Maladie de Lyme : Pour les professionnels de la santé 

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Renseignements clés

La maladie de Lyme est une maladie zoonotique transmise par les tiques qui est causée par la bactérie Borrelia burgdorferi (B. burgdorferi). La bactérie B. burgdorferi est un spirochète principalement transmis par des tiques à pattes noires (Ixodes scapularis) et des tiques occidentales à pattes noires (Ixodes pacificus) infectées. Consultez les autorités de santé publique provinciales ou territoriales pour savoir où il est le plus probable de trouver des tiques.

La maladie de Lyme, comme la plupart des maladies transmises par les tiques, survient pendant les mois plus chauds, mais des cas d'infection peuvent survenir tout au long de l'année. Les tiques peuvent être actives à tout moment, lorsque la température est constamment au-dessus du point de congélation et que le sol n'est pas recouvert de neige.

Il est essentiel de retirer rapidement les tiques accrochées, car le risque de transmission de B. burgdorferi augmente avec la durée pendant laquelle elles restent accrochées. Les tiques à pattes noires et les tiques occidentales à pattes noires infectées doivent généralement rester accrochées pendant au moins 24 heures pour transmettre la bactérie B. burgdorferi.

Les personnes peuvent ne pas être au courant ou ne pas se souvenir d'avoir été mordues par une tique. Par conséquent, il est important que les professionnels de la santé recueillent les antécédents détaillés du patient, y compris les antécédents d'exposition aux tiques, lorsqu'ils évaluent des personnes présentant des signes ou des symptômes évocateurs de la maladie de Lyme.

Le traitement ne doit pas être reporté en attendant les résultats de confirmation en laboratoire. La plupart des cas de maladie de Lyme peuvent être traités avec succès grâce à un diagnostic rapide et à un traitement approprié.

Il n'existe actuellement aucun vaccin pour prévenir la maladie de Lyme. La meilleure façon de prévenir les maladies transmises par les tiques est de prévenir les morsures de tiques.

La maladie de Lyme est la maladie transmise par les tiques la plus courante au Canada. Toutefois, pour les personnes présentant des signes ou des symptômes similaires, nous encourageons les professionnels de la santé à envisager la possibilité d'autres maladies transmises par les tiques, comme :

Pour en savoir plus :

Transmission

La maladie de Lyme se transmet principalement par la morsure d'une tique infectée. Voici les tiques qui transmettent la maladie de Lyme :

Tique à pattes noires : Elle a 8 pattes et est brune avec un corps ovale aplati. Elle a une tache ovale d'un brun plus foncé sur le dos. Elle a la taille d'une graine de sésame.

tique à pattes noires (Ixodes scapularis), aussi appelée tique du chevreuil

Source : Institut national de santé publique du Québec

Tique occidentale à pattes noires : Elle a 8 pattes et est brune avec un corps ovale aplati. Elle a une tache ovale noire sur le dos. Elle a la taille d'une graine de sésame.

tique occidentale à pattes noires (Ixodes pacificus)

Source : Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique

Dans la plupart des cas, la transmission de la bactérie B. burgdorferi se produit après qu'une tique infectée a été accrochée pendant au moins 24 heures.

En Amérique du Nord, la bactérie B. burgdorferi est la cause la plus courante de la maladie de Lyme, et les infections à Borrelia mayonii surviennent plus rarement dans le centre nord des États-Unis.

En Europe et en Asie, les bactéries B. afzelii et B. garinii sont les causes les plus courantes d'infection, et les infections à B. burgdorferi surviennent plus rarement.

Pour en savoir plus :

Manifestations cliniques

La période d'incubation de la maladie de Lyme localisée précoce est de 3 à 30 jours.

Les symptômes peuvent être absents ou varier de légers à graves et peuvent évoluer avec le temps, en particulier chez les personnes non traitées.

Il arrive que les personnes qui développent des symptômes plusieurs jours ou semaines après une morsure de tique ne se souviennent pas d'avoir été mordues ou n'associent pas les symptômes à la morsure.

Les manifestations cliniques ne sont pas nécessairement spécifiques au stade de l'infection. Elles peuvent se chevaucher et former un continuum chez certains patients non traités.

Maladie de Lyme localisée précoce (3 à 30 jours)

Habituellement, la maladie de Lyme localisée précoce se présente comme une maladie aiguë caractérisée par :

  • des symptômes ressemblant à ceux de la grippe, comme :
    • la fièvre
    • les malaises
    • la myalgie
    • les maux de tête
    • les douleurs articulaires migrantes
  • une lymphadénopathie
  • un érythème migrant

Érythème migrant

La plupart des personnes atteintes d'une infection par la maladie de Lyme présentent un érythème migrant de plus de 5 cm de diamètre au site de la morsure de tique. L'érythème migrant apparaît généralement dans les 7 jours suivant la morsure de tique, mais la période d'incubation peut varier de 3 à 30 jours. Il est habituellement indolore et non prurigineux. Dans bien des cas, un érythème migrant ne ressemble pas à une forme de cible classique.

Chez les patients ayant la peau foncée, l'érythème migrant peut avoir l'apparence d'une ecchymose.

Réaction d'hypersensibilité à une morsure de tique

Les personnes peuvent développer une réaction d'hypersensibilité dans les 24 heures suivant une morsure de tique. Une réaction d'hypersensibilité produit une lésion cutanée érythémateuse de moins de 5 cm de diamètre qui ne s'étend pas et disparaît généralement dans les 48 heures.

Les réactions cutanées d'hypersensibilité ne doivent pas être confondues avec l'érythème migrant. Les personnes qui présentent des lésions cutanées érythémateuses qui ne disparaissent pas dans les 48 heures doivent être réévaluées afin de déterminer si elles ont développé un érythème migrant.

Images d'érythème migrant

Une éruption cutanée appelée érythème migrant peut prendre la forme d'une cible à l'endroit d'une morsure de tique. Elle est représentée sur la partie supérieure d'un bras.
Image 1Note de bas de page a : Une éruption cutanée appelée érythème migrant peut prendre la forme d'une cible au site de la morsure de tique. Elle est représentée ici sur la partie supérieure d'un bras.
Un érythème migrant de forme ovale qui peut ressembler à une cible. Un mètre ruban est placé en dessous et montre que l'éruption fait plus de 7 cm de large.
Image 2Note de bas de page a : Un érythème migrant de forme ovale qui peut ressembler à une cible.
Une éruption cutanée rouge qui s'est étendue sur la largeur de l'arrière d'un genou. Un mètre ruban est placé en dessous et montre que l'éruption mesure 8 cm de large.
Image 3Note de bas de page a : Un érythème migrant qui est uniformément rouge et qui ne ressemble pas à une cible classique.
Une éruption cutanée rouge et des cloques sur l'avant-bras d'un patient, avec un mètre ruban montrant que l'éruption cutanée mesure 13 cm de large et que la cloque mesure plus de 2 cm de large.
Image 4Note de bas de page a : Un érythème migrant avec une lésion vésiculeuse centrale, que l'on confond parfois avec une morsure d'araignée.
Une grande lésion cutanée circulaire sur la partie supérieure de la jambe d'un patient. La lésion est de couleur bleu-violet. Un mètre ruban montre qu'elle mesure plus de 16 cm de large.
Image 5Note de bas de page a : Un érythème migrant de couleur bleu-violet, qui se distingue d'une ecchymose en raison de sa bordure clairement définie.
Quatre lésions roses de forme ovale sur le corps du patient.
Image 6Note de bas de page a : Lésions multiples d'érythème migrant, qui prennent des formes variables.
Une éruption surélevée, circulaire et brun-rouge sur l'épaule d'un patient.
Image 7Note de bas de page b : Un érythème migrant sur une épaule droite.
Une éruption longue, ovale et brun-rouge sur l'aisselle d'un patient.
Image 8Note de bas de page a : Un érythème migrant à l'arrière de la partie supérieure d'un bras.
Une éruption cutanée brun foncé à l'arrière de la jambe d'un patient.
Image 9Note de bas de page c : Un érythème migrant sans forme de cible, à l'arrière d'un genou.

Maladie de Lyme disséminée précoce (moins de 3 mois)

Sans traitement, la bactérie B. burgdorferi peut :

  • se propager par la circulation sanguine et le système lymphatique vers d'autres parties du corps
  • endommager les tissus du corps à ces endroits, le plus souvent les systèmes nerveux et musculosquelettique

Les signes et symptômes peuvent comprendre :

  • la fatigue et faiblesse générale
  • les lésions multiples d'érythème migrant
  • les manifestations neurologiques
  • la méningite aseptique
  • la neuropathie crânienne, en particulier une paralysie du nerf facial (paralysie de Bell)
  • l'encéphalite, encéphalomyélite, encéphalopathie subtile ou méningite séreuse (toutes rares)
  • la radiculoneuropathie motrice et sensorielle et multinévrite
  • les difficultés cognitives subtiles
  • la cardite de Lyme, qui peut se manifester par :
    • un bloc auriculo-ventriculaire de haut degré (présentation la plus courante)
    • une maladie ou dysfonctionnement du nœud sinusal
    • un bloc intra-auriculaire
    • une fibrillation auriculaire
    • une tachycardie supraventriculaire
    • un bloc de branche
    • une tachycardie et fibrillation ventriculaires

Des manifestations rares de la maladie de Lyme disséminée précoce comprennent :

  • la conjonctivite
  • la kératite
  • l'hépatite bénigne
  • la splénomégalie
  • l'uvéite

Maladie de Lyme disséminée tardive (plus de 3 mois)

Si la maladie de Lyme n'est pas traitée ou est diagnostiquée plus tard, elle peut persister pendant des mois ou des années.

Les manifestations musculosquelettiques peuvent inclure :

  • des épisodes intermittents ou persistants de douleur ou d'enflure dans une ou plusieurs articulations, en particulier les genoux et les autres grandes articulations, ce qui peut entraîner une arthrite chronique
    • Si la maladie n'est pas traitée, l'arthrite peut réapparaître dans les mêmes articulations ou dans d'autres.
  • un kyste poplité

Les manifestations neurologiques et cognitives peuvent comprendre :

  • la méningite
  • la méningo-encéphalite
  • une forme légère d'encéphalopathie subaiguë touchant :
    • la mémoire
    • la concentration
  • la myélite
  • la neuropathie crânienne
  • la radiculopathie
  • la polyneuropathie axonale chronique légère prenant la forme :
    • d'une paresthésie distale
    • d'une douleur radiculaire (moins fréquente)

Les manifestations plus rares peuvent comprendre :

  • l'encéphalomyélite
  • leucoencéphalopathie
  • la paralysie diaphragmatique causée par une paralysie du nerf phrénique entraînant une paralysie respiratoire ou une détresse respiratoire due à une tique

Diagnostic

Un diagnostic et un traitement précoces de la maladie de Lyme sont nécessaires pour prévenir l'apparition de symptômes musculosquelettiques et neurologiques graves et débilitants.

Les professionnels de la santé devraient envisager un diagnostic de maladie de Lyme chez les personnes présentant des symptômes évocateurs, en particulier s'il y a des antécédents de morsures de tiques ou d'exposition aux tiques.

Le diagnostic de la maladie de Lyme localisée précoce est principalement clinique et est établi grâce à une combinaison de facteurs :

Antécédents d'exposition aux tiques

Les antécédents d'exposition aux tiques comprennent :

Bien que des antécédents connus d'exposition, en particulier aux tiques à pattes noires ou aux tiques occidentales à pattes noires, aident à établir un diagnostic, l'absence d'antécédents d'exposition n'exclut pas la maladie de Lyme. Il se peut que la personne ne remarque pas qu'elle a été mordue, car les tiques sont minuscules et leurs morsures ne causent habituellement pas de douleur. De plus, on peut trouver des tiques à pattes noires et des tiques occidentales à pattes noires à l'extérieur des zones à risque actuellement identifiées.

Exposition aux tiques avec érythème migrant

Les personnes qui ont des antécédents connus d'exposition aux tiques et qui présentent un érythème migrant peuvent :

  • recevoir un diagnostic clinique de maladie de Lyme et
  • être traitées sans confirmation en laboratoire

Exposition aux tiques sans érythème migrant

Un diagnostic de maladie de Lyme ne peut être exclu chez les personnes ayant des antécédents connus d'exposition aux tiques et présentant d'autres symptômes non spécifiques, comme des maux de tête, de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires, mais ne présentant pas d'érythème migrant.

En l'absence d'érythème migrant, des analyses en laboratoire sont recommandées. Des échantillons prélevés en phase aiguë et en phase de convalescence (2 à 6 semaines après l'échantillon prélevé en phase aiguë) sont nécessaires pour obtenir une confirmation de la maladie de Lyme en laboratoire.

Chez les patients soupçonnés d'être atteints de la maladie de Lyme, on ne devrait pas retarder le traitement en attendant la confirmation en laboratoire.

Pour en savoir plus sur le diagnostic et la prise en charge :

Une tique peut être porteuse de plusieurs agents pathogènes et les transmettre aux humains par une seule morsure. Par conséquent, lorsqu'ils soupçonnent la maladie de Lyme, les professionnels de la santé doivent tenir compte de l'infection ou de la co-infection avec d'autres maladies transmises par les tiques, comme :

  • la babésiose
  • la maladie de Lyme
  • la maladie de Powassan
  • la fièvre récurrente à tiques

Si vous soupçonnez une co-infection, consultez un spécialiste des maladies infectieuses.

Traitement

La plupart des cas de maladie de Lyme peuvent être pris en charge avec succès grâce à un diagnostic rapide et à un traitement approprié. Les patients qui sont traités à l'aide d'un antibiotique approprié au début de la maladie (maladie précoce) ont tendance à se rétablir plus rapidement que ceux qui sont traités à des stades plus avancés de la maladie (maladie tardive).

Exposition aux tiques avec érythème migrant

Les personnes qui ont des antécédents connus d'exposition aux tiques et qui présentent un érythème migrant devraient être traitées rapidement contre la maladie de Lyme sans avoir à subir d'analyse sérologique.

Exposition aux tiques sans érythème migrant

Les personnes qui n'ont pas d'érythème migrant peuvent recevoir un traitement empirique contre la maladie de Lyme avant la confirmation en laboratoire, selon le degré de suspicion clinique. Cette décision dépend des symptômes de la personne et de ses antécédents d'exposition aux tiques.

La persistance de symptômes objectifs après le traitement, en particulier une forte fièvre, peut être attribuable à une co-infection avec un autre agent pathogène transmis par les tiques du genre Ixodes. Il faut donc vérifier s'il s'agit d'une co-infection lorsque l'antibiotique initial n'est pas efficace contre ces agents pathogènes.

Pour en savoir plus sur le traitement :

Maladie de Lyme et grossesse

Les données actuelles sur la maladie de Lyme et la grossesse sont limitées.

Bien que la transmission de la maladie de Lyme pendant la grossesse soit possible, le risque de transmettre la maladie de Lyme à un bébé pendant la grossesse est considéré comme très faible.

Si une personne enceinte est atteinte de la maladie de Lyme, elle peut être traitée de façon sécuritaire et efficace avec des antibiotiques. Un traitement précoce réduit le risque d'infection potentielle du placenta et de complications.

Pour en savoir plus :

Patients présentant des symptômes persistants après un traitement contre la maladie de Lyme

La plupart des personnes atteintes de la maladie de Lyme précoce qui reçoivent les antibiotiques appropriés se rétablissent complètement. Toutefois, certains patients peuvent continuer d'avoir des symptômes persistants après le traitement, comme de la fatigue, des difficultés cognitives et de la douleur. Cette situation peut être due à :

  • une co-infection avec un autre agent pathogène
  • une autre affection (par exemple, fibromyalgie, dépression, maladie de l'articulation fémoro-patellaire)
  • un processus auto-immun qui a été déclenché (par exemple, dans le cas d'une synovite du genou de la maladie de Lyme qui persiste pendant des mois après une antibiothérapie)
  • des lésions tissulaires permanentes qui se sont produites chez des patients ayant déjà eu des troubles neurologiques

Analyses en laboratoire

Les laboratoires qui utilisent des essais diagnostiques et des critères d'interprétation conventionnels devraient être les seuls à effectuer des tests de diagnostic. Les professionnels de la santé doivent envoyer les échantillons aux laboratoires provinciaux ou territoriaux. Ils assureront la coordination avec le Laboratoire national de microbiologie, si nécessaire.

Les échantillons à prélever pour les patients chez qui l'on soupçonne la maladie de Lyme incluent :

Les essais en laboratoire pour la maladie de Lyme comprennent :

Bien que l'analyse sérologique à deux volets ait un degré élevé de sensibilité, elle n'est pas idéale pour détecter une infection disséminée précoce ou tardive. Le résultat peut être négatif pour les patients traités tôt à l'aide d'antibiotiques. Certaines personnes qui reçoivent un traitement au stade localisé précoce de la maladie de Lyme peuvent ne pas présenter de séroconversion. Autrement dit, les anticorps IgG peuvent ne pas être détectés dans les analyses sérologiques effectuées sur des échantillons prélevés en phase de convalescence.

Dans un cas soupçonné de maladie de Lyme touchant le système nerveux central ou périphérique, il peut être utile d'effectuer un test de détection des anticorps IgG ou IgM dans le liquide céphalorachidien. Consultez le laboratoire de santé publique de votre province ou territoire.

Accréditation des laboratoires

Les analyses en laboratoire devraient être effectuées par un laboratoire de santé publique autorisé et accrédité.

Il n'est pas recommandé :

  • d'effectuer des tests par l'intermédiaire de laboratoires non autorisés ou de laboratoires privés qui n'utilisent pas de tests approuvés par la Food and Drug Administration des États-Unis ou par Santé Canada
  • d'utiliser d'autres critères d'interprétation

Surveillance

La maladie de Lyme est une maladie à déclaration obligatoire à l'échelle nationale. Les maladies à déclaration obligatoire à l'échelle nationale sont des maladies infectieuses qui ont été établies par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux comme étant prioritaires dans le cadre des efforts de surveillance et de contrôle.

Le système national de notification reçoit les cas déclarés par les autorités de santé publique provinciales et territoriales. Les cas confirmés et probables de maladie de Lyme doivent être déclarés. La définition nationale de cas de maladie de Lyme est utilisée pour classer les cas déclarés à l'Agence de la santé publique du Canada.

Les provinces et les territoires ont leurs propres lois sur la déclaration des maladies infectieuses prioritaires. Veuillez consultez les autorités de santé publique provinciales ou territoriales pour connaître les exigences en matière de déclaration dans votre juridiction.

Vous pouvez consulter les rapports de surveillance de la maladie de Lyme et la carte des zones à risque pour la maladie de Lyme ici :

Pour en savoir plus :

Abonnez-vous au Bulletin sur les zoonoses

Le Bulletin sur les zoonoses est une liste d'envoi par courriel qui vous fournira des mises à jour régulières de l'Agence de la santé publique du Canada concernant notre travail sur les zoonoses. Les zoonoses sont des maladies infectieuses qui peuvent se transmettre entre les animaux et les humains, y compris celles pouvant être transmises par la morsure d'une tique ou la piqûre d'un moustique.

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