Réunion conjointe de Groupe de travail canadien sur la douleur et du groupe consultatif externe : 1 et 2 mai 2019
Édifice Diefenbaker, 111, promenade Sussex, salle de la bibliothèque, Ottawa, Ontario
Compte rendu de la réunion
Objectifs de la réunion
- Discuter avec des membres des ministères fédéraux des rôles, des intérêts et des possibilités du gouvernement fédéral dans le domaine de la douleur chronique.
- Confirmer les grandes lignes et obtenir des commentaires sur les questions clés, les messages et le contenu à aborder dans le premier rapport sur l’état de la douleur chronique au Canada.
- Entreprendre la planification afin de faire mobiliser d’autres intervenants externes et des gouvernements provinciaux et territoriaux pour éclairer le travail du Groupe de travail.
Jour 1 – Mobiliser les ministères et discuter des grandes lignes du rapport
Mot d’ouverture
Eric Costen, sous-ministre adjoint délégué, Direction générale des substances contrôlées et du cannabis (DGSCC), prononce l’allocution d’ouverture et souhaite la bienvenue aux participants. Il souligne le rôle important que jouent les organismes consultatifs externes pour aider les gouvernements à résoudre des problèmes stratégiques complexes et délicats, ainsi que l’importance d’atteindre un consensus entre une diversité de points de vue afin de mettre en place des mesures vigoureuses. Il met les participants au défi de réfléchir à la forme que prendra la réussite.
La Dre Fiona Campbell et Maria Hudspith, coprésidentes du Groupe de travail canadien sur la douleur, donnent un aperçu des raisons de la création du Groupe de travail et de son mandat, de la diversité des points de vue représentés au sein du Comité consultatif externe, de l’importance de mobiliser des intervenants autres que les membres du Groupe de travail et du Groupe d’experts pour cet important travail. Elles présentent les objectifs et les règles de base de la réunion.
Tour de table – présentations et attentes
Les membres du Groupe de travail et du Comité se présentent et précisent leur point de vue et leurs attentes à l’égard du travail conjoint du Groupe de travail. Les membres soulignent l’importance des approches interdisciplinaires en matière de traitement, y compris l’écoute des personnes vivant avec la douleur, et le rôle que joueront la recherche et la formation continues. Leurs attentes tournent autour de la sensibilisation et du respect, de la validation de l’expérience des personnes vivant avec la douleur et, ultimement, de l’amélioration de l’accès à la prévention et à la prise en charge de la douleur.
Table ronde avec les ministères fédéraux
Les membres du Groupe de travail et du Comité participent à une table ronde avec des représentants de plusieurs ministères gouvernementaux pour discuter des rôles, des intérêts et des possibilités concernant la douleur chronique et le mandat du Groupe de travail. Voici un résumé des interventions de différents représentants du gouvernement :
- Équipe d’intervention en matière d’opioïdes, Santé Canada – Jennifer Novak, directrice executive de l’Équipe d’intervention en matière d’opioïdes, discute de la crise des surdoses de médicaments, des récentes mesures du gouvernement fédéral concernant la crise, de la place de la douleur chronique dans ces discussions et des prochaines étapes pour le Ministère.
- Direction générale des produits de santé et des aliments, Santé Canada – La Dre Supriya Sharma, médecin en chef de la Direction générale des produits de santé et des aliments, discute du rôle de sa Direction générale dans l’approbation et la surveillance des essais cliniques, l’approbation de l’utilisation des produits de santé et la mise en place d’importantes fonctions de surveillance. Elle souligne les récents changements apportés à l’étiquetage et à la communication des risques des opioïdes, à la commercialisation et à la publicité des opioïdes, ainsi qu’à la classification de certains produits opiacés.
- Agence de la santé publique du Canada – Stephanie Priest, directrice executive de la Division de la santé mentale et du bien-être, donne un aperçu des fonctions et des activités de santé publique, en mettant l’accent sur la prévention des maladies et des blessures, la promotion d’une bonne santé physique et mentale et la diffusion d’information facilitant une prise de décisions éclairées.
- Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) – Le DrKarim Khan, directeur scientifique de l’Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite, discute du rôle des IRSC, de leur modèle unique de recherche en santé et de leurs investissements relatifs à la douleur chronique.
- Services aux Autochtones Canada – La DrePatricia Wiebe, conseillère médicale principale au bureau du Médecin en chef de la santé publique, présente la restructuration de la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits et de Services aux Autochtones Canada ainsi que les changements visant à mieux appuyer l’action communautaire sur les déterminants sociaux de la santé et les approches autodéterminées.
- Anciens Combattants Canada – Nathan Svenson, directeur de la recherche, et la DreAlexandra Heber, chef de la psychiatrie, parlent de la prévalence des maladies chroniques dans les populations d’anciens combattants et du financement récemment annoncé pour créer un Centre d’excellence en recherche sur la douleur chronique.
- Service correctionnel du Canada – Harold Boudreau, directeur responsable de la pharmacie, de la technologie de la santé et des services de santé, parle brièvement de la gestion de la douleur dans le système correctionnel fédéral et des défis associés à la stigmatisation.
- Statistique Canada – Anie Marcil, chef de section, discute des statistiques récentes sur la douleur chronique au Canada et des renseignements recueillis dans le cadre de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.
- Emploi et Développement social Canada – Joëlle Bastien, analyste principale des politiques, Secrétariat des politiques sur les aînés et les pensions, réitère les engagements du gouvernement envers les aînés, les familles et les aidants naturels, la pauvreté et l’itinérance ainsi que l’accessibilité, et mentionne les activités globales qui pourraient être pertinentes.
Discussion sur le rapport du Groupe de travail et exposé narratif de haut niveau
Andrew Taylor présente l’ébauche initiale et l’approche du premier rapport du Groupe de travail, et une table ronde générale avec tous les membres suit. Les membres soulignent que le rapport devrait pouvoir nous guider dans la création de prochaines étapes tangibles pour la phase II des activités du Groupe de travail et constatent qu’il est nécessaire d’harmoniser la planification des communications et de la mobilisation. Les discussions portent en outre sur ce qui suit :
- Mobilisation des personnes qui ressentent et sont aux prises avec de la douleur.
- La douleur chronique en tant que priorité de santé publique commune et influente et en tant que maladie à part entière.
- Impacts économiques de la douleur chronique et économies potentielles.
- Difficultés associées au diagnostic de la douleur.
- Défis associés à la prestation de soins et de services de jumelage et à l’intensité des ressources en fonction de la complexité et des besoins.
- Lacunes dans l’application des données probantes et des connaissances liées à la consommation d’opioïdes, aux troubles concomitants de toxicomanie et aux décès par surdose.
Travail en petits groupes sur les sujets prioritaires du rapport du Groupe de travail
Les membres du Groupe de travail et du Groupe consultatif externe (GCE) se sont répartis en petits groupes en fonction des principales sections et questions du rapport. Grâce à diverses activités animées, chaque groupe discute des messages clés, du contenu, des considérations et de la documentation sur le sujet qui lui a été assigné. Après la discussion initiale, chaque groupe change ensuite de section/question afin d’explorer de nouveaux sujets et de s’inspirer des travaux des groupes précédents. Voici une liste des principaux sujets de discussion :
Définir et expliquer la douleur, sa prévalence et ses répercussions, ainsi que les populations prioritaires
- Unifier le langage et le cadre de la douleur.
- Adopter une approche axée sur la durée de vie.
- Mettre l’accent sur les facteurs qui contribuent à la douleur.
- Reconnaître la réalité et l’expérience vécue de la douleur.
- Discuter des objectifs et des résultats qui sont significatifs pour les patients et les prestataires de soins.
Présenter les possibilités de prévention de la douleur et les options de prise en charge et de traitement
- Assurer une meilleure prévention et un meilleur traitement de la douleur aiguë pour empêcher la douleur de devenir chronique.
- Respecter le rôle que jouent les interventions sociales, psychologiques et physiques dans la prévention et la gestion de la douleur.
- Discuter des divers défis qui ont une incidence sur l’accessibilité et la disponibilité des services.
- Reconnaître l’importance d’une approche progressive et guidée des soins.
- Reconnaître et respecter les diverses formes de connaissances.
- Reconnaître la stigmatisation, le stress et les émotions associées à la douleur.
Comprendre la crise des surdoses de médicaments et la gestion de la douleur
- Définir la gestion de la douleur comme un « problème pernicieux » (un problème complexe générant des opinions multiples et ayant diverses causes possibles, des dynamiques interreliées, des connaissances incomplètes ou contradictoires et des conséquences négatives graves pour la société s’il n’est pas traité correctement) qui exige la disponibilité à une variété d’outils et leur accès, dont les opioïdes.
- Discuter de la stigmatisation sous toutes ses formes et de la façon dont elle affecte la gestion de la douleur.
- Communiquer la prise de décision et la responsabilité de la gestion de la douleur entre les professionnels de la santé et les patients.
- Informer les professionnels de la santé des options existantes pour la gestion de la douleur.
- Reconnaître la réalité des personnes aux prises avec de la douleur et des professionnels de la santé qui les aident à gérer leur douleur.
- Explorer comment améliorer les connaissances sur l’usage des opioïdes.
Décrire les stratégies, les politiques et les mesures en cours de mise en œuvre
- Tirer des leçons à partir des réussites et des échecs des autres stratégies.
- Dresser le portrait de la situation et s’appuyer sur les forces et les mesures prises.
- Faire participer les principaux intervenants et les patients dès le début et de manière pertinente.
- Unifier les différentes approches relatives à la douleur partout au Canada.
Renforcer les activités d’éducation et de sensibilisation
- Sensibiliser le grand public à la douleur grâce aux mesures suivantes :
- Explorer les activités d’éducation sur la douleur et tirer parti des outils existants.
- Aborder les mythes courants.
- Améliorer les connaissances des professionnels de la santé sur la douleur grâce aux mesures suivantes :
- Aborder la nécessité de réduire la stigmatisation, la discrimination et d’autres facteurs négatifs ayant une incidence sur les soins et la compassion.
- Discuter des programmes et approches standard.
Mot de la fin
La Dre Fiona Campbell et Maria Hudspith, coprésidentes du Groupe de travail canadien sur la douleur, prononcent le mot de la fin et présentent leurs réflexions sur la discussion du jour 1. Elles remercient tous les membres pour leur participation et soulignent l’importante contribution de chacun.
Jour 2 – Discussion sur l’ébauche du rapport et planification d’une stratégie de mobilisation
Mot d’ouverture
La Dre Fiona Campbell et Maria Hudspith, coprésidentes du Groupe de travail canadien sur la douleur, rappellent les objectifs et les règles de base de la réunion.
Réexamen du contenu du rapport du Groupe de travail et du message
Andrew Taylor présente un résumé des discussions du Groupe de travail du jour 1 et lance une table ronde sur d’autres réflexions. Les membres soulignent la nécessité d’établir une distinction entre une vision générale de l’amélioration de la gestion de la douleur chronique et la formulation de commentaires sur l’état actuel de ce domaine. La discussion donne ensuite lieu à d’autres considérations :
- Établir la douleur en tant que maladie et reconnaître les facteurs contributifs.
- Noter les difficultés liées à la disponibilité et à l’accessibilité et discuter d’une approche progressive et adaptée aux soins.
- Reconnaître l’éventail d’utilisations des opioïdes, des pathologies concomitantes et des défis que posent les lignes directrices en matière de prescription.
- Explorer la valeur des approches générales et ciblées pour sensibiliser les gens à la douleur.
Identification des intervenants et planification de la stratégie de mobilisation
On présente aux membres du Groupe de travail et du Comité une première table ronde des groupes d’intervenants, puis on organise une table ronde de remue-méninges sur les groupes, la séquence et les stratégies de mobilisation afin d’éclairer les consultations plus officielles et la collecte de données.
Mot de la fin
La Dre Fiona Campbell et Maria Hudspith, coprésidentes du Groupe de travail canadien sur la douleur, prononcent le mot de la fin et remercient tous les membres pour leur participation. Andrea Currie, secrétaire du Groupe de travail canadien sur la douleur, présente les prochaines étapes, y compris l’élaboration d’un résumé de la réunion et d’un calendrier des événements. Le Groupe de travail et le Comité participeront en mai et en juin à l’élaboration et à l’examen du rapport de la phase 1 et se réuniront par téléconférence deux fois en juin pour aider à finaliser le contenu avant sa présentation. La prochaine réunion conjointe du Groupe de travail et du Comité aura lieu en septembre 2019; les membres discuteront alors de la mobilisation et de la planification de la collecte de données probantes.
Annexe A : Ordre du jour
1er et 2 mai 2019
Objectifs de la réunion
- Discuter avec les membres des ministères fédéraux des rôles, des intérêts et des possibilités du gouvernement fédéral dans le domaine de la douleur chronique;
- Confirmer les grandes lignes et obtenir des commentaires sur les questions clés, les messages et le contenu à aborder dans le premier rapport sur l’état de la douleur chronique au Canada;
- Entreprendre la planification pour mobiliser d’autres intervenants externes et des gouvernements provinciaux et territoriaux afin d’éclairer le travail du Groupe de travail.
Jour 1 – Réunion conjointe du Groupe de travail et du Groupe consultatif externe
8 h 30 à 9 h 1. Présentations
- Allocution d’ouverture prononcée par Eric Costen, sous-ministre adjoint délégué, Direction générale des substances contrôlées et du cannabis, Santé Canada.
- Contexte de la création du Groupe de travail canadien sur la douleur par les coprésidentes, principaux éléments d’enquête et examen de l’ordre du jour et des objectifs de la réunion.
9 h à 9 h 30 2. Présentations du GTCD et du Groupe consultatif externe en table ronde (coprésidentes du Groupe de travail
- Chaque membre se présente en discutant de la perspective unique qu’il apporte et de ses attentes à l’égard du travail collectif du Groupe de travail et du Comité.
9 h 30 à 10 h 15 3. Table ronde avec les ministères fédéraux (présidée par le Secrétariat)
- Les représentants des ministères décrivent les rôles, les intérêts et les possibilités en ce qui concerne la douleur chronique et le mandat du Groupe de travail.
(10 minutes par présentateur suivies d’une période de questions)
10 h 15 à 10 h 30 Pause
10 h 30 à 12 h 3. Table ronde avec les ministères fédéraux (suite) (présidée par le Secrétariat)
- Les représentants des ministères décrivent les rôles, les intérêts et les possibilités en ce qui concerne la douleur chronique et le mandat du Groupe de travail.
(10 min par présentateur suivi d’une période de questions)
12 h à 13 h Dîner à la cafétéria
13 h à 13 h 15 4. Présentation du premier rapport du Groupe de travail (présidée par le Secrétariat)
- Examiner les objectifs et l’ordre du jour pour le reste de la réunion conjointe;
- Le secrétariat du Groupe de travail présentera l’ébauche provisoire et l’approche aux fins d’examen et de commentaires.
13 h 15 à 14 h 5. Discussion sur l’ébauche du rapport du premier Groupe de travail (présidée par le Secrétariat)
- Les membres de Groupe de travail et du Comité discuteront de la structure et des objectifs généraux du rapport;
- Le groupe parviendra à un accord général sur les principaux titres des sections et les principaux éléments de l’enquête.
14 h à 15 h 6. Travail en petits groupes – Discussion sur le contenu du premier rapport du Groupe de travail (présidée par les coprésidentes et les animateurs)
- Les membres du Groupe de travail et du Comité seront répartis en petits groupes en fonction des principales sections et questions du rapport;
- Chaque groupe discutera des messages clés, du contenu, des considérations et de la documentation sur la section/question qui lui a été assignée (30 minutes);
- Chaque groupe changera ensuite de section/question afin d’examiner les travaux des groupes précédents et de s’en inspirer.
15 h à 15 h 15 Pause
15 h 15 à 16 h 15 6. Travail en petits groupes – Discussion sur le contenu du premier rapport du Groupe de travail (suite) (présidée par les coprésidentes et les animateurs)
- Chaque groupe discutera des messages clés, du contenu, des considérations et de la documentation sur la section/question qui lui a été assignée (30 minutes);
- Chaque groupe changera ensuite de section/question afin d’examiner les travaux des groupes précédents et de s’en inspirer.
16 h 15 à 16 h 30 7. Mot de la fin
Les coprésidentes du Groupe de travail feront part de leurs réflexions sur les discussions de la journée.
Jour 2 – Réunion conjointe du Groupe de travail et du Groupe consultatif externe
8 h 30 à 8 h 45 1. Présentations et mot de bienvenue (coprésidentes du Groupe de travail)
- Présentations et mot de bienvenue;
- Objectifs du jour 2.
8 h 45 à 10 h 2. Tour de table – Discussion sur le contenu du premier rapport du Groupe de travail (présidée par le Secrétariat)
- Le Secrétariat donnera un aperçu des principaux points soulevés dans le cadre du travail en petits groupes du jour 1;
- Les membres du Groupe de travail et du Comité continueront de réfléchir aux messages clés, au contenu, aux considérations et à la documentation du rapport dans son ensemble.
10 h à 10 h 30 Pause
10 h 30 à 11 h 30 3. Identification des intervenants et planification de la stratégie de mobilisation (présidée par Maria Hudspith)
- Les membres du Groupe de travail et du Comité commenceront un remue-méninges sur les principales questions, les groupes d’intervenants et les mécanismes de mobilisation qui aideront à éclairer la stratégie de mobilisation et de consultation de la phase 2.
11 h 30 à 12 h 4. Mot de la fin
- Le Secrétariat confirmera le sommaire des mesures de suivi;
- Les coprésidentes du Groupe de travail feront part de leurs réflexions sur les discussions de la journée.
12 h à 13 h Dîner à la cafétéria
Annexe B : Liste des participants
Groupe de travail canadien sur la douleur (Groupe de travail)
- Dre Fiona Campbell, coprésidente
- Maria Hudspith, coprésidente
- Melissa Anderson
- Dre Manon Choinière
- Dr Hani El-Gabalawy
- Jacques Laliberté
- Dr Jaris Swidrovich
- Linda Wilhelm
Groupe consultatif externe (Comité)
- Dr Norm Buckley
- Dre Christine Chambers
- Dr David Lussier
- Justina Marianayagam
- Dre Laura Murphy
- Dean Penney
- Dr John Pereira
- Dre Patricia Poulin
- Kathy Reid
- Michael Sangster
Absents du Comité
- Friederike Ballantyne
- Anshu Gupta
- Dre Jennifer Harris
- Dr Gilles Lavigne
- Pamela Schacht
- Dre Colleen Varcoe
Secrétariat
- Andrea Currie, secrétaire générale
- Andrew Taylor, conseiller principal en politiques
- Gisèle Jean, agente principale de programme
- Megan Wyszynski, agente de programme
- Esther Stewart, agente de projet
Soutien supplémentaire au Secrétariat généreusement fourni par :
- Elaine Chan, agente de santé publique, ASPC
- Fabienne Glauser, analyste de politiques, Centre de surveillance et de recherche appliquée, ASPC
Santé Canada (SC)
- Eric Costen, sous-ministre adjoint délégué, Direction générale des substances contrôlées et du cannabis (DGSCC)
- Jennifer Novak, directrice executive, Équipe d’intervention en matière d’opioïdes, DGSCC
- Dre Supriya Sharma, conseillère médicale principale, Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA)
- Alejandra Valenzuela, examinatrice scientifique, DGPSA
Agence de la santé publique du Canada (ASPC)
- Dr James Taylor, dentiste en chef
- Stephanie Priest, directrice executive, Division de la santé mentale et du bien-être
Services aux Autochtones Canada (SAC)
- Dre Patricia Wiebe, conseillère médicale principale, Bureau du médecin hygiéniste en santé publique
- Lindsay Croxall, analyste principale des politiques, Mieuxêtre mental
Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC)
- Dr Karim Khan, directeur scientifique
- Tushar Shakya, chef de projet
- Mallika Auplish, analyste principale chargée du breffage et de la correspondance
Anciens Combattants Canada (ACC)
- Nathan Svenson, directeur
- Dre Alexandra Heber, psychiatre en chef
Statistique Canada
- Anie Marcil, chef de section
Emploi et Dévelopmment social Canada (EDSC)
- Joëlle Bastien, analyste principale des politiques
Service correctionnel du Canada (SCC)
- Harold Boudreau, directeur, Pharmacie et technologie de la santé
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