Guide de prévention des Infections Transmissibles Sexuellement et par le Sang (ITSS)
Ce guide comprend un aperçu des pratiques de prévention et de prise en charge des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) par les professionnels de la santé qui exercent dans les domaines de la santé publique ou des soins primaires.
Sur cette page
- Vue d'ensemble des ITSS au Canada
- Prévention primaire et secondaire des ITSS
- Une approche centrée sur la personne
- Facteurs de risque des ITSS
- Méthodes barrières
- Vaccination
- Références
Vue d'ensemble des ITSS au Canada
Les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) représentent un problème de santé publique important au Canada. Les conséquences des ITSS comprennent la douleur et l'inconfort, la stérilité, les issues défavorables à la naissance comme la fausse couche et la mortinaissance, les affections congénitales, certains cancers, l'immunodéficience et la détresse psychologique. Certaines ITSS peuvent également favoriser la transmission du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Grâce au traitement, la plupart des ITSS peuvent être guéries ou prises en charge.
Les taux de chlamydia, de gonorrhée et de syphilis infectieuse sont en hausse au CanadaNote de bas de page 1Note de bas de page 2Note de bas de page 3Note de bas de page 4. En 2021, 104 426 cas de chlamydia ont été déclarés, soit un taux de 273,2 cas pour 100 000 personnes. La chlamydia est l'infection transmissible sexuellement à déclaration obligatoire la plus fréquente au CanadaNote de bas de page 1Note de bas de page 2. En 2021, 32 192 cas de gonorrhée ont été déclarés, soit un taux de 84,2 cas pour 100 000 personnesNote de bas de page 2. Le taux de gonorrhée déclaré a doublé entre 2012 et 2021Note de bas de page 2. En 2021, 11 540 cas de syphilis infectieuse ont été déclarés, soit un taux de 30,2 cas pour 100 000 personnes. Le taux de cas déclarés de syphilis infectieuse signalé en 2021 était cinq fois supérieur au taux déclaré en 2012. L'augmentation considérable de la syphilis infectieuse chez les femmes en âge de procréer a coïncidé avec l'augmentation des cas déclarés de syphilis congénitale précoce, qui sont passés d'une moyenne de 3 cas par an entre 2012 et 2016 à 96 cas en 2021Note de bas de page 2Note de bas de page 4.
À la fin de 2020, environ 62 790 personnes (0,17 % de la population) au Canada vivaient avec le VIHNote de bas de page 5. Depuis 2012, les cas et les taux annuels de diagnostics de VIH au Canada se sont stabilisés. En 2021, 1 472 nouveaux diagnostics de VIH ont été déclarés au Canada, soit un taux de 3,8 pour 100 000 personnesNote de bas de page 6. Les taux déclarés d'hépatite B aiguë au Canada sont toujours bas depuis 2012, avec d'autres réductions en 2019 et 2020Note de bas de page 7. En 2020, 123 cas d'hépatite B aiguë ont été déclarés, soit un taux de 0,34 cas pour 100 000 personnesNote de bas de page 7. Il se pourrait que près de la moitié des personnes atteintes d'hépatite B chronique au Canada ignorent leur étatNote de bas de page 7Note de bas de page 8.
Les cas et les taux d'hépatite C ont diminué depuis le pic atteint en 2018 avec 12 560 cas, ou 34,0 cas pour 100 000 personnesNote de bas de page 9Note de bas de page 10. En 2020, 6 736 cas d'hépatite C ont été signalés, soit un taux de 18,4 nouveaux diagnostics d'hépatite C pour 100 000 personnes. Les taux ont varié considérablement d'une province ou territoire à l'autreNote de bas de page 10. En 2019, selon les estimations, 24 % des 387 000 personnes ayant déjà eu une infection par hépatite C n'en ont pas reçu de diagnosticNote de bas de page 11.
En 2018, l'Agence de santé publique du Canada (ASPC) a publié le Cadre d'action pancanadien sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang qui a établi des objectifs stratégiques et des principes directeurs pour lutter contre les ITSS au Canada et atteindre les objectifs mondiaux en matière d'ITSS d'ici 2030Note de bas de page 12. La contribution des professionnels de soins primaires et de santé publique sera essentielle pour atteindre les objectifs suivantsNote de bas de page 13:
- Réduire l'incidence des ITSS au Canada
- Améliorer l'accès au dépistage, au traitement ainsi qu'aux soins et au soutien continus
- Réduire la stigmatisation et la discrimination qui créent une vulnérabilité aux ITSS
Consultez les guides propres à l'étiologie pour les recommandations sur le dépistage, les tests diagnostiques, le traitement et la prise en charge des agents pathogènes spécifiques.
Le Guide sur les Syndromes associés aux ITS fournit un aperçu de la prise en charge des personnes en fonction des signes et symptômes, avant la confirmation en laboratoire des agents pathogènes, pour les syndromes associés aux infections transmissibles sexuellement (ITS) suivants : ulcérations anogénitales, cervicite, épididymite, atteinte inflammatoire pelvienne (AIP), rectite, urétrite et vaginite.
Les personnes nécessitant une investigation diagnostique avancée ou une hospitalisation devraient être prises en charge en consultation avec un collègue expérimenté ou être orientées vers un spécialiste.
Prévention primaire et secondaire des ITSS
Les mesures de prévention primaire et secondaire des ITSS à l'échelle individuelle ont des bienfaits à l'échelle de la population et sont essentielles pour réduire l'incidence (infections nouvellement contractées) et la prévalence (nombre d'infections) des ITSSNote de bas de page 14. La prévention primaire vise à prévenir l'infection en en offrant du counseling axé sur la personne et une éducation sur la réduction des risques. La prévention secondaire vise à minimiser les conséquences et la propagation de l'infection par la détection précoce, le traitement, le counseling et la notification aux partenaires. Les professionnels de soins primaires et de santé publique jouent un rôle essentiel dans la prévention et le contrôle des ITSS.
La santé sexuelle et la prévention des ITSS font partie intégrante des soins de santé de chacun. Toutes les personnes peuvent bénéficier de services de conseil et de soins préventifs, y compris celles qui ne sont pas encore ou pas actuellement sexuellement actives. Les professionnels de la santé peuvent intégrer la prévention primaire et secondaire des ITSS dans le cadre des soins courants par les moyens suivants :
- évaluer le risque d'ITSS et en discuter
- fournir des renseignements sur les signes et les symptômes des ITSS et sur la nature asymptomatique de nombreuses infections
- aider les personnes à reconnaître et à réduire leur risque d'ITSS
- offrir la vaccination contre les ITSS, lorsque cela est indiqué
- offrir un dépistage des ITSS et des tests, le cas échéant
- fournir un traitement, un suivi et des conseils aux personnes et à leurs partenaires
Une approche axée sur la personne
Prendre en compte les circonstances, les expériences, les besoins, les objectifs et les valeurs d'une personne aide à assurer qu'elle est traitée avec respect et dignité. Une approche axée sur la personne est particulièrement importante pour la prévention, le dépistage, la détection et le traitement des ITSS. En effet, il existe souvent une stigmatisation associée à la sexualité, aux ITSS, à la consommation de substances et à la nature potentiellement émotionnelle ou sensible de ces sujetsNote de bas de page 12.
Par ailleurs, une approche syndémique peut aider à comprendre comment la santé est influencée par les conditions et les milieux sociaux, économiques, environnementaux et politiques. Elle illustre comment des conditions sociales et sanitaires coexistantes peuvent s'exacerber les unes les autres et, par conséquent, accroître la vulnérabilité et aggraver les problèmes de santéNote de bas de page 15.
Facteurs de risque des ITSS
Pour discuter des ITSS et évaluer les besoins de santé de la personne, les professionnels de la santé devraient comprendre les facteurs de risque associés à la transmission et à l'acquisition des ITSS, ainsi que les tendances épidémiologiques actuelles. Ils devraient également être prêts à offrir des renseignements de base et un counseling sur les ITSS les plus fréquentes.
Les voies de transmission des ITSS varient selon l'infection et comprennent la propagation par contact direct épithélial ou muqueux, l'exposition percutanée, le contact avec des objets contaminés et la transmission verticale. Pour plus d'informations, consultez les guides propres à l'étiologie.
Les facteurs individuels ou comportementaux qui peuvent augmenter le risque d'ITSS comprennent les suivants :
- Partenaires multiples (simultanément ou au fil du temps)Note de bas de page 16
- Partenaires sexuels anonymes ou occasionnelsNote de bas de page 17
- Relations sexuelles sans utilisation de méthode de barrièreNote de bas de page 18
- Relations sexuelles avec des personnes atteintes d'une ITSSNote de bas de page 16
- Antécédents d'ITSSNote de bas de page 16
- Consommation de substances (drogues, alcool ou les deux)Note de bas de page 19
- Utilisation de médicaments contre la dysfonction érectileNote de bas de page 20
- Antécédents de violence d'un partenaire intime ou de violence sexuelleNote de bas de page 21
- Environnements sociaux (par exemple, saunas, soirées « circuit », institutions postsecondaire)Note de bas de page 22Note de bas de page 23Note de bas de page 24
Certaines ITSS, comme l'hépatite C, peuvent être transmises d'une personne à l'autre par le biais d'équipements de consommation de substances partagés ou réutilisés par une autre personneNote de bas de page 25. Il est essentiel que les professionnels de la santé adoptent une approche de réduction des méfaits afin que les personnes qui consomment des drogues soient soutenues d'une manière respectueuse et significative tout en réduisant les conséquences négatives associées à la consommation de substances. Les professionnels de la santé peuvent faciliter des pratiques de consommation de substances plus sécuritaires en aidant les personnes à accéder à de nouveaux équipements, à des tests, à l'éducation et à des environnements de soutien tels que les services de consommation superviséeNote de bas de page 26.
Les ITSS ne touchent pas toutes les personnes de la même manière. Les personnes ayant des difficultés sociales et médicales peuvent être plus vulnérables à certaines ITSS. La syndémie est liée à l'équité en matière de santé et aux déterminants sociaux de la santé (DSS). Alors que les DDS peuvent influencer les pratiques de santé, leur examen peut mener à des approches plus holistiques et coordonnées de prévention des ITSS et de soins de santé. Il est également important de reconnaître le caractère unique, la force et la résilience des personnes malgré les circonstances potentiellement difficiles.
Les DDS qui peuvent avoir des effets sur la vulnérabilité et la résilience aux ITSS comprennent les suivantsNote de bas de page 27:
- Éducation
- Revenu et emploi
- Logement stable et approprié
- Sécurité alimentaire
- Développement pendant la petite enfance
- Invalidité
- Genre et normes liées au genre
- Culture, ethnicité et racialisation
- Réseaux sociaux et de soutien
- Accès aux services sociaux et de santé
Des données épidémiologiques ont révélé que certaines populations sont touchées de manière disproportionnée par les ITSS, dont les suivantesNote de bas de page 27:
- Autochtones
- Hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (gbHARSAH)
- Personnes transgenres
- Jeunes et jeunes adultes
- Consommateurs de drogues
- Personnes qui sont ou ont été incarcérées
- Personnes originaires de pays où les taux d'infecion par le VIH, le virus de l'hépatite B (VHB) ou le virus de l'hépatite C (VHC) sont élevés
- Personnes qui participent à la vente ou à l'achat de sexe
Les professionnels de la santé devraient discuter de la santé sexuelle et des ITSS avec tout le monde dans le cadre des soins courants, plutôt que de faire des suppositions sur l'activité sexuelle ou les comportements. Par exemple, les personnes âgées, les personnes atteintes d'un handicap physique ou intellectuel, les personnes engagées dans une relation à long terme et les jeunes peuvent tous profiter de discussions sur la santé sexuelle et la prévention des ITSS.
Il est également important d'éviter de faire des suppositions sur les comportements sexuels ou de consommation de substances en fonction de la culture ou du groupe de population auquel appartient la personne. Le fait d'appartenir à une population touchée de manière disproportionnée par les ITSS n'augmente pas nécessairement le risque.
Autres ressources pour les facteurs de risque et les déterminants sociaux de la santé pour l'ITSS
Agence de la santé publique du Canada (ASPC)
- Plan d'action 2024-2030 du gouvernement du Canada sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
- Coup d'œil : Prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang chez les communautés ethnoculturelles
- Cadre d'action pancanadien sur les ITSS
- Surveillance des infections transmissibles sexuellement et par le sang
- Maladies à déclaration obligatoire en direct
- Informations sur les ITS à l'intention du public
- Renseignements sur les ITS pour les professionnels de la santé et de l'éducation
- Mpox (variole simienne) : Pour les professionnels de la santé
- Approches tenant compte des traumatismes et de la violence – politiques et pratiques
- Questions et réponses : Pratiques d'inclusion dans la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang chez les minorités ethnoculturelles
La Société canadienne du sida (SCS)
Réseau canadien autochtone du sida (RCAS)
Ka Ni Kanichihk
Pauktuutit Inuit Women of Canada
Réseau communautaire d'info-traitements sida (CATIE)
Association canadienne de santé publique (ACSP)
- Comment discuter de santé sexuelle, de consommation de substances et d'ITSS : un guide pour les dispensateurs de services
- Facteurs influençant la vulnérabilité (FIV)
- Le poids des mots : Pour un langage respectueux en matière de santé sexuelle, de consommation de substances, les ITSS et de sources de stigmatisation intersectionnelles
Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI)
- Interventions sur les dimensions de la santé sexuelle : Une revue des interventions évaluées en matière de promotion de la santé sexuelle
- Integrating HIV Prevention with Care: Behavioural Interventions in the Clinical Setting (en anglais seulement)
Women's College Hospital and Centre for Effective Practice
Méthodes de barrière
Les condoms externes (couvrant le pénis), les condoms internes (insérés dans le vagin ou l'anus) et les digues dentaires (utilisées lors de relations sexuelles orales) créent une barrière protectrice et empêchent l'échange de fluides corporels entre les partenaires sexuels. Il existe trois types de condoms : en latex, en polymère synthétique et en membrane naturelle (fabriquée à partir de la paroi intestinale de moutons).
Les condoms en membrane naturelle sont perméables et ne protègent pas contre certaines ITSS, y compris le VIH.
L'utilisation régulière et correcte de condoms en latex ou en polymère synthétique et de digues dentaires peut réduire le risque de contracter et de transmettre la majorité des ITSS, telles que le VIH, le VHB, le VHC, la chlamydia et la gonorrhée. Ils n'offrent pas une protection complète contre la syphilis, le VPH, le virus herpès simplex de type 1 ou de type 2 (VHS-1 ou VHS-2), ou la mpox, car des lésions et (pour VHS-1 et VHS-2) une excrétion asymptomatique peuvent se produire dans les zones non couvertes par ces méthodes de barrière.
Les condoms et les digues dentaires en polymère synthétique peuvent être utilisés par les personnes allergiques au latex.
Les lubrifiants à base de pétrole ou d'huile ne devraient pas être utilisés avec les condoms en latex, puisque ces substances affaiblissent le latex et peuvent entraîner une rupture. Le risque de glissement du condom varie en fonction des différentes pratiques sexuelles; un lubrifiant peut réduire le risque de glissement dans certaines situations, tout en augmentant le risque dans d'autresNote de bas de page 28Note de bas de page 29. Certains médicaments destinés à un usage vaginal (p. ex. les œstrogènes, les antifongiques) peuvent affaiblir les condoms en latex.
Les condoms lubrifiés avec un spermicide contenant du nonoxynol-9 (N-9) ne sont pas recommandés pour la prévention des ITSS, car le N-9 peut augmenter le risque de transmission des ITSS en provoquant des perturbations et des lésions des muqueuses génitales et analesNote de bas de page 30.
Consultez les étiquettes des emballages pour obtenir des renseignements sur l'utilisation sûre des condoms et des lubrifiants. Des renseignements sur les condoms et les digues dentaires, ainsi que sur la façon de fabriquer une digue dentaire, sont disponibles dans les ressources supplémentaires ci-dessous.
Étant donné que de nombreuses personnes n'utilisent pas les méthodes de barrière de manière régulière et correcte, il est important que le dépistage des ITSS soit inclus dans les soins courants.
Autres ressources pour les méthodes de barrière pour l'ITSS
Agence de la santé publique du Canada (ASPC)
- Utilisation sécuritaire des condoms
- Livret : Infections transmises sexuellement
- Liste des instruments médicaux homologués en vigueur (MDALL)
Réseau communautaire d'info-traitements sida (CATIE)
Vaccination
Proposez la vaccination contre le virus de l'hépatite A (VHA), le VHB, le VPH, et la mpox aux personnes susceptibles de contracter ces infections, conformément au Guide canadien d'immunisation. Pour plus d'informations, consultez les calendriers de vaccination des provinces ou territoires.
Références
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