Résumé des résultats de la COP28
Dans le cadre de la 28e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP28), le Canada et près de 200 autres pays ont conclu un accord historique sur le bilan mondial, qui appelle à travailler à l’atteinte d’objectifs sans précédent visant à tripler les capacités d’énergie renouvelable et à doubler l’efficacité énergétique, et pour la toute première fois, nous avons obtenu un consensus historique pour nous éloigner des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques. De plus, le Canada s’est battu avec acharnement pour éviter que le monde ne recule en ce qui concerne l’élimination progressive des subventions inefficaces aux combustibles fossiles et la réduction progressive de la production d’électricité à partir du charbon sans mesures d’atténuation, qui demeurent les principales sources d’émissions de dioxyde de carbone au monde.
Le Canada, avec une contribution de 16 millions de dollars, a été l’un des premiers contributeurs au fonds pour les pertes et préjudices qui a été adopté au premier jour de la COP28, mais qui a fait l’objet d’intenses négociations tout au long de la dernière année. De plus, le Canada continue d’insister sur l’importance de prendre des engagements plus vastes à l’égard du financement de la lutte contre les changements climatiques, afin de soutenir les efforts mondiaux d’atténuation et d’adaptation.
La COP28 a été la première Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à consacrer une journée à la santé, lors de laquelle, d’ailleurs, les dirigeants mondiaux ont approuvé la déclaration sur le climat et la santé. Le Canada se joint ainsi à ses partenaires internationaux pour souligner les risques que les changements climatiques posent pour la santé humaine et s’engage à jouer un rôle actif dans les efforts mondiaux visant à s’attaquer à ce problème.
Le Canada s’est tout aussi fermement appliqué à souligner l’importance de protéger la nature pour lutter contre la crise climatique. Un an après la tenue de la COP15 en sol canadien, le Canada et des pays partenaires ont réussi à faire reconnaître à la COP28 que les mesures relatives au climat et à la biodiversité poursuivent des objectifs qui se renforcent mutuellement dans le texte adopté.
Un résumé complet de la participation canadienne aux nombreux événements de la COP28 est accessible ici : faits marquants quotidiens.
Plus de 67 millions de dollars pour aider les pays en développement à lutter contre les changements climatiques
À la COP28, le Canada a annoncé qu’il soutiendra les pays en développement dans leurs efforts pour atténuer les changements climatiques et s’y adapter. La plupart de ces sommes sont financées par l’engagement du Canada d’injecter 5,3 milliards de dollars dans le financement international de la lutte contre les changements climatiques. Le Canada a annoncé plusieurs initiatives d’une valeur de plus de 67 millions de dollars, notamment les suivantes.
Pertes et dommages
- Une contribution de 16 millions de dollars au fonds annoncé à la COP28, octroyant ainsi un financement initial qui met à profit les efforts du Canada de financer les pertes et dommages dans les pays vulnérables aux changements climatiques.
- Un investissement de 750 000 dollars dans le centre d’excellence du Bouclier mondial sur les solutions fondées sur l’égalité des genres, pour aider les pays en développement à accéder à du financement pour se remettre des catastrophes naturelles ou des chocs climatiques et renforcer les approches fondées sur l’égalité des genres dans le secteur du financement et de l’assurance des risques liés au climat et aux catastrophes.
Adaptation
- Un investissement de 34,2 millions de dollars dans le Fonds spécial pour les changements climatiques, qui répond aux besoins d’adaptation des petits États insulaires en développement et qui stimule le transfert de technologies, l’innovation et la mobilisation du secteur privé dans le domaine de l’adaptation.
- Une contribution de 5 millions de dollars à l’Initiative pour l’adaptation efficace et la résilience à long terme des pays les moins avancés, afin d’aider certains pays les moins avancés à se placer sur la voie d’un développement fondé sur la résilience aux changements climatiques.
- Une somme de 5 millions de dollars pour accroître la résilience aux changements climatiques et aider la biodiversité dans les marais de Mésopotamie, un site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, afin de renforcer la résilience à la détérioration de cette région extrêmement vulnérable et sèche. En apportant une aide financière aux femmes qui cultivent le savoir traditionnel, ce projet permettra de renforcer la résilience des communautés et de rendre les modes de vie plus durables.
Atténuation
- Un investissement de 2,2 millions de dollars dans des projets bilatéraux pour soutenir la réduction progressive des HFC en Colombie, à Haïti, au Mexique, au Pérou et au Sénégal, afin d’appuyer la mise en œuvre de l’Amendement de Kigali au Protocole de Montréal, dont la mise en œuvre se fera en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement.
Gouvernance climatique et développement des capacités
- Une somme de 3 millions de dollars pour le partenariat sur les contributions déterminées à l’échelle nationale, visant à soutenir l’égalité entre les genres dans la planification et la mise en œuvre des contributions déterminées à l’échelle nationale dans les pays en développement.
- Des contributions supplémentaires de 250 000 dollars au Réseau d’accès au financement climatique. Cet investissement s’ajoute à la précédente contribution du Canada de 5 millions de dollars visant à renforcer les capacités techniques nationales dans la région des Caraïbes, en aidant à structurer les demandes d’accès à des fonds du financement international de la lutte contre les changements climatiques.
Renversement de l’appauvrissement de la biodiversité
- Une allocation de 440 000 dollars provenant de l’initiative du Patrimoine naturel bonifié à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour le rapport sur les perspectives de l’environnement, pour soutenir l’élaboration de recommandations et de pratiques exemplaires pour s’attaquer non seulement à l’appauvrissement de la biodiversité, mais également aux changements climatiques et à la pollution.
- Une affectation de 450 000 dollars en 2023-2024 pour soutenir le secrétariat du Partenariat des dirigeants pour les forêts et le climat, qui travaille à accélérer les progrès mondiaux visant à remédier à la perte de forêts et à la dégradation des terres d’ici 2030.
De nouveaux partenariats et initiatives
Le Canada s’est engagé dans plusieurs initiatives et partenariats stratégiques pour faire progresser l’action climatique. En voici quelques exemples.
Initiatives dirigées par la présidence de la COP28
Le Canada a appuyé les huit déclarations de la présidence de la COP28, qui portaient sur des questions importantes comme le climat et la santé, l’agriculture, l’efficacité énergétique et l’énergie renouvelable, ainsi que de nombreuses autres mesures importantes. Découvrez-en plus sur chacune de ces déclarations :
- Coalition for High Ambition Multilevel Partnerships (CHAMP) for Climate Action (coalition pour des partenariats multiniveaux à haute ambition) [en anglais seulement]
- COP28 Emirates Declaration on Sustainable Agriculture, Resilient Food Systems and Climate Action (déclaration des Émirats sur l’agriculture durable, les systèmes alimentaires résilients et l’action climatique) [en anglais seulement]
- COP28 Global Renewables and Energy Efficiency Pledge (engagement mondial en faveur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique) [en anglais seulement]
- COP28 Declaration on Climate, Relief, Recovery and Peace (déclaration relative au climat, à l’aide d’urgence, au rétablissement et à la paix) [en anglais seulement]
- COP28 Declaration on Climate and Health (déclaration sur le climat et la santé) [en anglais seulement]
- COP28 Gender-Responsive Just Transitions and Climate Action Partnership (partenariat pour des transitions justes et une action climatique sensibles aux genres) [en anglais seulement]
- Global Cooling Pledge for COP28 (engagement mondial pour l’accès au froid) [en anglais seulement]
- COP28 Declaration of Intent on Mutual Recognition of Certification Schemes for Renewables and Low-carbon Hydrogen and Derivatives (déclaration d’intention sur la reconnaissance mutuelle des systèmes de certification pour l’hydrogène et les dérivés d’hydrogène renouvelables et à faibles émissions de carbone) [en anglais seulement]
Collaboration et soutien mondial pour réduire les émissions du secteur pétrolier et gazier, et réduction du méthane
- Le Canada et les États-Unis ont publié une déclaration dans laquelle ils réitèrent leur volonté de hausser leur ambition à l’égard du climat et de la nature, en reconnaissant leurs intérêts communs à créer une économie nord-américaine carboneutre concurrentielle à l’échelle mondiale. Les deux pays travaillent ensemble à bonifier les politiques harmonisées de lutte contre les changements climatiques, tout en stimulant la croissance économique, particulièrement dans des secteurs intégrés. L’annonce de projets de règlements dans les deux pays pour réduire de façon considérable les polluants nocifs provenant du méthane du secteur du pétrole et du gaz naturel s’inscrit notamment dans cette optique. Le Canada, aux côtés des Pays-Bas, d’Antigua-et-Barbuda, de l’Autriche, de la Belgique, du Costa Rica, du Danemark, de la Finlande, de la France, de l’Irlande, du Luxembourg et de l’Espagne, a publié une déclaration commune pour l’élimination progressive des subventions aux combustibles fossiles. Menée par les Pays-Bas, cette initiative répond bien aux priorités du Canada, qui a été le premier pays du G20 à procéder à l’élimination progressive des subventions inefficaces dans le secteur des combustibles fossiles avant l’échéance de 2025.
- Le Canada, de même que d’autres pays membres du Forum des producteurs carboneutres (les États-Unis, la Norvège, l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis), ont annoncé le lancement de la boîte à outils pour la réduction des émissions de méthane en amont. Cette boîte à outils fournit de l’information sur les mesures prises à ce jour et les leçons tirées lors de la mise en œuvre de technologies de réduction du méthane. Elle vise à mettre en lumière les politiques, les ressources et les initiatives de réduction du méthane actuelles et prévues dans les pays membres. La boîte à outils permettra aux membres du Forum et aux autres parties intéressées d’apprendre de nos expériences en matière de réduction du méthane.
Nature et biodiversité
- Le Canada, aux côtés de 35 autres pays, s’est joint au Défi de l’eau douce de la Fédération mondiale de la faune. Cette initiative, lancée lors de la Conférence des Nations Unies sur l’eau de 2023, est à ce jour l’initiative de rétablissement des écosystèmes d’eau douce la plus ambitieuse au monde, qui vise à remettre en état plus de 300 000 kilomètres de rivières et 350 millions d’hectares de milieux humides d’ici 2030, soit environ 30 p. 100 des écosystèmes d’eau douce dégradés de la planète.
- Le Canada a signé la Déclaration conjointe sur l’action pour les océans et le climat, nous engageant ainsi à atteindre l’objectif de gérer durablement la totalité des eaux placées sous l’autorité du Canada et de préserver la santé et la résilience à long terme de l’océan.
- À titre de membre de l’Initiative internationale pour les récifs coralliens et de donateur au Fonds mondial pour les récifs coralliens, le Canada a participé au lancement du Coral Reef Breakthrough (la « percée » pour les récifs coralliens), qui vise à assurer l’avenir d’au moins 125 000 kilomètres carrés de récifs coralliens tropicaux en eaux peu profondes grâce à des investissements d’au moins 12 milliards de dollars américains, dans le but de renforcer la résilience de plus d’un demi-milliard de personnes à l’échelle mondiale d’ici 2030.
- Dans le cadre du Partenariat des dirigeants pour les forêts et le climat, le Canada a annoncé qu’il offrirait du soutien au secrétariat du partenariat, qui travaille à accélérer les progrès mondiaux visant à remédier à la perte de forêts et à la dégradation des terres d’ici 2030. Dans le cadre de ce partenariat, le Canada codirige, avec le Kenya et la France, une coalition sur l’utilisation de bois récolté de façon durable pour écologiser le secteur de la construction. La coalition a annoncé un engagement visant à faire avancer les politiques et les approches qui soutiennent un secteur de la construction à faibles émissions de carbone et qui accroissent l’utilisation de bois issu de forêts aménagées de façon durable dans l’environnement bâti. Le Canada collabore également avec la République du Ghana afin de lancer, dans le cadre du plan « Ghana résilient », le programme d’investissement du pays pour les forêts, la nature et le climat, qui repose sur des solutions fondées sur les forêts et la nature, tel qu’annoncé par le président Akufo-Addo.
- Le Canada a aussi annoncé son adhésion à l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT). En y adhérant, le Canada témoigne une fois de plus de sa volonté indéfectible de faire cesser et d’inverser la déforestation d’ici 2030, conformément à la déclaration des dirigeants de Glasgow sur les forêts et l’utilisation des terres. Cette adhésion survient au moment où, plus que jamais, nous avons besoin des forêts pour réguler le climat planétaire et atteindre nos objectifs de biodiversité.
- Afin de renforcer notre engagement en matière de santé des sols, tant au Canada, par l’intermédiaire de l’Observatoire canadien de la biodiversité des sols, que dans le cadre de nos travaux d’aide au développement international portant sur l’action climatique, la biodiversité des sols et la lutte contre la dégradation des terres, le Canada s’est joint à la Coalition of Action for Soil Health. En tant que membre de la coalition, le Canada pourra démontrer le leadership du secteur dans ce domaine et aider à promouvoir davantage l’importance de la santé des sols pour l’action climatique, l’agriculture durable et la réduction de la pauvreté.
Collaboration internationale dans le secteur des transports
- Le Canada a signé un protocole d’entente pour poursuivre l’établissement d’un corridor maritime vert entre la côte Ouest du Canada et des ports des Émirats arabes unis, de la Corée et du Japon. Cet accord s’appuie sur les mesures importantes prises par le Canada au cours des dernières années, comme le Cadre canadien sur les corridors maritimes verts qui a été lancé à la COP27 et qui sert à guider l’industrie et les organisations canadiennes dans la création de corridors maritimes verts, de même que la récente annonce du Programme de corridors maritimes verts, qui établira des corridors maritimes verts et aidera à décarboniser le secteur maritime dans les principales zones de navigation le long des Grands Lacs, de la Voie maritime du Saint-Laurent, et des côtes Est et Ouest du Canada.
- Le Canada a également contribué au lancement de la Global ZEV Transition Roadmap (feuille de route pour la transition mondiale vers des véhicules zéro émission [VZE]), un outil qui vise à orienter les mesures collectives qui doivent être prises pour accélérer la transition vers les VZE dans les marchés émergents et les économies en développement, en faisant en sorte que ce type de véhicule soit plus abordable, plus accessible et plus attractif que les véhicules qui consomment des combustibles fossiles.
Collaboration et soutien mondial pour la décarbonisation des industries
- De concert avec les États-Unis, le Canada a annoncé la création d’un groupe de travail sur la décarbonisation du secteur ferroviaire afin de définir une vision commune de la réduction des émissions dans le secteur du transport ferroviaire. Cet effort concerté reflète la nécessité de travailler ensemble pour lutter contre les changements climatiques et décarboniser nos réseaux ferroviaires intégrés, en plus d’être un élément essentiel des efforts que nous déployons à l’échelle mondiale pour réduire les émissions et atteindre les objectifs de l’Accord de Paris.
- Le Canada et les Émirats arabes unis ont lancé l’initiative Breakthrough sur le ciment et le béton. Cette initiative réaffirme la détermination du Canada à travailler avec d’autres pays, ainsi qu’avec des entreprises et des organismes internationaux pour accélérer les investissements dans les technologies, les outils et les politiques dont l’industrie du ciment et du béton a besoin pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. L’initiative Breakthrough permettra aux pays participants, aux partenaires internationaux et à l’industrie mondiale du ciment et du béton d’amorcer une transition qui fera du ciment propre le choix par excellence sur les marchés mondiaux.
- Le gouvernement du Canada a adhéré au Green Public Procurement pledge (l’engagement pour des achats publics écologiques) de l’Industrial Deep Decarbonization Initiative (IDDI) pour promouvoir les achats d’acier, de ciment et de béton à faibles émissions dans les projets publics de construction. Déjà chef de file de l’approvisionnement écologique grâce à sa Stratégie pour un gouvernement vert, le Canada se joint donc maintenant à l’Allemagne, aux États-Unis et au Royaume-Uni pour souscrire à l’engagement de l’IDDI, ce qui fournit une réponse à la demande du marché mondial et démontre une volonté de collaborer à l’harmonisation des normes de comptabilisation des émissions pour l’acier, le ciment et le béton.
Collaboration et action mondiale pour des solutions d’énergie propre et l’atteinte de la carboneutralité
- Les cinq de Sapporo – soit le Canada, les États-Unis, la France, le Japon et le Royaume-Uni – ont signé une déclaration qui vise à faire progresser davantage les efforts déployés pour sécuriser la chaîne mondiale d’approvisionnement en combustible nucléaire et ainsi s’affranchir de la dépendance à l’égard de pays peu fiables. En adhérant à cette déclaration, le Canada souligne l’importance de disposer de chaînes d’approvisionnement résilientes en combustible nucléaire pour produire des technologies nucléaires sûres et sécuritaires et de faire appel à l’énergie nucléaire en général dans la transition vers la carboneutralité.
- Le Canada a aussi signé une déclaration multilatérale qui vise à tripler la capacité de production d’énergie nucléaire à l’échelle mondiale d’ici 2050. En adhérant à cette déclaration, le Canada souligne l’importance de l’énergie nucléaire dans la transition vers la carboneutralité.
- Le gouvernement du Canada, l’Australie, la Commission européenne et les États-Unis ont lancé ensemble la Supercharging Battery Storage Initiative de la Conférence ministérielle sur l’énergie propre pour stimuler le déploiement des systèmes de stockage sur batterie à l’échelle mondiale. Parrainée par le secrétaire général des Nations Unies, cette initiative met en évidence l’importance cruciale du stockage fixe sur batterie pour l’intégration des énergies renouvelables dans le réseau électrique et pour la transition vers l’énergie propre.
Réunions bilatérales et dialogues ministériels
Au cours de la COP28, le ministre Guilbeault a tenu des réunions bilatérales avec divers ministres et partenaires, notamment les suivants :
- des ministres des Émirats arabes unis, des États-Unis, du Brésil, de la Corée, de l’Allemagne, de Saint-Kitts-et-Nevis, de la Chine, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, de l’Espagne, du Danemark, de l’Italie et du Vietnam;
- des partenaires des Nations Unies, dont Mark Carney et Selwin Hart; de l’Organisation de coopération et de développement économiques, dont Mathias Cormann; de l’Alliance des petits États insulaires; du California Air Resources Board; ainsi que du Comité intergouvernemental de négociation pour discuter des efforts en cours pour mettre en place un accord international juridiquement contraignant visant à mettre fin à la pollution plastique;
- des délégués des organisations nationales autochtones, des jeunes et des parlementaires;
- des chefs de file de la société civile, y compris des dirigeants d’organisations environnementales non gouvernementales de partout dans le monde et du Canada;
- ses homologues provinciaux de l’Alberta, de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et du Québec.
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