Agence du revenu du Canada Rapport financier trimestriel

Compte rendu soulignant les résultats, les risques et les changements importants quant au fonctionnement, au personnel et aux programmes

Pour le trimestre terminé le 30 juin 2012

Introduction

Le présent rapport financier trimestriel a été établi par la direction, tel que l’exige l’article 65.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques selon la forme et la manière prescrites par le Conseil du Trésor. Le présent rapport doit être lu conjointement avec le Budget principal des dépenses de même qu’avec le Plan d’action économique 2012 du Canada (Budget 2012).

Il est possible d’obtenir de plus amples renseignements sur les activités de programme de l’Agence du revenu du Canada (ARC) dans le Rapport sur les plans et les priorités et le Budget principal des dépenses.

Méthode de présentation du rapport

Ce rapport trimestriel a été préparé par la direction en utilisant une comptabilité axée sur les dépenses. L’état des autorisations joint à ce rapport inclut les autorisations de dépenser de l’Agence du Revenu du Canada (ARC) accordées par le Parlement et utilisées par l’Agence, de manière cohérente avec le budget principal des dépenses pour l’exercice 2012-2013. Ce rapport financier trimestriel a été préparé en utilisant un référentiel à usage particulier conçu pour répondre aux besoins d’information financière à l’égard de l’utilisation des autorisations de dépenser.

Dans le cadre des travaux des subsides du Parlement, le Budget principal des dépenses doit être déposé au Parlement le ou avant le 1er mars précédant le début du nouvel exercice. Le Budget 2012 a été déposé au Parlement le 29 mars, après le dépôt du Budget principal des dépenses le 28 février 2012. Par conséquent, les mesures annoncées dans le Budget 2012 ne figurent pas dans le Budget principal des dépenses 2012-2013.

Pour l’exercice 2012-2013, des affectations bloquées dans les crédits ministériels seront établies par le Conseil du Trésor en vue d’empêcher que les fonds déjà réservés pour des mesures d’économies dans le Budget 2012 ne soient dépensés. Au cours des exercices suivants, les modifications aux autorisations ministériels seront mises en oeuvre par l’intermédiaire de la Mise à jour annuelle des niveaux de référence, approuvée par le Conseil du Trésor, et figureront dans les Budgets principaux des dépenses ultérieurs déposés au Parlement.

Le gouvernement ne peut dépenser sans l’autorisation préalable du Parlement. Les autorisations sont accordées par l’entremise de lois de crédits, sous forme de limites annuelles, ou par l’entremise de lois sous forme de pouvoirs législatifs de dépenser à des fins déterminées.

L’Agence utilise la méthode de la comptabilité d’exercice intégrale pour la préparation de ses états financiers annuels qui font partie du processus de rapport sur le rendement ministériel. Toutefois, les pouvoirs de dépenser votés par le Parlement sont encore en fonction d’une comptabilité axée sur les dépenses.

Ce rapport trimestriel n’a pas fait l’objet d’une vérification externe ou d’un examen.

Faits saillants des résultats financiers trimestriels et cumulatifs

Analyse des autorisations

Le présent rapport tient compte des résultats de l’exercice en cours qui se rapportent au Budget principal des dépenses, pour lequel la totalité des crédits a été accordée le 6 juin 2012.

Comme le montre l’état des autorisations, les autorisations budgétaires totales que l’ARC peut utiliser sont passées de 4 471 millions de dollars en 2011‑2012 à 4 623 millions de dollars en 2012‑2013, ce qui représente une hausse de 3 % ou de 152 millions de dollars. Les éléments de cette augmentation sont abordés ci‑après.

Les autorisations de dépenses de fonctionnement brutes comprises dans le crédit 1 ont augmenté de 163 millions de dollars ou de 5 %; elles sont en effet passées de 3 523 millions de dollars en 2011‑2012 à 3 686 millions de dollars en 2012‑2013. Cette hausse sur douze mois est le résultat net de nombreuses augmentations et diminutions des fonds, dont les plus importantes sont les suivantes.

En 2012-2013, l’ARC prévoit dépenser 322 millions de dollars pour s’acquitter de ses responsabilités administratives à l’appui du programme pour le Régime de pensions du Canada (RPC) et l'assurance-emploi (AE), une hausse par rapport à 313 millions de dollars en 2011‑2012. Cette augmentation de 9 millions de dollars des autorisations de dépenses de fonctionnement brutes comprises dans le crédit 1 est résorbée par une hausse correspondante des recettes récupérées dans les comptes du RPC et de l’AE.

Les autorisations de dépenses en capital comprises dans le crédit 5 ont diminué de 120 millions de dollars ou de 59 %; elles sont en effet passées de 203 millions de dollars en 2011‑2012 à 83 millions de dollars en 2012‑2013, principalement en raison des rajustements techniques suivants.

On prévoit que les autorisations budgétaires totales conférées par la loi augmenteront de 118 millions de dollars ou de 11 % entre 2011‑2012 et 2012‑2013. L’estimation des remboursements pour le bois d’oeuvre qu’a établie le ministère des Finances a été revue à la hausse, de 140 millions de dollars, sur douze mois, afin de tenir compte de la nouvelle conjoncture. Cette augmentation est compensée en partie par une réduction de 24 millions de dollars dans les dépenses liées au recouvrement des coûts, puisque certains services que fournissait antérieurement l’ARC à l’Agence des services frontaliers du Canada sont désormais assurés par SPC.

Analyse des dépenses

Une comparaison sur deux exercices des autorisations annuelles nettes que l’Agence peut utiliser par rapport aux dépenses nettes depuis le début de l’exercice au 30 juin est présentée dans la figure 1.

Figure 1 : Autorisations annuelles par rapport aux dépenses depuis le début de l’exercice

Autorisations annuelles par rapport aux dépenses depuis le début de l’exercice

A) Dépenses engagées au cours du premier trimestre par autorisation

Comme le montre l’état des autorisations, les dépenses du premier trimestre ont diminué de 9 millions de dollars. Elles sont passées de 1 051 millions de dollars en 2011‑2012 à 1 042 millions de dollars en 2012‑2013, ce qui représente une baisse de moins de 1 %. Les éléments de cette diminution sont abordés ci‑après.

Les dépenses de fonctionnement nettes comprises dans le crédit 1 de l’Agence au cours du premier trimestre ont augmenté de 39 millions de dollars ou de 5 %, passant de 741 millions de dollars en 2011‑2012 à 780 millions de dollars en 2012‑2013. Cette augmentation des dépenses comprises dans le crédit 1 est principalement associée à l’administration de la TVH dans les provinces d’Ontario et de la Colombie‑Britannique, ce qui comprend l’intégration des employés provinciaux à l’effectif de l’Agence et les écarts temporaires entre les dépenses sur douze mois.

Les dépenses en capital comprises dans le crédit 5 du premier trimestre ont diminué de 74 % ou de 6 millions de dollars, passant de 8 millions de dollars en 2011‑2012 à 2 millions de dollars en 2012‑2013. Cette diminution était prévue, car une grande partie des responsabilités de l’Agence en matière d’acquisition d’immobilisations, en particulier celles liées aux centres de données et aux réseaux, ont été transférées à SPC le 15 novembre 2011.

Les dépenses d’après les autorisations budgétaires totales conférées par la loi ont diminué de 42 millions de dollars sur douze mois. Elles sont en effet passées de 303 millions de dollars en 2011‑2012 à 261 millions de dollars en 2012‑2013, principalement en raison de la réduction des dépenses se rapportant aux recettes liées au recouvrement des coûts.

B) Dépenses engagées au cours du premier trimestre par article courant

Comme le montre le tableau des Dépenses ministérielles budgétaires, les frais de personnel du premier trimestre sont passés de 789 millions de dollars en 2011‑2012 à 810 millions de dollars en 2012‑2013, soit une augmentation de 3 %. En juillet 2010, l’ARC a assumé la responsabilité d’administrer la TVH dans les provinces d’Ontario et de la Colombie‑Britannique. Les employés provinciaux qui ont accepté un emploi à l’ARC, soit quelque 1 000 ETP (équivalents temps plein) principalement de l’Ontario, ont été intégrés par vagues au grand groupe à partir de mars 2012, ce qui est à l’origine de la hausse des frais de personnel au cours du premier trimestre.

Les dépenses liées au transport et aux communications ont diminué de 8 millions de dollars ou de 25 %, passant de 34 millions de dollars en 2011‑2012 à 26 millions de dollars en 2012‑2013. Cette baisse est liée au transfert des services de téléphonie, dont les coûts s’élèvent à 10 millions de dollars, à SPC et est en partie résorbée par une hausse de 2 millions de dollars des frais postaux engagés par l’ARC.

Les dépenses liées aux achats, aux réparations et à l’entretien ont diminué de 17 millions de dollars ou de 46 %, passant de 38 millions de dollars en 2011‑2012 à 21 millions de dollars en 2012‑2013. Cette diminution est attribuable au transfert de plusieurs ententes sur l’entretien de la technologie de l’information à SPC.

L’acquisition de machines et de matériel a diminué de 4 millions de dollars ou de 74 %. Elles sont en effet passées de 5 millions de dollars en 2011‑2012 à 1 million de dollars en 2012‑2013, puisque moins d’immobilisations ont été acquises au cours du premier trimestre de 2012‑2013 en raison du transfert de responsabilités à SPC, tel qu’il est mentionné précédemment.

Risques et incertitudes

L’ARC tient un inventaire des risques de l’entreprise afin de dresser la liste des risques organisationnels et de les écarter. Des stratégies d’atténuation ont été mises en place afin que l’Agence évite ces risques et les répercussions financières qui s’y rattachent.

Les mesures visant à limiter les frais d’administration à l’échelle du gouvernement qui ont été annoncées dans le budget de 2010 fédéral sont à l’origine du gel des budgets de fonctionnement de l’exercice 2010‑2011 pour tous les ministères et organismes gouvernementaux et sont en vigueur jusqu’au 31 mars 2013. Les ministères et organismes doivent prendre à leur charge le coût des hausses de traitement qui sont entrées en vigueur après le 1er avril 2010 en rétablissant l’ordre de priorité des ressources de fonctionnement.

Compte tenu des mesures annoncées dans le budget de 2010, l’Agence a entrepris un examen complet de ses dépenses internes en vue de déterminer les sources de financement possibles pour les contraintes clés liées aux dépenses de fonctionnement, y compris les augmentations de salaire non compensées, lesquelles sont actuellement estimées à 91 millions de dollars pour l’exercice 2012‑2013, selon les conventions salariales approuvées. La somme estimée comprend environ 28 millions de dollars associés à la dernière convention avec l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) qui a été signée en juillet 2012.

La convention collective entre l’Agence et l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) viendra à échéance cette année, soit en octobre 2012.

Changements importants quant au fonctionnement, au personnel et aux programmes

En 2011‑2012, le gouvernement du Canada a annoncé la création de Services partagés Canada (SPC), une nouvelle organisation représentant une approche pangouvernementale à la gestion de la technologie de l’information. L’ARC a transféré à SPC le contrôle et la supervision des domaines opérationnels liés aux courriels, aux centres de données et aux services de réseau. Pour l’exercice 2012‑2013, 153 millions de dollars (à l’exception des régimes de prestations aux employés) ont été transférés à SPC. En plus d’avoir transféré des ressources financières, l’Agence a également transféré quelque 700 ETP (équivalents temps plein) à SPC.

SPC n’était pas en mesure de commencer à gérer les dossiers de paie des employés transférés de l’ARC en 2012‑2013 en raison des limites et de la complexité du système découlant de la situation d’employeur distinct de l’ARC. On a demandé à l’ARC de continuer de gérer la paie et les avantages de ses employés qui avaient été transférés, et les coûts de cette responsabilité se sont élevés à 13 millions de dollars au cours du premier trimestre. Ces coûts seront transférés à SPC plus tard dans l’exercice, ce qui réduira les frais de personnel de l’Agence.

Le 1er juillet 2010, l’ARC a réussi à mettre en oeuvre la taxe de vente harmonisée (TVH) dans les provinces d’Ontario et de la Colombie‑Britannique. L’ARC a reçu un financement de 157 millions de dollars (à l’exception des régimes de prestations aux employés et des frais d’aménagement) en 2012‑2013 afin de poursuivre la mise en oeuvre et l’administration de la TVH dans les deux provinces. Ces fonds étaient nécessaires pour les modifications au système de la TI, l’embauche des employés provinciaux touchés à l’Agence, ainsi que les changements au programme afin d’aborder les risques cernés et de gérer la nouvelle marge de manoeuvre de la TVH propre à la province. La province de la Colombie‑Britannique a décidé qu’elle reviendra au modèle d’administration de la taxe de vente provinciale le 1er avril 2013. Entre‑temps, l’Agence continuera d’administrer la TVH en Colombie‑Britannique.

Mise en oeuvre du Budget 2012

La présente section donne un aperçu des mesures d’économie annoncées dans le Budget 2012 et qui seront mises en oeuvre dans le but de recentrer le gouvernement et les programmes, de faciliter les rapports des Canadiens et des entreprises avec leur gouvernement ainsi que de moderniser et de rationaliser les services administratifs.

Le gouvernement du Canada a présenté un engagement clair à réduire le déficit et, comme l'une des plus grandes institutions fédérales, l'ARC y contribuera considérablement, avec une augmentation des économies prévues passant de 15 millions de dollars en 2012–2013 à 253 millions d'ici 2016-2017 et dans les années subséquentes.

Dans cette optique, l’ARC continuera de moderniser ses opérations et de réduire les lourdeurs administratives afin d’améliorer les services aux Canadiens tout en réduisant ses coûts généraux. Elle offre de plus en plus de services par voie électronique afin qu’il soit plus facile pour les Canadiens et les entreprises de communiquer avec elle, et ce, au coût le plus bas possible. Ces stratégies comprennent la modernisation des services de bibliothèque, la centralisation des fonctions d’édition de l’intranet, des changements aux évaluations des langues officielles, la mise à jour du programme de perfectionnement en gestion, l’interruption du Programme d’aide et de partenariat de la Direction des organismes de bienfaisance, et la réduction des biens immobiliers.

À la fin de juin 2012,  le Parlement a adopté la Loi sur l’emploi, la croissance et la prospérité durable. Ce projet de loi, qui met en oeuvre un grand nombre des mesures annoncées dans le budget de 2012, contenait deux zones de réduction des coûts pour l'ARC: l'élimination des exigences de livrer les demandes de produire soit en personne ou par courrier recommandé, et l'exigence que les préparateurs d'impôt qui produisent, en retour de frais, plus de 10 déclarations d’impôt de déposer ces déclarations par voie électronique.

Puisque l’ARC n’a pas annoncé les premières dispositions quant à la mise en oeuvre des multiples mesures de réduction de coûts avant le 27 juin 2012, il n’y a aucune répercussion financière ou non financière importante à rapporter pour le premier trimestre de 2012‑2013. Plus de détails vous seront fournis pour les trimestres à venir.

Un certain nombre de mesures fiscales auxquelles on fait référence dans le budget de 2012 comprennent les suivantes (entre autres) :

Le financement additionnel requis pour la mise en oeuvre et de l’administration des diverses mesures fiscales du budget de 2012 représente le thème de discussions continues avec les représentants du ministère des Finances et du Secrétariat du Conseil du Trésor. Il n’y a aucune répercussion financière ou non financière importante à signaler pour le moment.

Approbation des cadres supérieurs

Approuvé par :

[original signé par]
________________________
La commissaire,
Linda Lizotte-MacPherson

[original signé par]
_______________________
L'administrateur supérieur des affaires financières,
Filipe Dinis

Ottawa , Canada
Date: le 21 août 2012

Exercice 2012-2013
(en milliers de dollars)
État des autorisations (non vérifié)      
  Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le 31 mars 2013 Note de bas de page 1, Note de bas de page 2 Crédits utilisés pour le trimestre se terminant le 30 juin 2012 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre
Crédit 1 - Dépenses de fonctionnement      
Dépenses de fonctionnement - brutes 3 685 918 860 220 860 220
Recettes à valoir sur le crédit minus(322 368) minus(80 620) minus(80 620)
Crédit 1 - Dépenses nettes de fonctionnement 3 363 550 779 600 779 600
Crédit 5 - Dépenses en capital 83 433 1 957 1 957
Autorisations législatives budgétaires      
Régimes d'avantages sociaux des employés 456 440 114 110 114 110
Bois d'oeuvre résineux 280 000 59 837 59 837
Allocation spéciale pour enfants 233 000 58 670 58 670
Dépenses des recettes reçues 206 769 27 615 27 615
Autres allocations législatives 78 483 483
Autorisations législatives budgétaires totales 1 176 287 260 715 260 715
Autorisations totales 4 623 270 1 042 272 1 042 272
Exercice 2011-2012
(en milliers de dollars)
État des autorisations (non vérifié)      
  Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le 31 mars 2012 Note de bas de page 1 Crédits utilisés pour le trimestre se terminant le 30 juin 2011 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre
Crédit 1 - Dépenses de fonctionnement      
Dépenses de fonctionnement - brutes 3 523 143 819 815 819 815
Recettes à valoir sur le crédit minus(312 978) minus(79 205) minus(79 205)
Crédit 1 - Dépenses nettes de fonctionnement 3 210 165 740 610 740 610
Crédit 5 - Dépenses en capital 203 094 7 497 7 497
Autorisations législatives budgétaires      
Régimes d'avantages sociaux des employés 460 028 115 007 115 007
Bois d'oeuvre résineux 140 000 63 155 63 155
Allocation spéciale pour enfants 227 000 54 435 54 435
Dépenses des recettes reçues 230 688 69 912 69 912
Autres allocations législatives 78 789 789
Autorisations législatives budgétaires totales 1 057 794 303 298 303 298
Autorisations totales 4 471 053 1 051 405 1 051 405
Exercice 2012-2013
(en milliers de dollars)
Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifié)      
  Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le 31 mars 2013 Note de bas de page 3 Dépensées durant le trimestre se terminant le 30 juin 2012 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre
Dépenses :      
Personnel 3 192 062 809 793 809 793
Transports et communications 204 992 26 106 26 106
Information 11 818 654 654
Services professionnels et spéciaux 364 390 55 429 55 429
Location 399 898 86 262 86 262
Achat de services de réparation et d'entretien 132 251 20 558 20 558
Services publics, fournitures et approvisionnements 42 210 3 905 3 905
Acquisition de matériel et d'outillage 76 252 1 220 1 220
Paiements de transfert 516 760 118 508 118 508
Autres subventions et paiements 5 005 457 457
Dépenses budgétaires brutes totales 4 945 638 1 122 892 1 122 892
Moins: Recettes à valoir sur le crédit minus(322 368) minus(80 620) minus(80 620)
Dépenses nettes totales 4 623 270 1 042 272 1 042 272
Exercice 2011-2012
(en milliers de dollars)
Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifié)      
  Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le 31 mars 2012 Note de bas de page 3 Dépensées durant le trimestre se terminant le 30 juin 2011 Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre
Dépenses :      
Personnel 3 120 860 789 179 789 179
Transports et communications 225 521 34 599 34 599
Information 12 593 232 232
Services professionnels et spéciaux 352 545 55 482 55 482
Location 377 225 85 465 85 465
Achat de services de réparation et d'entretien 132 794 37 993 37 993
Services publics, fournitures et approvisionnements 44 646 4 583 4 583
Acquisition de matériel et d'outillage 144 242 4 725 4 725
Paiements de transfert 370 171 117 593 117 593
Autres subventions et paiements 3 434 759 759
Dépenses budgétaires brutes totales 4 784 031 1 130 610 1 130 610
Moins: Recettes à valoir sur le crédit minus(312 978) minus(79 205) minus(79 205)
Dépenses nettes totales 4 471 053 1 051 405 1 051 405

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