Autres questions clés

Modernisation de la gestion de l'information et de la technologie de l'information

  • La Défense nationale est déterminée à faire en sorte que ses systèmes de gestion de l'information et de technologie de l'information demeurent adaptés et efficaces.
  • C'est pourquoi nous demandons 61,5 millions de dollars dans le présent Budget des dépenses pour faire face aux mises à niveau urgentes requises pour trois de nos plateformes de gestion de l'information et de technologie de l'information.
  • La mise à niveau et la modernisation des plateformes, dont celles de la Défense nationale, concernent :
    • Le Système d'information de la gestion des ressources de la défense (un outil logiciel intégré utilisé pour effectuer le matériel financier, l'acquisition et le soutien, ainsi que les activités liées aux biens immobiliers et à la logistique de la Défense);
    • La chaîne d'approvisionnement de la Défense;
    • PeopleSoft (gestion des ressources humaines).
  • Le fait de pouvoir fournir de l'information opportune, fiable et sécurisée qui peut être partagée à l'échelle de la Défense nationale est le fondement d'une prise de décision éclairée et fondée sur des données probantes.
  • La modernisation et la mise à niveau de ces systèmes assureront que nos plateformes et nos systèmes puissent gérer efficacement les ressources et les personnes, améliorer les opérations et renforcer la prestation de services.

Faits principaux

  • Budget 2021 : A annoncé 283,6 M$ 283,6 M$ sur cinq ans pour mettre à niveau et moderniser les plateformes et les systèmes existants de gestion de l'information et de technologie de l'information de la Défense nationale.
  • En janvier 2022, la Défense nationale a reçu l'approbation du Conseil du Trésor pour avoir accès à 272 millions de dollars (y compris les coûts retenus centralement) pour les initiatives suivantes :
    • Analyse des options de modernisation du Système d'information de gestion des ressources de la défense (SIGRD) : Une année de financement (2021-2022) sera consacrée aux activités d'analyse des options en préparation au projet de modernisation du SIGRD.
    • Modernisation des activités liées aux ressources de la Défense (MALRD) : Une année de financement (2021-2022) sera consacrée à l'avancement de diverses sous-initiatives dans le cadre du programme du MALRD. Il s'agira d'un précurseur pour l'intégration des systèmes, y compris la mise à niveau des systèmes et des processus qui dépendent du SIGRD.
    • Infrastructure existante du SIGRD : Cinq ans de financement (2021-2022 à 2025-2026) pour effectuer la maintenance de l'équipement du SIGRD, augmenter l'infrastructure des technologies de l'information et améliorer la sécurité des technologies de l'information jusqu'à ce que la nouvelle plateforme soit mise en ligne.
    • Mise à niveau de PeopleSoft : Cinq ans de financement (2021-2022 à 2025-2026) serviront à moderniser l'application PeopleSoft existante et à mettre à jour les systèmes civils et militaires.
    • Chaîne d'approvisionnement de la défense (CAD) : Cinq ans de financement pour moderniser la CAD, ce qui permettra l'analyse prédictive et améliorera les installations de stockage, de distribution et de maintenance.

Plan d'action pour les sites Contaminés Fédéraux

  • La Défense nationale reconnaît sa responsabilité et son obligation de rendre compte de l'impact des activités liées à la défense sur l'environnement, les communautés et les personnes.
  • Dans le cadre du Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux, nous investissons des ressources pour nettoyer la contamination héritée du passé et minimiser l'impact environnemental futur des opérations militaires.
  • C'est pourquoi la Défense nationale demande 74,9 millions de dollars dans le présent budget pour poursuivre la phase IV de ce plan, ce qui permettra aux responsables de continuer à assainir huit sites contaminés de haute priorité.
  • Ce financement appuiera également les efforts continus visant à réduire les risques pour l'environnement et la santé humaine, ainsi que les passifs financiers fédéraux connexes.
  • Grâce à des programmes comme ceux-ci, la Défense nationale s'engage à faire en sorte que ses membres et ses activités respectent l'environnement et assurent la gérance environnementale.

Faits principaux

  • Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux (PASCF) : Les sites contaminés fédéraux sont des sites qui se trouvent sur des terres dont le gouvernement fédéral est propriétaire ou locataire, et sur des terres où le gouvernement fédéral a accepté l'entière responsabilité de la contamination.
  • Établi en 2005 comme un programme de 15 ans avec 4,54 milliards de dollars de financement, le PASCF a été renouvelé en 2019 pour une autre période de 15 ans (2020-2034) avec 1,16 milliard de dollars pour les cinq premières années (phase IV de 2020 à 2024), y compris :
    • 1,05 milliard de dollars pour assainir 1 316 sites contaminés;
    • 24,3 millions de dollars pour évaluer 242 sites;
    • 83,4 millions de dollars pour gérer ce programme.
  • Huit projets d'assainissement prioritaires en cours en 2023-2024 :
    • Projet d'assainissement du secteur d'entraînement des pompiers no 1 de la Base des Forces canadiennes Borden (Ontario);
    • Projet d'assainissement du port d'Esquimalt (Colombie‑Britannique);
    • BAF-3 Brevoort Island LRR (Nunavut); la zone d'instruction de lutte contre les incendies, 3 Ere Bagotville (Québec);
    • Stony Point (ancien camp Ipperwash) (Ontario);
    • SPFA à la grandeur du site, BFC Edmonton (Alberta);
    • Nouvel atelier de finition ESTTMA (Ontario);
  • Contamination par le trichloroéthylène, BFC Valcartier (Québec). Ces projets concernent des sites contaminés hautement prioritaires pour lesquels des risques juridiques, environnementaux ou sanitaires ont été identifiés.
  • L'assainissement de ces sites réduit également les valeurs du passif déclarées dans les Comptes publics du Canada pour l'inventaire des sites contaminés de la Défense nationale.
  • Résultats de l'année financière 2022-2023 (chiffres préliminaires) :
    • Activités d'évaluation menées dans 50 sites, dont 10 ont reçu le financement du Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux.
    • Activités d'assainissement menées dans 209 sites, dont 184 ont reçu le financement du Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux.
    • 55 fermetures de sites, dont 17 ont reçu le financement du Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux.
    • Il y a eu une réduction de 10 % des passifs associés aux sites contaminés en 2022-2023.

Mise à jour de la politique de Défense

  • Notre politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement (PSE) est la base de la façon dont les Forces armées canadiennes (FAC) sont soutenues et équipées, assurant que nous sommes forts au pays, en sécurité en Amérique du Nord et engagés à l'échelle mondiale.
  • Bien que PSE ait défini avec précision les changements dans l'environnement de sécurité, le monde a évolué de manière significative depuis sa publication, et il était impossible d'anticiper la vitesse et l'intensité avec lesquelles ces changements se sont produits.
  • Les menaces nouvelles et émergentes nous obligent à mettre à jour notre politique de défense et à relever les défis actuels en matière de sécurité.
  • Cette mise à jour présentera un plan d'action clair visant à garantir que les FAC disposent des ressources et des capacités nécessaires à la réalisation de leur mandat.
  • La mise à jour de notre politique de défense est essentielle pour garantir que nous disposons des orientations, des ressources et des capacités futures nécessaires pour nous adapter à un environnement opérationnel mondial dynamique et complexe.
  • Dans le cadre de ce processus, il est important d'entendre nos partenaires et intervenants, y compris les parlementaires.
  • J'ai été encouragé en entendant le dialogue entre mes fonctionnaires et plusieurs d'entre vous sur des questions urgentes comme le personnel, l'approvisionnement de la défense et les défis de sécurité dans l'Arctique.
  • Je collabore aussi activement avec les alliés, les partenaires autochtones, les experts universitaires et l'industrie de la défense du Canada dans le cadre de cet examen, et je me réjouis à l'idée de faire participer d'autres intervenants principaux au fur et à mesure que le processus se déroule.

Si on insiste sur un échéancier pour la publication :

  • La mise à jour de la politique de défense est une priorité fondamentale et nous devons veiller à ce qu'elle réponde aux besoins de l'Équipe de la Défense.
  • Nous continuerons à faire participer les principaux intervenants et à fournir des mises à jour sur le processus d'examen.

Faits principaux

  • Dans le Budget 2022, le gouvernement du Canada s'est engagé à mener un examen de sa politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement (PSE), dans le but de la mettre à jour pour l'adapter à un monde qui est devenu moins sûr et moins prévisible.
  • La Défense nationale s'est engagée à collaborer avec les partenaires et les alliés pendant le processus d'examen, ainsi qu'avec l'industrie, le Parlement, les experts de la défense et les partenaires autochtones.
  • Lancée en 2017, la politique PSE continue d'être la stratégie directrice de la Défense nationale pour répondre efficacement à un monde en évolution.
  • La politique PSE vise à s'assurer que les FAC puissent être une armée moderne, capable et prête au combat pouvant maintenir la sécurité du Canada et contribuer à un monde plus pacifique.
  • Dans le cadre de la politique PSE, la Défense nationale s'est engagée à augmenter les dépenses de défense de 70 % sur 10 ans (2016-2017 à 2026-2027).
  • 78 % des projets de PSE sont actuellement en phase de mise en œuvre ou de clôture.

Détails

  • Le 27 mars 2023, la Défense nationale a organisé deux engagements distincts avec des membres du Comité sénatorial permanent sur la sécurité nationale, la défense et les anciens combattants (SECD) et du Comité permanent de la Chambre sur la défense nationale (NDDN). Le but de ces engagements était d'entendre les parlementaires sur les principaux enjeux de la défense afin d'éclairer le processus de mise à jour de la politique de défense.
  • Les principaux thèmes des deux discussions sont les suivants : Arctique et NORAD, problèmes liés au personnel (recrutement), ainsi que défis en matière d'approvisionnement.
  • Plus précisément, les membres du NDDN se sont concentrés sur :
    • Défense de l'Arctique et de la zone continentale : Faisant écho à leur étude récente, le sujet de la sécurité dans l'Arctique a été important dans la discussion. Les membres ont exprimé leurs préoccupations au sujet des ambitions russes et chinoises dans l'Arctique et des nouvelles menaces qu'ils posent à la région, notamment en ce qui concerne la guerre sous-marine. Les membres ont également parlé des répercussions et des possibilités créées par le fait d'avoir cinq alliés de l'OTAN dans l'Arctique. Les membres conviennent que la politique sur la défense contre les missiles balistiques est désuète et que le commandement interarmées du NORAD est l'endroit où le Canada peut ajouter de la valeur.
    • Personnel : La question du recrutement était particulièrement intéressante pour les membres du NDDN, qui ont discuté des solutions pour combler les rangs des FAC. Par exemple, les membres ont convenu de l'importance de réduire les délais dans le processus de recrutement, assurant qu'il est inconcevable que nous perdions des personnes qui sont prêtes à se joindre aux FAC en raison du temps d'attente.
    • Approvisionnement : Les membres conviennent que le système d'approvisionnement canadien est un « désastre » qui doit être résolu, notamment en trouvant des moyens de rassurer l'industrie de la défense naturellement hostile au risque, en favorisant la prévisibilité et en réduisant les processus d'approvisionnement de dix ans. Ils ont également préconisé une plus grande responsabilisation et des processus d'approbation plus rapides, particulièrement pour l'équipement nécessaire rapidement. Tous les membres conviennent que le Canada doit investir lourdement dans ses capacités de défense et que le moment est venu de le faire.

Autres engagements de mise à jour de la politique de défense :

  • Le 12 et 13 janvier, la ministre a organisé des discussions en table ronde avec des membres supérieurs des associations et des cadres supérieurs de l'industrie canadienne de l'aérospatiale et de la défense.
  • La Défense nationale a organisé deux engagements avec des représentants de la communauté d'experts de la défense et de la sécurité en février.
  • De plus, l'Équipe de la Défense a consulté l'ensemble du gouvernement et les alliés.
  • En mars 2023, la Défense nationale a lancé un portail Web pour le grand public et a l'intention de s'engager auprès des partenaires autochtones dans un avenir rapproché, en plus d'autres engagements avec l'industrie et les experts.

Aperçu des contrats de McKinsey & Company

  • Les services de consultation externes offrent une fonction habilitante importante.
  • Ils s'ajoutent au travail important et continu de notre personnel en apportant l'expertise de l'industrie à la table et, dans certains cas, de l'information pertinente pour aider à stimuler le changement et l'innovation.
  • En fait, ce sont les facteurs qui déterminent les contrats que nous avons passés avec McKinsey & Company.
  • La Défense nationale a attribué 15 contrats à McKinsey & Company pour une valeur totale de 29 652 665 $ entre le 1er janvier 2011 et le 18 janvier 2023.
  • La Défense nationale a un contrat actif avec McKinsey & Company qui doit se terminer en avril 2023.
  • Ces contrats ont informé les hauts dirigeants de la Défense de l'établissement du Chef de la conduite professionnelle et de la culture – la force motrice derrière nos initiatives d'évolution culturelle.
  • De tels contrats ont également aidé la Marine royale canadienne à se positionner pour l'avenir numérique, y compris en optimisant la disponibilité opérationnelle de ses équipages et de ses navires.
  • Ils ont ajouté nos efforts pour moderniser la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Un domaine qui profite grandement des perspectives extérieures.
  • Dans de nombreux cas, les services de McKinsey ont permis à la Défense nationale de mesurer son rendement par rapport à des organisations canadiennes et internationales semblables - un processus connu sous le nom d'analyse comparative - afin de déterminer les possibilités d'amélioration organisationnelle.
  • En fin de compte, chacun de ces contrats était de courte durée, ciblé et appuyé des objectifs précis de la Défense.

Si on insiste sur les exemptions :

  • J'ai demandé au ministère d'examiner l'application des exemptions qui ont été appliquées à nos soumissions.
  • Les fonctionnaires évaluent actuellement les documents et nous allons tenir le Comité informé de nos progrès.

Faits principaux

  • Depuis janvier 2011, la Défense nationale a attribué 15 contrats à McKinsey & Company pour une valeur totale de 29 652 665 $.
  • En février 2021, Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) a mis sur pied une Offre à commandes principale et nationale (OCPN) non concurrentielle avec McKinsey & Company, qui a expiré le 28 février 2023.
  • La Défense nationale a soulevé douze (12) commandes subséquentes à l'OCPN depuis 2021, pour une valeur totale de 29 057 057 $.
    • SPAC est l'autorité contractante pour chaque commande subséquente de la Défense nationale en vertu de l'OCPN.
    • Chaque commande subséquente de la Défense nationale a été envoyée au SPAC pour être traitée, approuvée et publiée.
  • En 2019, la Défense nationale a attribué un (1) contrat à fournisseur unique à McKinsey & Company pour 24 860 $.
  • La Défense nationale a recueilli deux (2) contrats en vertu d'une entente d'approvisionnement du SPAC pour une valeur totale de 570 749 $.
  • Les organisations de la Défense nationale suivantes ont conclu des contrats avec McKinsey & Company depuis 2011 :
    • Chef – Conduite professionnelle et culture (7)
    • Sous-ministre adjoint (Matériels) (2)
    • Commandement des opérations interarmées du Canada (2)
    • Marine royale canadienne (3)
    • Vice-Chef d'état-major de la défense (1)

Détails

Chef – Conduite professionnelle et culture (CCPC)

  • En 2021, le CCPC a été créé pour diriger les efforts d'évolution culturelle, y compris de nouvelles approches pour aborder les causes profondes des défis systémiques et des lacunes à la Défense nationale.
  • Le CCPC a fait appel à McKinsey et à ses services d'analyse comparative comme moyen de mesurer les procédures, les pratiques, les programmes et la culture de la Défense nationale par rapport à des organisations canadiennes et internationales comparables, y compris le secteur privé.
  • Ces services ont informé les priorités du CCPC et la structure organisationnelle correspondante.
  • Depuis 2021, le CCPC a conclu un total de sept (7) contrats, avec McKinsey & Company totalisant environ 18,1 millions de dollars (taxes comprises).
    • Tous les contrats du CCPC sont des commandes subséquentes à l'OCPN non concurrentiel de SPAC avec McKinsey & Company.

Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC)

  • Le rôle principal du quartier général (QG) du Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC) est d'assurer le commandement et le contrôle des opérations des Forces armées canadiennes (FAC) déployées.
  • Les sondages internes antérieurs auprès du personnel du COIC – appuyés par les scientifiques de la recherche opérationnelle de développement Canada et Défense Canada – ont révélé un taux élevé d'épuisement professionnel, de problèmes de santé et de frustrations dans l'environnement du quartier général du COIC, y compris un manque de programme d'intégration et d'orientation cohérent.
  • Le COIC a engagé McKinsey & Company à deux reprises pour appuyer le travail du commandement visant à transformer et à faire évoluer l'organisation. Cela a inclus l'élaboration d'un plan stratégique des effectifs.

Marine royale du Canada

  • La Marine royale canadienne (MRC) s'engage à devenir une organisation numériquement mature et a établi une série d'objectifs stratégiques pour ce faire.
  • Cela comprend l'augmentation de l'utilisation des technologies numériques pour améliorer la prestation de l'instruction et la préparation militaire.
  • Pour répondre à ces produits livrables, la MRC a demandé à McKinsey & Company à trois occasions distinctes au cours de 2021 et 2022 de proposer une feuille de route pour la hiérarchisation, le séquençage et le ressourcement de leurs activités internes en vue de la mise en œuvre réussie de leur stratégie numérique.
  • De plus, et conformément à ses objectifs numériques stratégiques, la MRC travaille à fournir un outil moderne de gestion du personnel de la flotte alimenté par l'intelligence artificielle (IA), connu sous le nom de « l'état de l'effectif numérique ».
  • L'outil d'état de l'effectif numérique sera de plus en plus utilisé pour affecter les équipages appropriés et optimaux aux navires prévus pour le déploiement. La MRC a fait appel à McKinsey – en tirant profit de son information pertinente – pour obtenir de l'expertise technique et de l'aide dans l'élaboration d'une voie à suivre.
  • Il est à noter que, à titre de précurseur à son travail sur la transformation numérique décrit ci-dessus, la MRC a également lancé un contrat non concurrentiel avec McKinsey en 2019 pour offrir un atelier à la MRC et aux autres membres de l'Équipe de la Défense.

Sous-ministre adjoint (Matériels)

  • Le Sous-ministre adjoint (Matériels) a sollicité plusieurs experts indépendants externes pour élaborer un ensemble solide de recommandations sur les pratiques de pointe de la chaîne d'approvisionnement.
  • Dans le cadre de ce processus, McKinsey & Company a offert sept recommandations précises concernant la prise de décisions, les personnes et la professionnalisation, les processus, la technologie et l'analytique, qui ont été appuyés par leurs recherches sur le sujet et leurs idées sur d'autres efforts de transformation de la chaîne d'approvisionnement.
  • De concert avec les recommandations fournies par d'autres experts externes, les recommandations de McKinsey sont utilisées pour éclairer les plans de modernisation de la chaîne d'approvisionnement du ministère afin d'améliorer le rendement.

Vice-Chef d'état-major de la défense

  • L'Équipe de renouvellement de la défense (ERD) a été créée en 2012 et était composée d'une équipe de 22 personnes (militaires et civils) pour diriger, coordonner et mener un programme complet de renouvellement des processus opérationnels.
  • En 2013, l'ERD et McKinsey ont travaillé ensemble sur une période de cinq mois pour concevoir et élaborer un portefeuille d'initiatives dans le but de simplifier les opérations internes et d'accroître l'efficacité afin de transformer la façon dont le MDN obtient de meilleurs résultats pour les Canadiens et les Forces armées canadiennes.
  • Le travail effectué entre McKinsey et le MDN a finalement informé la Charte du renouvellement de la défense (2013) et le plan d'action de la Défense nationale correspondant qui mettait l'accent sur les améliorations dans les domaines des pratiques organisationnelles ainsi que du rendement (c.-à-d. les opérations et l'instruction), de l'entretien et du matériel, de la gestion de l'information et de la technologie, de l'infrastructure, du personnel et des systèmes de gestion.
  • Bien que l'ERD ait été mis sur pied en 2017, son travail a été axé sur l'élaboration d'initiatives de PSE liées à la modernisation des activités de la défense, augmentant l'efficacité et l'efficience du MDN et des FAC afin d'assurer un financement stable, réaliste et prévisible.

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