Aucune.

Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Section VI – Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées en laboratoire

Aucune signalée à ce jour.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité et le Guide canadien sur la biosécurité pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d'exposition. Une ligne directrice canadienne sur la biosécurité décrivant les procédures de déclaration est également disponible.

Sources et échantillons

La salive, la plaque dentaire, les spécimens cardiovasculairesNote de bas de page 64Note de bas de page 65.

Dangers primaires

Exposition à la membrane muqueuse et inoculation parentérale accidentelle.

Dangers particuliers

Aucun.

Section VII – Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque

P. gingivalis est un pathogène humain du groupe de risque 2 et un pathogène animal du groupe de risque 1Note de bas de page 66.

Exigences de confinement

Les installations, l'équipement et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 2, tel qu'ils sont décrits dans la Norme canadienne sur la biosécurité, sont requis pour les travaux impliquant des matières, des cultures ou des animaux infectieux ou potentiellement infectieux.

Vêtements de protection

Les exigences applicables au niveau de confinement 2 pour l'équipement de protection individuelle et les vêtements, décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées. Il est recommandé, au minimum, d'utiliser un sarrau de laboratoire et des chaussures à bout fermé qui peuvent être nettoyées, des gants lorsque le contact direct de la peau avec des matériaux ou des animaux infectés est inévitable, et une protection oculaire lorsqu'il existe un risque connu ou potentiel d'exposition à des éclaboussures.

Remarque : Une évaluation locale des risques permettra de déterminer la protection appropriée pour les mains, les pieds, la tête, le corps, les yeux, le visage et les voies respiratoires. De plus, les exigences relatives à l'équipement de protection individuelle pour la zone de confinement et les activités de travail doivent être documentées.

Autres précautions

Une enceinte de sécurité biologique (ESB) ou d'autres dispositifs de confinement primaire à utiliser pour les activités avec des récipients ouverts, sur la base des risques associés aux caractéristiques inhérentes de la matière réglementée, à la possibilité de produire des aérosols infectieux ou des toxines aérosolisées, à la manipulation de fortes concentrations de matières réglementées ou à la manipulation de grands volumes de matières réglementées.

Utilisation d'aiguilles et de seringues strictement limitée. Le pliage, le cisaillement, le rebouchage ou l'élimination d'aiguilles de seringues est à éviter, et, si nécessaire, à effectuer uniquement comme spécifié dans les procédures d'opération normalisées (PON). Des précautions supplémentaires sont requises pour les travaux comprenant des animaux ou des activités à grande échelle.

Renseignements supplémentaires

Pour les laboratoires de diagnostic qui manipulent des échantillons primaires provenant de patients susceptibles d'être infectés par P. gingivalis, les ressources suivantes peuvent être consultées :

Section VIII – Manutention et entreposage

Déversements

Il faut permettre aux aérosols à se déposer. Tout en portant des vêtements de protection, couvrir doucement le déversement avec une papier absorbant et appliquer un désinfectant approprié, à partir du périmètre et en allant vers le centre. Il faut prévoir un temps de contact suffisant avec le désinfectant avant le nettoyage (Guide canadien sur la biosécurité).

Élimination

Toutes les matières ou substances qui sont en contact avec les matières réglementées doivent être entièrement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement ou des procédures d'opérations normalisées (PON) doivent être en place afin de déplacer ou de transporter les déchets en toute sécurité hors de la zone de confinement vers une zone de décontamination désignée ou une tierce partie. On peut y parvenir en utilisant des technologies et des procédés de décontamination qui se sont avérés efficaces contre les matières réglementées, comme les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse (Guide canadien sur la biosécurité).

Entreposage

Les exigences applicables en matière de confinement de niveau 2 pour l'entreposage, décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité, doivent être respectées. Les contenants primaires de matières réglementées enlevés de la zone de confinement doivent être étiquetés, étanches aux fuites, résistants aux impacts et gardés soit dans des équipements d'entreposage verrouillés, soit dans une zone à accès limité.

Section IX – Renseignements sur la réglementation et autres

Renseignements sur la réglementation canadienne

Les activités contrôlées avec P. gingivalis nécessitent un permis pour les agents pathogènes humains et les toxines délivré par l'Agence de la santé publique du Canada.

Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

Dernière mise à jour

Février, 2024

Rédigé par

Le Centre de la biosécurité, Agence de la santé publique du Canada.

Mise en garde

L'information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements.

Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les lignes directrices et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.

Tous droits réservés © Agence de la santé publique du Canada, 2024, Canada

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Note de bas de page 38

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Note de bas de page 39

Quirynen, M., M. de Soete, M. Pauwels, K. Goossens, W. Teughels, J. van Eldere, et D. van Steenberghe. 2001. Bacterial survival rate on tooth- and interdental brushes in relation to the use of toothpaste. J. Clin. Periodontol. 28:1106-1114.

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Note de bas de page 40

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Note de bas de page 41

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Note de bas de page 42

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Note de bas de page 43

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Note de bas de page 44

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Note de bas de page 45

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Note de bas de page 46

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Note de bas de page 47

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Note de bas de page 48

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Note de bas de page 49

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Note de bas de page 50

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Note de bas de page 51

Takada, A., K. Matsushita, S. Horioka, Y. Furuichi, et Y. Sumi. 2017. Bactericidal effects of 310Â nm ultraviolet light-emitting diode irradiation on oral bacteria. BMC Oral Health. 17:10.1186/s12903-017-0382-5.

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Note de bas de page 52

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Note de bas de page 53

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Note de bas de page 56

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Note de bas de page 57

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Note de bas de page 58

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Note de bas de page 59

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Note de bas de page 60

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Note de bas de page 61

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Note de bas de page 62

Gerits, E., N. Verstraeten, et J. Michiels. 2017. New approaches to combat Porphyromonas gingivalis biofilms. J. Oral Microbiol. 9:1300366.

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Note de bas de page 63

O'Brien-Simpson, N. M., J. A. Holden, J. C. Lenzo, Y. Tan, G. C. Brammar, K. A. Walsh, W. Singleton, R. K. Orth, N. Slakeski, K. J. Cross, I. B. Darby, D. Becher, T. Rowe, A. B. Morelli, A. Hammet, A. Nash, A. Brown, B. Ma, D. Vingadassalom, J. McCluskey, H. Kleanthous, et E. C. Reynolds. 2016. A therapeutic Porphyromonas gingivalis gingipain vaccine induces neutralising IgG1 antibodies that protect against experimental periodontitis. Npj Vaccines 1, 16022

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Note de bas de page 64

Oliveira, F. A., C. P. Forte, P. G. Silva, C. B. Lopes, R. C. Montenegro, A. K. Santos, C. R. Sobrinho, M. R. Mota, F. B. Sousa, et A. P. Alves. 2015. Molecular Analysis of Oral Bacteria in Heart Valve of Patients With Cardiovascular Disease by Real-Time Polymerase Chain Reaction. Medicine (Baltimore). 94:e2067.

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Note de bas de page 65

Nakano, K., H. Nemoto, R. Nomura, H. Inaba, H. Yoshioka, K. Taniguchi, A. Amano, et T. Ooshima. 2009. Detection of oral bacteria in cardiovascular specimens. Oral Microbiol. Immunol. 24:64-68.

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Note de bas de page 66

Agence de la santé publique du Canada. 2015. Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines (LAPHT)

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