Entre nous
Les visages du SCC : James Murphy
« Il est facile de comprendre à quoi sont destinés les CCC Il s’agit de démystifier la nature des services correctionnels afin de faire connaître ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur des établissements pour toutes les personnes concernées, que ce soit les employés, les familles des employés, les délinquants, les familles des délinquants ou le public. »
Des participants aux programmes de CORCAN reconstruisent une clôture historique
Des délinquants autochtones ont réparé les clôtures d’un site historique de Parcs Canada et ont acquis de nouvelles compétences pour aider à préserver le patrimoine.
Faites la connaissance du champion du multiculturalisme du SCC
Michael K. Olotu, directeur général, droits, recours et résolution, a porté de nombreux chapeaux au Service correctionnel du Canada (SCC).
Les visages du SCC : Marilyn Sheldon
« La diversité en milieu de travail m’encourage à devenir une meilleure personne, à devenir plus compréhensive, plus cultivée et plus autonome, car les autres peuvent me transmettre de nouvelles méthodes d’apprentissage, d’autres façons de faire. »
La perspective d’une commissaire ‒ une discussion avec la Commissaire Anne Kelly
En 2018, Anne Kelly est devenue la neuvième commissaire du Service correctionnel du Canada (SCC) depuis la création de l’organisme en 1979. Elle est la deuxième femme à avoir été nommée à ce poste. L’équipe d’Entre Nous Express s’est entretenue avec la commissaire au sujet de sa carrière.
Les visages du SCC : Stacie Bourdon
Stacie Bourdon est agente correctionnelle à l’Établissement d’Edmonton à Edmonton, en Alberta. Grâce à la zoothérapie, elle offre du soutien proactif en santé mentale à d’autres agents correctionnels. Lisez son récit pour en savoir plus.
Conception de l’insigne du SCC : Source de fierté depuis des décennies
L’insigne du SCC n’a pas toujours ressemblé à cela. À la fin des années 1970, le commissaire Donald R. Yeomans s’était donné pour mission de créer un insigne représentatif de l’important travail accompli par le personnel du SCC. Un comité a donc été créé pour concevoir un nouvel insigne pour notre organisme.
13 choses que vous ne savez peut-être pas sur les femmes travaillant dans les services correctionnels
Les femmes ont joué un rôle dans les services correctionnels depuis l’ouverture du premier pénitencier à Kingston en 1835. Aujourd’hui, 52 % du personnel du Service correctionnel du Canada (SCC) sont des femmes. Elles travaillent dans tous les aspects de l’organisation, depuis les travailleurs de première ligne jusqu’aux cadres supérieurs.
Crime, punition et prison pour les femmes
Susan Turner (21), Hannah Downes (17) et Hannah Baglen (25) ont toutes les trois été condamnées de vol. Elles sont arrivées au nouveau pénitencier de Kingston le 3 septembre 1835, devenant ainsi les premières femmes incarcérées au Canada.
Les visages du SCC : Ellen Connor
« On lance une pierre, mais on ne verra peut-être pas l’effet d’entraînement jusqu’à la fin. Et devinez quoi? Cet effet d’entraînement se poursuit. Voici ce qui me motive : le genre, l’égalité, l’inclusivité et la diversité. Ce sont tous des domaines qui me tiennent vraiment à cœur. »
Diderot Roc : Partage des avantages du multiculturalisme avec les délinquants et les collègues
Diderot Roc sait que le partage de la nourriture est une façon amusante de partager des cultures, des traditions et des points de vue différents. Il a reçu en 2023 le prix Emerson Douyon pour le multiculturalisme.
Les visages du SCC : Alima Prime
« J’ai toujours voulu travailler à l’intérieur du système de justice pénale. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai envoyé une télécopie de mon curriculum vitae à l’Établissement d’Edmonton, la prison à sécurité maximale pour hommes. Ils m’ont appelée pour que je vienne ramasser une trousse en vue d’étudier pour un poste d’intervenante de première ligne à l’Établissement d’Edmonton pour femmes (EEF).
Le Réseau des employés noirs : créer des liens entre les employés noirs dans l’ensemble du SCC
De Réseau des employés noirs est un espace virtuel sûr visant à favoriser un lieu de travail inclusif où la diversité des origines, des idées et des capacités est valorisée et respectée, un lieu où chaque employé noir peut atteindre son potentiel.
Theresa Halfkenny : bénévole d’exception
Theresa Halfkenny a travaillé comme bénévole dans des prisons de la région de l’Atlantique pendant 32 ans. Son dévouement et sa gentillesse ont marqué le SCC et des centaines de détenus au fil des ans.
Justice réparatrice : dans la peau d’une médiatrice
Le programme de Possibilités de justice réparatrice du SCC ouvre un dialogue pour adresser les torts causés par un crime. Elle place les personnes concernées, l’auteur du crime et les victimes, au centre du processus. Le SCC préconise cette approche depuis des dizaines d’années.
En reconnaissance de Carole Eldridge et de son approche unique de la justice réparatrice
Carole Eldridge a travaillé pour le programme Possibilités de justice réparatrice (PJR) du Service correctionnel du Canada (SCC) pendant 14 ans. En tant que praticienne en justice réparatrice et médiatrice dans les cas de crimes graves, elle fournissait des soins empreints de compassion à ses clients. Elle a accompagné à la fois des victimes et des délinquants dans leur cheminement vers le dialogue et la responsabilisation véritable.
Le pénitencier participe à la guerre
En 1943, au plus fort de la Seconde Guerre mondiale, des journalistes ont visité des pénitenciers fédéraux pour illustrer le rôle de la main-d’œuvre carcérale dans l’effort de guerre.
Des délinquants bâtissent des gradins d’aréna tout en développant des compétences et un sentiment de fierté collective
Work to Give (W2G) est un programme axé et dirigé par des Autochtones. Il est essentiel au bien-être et à la réhabilitation des délinquants autochtones et leur offre la possibilité de développer des compétences en construction.
Réflexion sur le legs d’Adele
« Vous pouvez toujours compter sur Adele pour faire ce qu’il faut de la bonne manière. » Retour sur la carrière d’Adele MacInnis-Meagher comme ergothérapeute et dirigeante au SCC.
Renforcer les liens familiaux par la lecture
La lecture de livres à un enfant par ses parents renforce le lien important qui les unit. C’est justement ce que propose le programme de lecture enfants- détenu(e)s. Le détenu s’enregistre en train de lire un livre. Le livre et l’enregistrement sont ensuite envoyés à l’enfant, qui peut suivre l’histoire en écoutant son parent lire.
Un délinquant offre une sculpture de Sedna en cadeau à une organisation de femmes inuites
Dans le cadre de son cheminement de guérison, un délinquant inuit a récemment offert en cadeau sa sculpture de Sedna, déesse inuite de la mer, à l’association Pauktuutit Women of Canada. La sculpture est un élément significatif de la culture inuite. Découvrez comment le Continuum de soins pour les Autochtones du SCC assure la prestation d’interventions et de programmes adaptés sur le plan culturel aux délinquants autochtones.
L’approche non conventionnelle pour l’apprenant non conventionnel
Le programme de conditionnement physique du SCC, qui favorise un mode de vie sain, aide les personnes incarcérées à améliorer non seulement leur santé physique, mais aussi leur bien-être mental et social.
Présentation de la nouvelle sous-commissaire des services correctionnels pour Autochtones
Kathy Neil est la nouvelle sous-commissaire des services correctionnels pour Autochtones. En priorité, elle vise à faire reconnaître le travail des Aînés et à favoriser la collaboration avec les organismes et les communautés autochtones. Apprenez-en davantage sur la façon dont elle apportera une perspective autochtone aux services correctionnels.
Ouvrir la voie
Écoutez Kathy Neil, la première sous-commissaire des services correctionnels pour Autochtones, expliquer dans ses propres mots ce que sont les services correctionnels pour Autochtones.
Vérité et réconciliation
Écoutez Kathy Neil, la première sous-commissaire des services correctionnels pour Autochtones, expliquer dans ses propres mots ce que la vérité et la réconciliation signifient pour elle.
Cedarhedge fête ses 150 ans
Le Musée pénitentiaire du Canada était autrefois la résidence du directeur du pénitencier de Kingston. Il a été construit par des gangs de détenus en 1873. Il fête ses 150 ans cette année.
Pour l'amour du jeu
Michelle Foreman est agente de libération conditionnelle dans la collectivité et est chargée des régions rurales du sud du Manitoba. Elle aime son travail, mais c’est un changement de rythme par rapport à son autre vie, celle de joueuse de basket-ball professionnelle.
Présentation de photos signalétiques : les photos signalétiques dans les établissements correctionnels au fil de l'histoire
La prise de photos signalétiques et d’empreintes digitales est une procédure habituelle et largement reconnue lorsqu’une personne va en prison. Pourtant, ça n’a pas été fait dans les prisons canadiennes avant le début du 20e siècle. Comment cela s’explique-t-il alors que le système pénitentiaire canadien a fait ses débuts en 1835?
Travailler auprès des délinquants noirs à l’intérieur et à l’extérieur des murs
Trois nouveaux agents de liaison mènent à bien un projet pilote axé sur des réinsertions sociales culturellement adaptées.
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