Réseaux d’innovation

Environnement protégé
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    Possibilités d’innovation

    Financement : Jusqu’à 1 500 00 $ pour une période de 3 ans

    Bénéficiaires admissibles : Collaboration entre le monde universitaire et l’industrie. L’université Canadienne doit être le chercheur principal.

    Niveau de maturité de la solution : de 1 à 6

Le programme IDEeS soutient l’établissement de nouveaux réseaux d’innovation et quand c’est approprié, il appuie les réseaux existants, afin de stimuler la collaboration et la libre circulation d’idées essentielles à l’innovation. Les universitaires, les intervenants de l’industrie et d’autres partenaires sont encouragés à se réunir pour former des réseaux collaboratifs d’innovation. Les domaines de soutien de la recherche et du développement de pointe varieront au fil du temps en fonction des défis d’innovation actuels et futurs du Canada sur le plan de la défense et de la sécurité.

Possibilités d’innovation

Financement : Jusqu’à 1 500 00 $ pour une période de 3 ans

Bénéficiaires admissibles : Collaboration entre le monde universitaire et l’industrie. L’université Canadienne doit être le chercheur principal.

Niveau de maturité de la solution : de 1 à 6

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    Matériaux de pointe pour la défense et la sécurité
    6 micro-réseaux d’innovation impliquant
    21 innovateurs dans le monde universitaire et le secteur privé
    Les projets concernent 17 établissements universitaires différents et 4 établissements privés
    80,9% Universités/ Milieu académique
    19,1% Entreprises privées

    Systèmes autonomes dans la défense et la sécurité
    6 micro-réseaux d’innovation impliquant
    23 innovateurs dans le monde universitaire et le secteur privé
    Les projets concernent 16 établissements universitaires différents et 7 établissements privés
    69,5% Universités/ Milieu académique
    30,5% Entreprises privées

    Diagramme décrivant les connexions et relations entre divers partenaires du réseau d’innovation, l’Université York étant soulignée comme partenaire principal. Nippissing University, C3 Human Factors Consulting, Imagine 4D, Ontario Institute of Technology, Centre de Recherche Informatique de Montréal, l’Université York #2 et Dalhousie University sont tous connectés, directement et indirectement.

Réseaux d’innovation : Systèmes autonomes dans la défense et la sécurité : confiance et obstacles à l’adoption

Les domaines de l’autonomie, de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine progressent rapidement. Déjà, des systèmes autonomes sont intégrés dans le secteur privé, avec l’avènement de systèmes tels que les voitures à conduite autonome, les drones de livraison et les systèmes de conseil médical.

Les applications de défense et de sécurité des systèmes autonomes ont beaucoup en commun avec les applications du secteur privé, notamment la navigation et la planification des itinéraires, l’aide à la décision, la surveillance et la reconnaissance, ainsi que la recherche et la récupération. Dans ce contexte, plusieurs tendances convergent pour faire de l’utilisation accrue des systèmes autonomes une option intéressante pour les capacités futures. Il s’agit notamment de la réticence accrue du public à accepter des pertes pendant les opérations, de la nécessité de réduire le temps de réaction pour les tâches complexes ou urgentes, de la nécessité de travailler dans des environnements physiques où les humains ne peuvent pas se rendre, de la nécessité de réduire la charge physique et cognitive des soldats/premiers intervenants et, éventuellement, de compenser la réduction du nombre de soldats/premiers intervenants due à l’évolution démographique.

Pour profiter pleinement des progrès récents dans le domaine des systèmes autonomes, il est essentiel de comprendre les questions de confiance et les autres obstacles à l’adoption.

Advanced materials

Matériaux de pointes pour la défense et la sécurité : À la recherche d’innovations en évitement de la détection et protection physique

Les blessures causées au personnel et les dommages occasionnés aux plateformes militaires (p. ex., pénétration, surpression, charge de choc et impact contondant) constituent un défi constant pour les Forces armées canadiennes et le secteur de la sécurité publique du Canada. D’autres défis à relever découleront des technologies émergentes liées au champ de bataille, comme les lasers de forte puissance et autres armes à énergie dirigée. Par conséquent, il y a un besoin constant de comprendre et d’exploiter les progrès en science des matériaux, plus particulièrement pour augmenter la protection contre les menaces actuelles et futures et aussi pour réduire le poids des systèmes de protection et améliorer l’efficacité des missions.

Lorsque l’on examine les applications bénéfiques potentielles de la recherche sur les matériaux de pointe, deux domaines généraux revêtent une importance cruciale dans le contexte de la défense et de la sécurité, à savoir l’évitement de la détection et la protection physique.

Inspiration de l’innovation : camouflage des céphalopodes

Ayant disposé de milliers d’années d’évolution pour affiner son but, la nature a une bonne longueur d’avance sur la technologie créée par l’homme. Exemple : la capacité d’une pieuvre à se fondre dans son environnement. C’est pourquoi les innovateurs cherchent à s’inspirer de la biomécanique avancée de la pieuvre pour concevoir des surfaces qui imitent l’environnement. Des chercheurs de trois des principales universités canadiennes travaillent à la conception d’un camouflage artificiel intelligent pour les Forces armées canadiennes en utilisant des méta-surfaces biomimétiques qui changent pour correspondre aux couleurs et aux motifs qu’elles traversent. Les méta-surfaces seront testées à l’aide de modèles simples et complexes afin de voir dans quelle mesure les véhicules peuvent être invisibles aux technologies de détection telles que le radar. Les réseaux de détection intelligents contribueront à alimenter cette technologie avancée pour aider les troupes à éviter la détection des menaces cinétiques et non cinétiques.

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