Virus des oreillons : Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes

Pour plus de renseignements sur le virus des oreillons, consultez la page Web suivante :

Section I – Agent infectieux

Nom

Virus des oreillons

Type d'agent

Virus

Taxonomie

Famille

Paramyxoviridae

Genre

Orthorubulavirus

Espèce

Orthorubulavirus parotitidis

Synonyme ou renvoi

Anciennement connu sous le nom virus ourlein, Rubulavirus ourlien et Orthorubulavirus ourlein; agent étiologique des oreillonsNote de bas de page 1. Les oreillons sont aussi connus comme parotidite infectieuse ou parotidite viraleNote de bas de page 2Note de bas de page 3.

Caractéristiques

Brève description

Les virions du virus des oreillons sont enveloppés et ont une forme sphérique irrégulière, mesurant de 90 à 300 nm de diamètreNote de bas de page 4. La nucléocapside a une structure hélicoïdale. Le virus des oreillons a un génome linéaire d'ARN simple brin à sens négatif, d'une taille d'environ 15,3 kbp, avec une teneur en G+C de 42,3 %Note de bas de page 5Note de bas de page 6Note de bas de page 7.

Propriétés

Il y a 12 génotypes de virus des oreillons (A à N, à l'exclusion de E et M) classés selon la séquence de la petite protéine hydrophobeNote de bas de page 8Note de bas de page 9. Les protéines de fusion et d'hémagglutinine-neuraminidase semblent être les principaux déterminants de l'immunitéNote de bas de page 4Note de bas de page 10. Le virus des oreillons peut être cultivé dans une variété de cultures cellulaires de mammifères et dans des embryons aviairesNote de bas de page 4. Le cycle de vie du virus des oreillons comprend les étapes clés suivantes : infection initiale, propagation systémique, réplication virale et réponse immunitaireNote de bas de page 5. Le virus des oreillons se lie d'abord à la surface cellulaire de l'hôte grâce à la glycoprotéine hémagglutinine-neuraminidase qui se lie avec le récepteur acide sialique, qui agit comme médiateur dans la fusion du virus à la cellule et de la fusion des membranes cellulaires et virales facilitant ainsi la propagation du virusNote de bas de page 5. Chez les humains, le virus des oreillons se reproduit principalement dans les muqueuses respiratoires supérieuresNote de bas de page 11.

Section II – Identification des dangers

Pathogénicité et toxicité

Les oreillons sont généralement autolimitants; environ un tiers à la moitié des infections chez les personnes non vaccinées sont asymptomatiques ou subcliniques, alors que la fréquence des infections asymptomatiques chez les individus vaccinés est incertaineNote de bas de page 12Note de bas de page 13Note de bas de page 14. Les symptômes comprennent la fièvre, le malaise, les douleurs musculaires et les maux de tête; suivi d'une enflure/sensibilité d'une glande parotidienne ou des deux, qui persiste habituellement pendant une semaineNote de bas de page 3Note de bas de page 15. L'enflure d'autres glandes salivaires peut survenir conjointement avec la parotidite dans 10 % des casNote de bas de page 4. Les manifestations rares comprennent la méningite (1-10 %)Note de bas de page 16, l'orchiépididymite (25 % à 38 % des hommes post-puberté)Note de bas de page 3Note de bas de page 4, l'encéphalite (0,1 %) avec un taux de mortalité de 1,4 %Note de bas de page 4Note de bas de page 17, l'oophorite (5 % des femmes post-puberté)Note de bas de page 18, une surdité à haute fréquence transitoire (4 %)Note de bas de page 19, une surdité permanente (<0,01 %)Note de bas de page 20 et la pancréatite (4 %)Note de bas de page 4Note de bas de page 15. On a aussi signalé une implication conjointe, myocardique et oculaireNote de bas de page 3. Les complications comprennent la sialectasie et l'œdème pharyngolatéralNote de bas de page 4Note de bas de page 21. Les syndromes neurologiques rarement associés aux oreillons comprennent l'ataxie cérébelleuseNote de bas de page 22, la paralysie facialeNote de bas de page 23Note de bas de page 24, la myélite transversaleNote de bas de page 25, le syndrome de Guillain-BarréNote de bas de page 26Note de bas de page 27 et un syndrome semblable à la poliomyéliteNote de bas de page 28. Les conditions extrêmement rares associées aux oreillons comprennent la néphriteNote de bas de page 29, la thyroïditeNote de bas de page 30 et la thrombocytopénieNote de bas de page 31. D'autres séquelles, dont la paralysie, les convulsions, les paralysies nerveuses crâniennes et l'hydrocéphalie, ont également été signalées, mais elles sont raresNote de bas de page 5.

Épidémiologie

Les oreillons sont endémiques dans le monde entierNote de bas de page 32. Depuis l'introduction du vaccin contre le virus des oreillons dans les années 1960, l'incidence annuelle des oreillons a diminué de façon marquée. Cependant, au cours des dernières décennies, il y a eu une résurgence de la prévalence des oreillonsNote de bas de page 4Note de bas de page 32. L'incidence des oreillons au Canada et aux États-Unis est estimée à 0,1 cas par 100 000 personnes par annéeNote de bas de page 32Note de bas de page 33. De 2015 à 2022, 24 000 cas estimés ont été signalés à l'Organisation mondiale de la Santé en provenance d'Amérique du NordNote de bas de page 34. Les éclosions sporadiques touchent surtout les personnes qui vivent en proximité immédiate et qui ont des contacts personnels importants (p. ex., les campus universitaires, les camps d'été, les équipes sportives)Note de bas de page 35Note de bas de page 36Note de bas de page 37Note de bas de page 38. Une épidémie de grande ampleur s'est produite dans le nord-ouest de l'Arkansas en 2016-2017, comprenant près de 3000 cas et représentant 41 % des cas signalés aux États-Unis en 2016Note de bas de page 39. Sur 2917 patients, 2014 (69 %) avaient leur vaccination contre les oreillons à jour. Environ 92 % des enfants touchés âgés de 5 à 17 ans avaient également leur immunisation contre les oreillons à jourNote de bas de page 39. De nombreux patients touchés par les épidémies d'oreillons aux États-Unis, en Europe et en Australie sont de jeunes adultes et des adolescents, âgés de 18 à 35 ans, qui avaient reçu deux doses du vaccin contre le virus des oreillonsNote de bas de page 33Note de bas de page 37Note de bas de page 40Note de bas de page 41Note de bas de page 42Note de bas de page 43. Cela semble être causé en partie à l'affaiblissement de l'immunité conférée par le vaccin contre les oreillonsNote de bas de page 10Note de bas de page 41. Le risque et la gravité des complications avec le virus des oreillons augmentent avec l'âge, mais les complications sont moins susceptibles de se produire chez les personnes vaccinéesNote de bas de page 10Note de bas de page 42. Les personnes qui vivent en proximité immédiate et ont un contact personnel étroit avec des personnes infectées sont à risque élevé d'infectionNote de bas de page 35Note de bas de page 36Note de bas de page 37Note de bas de page 38.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels

HumainsNote de bas de page 5.

Autres hôtes

Des primates non humains, des souris et des hamsters ont été infectés expérimentalementNote de bas de page 44Note de bas de page 45Note de bas de page 46Note de bas de page 47.

Dose infectieuse

Inconnue.

Période d'incubation

La période d'incubation pour le virus des oreillons est habituellement de 16 à 18 jours, mais elle peut varier de 12 à 25 jours après l'expositionNote de bas de page 4Note de bas de page 48. L'excrétion du virus semble relativement faible 5 jours après le début de la parotiditeNote de bas de page 49.

Transmissibilité

La transmission entre humains se produit par contact direct avec les sécrétions des personnes infectées, l'inhalation d'aérosols infectieux et de fomites contaminésNote de bas de page 3Note de bas de page 4. Le mode de transmission préféré est le contact direct avec la salive ou les gouttelettes respiratoiresNote de bas de page 50. Les personnes infectées sont contagieuses de 48 heures avant à 9 jours après l'apparition de la parotiditeNote de bas de page 3Note de bas de page 15Note de bas de page 51. Le nombre de reproduction de base estimé (R0) du virus des oreillons, qui représente le nombre de cas secondaires générés par un cas primaire dans une population autrement vulnérable, est de 10 à 12Note de bas de page 52.

Section III – Dissémination

Réservoir

HumainsNote de bas de page 5.

Zoonose

Aucune.

Vecteurs

Aucun.

Section IV – Viabilité et stabilité

Sensibilité/résistance aux médicaments

Aucun antiviral n'est actuellement disponible pour traiter l'infection causée par le virus des oreillons. La ribavirine a montré une activité virostatique in vitroNote de bas de page 53.

Sensibilité aux désinfectants

Le virus des oreillons est sensible à l'hypochlorite de sodium (NaOCl) à 1 %, au dioxyde de chlore (ClO2) à une concentration de 1,0 mg/L pendant 30 minutes, à l'éthanol à 70 % et au glutaraldéhydeNote de bas de page 54Note de bas de page 55.

Inactivation physique

Le virus des oreillons est inactivé par traitement à chaleur humide par autoclave (121 °C pendant 30 minutes)Note de bas de page 55. On a signalé un taux de désinfection estimé de 97 % par exposition aux UV à une dose moyenne de 45 J/m2 (durée non précisée)Note de bas de page 55.

Survie à l'extérieur de l'hôte

Le virus des oreillons a tendance à rester infectieux pendant plusieurs heures dans l'environnement externe, mais peut persister pendant des jours en fonction des conditions environnementales telles que la température et l'humiditéNote de bas de page 56. Le virus des oreillons est demeuré stable à 4 °C pendant des jours, bien que les conditions environnementales n'aient pas été préciséesNote de bas de page 15.

Section V – Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance

Les patients soupçonnés d'infection devraient être suivisNote de bas de page 4. Le diagnostic repose sur les antécédents d'exposition et les symptômes cliniques tels que l'enflure parotidienne/la sensibilitéNote de bas de page 4. Le virus des oreillons peut être détecté dans des échantillons cliniques, comme la salive ou le liquide céphalorachidien, à l'aide de l'isolement viral et de la transcriptase inverse suivie de la réaction en chaîne de la polymérase (RT PCR)Note de bas de page 3Note de bas de page 57Note de bas de page 58.

Remarque : Les recommandations spécifiques pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi qu'une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Premiers soins et traitement

Le traitement est de soutien et peut inclure le repos, l'apport accru de liquide, les analgésiques et les antipyrétiques (p. ex. aspirine, acétaminophène) pour réduire la douleur, l'inflammation et la fièvreNote de bas de page 3Note de bas de page 4Note de bas de page 59.

Remarque : Les recommandations spécifiques concernant les premiers soins et les traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention après exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention après l'exposition sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Immunisation

Au Canada, le vaccin contre les oreillons est offert en combinaison avec les vaccins contre la rougeole et la rubéole (RRO) ou contre la rougeole, la rubéole et la varicelle (RROV). Un régime à deux doses est recommandé pour les enfants à l'âge de 12 à 15 mois et à 4 à 6 ansNote de bas de page 4. Plus de 120 pays incluent le vaccin contre les oreillons dans leur programme national de vaccinationNote de bas de page 60. Les facteurs qui peuvent influencer les recommandations de vaccination comprennent la grossesse, être immunodéprimé et être né avant 1970Note de bas de page 61.

Remarque : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité et en consultant le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie

Une troisième dose de vaccin contre les oreillons est recommandée par certains instituts nationaux de santé publique, dont le Centres pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis (CDC), pour les personnes qui sont plus à risque de contracter des oreillons en raison d'une épidémie en cours, celles nées après 1970, ou celles qui se rendent dans des zones sensiblesNote de bas de page 42Note de bas de page 61Note de bas de page 62.

Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité.

Section VI – Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées en laboratoire

Seules quelques infections acquises en laboratoire associées au virus des oreillons ont été signaléesNote de bas de page 63Note de bas de page 64. Cependant, aucune information sur la cause première ou la voie d'exposition n'est disponible.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité et le Guide canadien sur la biosécurité pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d'exposition.

Sources et échantillons

Le virus des oreillons se retrouve dans la salive, le liquide céphalorachidien, l'urine, le sang et les écouvillons de gorgeNote de bas de page 3Note de bas de page 16Note de bas de page 65.

Dangers primaires

L'inhalation de matières infectieuses en aérosol et le contact direct avec les sécrétions des personnes infectées sont les principaux dangers associés à l'exposition au virus des oreillonsNote de bas de page 66.

Dangers particuliers

Aucun.

Section VII – Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque

Le virus des oreillons est un pathogène humain du groupe de risque 2 et un pathogène animal du groupe de risque 1Note de bas de page 67Note de bas de page 68.

Exigences de confinement

Les installations, l'équipement et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 2 tels que décrits dans la Norme canadienne sur la biosécurité pour le travail avec des matières, des animaux ou des cultures infectieux ou possiblement infectieux.

Vêtements de protection

Les exigences applicables au niveau de confinement 2 pour l'équipement et les vêtements de protection individuelle décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité doivent être respectées. L'équipement de protection individuelle peut inclure l'utilisation d'un sarrau de laboratoire et de chaussures spécialisées (par exemple, des bottes, des chaussures) ou de chaussures de protection supplémentaires (par exemple, des couvre-bottes ou des couvre-chaussures) lorsque les sols peuvent être contaminés (par exemple, les box, les salles de nécropsie), des gants lorsque le contact direct de la peau avec des matériaux ou des animaux infectés est inévitable, et une protection oculaire lorsqu'il existe un risque connu ou potentiel d'exposition à des éclaboussures.

Remarque : Une évaluation locale des risques permettra de déterminer la protection appropriée pour les mains, les pieds, la tête, le corps, les yeux, le visage et les voies respiratoires. De plus, les exigences relatives à l'équipement de protection individuelle pour la zone de confinement et les activités de travail doivent être documentées.

Autres précautions

La transmissibilité par aérosol justifie l'utilisation d'une ESB ou d'autres dispositifs de confinement primaire pour les activités avec un récipient ouvert; la centrifugation doit être effectuée dans des coupes de sécurité scellées ou des rotors qui sont déchargés à l'aide d'un mécanisme qui empêche leur libération. Une protection respiratoire doit être envisagée lorsqu'il n'est pas possible d'utiliser une ESB ou d'autres dispositifs de confinement primaire; un flux d'air vers l'intérieur est nécessaire pour les travaux impliquant des animaux de grande taille ou des activités à grande échelle.

Utilisation d'aiguilles et de seringues strictement limitée. Le pliage, le cisaillement, le rebouchage ou l'élimination d'aiguilles de seringues est à éviter, et, si nécessaire, à effectuer uniquement comme spécifié dans les procédures d'opération normalisées (PON). Des précautions supplémentaires sont requises pour les travaux comprenant des animaux ou des activités à grande échelle.

Renseignements supplémentaires

Pour les laboratoires de diagnostic qui manipulent des échantillons primaires provenant de patients susceptibles d'être infectés par le virus des oreillons, les ressources suivantes peuvent être consultées :

Section VIII – Manutention et entreposage

Déversements

Laisser les aérosols se déposer. Tout en portant de l'équipement de protection individuelle, couvrir doucement le déversement avec du papier absorbant et appliquer un désinfectant approprié, à partir du périmètre et en allant vers le centre. Permettre un contact suffisant avec le désinfectant avant le nettoyage (Guide canadien sur la biosécurité).

Élimination

Toutes les matières ou substances qui sont en contact avec les matières réglementées doivent être entièrement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement ou des procédures d'opérations normalisées (PON) doivent être en place afin de déplacer ou de transporter les déchets en toute sécurité hors de la zone de confinement vers une zone de décontamination désignée ou une tierce partie. On peut y parvenir en utilisant des technologies et des procédés de décontamination qui se sont avérés efficaces contre les matières réglementées, comme les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuse (Guide canadien sur la biosécurité).

Entreposage

Les exigences applicables en matière de confinement de niveau 2 pour l'entreposage, décrites dans la Norme canadienne sur la biosécurité, doivent être respectées. Les contenants primaires de matières réglementées enlevés de la zone de confinement doivent être étiquetés, étanches aux fuites, résistants aux impacts et gardés soit dans des équipements d'entreposage verrouillés, soit dans une zone à accès limité.

Section IX – Renseignements sur la réglementation et autres

Renseignements sur la réglementation canadienne

Les activités contrôlées avec le virus des oreillons nécessitent un permis d'agent pathogène et de toxine délivré par l'Agence de la santé publique du Canada.

Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

Dernière mise à jour

Février 2024

Rédigé par

Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.

Mise en garde

L'information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements.

Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les lignes directrices et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.

Tous droits réservés© Agence de la santé publique du Canada, 2024, Canada

Références

Note de bas de page 1

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Note de bas de page 34

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Note de bas de page 61

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Note de bas de page 62

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Note de bas de page 68

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