#ImmigrationCaCompte à Winnipeg, Manitoba - Placer les gens avant les profits dans le secteur de la technologie

Placer les gens avant les profits dans le secteur de la technologie

17 avril 2019

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Placer les gens avant les profits dans le secteur de la technologie

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Transcription: « L’immigration ça compte à Winnipeg, au Manitoba»

Durée de la vidéo : 3 minutes, 17 secondes

Un air de musique inspirant se fait entendre en arrière-plan.

Le texte suivant s’affiche : « L’immigration, ça compte à Winnipeg, au Manitoba »

Des gens déambulent dans une rue couverte de neige.

Un gros plan de Pablo, debout dans sa maison, apparaît à l’écran. Il sourit.

Le texte suivant s’affiche : « Pablo Listingart, PDG de ComIT. Il a fondé un organisme caritatif de formation en informatique en Argentine, puis l’a exporté au Canada. »

Pablo : Je m’appelle Pablo Listingart et je suis arrivé au Canada en 2015.

Pablo se verse un café, chez lui, dans sa cuisine. Il boit son café devant une fenêtre.

Pablo : J’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de professionnels qui n’avaient pas d’emploi. J’ai commencé à réfléchir à la façon de combler cette lacune.

Des plans de caméra montrant des rues de la ville de Winnipeg en hiver et des voitures se déplaçant dans la circulation s’affichent à l’écran. Pablo travaille depuis son domicile.

Pablo : Nous essayons d’aider les gens qui n’ont pas les moyens de faire des études universitaires ou d’autres types de formations. Nous leur offrons une formation de trois mois pour qu’ils puissent devenir développeurs de logiciels.

On aperçoit l’extérieur du domicile de Pablo. Un plan moyen rapproché de Pablo en train de parler au téléphone cellulaire s’affiche à l’écran.

Pablo : Lorsque nous sommes arrivés au Canada, une personne avec qui j’avais partagé un bureau il y a plusieurs années m’a téléphoné. Il m’a dit : « Nous devons faire une proposition à google.org. Ils songent à financer plusieurs projets, nous devrions leur proposer ComIT. »

Un gros plan de Pablo à son bureau, en train de travailler à l’ordinateur, s’affiche.

Une vue aérienne de Winnipeg apparaît à l’écran. Un train traverse un pont.

Pablo : Il m’a rappelé en novembre pour me dire : « Tu as obtenu la subvention. »

Une salle de classe avec une rangée d’élèves assis devant un ordinateur s’affiche à l’écran. Les élèves écoutent attentivement l’enseignant parler devant la classe.

Pablo s’adresse à la classe. Les étudiants l’écoutent.

Pablo : Cela nous a permis d’embaucher des enseignants. Mon statut de propriétaire unique s’est transformé en statut d’employeur; alors qu’auparavant, je formais une quarantaine d’étudiants par année, j’en ai formé 300 en 2015 et plus de 500 en 2016.

On montre une salle de classe différente, avec des rangées d’élèves qui travaillent à l’ordinateur.

Daniel : Pablo est venu et je lui ai brièvement parlé. Je me suis rendu compte qu’il était lui-même un développeur de logiciels assez brillant. J’ai donc voulu l’embaucher.

Daniel parle avec Pablo et sourit.

Le texte suivant s’affiche : « Daniel Simair, cofondateur de SkipTheDishes, PDG de Pivot »

Pablo et Daniel marchent dans un couloir d’école.

Pablo parle à Daniel devant une classe.

Daniel : Il m’a alors dit : « Mettons sur pied un cours ComIT. » Soit nous obtiendrions de bons résultats parmi les élèves, soit il accepterait de venir travailler pour moi.

Daniel montre quelque chose aux élèves sur un grand écran vidéo à l’avant de la classe.

Daniel : Il s’avère qu’après avoir lancé ComIT, nous avons embauché 5 étudiants de la première cohorte.

Daniel parle avec un élève devant son ordinateur. Un élève manipule une souris d’ordinateur.

Pablo parle à Daniel. Pablo rit.

Daniel : Il essaie simplement d’aider les gens. Il pourrait faire une école à but lucratif, mais ComIT est un organisme sans but lucratif. Chaque fois qu’il a plus de ressources, une autre classe s’ouvre, ou bien il paie des instructeurs ou embauche des employés.

Les étudiants travaillent devant leur ordinateur.

Daniel et Pablo marchent dans le couloir de l’école et se parlent. Daniel écoute Pablo.

Daniel : Sa mission consiste donc à trouver du travail pour les gens.

Pablo et quelques étudiants sortent d’un ascenseur pour accéder aux bureaux de SkipTheDishes.

Ayngaran est à son bureau et travaille à son ordinateur.

Ayngaran : Je travaille chez SkipTheDishes depuis un peu moins d’un an et demi. Ici, tout le monde veut être le meilleur possible; il s’agit donc d’un endroit où il fait bon travailler.

Le texte suivant s’affiche : « Ayngaran Jeyaratnam, ancien étudiant de ComIT, maintenant employé de SkipTheDishes »

Un employé parle et rit.

Ayngaran marche dans les couloirs de SkipTheDishes.

Ayngaran salue Pablo en lui serrant la main.

Un gros plan d’un enseignant écrivant sur un tableau blanc dans une classe s’affiche à l’écran.

Les élèves écoutent l’enseignant

Ayngaran : Mon expérience avec ComIT a débuté lorsque j’ai remarqué un avis affiché à l’Information and Communication Technology Association of Manitoba. ComIT offrait un cours de programmation Java gratuit. Ils m’ont aidé à bien comprendre ce que c’est que d’être un développeur.

Ayngaran et un autre étudiant parlent à son bureau. Gros plan d’un élève en train d’écrire sur un ordinateur portable.

Ayngaran : Avec les cours, vous pouvez travailler en équipe à la résolution de problèmes. Vous ne faites pas que lire un manuel. Vous apprenez en quelque sorte les étapes à suivre pour aller de l’avant.

Pablo et un groupe d’étudiants se promènent et visitent les bureaux de SkipTheDishes.

Ayngaran écrit sur son clavier.

Ayngaran parle à Pablo en riant.

Ayngaran : À la fin du cours, j’ai trouvé un emploi. C’est incroyable de voir à quel point on peut avancer rapidement, c’est fou. Ça a assurément changé ma vie.

Fondu au noir.

Des voitures circulent dans une rue du centre-ville de Winnipeg, devant de gros bancs de neige.

Pablo : Je veux que les gens comprennent que l’on peut gérer son propre avenir en faisant un effort et en étant fidèle à ses propres valeurs.

Pablo marche avec Ayngaran dans les couloirs d’un bureau. Pablo parle avec ses collègues. Ils se serrent la main.

Pablo fait le tour du bureau avec les étudiants de ComIT, leur faisant visiter les lieux.

Des drapeaux canadiens flottent devant les façades des immeubles du centre-ville de Winnipeg.

Pablo : Pour moi, rendre les cours gratuits pour les gens, c’est démocratiser l’éducation. Je suis venu ici pour pouvoir continuer à faire ce que je faisais en Amérique du Sud, mais je ne m’attendais pas à réussir aussi vite.

Pablo est debout dans le couloir de la maison familiale, tenant sa petite fille dans ses bras. Il l’embrasse sur la joue.

La femme de Pablo tient leur fille dans ses bras, debout dans le couloir. Elle sourit à la caméra.

Pablo et sa femme se promènent dans la neige avec leur fille, qu’ils tirent sur un traîneau derrière eux.

Pablo sourit.

Pablo prend sa fille, qui se trouve sur le traîneau, dans ses bras.

Pablo : Avec la naissance de mes enfants, c’est probablement l’une des plus belles choses qui me soient arrivées : avoir la possibilité d’aider d’autres personnes à changer leur vie et celle de leur famille; ces gens vont à présent faire quelque chose de différent pour l’avenir.

De pouvoir faire cela pour les Canadiens, pour le pays qui m’a accueilli et m’a donné l’occasion de faire venir ma famille, c’est une chance inespérée.

Une vue aérienne du centre-ville de Winnipeg apparaît à l’écran.

Fondu au noir.

Le texte suivant s’affiche : « Les immigrants enrichissent nos communautés. »

Fondu au noir.

Texte affiché : « Racontez votre histoire #ImmigrationÇaCompte; Facebook : @CitImmCanFR; Twitter : @CitImmCanFR; Instagram : @CitImmCanFR »

Fondu au noir.

Le texte suivant s’affiche : « Canada.ca/immigration-ca-compte »

Fondu au noir.

La signature d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et l’avis de droits d’auteur « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2019 » s’affichent à l’écran, suivis du mot-symbole « Canada ».

Profil d’immigration : Winnipeg, Manitoba (région métropolitaine de recensement)

Faits en bref

  • Les immigrants à Winnipeg représentent 24 % de la population.
  • Entre 1980 et 2016, 65 % de tous les immigrants qui se sont établis à Winnipeg étaient des immigrants économiques, tandis que 22 % étaient parrainés par des membres de leur famille et que 13 % étaient des réfugiés.
  • Près de 500 000 immigrants qui travaillent au Canada ont une formation dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM).

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