Une nouvelle politique féministe qui, pour réaliser l’objectif mondial ambitieux de mettre fin à la pauvreté d’ici 2030, mise délibérément sur le renforcement du pouvoir des femmes et des filles et sur l’égalité des genres
Alors que je vous souhaite la bienvenue à Toronto à l’occasion de la troisième réunion ministérielle du Groupe de Lima, chers collègues et amis de partout dans les Amériques, je tiens à souligner que nous nous rassemblons aujourd’hui sur le territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas de New Credit.
Bonjour à tous et merci pour votre accueil toujours aussi chaleureux. Si je me souviens bien, la dernière fois où nous étions tous réunis, c’était le 9 juin dernier lors du lancement de la nouvelle Politique d’aide internationale féministe.
Je suis ici pour vous parler de la tâche que m’a confiée le premier ministre Trudeau. Il m’a demandé de « faire du commerce une réalité pour les gens ».
Je suis très heureux d’être ici, dans le port de Montréal, parce que, comme vous pouvez le voir, c’est un lieu où le commerce se pratique de manière très concrète.
En misant sur nos liens interpersonnels pour mener nos négociations commerciales relatives à l’AECG, nos gouvernements ont créé un accord progressiste qui accorde la priorité à leurs citoyens.
Au Canada et partout dans le monde, l’imposition de sanctions pour des violations des droits de la personne, et le cas de Sergueï Magnitski, suscitent un vif intérêt, et cela, à juste titre.