Cahier de transition 2024 : Commissaire Shereen Benzvy Miller

Informations générales

Emplacements et heures de bureau

Ottawa : 

427, Avenue Laurier ouest, 5e étage

Ottawa, ON  K1R 7Y2

Toronto : 

121, Rue King Ouest

Toronto, ON  M5H 3T9

À l’ACFC, une semaine normale de travail équivaut à 37,5 heures du lundi au vendredi inclusivement. Une journée normale de travail est de 7,5 heures consécutives, à l’exclusion d’une période de repas non rémunérée d’une durée minimale de 30 minutes. Les heures de travail flexibles sont une modalité qui permet à un employé ou une employée de demander de varier son heure de début et de fin de journée ou sa période de repas non rémunérée. Sous réserve des exigences opérationnelles, les employés peuvent demander des horaires flexibles entre 7 h et 18 h.

Les superviseurs ont le pouvoir d’approuver les horaires de travail. Lorsque l’heure de début est comprise entre 7 h et 9 h 30 (heure de l’Est), que l’heure de fin est comprise entre 15 h et 18 h (heure de l’Est) et que la période de repas non rémunérée est de 30 à 60 minutes, les demandes et les approbations peuvent être effectuées par courriel. Toute demande qui s’écarte de ces normes doit être officialisée en soumettant le formulaire de Demande de modalités de travail flexibles et, une fois l’horaire approuvé, celui-ci doit être consigné dans MesRHGC.

Renseignements sur le stationnement

Bureau du stationnement – 613-786-3013

Carte d’identité et laissez-passer

  1. Renouveler ou obtenir une carte d’identité de l’ACFC.docx
  2. Laissez-passer : fourni par le bureau de l’administration. FCAC.reception-reception.acfc@fcac-acfc.gc.ca

Services de soutien pour la TI

Le personnel du centre de services de GI/TI offre du soutien de 7 h à 17 h (heure de l’Est), du lundi au vendredi, et peut être joint des façons suivantes :

Équipement de TI de base fourni :

Équipement de TI, autre que l’équipement de base, fourni sur demande :

Principales applications de TI de base fournies :

Aperçu de l'Agence

Mandat

L’Agence de la consommation en matière financière du Canada a été créée en 2001. C’est un organisme du gouvernement fédéral qui a pour mandat de protéger les droits et les intérêts des consommateurs de produits et de services financiers au Canada.

L’ACFC remplit son mandat de 2 grandes façons :

L’Agence a également pour mandat de faire ce qui suit :

Tableau synthèse de l’Agence

L’Agence a mis au point un tableau synthèse qui décrit son mandat, ses rôles et certaines de ses activités clés actuelles, qui peut être partagé lors de réunions avec les intervenants, en particulier lors des réunions initiales. Ce tableau est régulièrement mis à jour et fréquemment utilisé pour les réunions avec le cabinet du ministre.

Tableau synthèse: L'ACFC - Qui nous sommes et ce que nous faisons. Version textuelle suit.
Version textuelle : Agence de la consommation en matière financière du Canada - Que nous sommes et ce que nous faisons

Agence de la consommation en matière financière du Canada

Qui nous sommes et ce que nous faisons

Surveillance

L’ACFC surveille la conformité des entités financières sous réglementation fédérale, principalement les banques, aux mesures de protection des consommateurs définies dans la loi, les ententes publiques et les codes de conduite.

Cadre de protection des consommateurs de produits et services financiers

Pour répondre aux préoccupations soulevées par l’ACFC à la suite de son examen des pratiques de vente des banques, le Parlement du Canada a adopté une loi visant à renforcer le mandat de l’ACFC,ainsi qu’à améliorer les mesures de protection des consommateurs en place et à en instaurer de nouvelles au moyen d’un Cadre de protection des consommateurs de produits et services financiers dans la Loi sur les banques. Le Cadre est entré en vigueur le 30 juin 2022.

Voici les principaux changements :

  • amélioration des procédures de traitement des plaintes
  • pour les banques;
  • interdiction de fournir des renseignements erronés ou trompeurs aux consommateurs;
  • sanctions administratives pécuniaires plus élevées;
  • amélioration des procédures concernant les produits, les
  • services et la rémunération appropriés;
  • augmentation des obligations en matière de gouvernance organisationnelle pour les banques;
  • obligation pour les banques de mettre en place des
  • programmes de dénonciation pour les employés;
  • pouvoirs accrus afin d’ordonner aux banques de se conformer aux dispositions relatives aux consommateur;
  • le commissaire de l’ACFC doit rendre publique la nature de toute infraction commise par les banques.
  • les banques doivent envoyer des alertes électroniques afin d’aider leurs clients à éviter les frais de découvert et autres frais.
Nouveau mandat : services bancaires axés sur les consommateurs

En 2024, le gouvernement fédéral a adopté une loi afin d’élargir le mandat de l’ACFC, qui consiste à superviser, gérer et faire appliquer le Cadre sur les services bancaires axés sur les consommateurs, que l’on appelle également « système bancaire ouvert ». L’ACFC a également comme mandat de favoriser la compréhension de ces services et des questions qui s’y rapportent.

Raison d’être

L’ACFC est un organisme fédéral indépendant, qui a été créé en 2001 pour  protéger les consommateurs.

Nous remplissons notre mandat,  énoncé dans la Loi sur l’Agence de la  consommation en matière financière du Canada, en supervisant les institutions  financières sous réglementation  fédérale et en renforçant la littératie  financière des Canadiens.

Notre vision

Être un chef de file et un innovateur  en matière de protection des  consommateurs de produits et de  services financiers

Notre mission
  • Protéger les consommateurs de produits et de services financiers
  • Superviser  des entités réglementées
  • Éduquer les Canadiens et renforcer leurs connaissances financières
Nos objectifs stratégiques : 2021 – 2026
  1. Être le chef de file national en matière de protection des consommateurs de produits et services financiers grâce à une surveillance efficace des banques et des autres entités réglementées et à une contribution à l’élaboration des politiques.
  2. Renforcer la littératie financière des Canadiens afin de leur permettre de naviguer à travers un monde de plus en plus numérique grâce à des ressources et outils éducatifs, à la recherche, à l’expérimentation, à la collaboration des intervenants et à des partenariats qui favorisent l’adoption de comportements financiers positifs et la prise de décisions éclairées.
  3. Être la source faisant autorité en matière d’information destinée aux consommateurs canadiens de produits et services financiers grâce à l’élaboration d’information objective et fondée sur des faits.
  4. Faciliter l’avenir du travail en renforçant les pratiques de gestion du personnel de l’Agence et en favorisant une culture d’innovation, de collaboration et d’excellence.
Éducation et recherche

L’ACFC éduque les Canadiens au sujet de leurs droits et de leurs responsabilités lorsqu’ils traitent avec des institutions financières,en plus d’effectuer des recherches sur leurs connaissances, leurs capacités et leurs comportements financiers. L’Agence collabore également avec des intervenants pour contribuer à l’élaboration de contenus, d’outils et de programmes destinés à aider les consommateurs à prendre des décisions financières éclairées.

Stratégie nationale pour la littératie financière

La Stratégie nationale pour la littératie financière 2021-2026 met l’accent sur la nécessité de faire évoluer l’écosystème financier afin qu’il soit plus accessible, inclusif et efficace pour les Canadiens.

Réduire les obstacles

  • Communiquer de façon à ce que les gens comprennent
  • Concevoir de façon à répondre à différents besoins
  • Favoriser un accès numérique accru et une meilleure littératie numérique

Catalyser les actions

  • Améliorer l’accès à une aide financière fiable et abordable
  • Tirer parti de la conception comportementale pour simplifier les décisions financières
  • Renforcer les mesures de protection des consommateurs

5 éléments clés pour les consommateurs

  • Compétences : naviguer le marché financier
  • Capacité : acquérir de la confiance et des connaissances financières en temps opportun
  • Comportement : gestion des dépenses
  • Comportement : gestion des dettes
  • Comportement : gestion de l’épargne

En 2022, l’ACFC a publié un Plan de mesure afin de guider les intervenants de l’écosystème à mesurer les progrès collectifs vers l’atteinte des résultats de la Stratégie nationale.

Entités financières sous réglementation fédérale

Entités que l’ACFC supervise

  • 80 banques
  • 43 sociétés d’assurance-vie
  • 55 sociétés de fiducie et de prêt
  • 7 exploitants de réseaux de cartes de paiement
  • 2 organismes externes de traitement des plaintes
  • 124 sociétés d’assurance multirisques
Organismes externes de traitement des plaintes

En octobre 2023, le gouvernement a annoncé la désignation de l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement (OSBI) comme organisme externe de traitement des plaintes unique (OETP) pour le secteur bancaire au Canada. Cette désignation est basée sur la recommandation qu’a formulée l’ACFC à l’issue d’un processus ouvert et transparent d’appel de candidatures. L’OSBI est un organisme national indépendant sans but lucratif qui aide les clients des banques du Canada à résoudre des différends depuis plus de 25 ans. En sa qualité d’OETP unique, l’OSBI sera chargé de fournir un processus externe juste et impartial aux consommateurs dont la plainte n’a pas été réglée à leur satisfaction par une banque ou traitée dans le délai prescrit. L’OSBI commencera à exercer ses responsabilités à titre d’OETP unique le 1er novembre 2024, au terme d’une période de transition de 12 mois.

Ligne directrice surles prêts-hypothécaires existants des consommateurs dans des circonstances exceptionnelles de l’ACFC
But

La Ligne directrice explique comment l’ACFC s’attend à ce que les institutions financières sous réglementation fédérale (IFRF) fournissent un soutien personnalisé aux consommateurs. Elle contribue à protéger les consommateurs qui :

  • ont un prêt hypothécaire sur leur résidence principale;
  • éprouvent de graves difficultés financières en raison de circonstances exceptionnelles;
  • risquent de ne pas être en mesure d’effectuer leurs paiements réguliers.
Protection des consommateurs à risque

L’ACFC s’attend à ce que les IFRF offrent un soutien aux consommateurs à risque, notamment à :

  • ceux dont les paiements de leur prêt hypothécaire à taux variable fluctuent en fonction des taux d’intérêt et dont les paiements ont, pour cette raison, augmenté significativement;
  • ceux dont les paiements de leur prêt hypothécaire à taux variable sont fixes et qui ont vu une partie substantiellement plus élevée (ou la totalité) de leurs paiements être imputée à l’augmentation des coûts d’intérêt en raison d’une hausse de taux ou qui peuvent être confrontés à un amortissement négatif;
  • ceux dont le prêt hypothécaire à taux fixe arrive à échéance à court terme et qui pourraient être confrontés à une augmentation importante de leurs paiements.
Principales attentes à l’égard des IFRF

L’ACFC ne recommande aucune mesure d’allègement hypothécaire spécifique. L’ACFC s’attend à ce que les IFRF tiennent compte de toutes les mesures d’allègement hypothécaires disponibles qui pourraient convenir aux consommateurs qui éprouvent de graves difficultés financières,notamment :

  • la renonciation aux pénalités de remboursement anticipé;
  • la renonciation aux frais et coûts internes;
  • la non-imputation d’intérêts sur les intérêts;
  • la prolongation de la période d’amortissement la plus courte possible.

L’ACFC s’attend à ce que les IFRF établissent et mettent en œuvre des politiques et procédures efficaces qui respectent les principes d’équité, de caractère convenable et d’accessibilité pour les consommateurs canadiens.

Le bien-être financieer des propriétaires et locataires canadiens

L’ACFC, en tant qu’agence centrale de la protection des consommateurs de produits et services financiers au Canada, recueille de façon régulière des données sur le bien-être financier des Canadiens afin d’aider les professionnels du domaine et les décideurs à prendre des décisions fondées sur des données probantes dans le but de renforcer la résilience financière des Canadiens. Les données présentées ci-dessous reflètent les indicateurs financiers les plus récents associés au logement. Pour obtenir d’autres indicateurs clés associés au bien-être financier des Canadiens, veuillez consulter le Tableau de bord sur le bien-être financier des Canadiens de l’ACFC.

Indicateurs 2019 2020 2021 2022 2023
% de Canadiens qui ont de la difficulté ou qui ont de la difficulté à respecter leurs engagements financiers 39,1f % 42,7 % 47,1 % 57,2 % 56,6 %
Propriétaires ayant une hypothèque
44,0 % 43,5 % 49,0 % 58,3 % 61,3 %
Propriétaires sans hypothèque
19,8 % 26,0 % 28,5 % 38,9 % 34,8 %
Locataires
49,9 % 53,4 % 56,2 % 65,2 % 65,1 %
% de Canadiens qui dépensent plus qu’ils gagnent 17,1 % 19,8 % 21,8 % 28,1 % 28,5 %
Propriétaires ayant une hypothèque
18,2 % 20,2 % 20,3 % 28,5 % 29,2 %
Propriétaires sans hypothèque
10,9 % 15,3 % 17,1 % 20,4 % 21,8 %
Locataires
21,2 % 23,2 % 26,0 % 31,4 % 32,2 %
% de Canadiens qui empruntent pour couvrir leurs dépenses quotidiennes 27,3 % 27,1 % 30,7 % 36,2 % 35,6 %
Propriétaires ayant une hypothèque
30,7 % 26,9 % 31,3 % 35,6 % 37,9 %
Propriétaires sans hypothèque
10,2 % 10,1 % 14,5 % 17,6 % 14,9 %
Locataires
61,0 % 59,9 % 60,4 % 53,8 % 53,7 %

Résultats provenant de Le bien-être financier des Canadiens : Résumé des résultats des sondages de l’ACFC - Canada.ca

Structure organisationnelle

Structure organisationnelle, version texte suit.
Version textuelle : Structure organisationnelle

Commissaire

Fonctions se rapportant au Commissaire

  • Commissaire adjoint, Direction générale de la surveillance et de la mise en application (Frank Lofranco)
    • Direction de la surveillance
    • Division de la promotion de la conformité
    • Division de la mise en application
  • Commissaire adjointe, Direction générale de la recherche, des politiques et de l’éducation (Supriya Sial)
    • Direction de l’innovation en matière de programme et politique
    • Laboratoire de la finance comportementale
  • Dirigeant principal des finances et Sous-commissaire adjoint, Direction générale des services intégrés (Werner Liedtke)
    • Direction de la gestion de l’information / technologies de l’information
    • Division des finances, approvisionnement et rapports
    • Division de la sécurité et administration
  • Dirigeante principale des ressources humaines et Sous-commissaire adjointe, Direction générale des ressources humaines (Julie Neveu)
    • Division des programmes et politiques en ressources humaines
    • Division des opérations en ressources humaines
  • Sous-commissaire adjoint, Direction générale des affaires publiques (Jason Bouzanis)
    • Division des communications et marketing
    • Division des services et information aux consommateurs et de l'engagement des intervenants

Planification ministérielle et production de rapports

En vertu de la Politique sur les résultats du Conseil du Trésor du Canada, les entités du gouvernement du Canada comme l’ACFC doivent établir les responsabilités essentielles et décrire de façon détaillée ce que fait l’organisation, ce qu’elle tente de réaliser, et de quelle manière elle compte évaluer ses progrès.

Voici les principaux documents qui traitent de nos projets et de nos résultats, et qui sont accessibles au public :

Responsabilité et transparence

Accès à l’information

Aux termes de la Loi sur l’accès à l’information, les administrateurs généraux ont plusieurs responsabilités clés :

Divulgation proactive

En tant qu’organisme du gouvernement fédéral, nous sommes assujettis à des exigences de divulgation proactive, y compris la divulgation des contrats, des frais de voyage et d’accueil et des matériaux préparés en vue d’une comparution devant un comité parlementaire et des cahiers de transition pour les nouveaux commissaires.

Financement : méthode d’évaluation

L’ACFC fonctionne selon le mode de recouvrement des coûts et est en grande partie financée par les entités réglementées qu’elle surveille. Cela impose directement à l’industrie financière le fardeau de payer pour la réglementation du secteur financier.

L’Agence facture aux entités réglementées une cotisation annuelle conformément à sa méthode d’établissement des cotisations, qui est accessible au public.

En plus des revenus tirés de ces évaluations, l’ACFC reçoit une autorisation législative annuelle maximale de 5 millions de dollars pour soutenir la littératie financière des Canadiens.

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez la présentation sur les sources de financement de l’ACFC (en anglais seulement) préparée par la Direction générale des services intégrés.

Gouvernance

Structure de la gouvernance de l'ACFC, qui inclut, dans l'ordre: Commissaire, COEX, Comité de direction, Comités d'orientation de la haute direction et Champions.

Le commissaire de l’ACFC est le chef de l’Agence. Ses pouvoirs comprennent le pouvoir de déléguer certaines responsabilités et certains pouvoirs décisionnels à d’autres personnes (par exemple, les pouvoirs d’approbation financière). Le commissaire rend compte chaque année au Parlement, par l’entremise du ministre des Finances, des activités de l’Agence et de la conformité des institutions financières aux mesures de protection des consommateurs prévues, par exemple, dans la Loi sur les banques (dispositions relatives aux consommateurs).

Le Comité exécutif (COEX) permet au commissaire d’obtenir les conseils et le soutien de la haute direction pour gérer l’Agence de manière efficace et efficiente.

Le Comité des directeurs (CODI) fournit des conseils stratégiques au Comité exécutif et sert de forum de consultation, de discussion et de remise en question pour toutes les priorités relatives aux programmes opérationnels, à l’élaboration de politiques et aux services internes.

Le Comité exécutif et le Comité du directeur sont appuyés par :

Scène réglementaire

L’ACFC considère le travail d’autres organismes de réglementation nationaux et provinciaux qui ont la responsabilité de surveiller et de protéger le système financier du Canada.

Comité de surveillance des institutions financières (CSIF)

L’ACFC est membre du Comité de surveillance des institutions financières (CSIF), qui diffuse de l’information et discute de questions liées à la surveillance des institutions financières sous réglementation fédérale et à la politique du secteur financier. Les autres membres sont le Bureau du surintendant des institutions financières, la Société d’assurance-dépôts du Canada, la Banque du Canada et le ministère des Finances du Canada.

Comité consultatif supérieur (CCS)

Le Comité consultatif supérieur (CCS) est un forum de discussion sur les questions stratégiques touchant le secteur financier, y compris la stabilité financière et les vulnérabilités systémiques. Il est présidé par le sous-ministre des Finances et comprend les mêmes membres que le CSIF.

Conseil d’administration de la Société d’assurance-dépôts du Canada

La commissaire de l’ACFC siège en tant que membre d’office du conseil d’administration de la Société d’assurance-dépôts du Canada (SADC), aux côtés des collègues du ministère des Finances, de la Banque du Canada et du Bureau du surintendant des institutions financières. Les membres du conseil d’administration font part de leurs connaissances concernant l’environnement financier, de surveillance et de réglementation dans lequel la SADC mène ses activités.

Comité des responsables des organismes de réglementation

Le commissaire de l’ACFC est régulièrement invité à participer à ce forum fédéral-provincial sur les questions relatives au secteur financier, qui est présidé par le gouverneur de la Banque du Canada. Les responsables des organismes de réglementation comprennent également le ministère des Finances du Canada, le Bureau du surintendant des institutions financières, l’Autorité des marchés financiers (Québec), la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario, la Commission des valeurs mobilières de l’Alberta et la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique.

Organismes de réglementation provinciaux et territoriaux

L’ACFC engage régulièrement et partage de l’information sur des questions de protection des consommateurs de produits et services financiers avec les organismes provinciaux et territoriaux chargés de réglementer les institutions financières sur leur territoire. Ces institutions financières comprennent les courtiers en valeurs mobilières, les coopératives de crédit et les caisses populaires, ainsi que d’autres institutions enregistrées ou constituées en société au niveau provincial.

Sécurité (services intégrés)

Rôles et responsabilités du commissaire (PDF)

Plan de sécurité de l’Agence de 2022 (aux premières phases d’élaboration en 2024)

Plan de continuité des activités de l’Agence (la version de 2024 est en cours de finalisation)

Pouvoirs de gestion en matière de ressources humaines

Contexte

Les pouvoirs du commissaire en matière de gestion des ressources humaines sont énoncés dans la Loi sur l’ACFC et découlent de divers textes législatifs.

Autres lois clés auxquelles l’ACFC est assujettie en tant qu’organisme et employeur fédéral

Notamment, la Loi sur l’ACFC et la Loi sur la gestion des finances publiques établissent l’ACFC comme un employeur distinct et confèrent la responsabilité de la gestion des ressources humaines, des pouvoirs de nomination et des pouvoirs de délégation au commissaire. À titre d’exemple, le commissaire approuve nos conditions d’emploi, détermine les besoins en ressources et l’organisation de l’Agence, et s’acquitte d’autres responsabilités associées à un administrateur général.

La Loi sur l’ACFC énonce que commissaire a l’autorité de nommer les membres du cadre exécutif, niveau des sous-commissaires adjoints et niveaux supérieurs, de l’Agence et confirme également que le personnel de l’Agence doit être nommé conformément à la Loi sur l’emploi dans la fonction publique.

Dans l’exercice des pouvoirs de nomination et des activités liées aux nominations prévus aux termes de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique, les personnes subdéléguées doivent respecter les exigences de l’Instrument de délégation et de responsabilisation en matière de nomination et l’Agence a des exigences connexes en matière de rapports annuels. Vous recevrez une lettre de la Commission de la fonction publique expliquant les pouvoirs qui vous sont délégués en vertu de l’Instrument de délégation et de responsabilisation en matière de nomination. Étant donné qu’il s’agit de votre premier rôle d’administrateur général, le président de la Commission de la fonction publique organisera une réunion avec vous pour examiner ces pouvoirs plus en détail.

En tant qu’organisme fédéral, nous sommes assujettis à la Loi sur les langues officielles, qui comprend des obligations liées aux communications avec le public et aux services qui lui sont offerts, à la langue de travail, à la participation des Canadiens d’expression française et d’expression anglaise à la main-d’œuvre fédérale et à l’avancement du français et de l’anglais dans la société canadienne grâce au soutien des communautés de langue officielle en situation minoritaire. Nous sommes également assujettis à la Loi sur l’équité en matière d’emploi, qui vise à atteindre l’égalité en milieu de travail et à corriger les désavantages subis par les femmes, les Autochtones, les personnes en situation de handicap et les personnes qui font partie des minorités visibles. Nous avons des exigences en matière de rapports annuels en vertu des deux lois. Nos données sur les langues officielles ont été soumises en juin, et notre rapport sur l’équité en matière d’emploi a été soumis à la fin de septembre. La Commission canadienne des droits de la personne a pour mandat, aux termes de la Loi sur l’équité en matière d’emploi, de veiller à ce que les employeurs sous réglementation fédérale respectent leurs obligations et effectue actuellement sa première vérification de notre conformité dans le cadre de sa dernière vague de vérifications.

Nous avons mis en place un nouvel Instrument de subdélégation des pouvoirs en matière de ressources humaines, qui est entré en vigueur le 1er avril 2023. L’instrument vous permet de conférer aux cadres supérieurs, aux gestionnaires et à d’autres personnes les pouvoirs appropriés pour approuver diverses décisions et mesures liées à la gestion des personnes. Ses pouvoirs et ses limites respectent ceux énoncés dans la Loi sur l’ACFC, la Loi sur l’emploi dans la fonction publique, l’Instrument de délégation et de responsabilisation en matière de nomination, la Loi sur la gestion des finances publiques, la Loi sur les langues officielles, le Code canadien du travail et la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d’actes répréhensibles, qui traitent des actes répréhensibles. Par la suite, l’instrument a été modifié en novembre 2023 afin d’ajouter des pouvoirs pour les postes de directeur général et de dirigeant principal de l’information nouvellement créés.

L’instrument est exhaustif et détaille les pouvoirs associés à 15 domaines de responsabilité de gestion, délimités à 6 niveaux :

Postes de gestion et pouvoirs qui leur sont délégués en gestion des ressources humaines. Version texte suit.
Version textuelle : Postes de gestion et pouvoirs qui leur sont délégués en gestion des ressources humaines

Six niveaux hiérarchiques :

  • Commissaie
  • Dirifgeante principale des ressources humaines
  • Chefs des directions générales
  • Autres cadres supérieurs
  • Gestionnaires
  • Autres postes de supervision

Domaines de responsabilités en matière de gestion :

  1. Planification des RH
  2. Organisation du design et de la classification
  3. Valeurs et éthique
  4. Gestion de performance
  5. Prix et distinctions
  6. Apprentissage et développement
  7. Langues officielles
  8. nominations et relié aux nominations
  9. Compensation
  10. Relations avec les employés – Heures de travail et modalités de travail flexibles
  11. Relations avec les employés – Congés
  12. Relations avec les employés – Mieux-être
  13. Relations avec les employés – Griefs et mesures disciplinaires
  14. Relations avec les employés – Cessation d'emploi
  15. Réaménagement des effectifs et transition de carrière

 

Quand le nouvel instrument a été mis en place, la Direction générale des ressources humaines a offert une formation à tous les délégués. La Direction générale des ressources humaines offre cette formation aux nouveaux délégués sur une base continue. La formation sur les pratiques d’embauche inclusives pour un effectif diversifié a également été ajoutée comme condition préalable à la subdélégation afin de garantir la conformité aux nouvelles exigences de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique.

Les pouvoirs sont délégués au niveau le plus bas approprié afin d’habiliter la gestion et d’accroître l’efficacité du processus décisionnel. Certains pouvoirs exigent des consultations ou des recommandations d’experts en la matière ou du dirigeant principal des ressources humaines. Des cadres supérieurs des ressources humaines sont disponibles pour fournir des conseils et une orientation sur toutes les questions liées à la gestion des personnes.

État actuel

L’Instrument de subdélégation des pouvoirs en matière de ressources humaines actuel est entré en vigueur le 6 novembre 2023 et le restera jusqu’à ce que vous signiez un nouvel instrument.

Prochaines étapes

La Direction générale des ressources humaines vous présentera un nouvel instrument pour signature dans les 30 jours suivant votre nomination. Les changements proposés comprennent l’ajout du rôle de sous-commissaire principal, ainsi que des mises à jour des pouvoirs pour approuver les ententes de rémunération d’intérim et de télétravail à court terme, et pour répondre aux griefs. Tous les changements supplémentaires que vous aimeriez voir rajoutés pourraient être incorporés à ce moment-là.

Ressources pour vous soutenir

La Direction générale des ressources humaines vous donnera un aperçu de vos pouvoirs délégués en matière de ressources humaines et de notre programme de gestion du rendement afin de vous préparer à exercer vos responsabilités. Ces aperçus seront adaptés à vos besoins et à votre familiarité avec le sujet.

Nous pouvons vous offrir ou vous recommander des ressources supplémentaires selon vos besoins et intérêts. L’École de la fonction publique du Canada offre des ressources adaptées aux cadres, ainsi que des parcours d’apprentissage et des séries sur les priorités actuelles du gouvernement du Canada. Vous pouvez également vous joindre à l’Association professionnels des cadres supérieurs de la fonction publique du Canada (APEX) qui propose une variété d’événements d’apprentissage, des services consultatifs confidentiels et d’autres outils et ressources pour vous soutenir dans votre rôle.

Les 60 premiers jours – Décisions et mesures clés en matière de ressources humaines

Continuité des opérations

Premiers 30 jours

Premiers 60 jours

Obligations législatives

Premiers 30 jours

Autres

Premiers 60 jours

Rôle décisionnel du commissaire

Aux termes de la Loi sur l’ACFC, le commissaire statue sur les procédures intentées par le sous-commissaire contre une institution financière sous réglementation fédérale qui allèguent des violations des dispositions relatives aux consommateurs. Les décisions sont publiées dans les deux langues officielles sur la page Web de l’ACFCNote de bas de page 1 .

Le commissaire mène un examen impartial et indépendant de la preuve et des autres renseignements pertinents à l’instance qui lui sont présentés par le personnel de l’ACFC et l’institution financière sous réglementation fédérale, afin de décider, pour chaque violation alléguée, si l’institution financière fédérale a commis la violation selon la prépondérance des probabilités et, s’il y a lieu, d’imposer la pénalité proposée par le personnel de l’ACFC ou une pénalité moindre ou aucune pénalité.

Afin de maintenir l’équité dans l’instance, le personnel de l’ACFC mène son enquête et appuie la décision du sous-commissaire en ce qui concerne la mise en branle de procédures séparément et sans la participation ou la surveillance du commissaire. De plus, tout au long de la procédure, le commissaire et le personnel de l’ACFC maintiennent leur séparation et n’engagent pas de discussions au sujet de l’instance en dehors du processus décrit dans les Lignes directrices pour le processus décisionnel.

Le commissaire a le pouvoir d’enjoindre une banque, une banque étrangère autorisée ou une personne qui ne s’est pas conformé ou qui ne se conformera pas un accord de conformité, une disposition relative aux consommateurs ou la partie XIV de la Loi sur les banques d’accomplir un acte ou de s’abstenir d’accomplir un acte. Le commissaire peut donner une direction ou une direction temporaire de sa propre initiative à la suite d’une demande faite par la Direction générale de la surveillance et de la mise en application.

Aperçu des directions générales

Secrétariat / Bureau du commissaire

Le Secrétariat / Bureau du commissaire (le Secrétariat) joue un rôle de coordination pour les initiatives à l’échelle de l’Agence et organise les initiatives dirigées par le commissaire. De plus, le Secrétariat a récemment assumé la responsabilité de l’élaboration du plan d’activités et du rapport annuel.

Le Secrétariat organise des interactions avec les homologues de l’Agence et d’autres entités gouvernementales lorsque le commissaire y participe ou lorsque les interactions sont menées à l’échelle de l’Agence. Cela comprend la participation annuelle de l’ACFC aux réunions du conseil d’administration des 6 banques d’importance systémique nationale, les visites de représentants internationaux et la visite du commissaire et des cadres supérieurs aux intervenants internationaux et nationaux, y compris les organismes de réglementation provinciaux.

Le Secrétariat administre également les réunions du Comité consultatif sur la protection des consommateurs de l’ACFC, dont les membres représentent les secteurs privés, sans but lucratif et universitaire. Les membres du Comité consultatif sur la protection des consommateurs fournissent des conseils et partagent des idées à l’appui du mandat de l’ACFC en matière de protection des consommateurs sur les priorités et les objectifs, les tendances émergentes, les enjeux et la recherche, ainsi que d’autres questions pertinentes pour les consommateurs de produits et services financiers.

À l’interne, le Secrétariat est responsable de la gestion des réunions du Comité exécutif et du Comité des directeurs. Pour s’acquitter de ses responsabilités, le Secrétariat rencontre régulièrement le commissaire et les coprésidents du Comité des directeurs pour finaliser les ordres du jour, s’assurer que les réunions se déroulent bien et rédiger les procès-verbaux.

En outre, le Secrétariat joue un rôle important dans le maintien de l’indépendance du commissaire dans l’exercice de ses fonctions décisionnelles, puisque le commissaire s’appuie sur le Secrétariat pour l’administration des procédures.

Photo de Marilyn Leblanc, directrice, Secrétariat et Bureau du commissaire

Marilyn Leblanc

Directrice, Secrétariat et Bureau du commissaire

En tant que directrice du Secrétariat et du Bureau du commissaire, Marilyn agit à titre de principale agente de liaison entre le Bureau du commissaire et l’équipe de direction. Elle fournit également des conseils stratégiques au commissaire sur un large éventail de questions stratégiques et opérationnelles.

Marilyn s’est jointe à l’ACFC en février 2016, après avoir occupé divers postes de politique stratégique et juridique. De 2011 à 2013, elle a été avocate chez McCarthy Tétrault, conseillant des sociétés canadiennes et internationales sur toutes les facettes du droit de la concurrence.

Membre du Barreau du Québec, Marilyn détient un diplôme en droit civil et international de l’Université Laval. Elle a également obtenu un certificat en gestion générale à l’Université Queen’s et un certificat en réglementation, analyse et prise de décisions en matière de services financiers canadiens de la Osgoode Hall Law School.

Au cours de la dernière décennie, Marilyn a siégé à divers conseils d’administration et a reçu le prix « Leaders de demain : avocate de l’année » décerné par l’Association du Jeune Barreau de Montréal.


Direction générale de la surveillance et de la mise en application

Phto de Frank Lofranxco, sous-commissaire, Direction générale de la surveillance et de la mise en application à l'ADFC

Frank Lofranco

Sous-commissaire, Direction générale de la surveillance et de la mise en application

Frank Lofranco a été nommé sous-commissaire, Direction générale de la surveillance et de la mise en application de l’ACFC, en 2020.

Frank s’est joint à la fonction publique fédérale en 1995 et possède de l’expérience en gestion des politiques publiques, de l’exécution de programmes, de la conformité réglementaire et de la transformation opérationnelle. Il a occupé des postes de cadre supérieur au Bureau du surintendant des faillites, à FedDev Ontario et au Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE).

Frank est titulaire d’une maîtrise en administration publique.

  • Aperçu : Direction générale de la surveillance et de la mise en application

Direction générale de la recherche, des politiques et de l’éducation

Dre Supriya Syal, Sous-commissaire, Direction générale de la recherche, des politiques et de l’éducation à l'ACFC

Dre Supriya Syal

Sous-commissaire, Direction générale de la recherche, des politiques et de l’éducation

La Dre Supriya Syal est une sommité dans les domaines de la recherche et de l’élaboration de politiques innovantes fondées sur des données probantes au Canada.

Elle est sous-commissaire de la Direction générale de la recherche, des politiques et de l’éducation à l’Agence de la consommation en matière financière du Canada, où elle a récemment dirigé le renouvellement de la Stratégie nationale pour la littératie financière, dont elle dirige actuellement la mise en œuvre pour aider les Canadiens à obtenir des résultats financiers positifs.

Elle a auparavant occupé les postes de conseillère scientifique en chef du Nuage de talents du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et de spécialiste en chef du comportement au Centre d’innovation du Bureau du Conseil privé. Avant de se joindre à la fonction publique, elle était vice-présidente de la recherche et de l’innovation chez BEworks. Elle est également la fondatrice et l’ancienne présidente de Dulcimer Labs, une société déterminée à remplir une mission générant des retombées sociales grâce à la prise de décisions fondées sur des preuves.

La Dre Supriya Syal a remporté de nombreux prix, publié des articles dans des revues spécialisées et populaires, et a corédigé un certain nombre de livres blancs sur les politiques. Elle est invitée régulièrement à participer à des conférences sur la recherche, la technologie et l’innovation gouvernementale, et a également pris la parole sur Crowdcast, à la radio et à la télévision, y compris à la National Public Radio aux États-Unis et à l’émission phare sur l’actualité « The Agenda » diffusée sur la chaîne TVO au Canada.

La Dre Supriya Syal détient un doctorat en psychologie de l’Université Cornell, une maîtrise en neuroscience et un baccalauréat en biochimie.

  • Départements RPE
  • Organigramme de la RPE
  • Rôles et Responsabilités

Direction générale des services intégrés

Photo de Werner Liedtke, Dirigeant principal des finances et commissaire adjoint, Direction générale des services intégrés à l'ACFC

Werner Liedtke

Dirigeant principal des finances et commissaire adjoint, Direction générale des services intégrés

En mars 2019, Werner Liedtke s’est joint à l’Agence à titre de dirigeant principal des finances et de commissaire adjoint, Direction générale des services intégrés.

Avant de se joindre à l’ACFC, M. Liedtke a eu une longue carrière militaire. Il a commencé comme membre du Stormont, Dundas et Glengarry Highlanders. Après avoir atteint le grade de caporal, il a été accepté en tant qu’élève-officier au Collège militaire royal à Kingston, en Ontario. En 1988, il a obtenu un baccalauréat en administration du Collège militaire royal de Saint-Jean.

Sa première affectation était à Toronto (Ontario), et il a servi de nombreuses années au sein de la collectivité des finances et de la logistique. Parmi les principaux postes qu’il a occupés, mentionnons celui de contrôleur de la 8e Escadre/BFC Trenton, d’officier d’état-major du directeur général des Services financiers et divers postes dans les finances à Ottawa. Il a également servi au Commandement allié de forces interarmées de Brunssum, aux Pays-Bas, en tant qu’officier responsable du budget du J8 pour les opérations de la FIAS de l’OTAN en Afghanistan. Il a été déployé à Kaboul en janvier 2004 en tant que CJ8 adjoint du QG de la FIAS.

Promu lieutenant-colonel en 2006, il a été contrôleur du Groupe de gestion de l’information et directeur du budget 3, responsable des opérations budgétaires au ministère de la Défense nationale. En 2009, il a pris le commandement de l’Unité de soutien des Forces canadiennes (Europe) à Geilenkirchen, en Allemagne.

Il a été promu au grade de colonel en 2010 et a occupé le poste de contrôleur de l’Aviation royale canadienne et de directeur – Fonction de contrôle et planification des activités (Air). En 2015, il a été promu au grade de brigadier général et a occupé le poste de directeur général, Gestion financière. Il a pris sa retraite des Forces armées canadiennes en octobre 2017 et a occupé le poste de chef de la gestion financière et adjoint au dirigeant principal des finances de la Défense nationale jusqu’en mars 2019.

Il est comptable en management accrédité et détient une maîtrise en administration des affaires de l’Université d’Ottawa et une maîtrise en études de la défense du Collège militaire royal. De plus, il a obtenu son diplôme du Collège d’état-major et de commandement des Forces canadiennes en 2006.

  • Direction générale des services intégrés
  • Stratégie informatique
  • Stratégie relative aux données
  • Stratégie en matière d’intelligence artificielle

Direction générale des ressources humaines

Photo de Julie Neveu, dirigeante principale des ressources humaines et commissaire adjointe, Direction générale des ressources humainesf à l'ACFC

Julie Neveu

Dirigeante principale des ressources humaines et commissaire adjointe, Direction générale des ressources humaines

Julie Neveu est entrée au service de l’ACFC à la fin de novembre 2018. Elle arrivait du Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE), où elle occupait le poste de dirigeante principale des ressources humaines.

Fonctionnaire chevronnée, elle possède plus de 30 ans d’expérience en gestion des ressources humaines, ayant travaillé dans divers organismes des secteurs public et privé, dont Ressources naturelles Canada, l’Agence des services frontaliers du Canada, l’École de la fonction publique du Canada, Développement des ressources humaines Canada, The Mutual Group/MetLife Insurance Company et l’Hôpital général d’Ottawa.

Elle est une membre active de la haute direction du Conseil des ressources humaines et elle a reçu en 2017 le Prix de leadership en RH Michelle C. Comeau, dans la catégorie Chef des ressources humaines.

Julie détient un baccalauréat en commerce de l’Université d’Ottawa avec spécialisation en gestion des ressources humaines.

  • Survol de la Direction générale des RH

Direction générale des affaires publiques

Photo de Jason Bouzanis, commissaire adjoint, Direction générale des affaires publiques à l'ACFC

Jason Bouzanis

Commissaire adjoint, Direction générale des affaires publiques

Né et ayant grandi à Ottawa, Jason est un fier diplômé de l’Université d’Ottawa qui travaille pour le gouvernement fédéral depuis plus de 20 ans. Jason est actuellement sous-commissaire adjoint des Affaires publiques à l’ACFC. À l’ACFC, Jason est responsable de la divisions Communications et marketing, Services et information aux consommateurs, et Engagement et diffusion.

Entre autres réalisations à l’ACFC, Jason a dirigé les campagnes du Mois de la littératie financière depuis 2020. Il a également supervisé les activités de communication et de promotion entourant la Stratégie nationale pour la littératie financière et le Cadre de protection des consommateurs de produits et services financiers. Avant de se joindre à l’ACFC, Jason travaillait à titre de directeur national des communications à Parcs Canada, où il a contribué à la planification et à la réalisation d’une des plus grandes réussites de l’agence, l’année Canada 150, marquée par l’accès gratuit aux lieux de Parcs Canada.

Auparavant, Jason a occupé des postes de direction à Emploi et Développement social Canada, où il a dirigé les communications relatives à diverses initiatives gouvernementales de grande envergure.

  • Affaires publiques

Direction générale des affaires juridiques

Photo de Ekaterina Ohandjanian, cheffe de la Direction générale des services juridiques de l’ACFC

Ekaterina Ohandjanian

Ekaterina Ohandjanian est cheffe de la Direction générale des services juridiques de l’ACFC depuis 2015. Sa principale responsabilité est de conseiller le commissaire sur des questions telles que l’exercice approprié du rôle décisionnel et d’appuyer l’orientation stratégique de l’Agence sur l’exécution de son mandat de protection des consommateurs de produits et services financiers.

La carrière d’Ekaterina dans la fonction publique est très variée. Elle a acquis de l’expérience au Bureau de la concurrence (où elle a travaillé sur des dossiers de fusion complexes et des instances devant le Tribunal de la concurrence), à Transports Canada (dans le cadre de la fusion en 2008 des administrations portuaires dans la région du Lower Mainland de Vancouver et de la révision de la législation sur la délivrance de permis d’obstruction dans les eaux navigables en 2014), à Ressources naturelles Canada (conception et établissement du cadre de production de rapports de la Loi sur les mesures de transparence dans le secteur extractif en 2015 afin de respecter l’engagement du premier ministre envers ses homologues du G7) et à la Garde côtière canadienne (conseils sur les questions de gouvernance et de responsabilisation, d’appareil gouvernemental et de droit fédéral). De 2008 à 2012, Ekaterina s’est également jointe aux opérations juridiques du Bureau du Conseil privé et a acquis de l’expérience en conseillant le premier ministre et le greffier sur des questions juridiques et stratégiques très complexes liées aux priorités du gouvernement, aux cadres supérieurs et à l’appareil gouvernemental.

Elle a reçu plusieurs prix, dont un pour la création de Services partagés Canada (BCP, 2012) et un Prix d’excellence en politiques de la fonction publique (gouverneur général, 2015).

Ekaterina est membre du Barreau de l’Ontario et détient un baccalauréat en commerce, un baccalauréat en droit civil et un baccalauréat en droit de l’Université McGill à Montréal.

  • Services juridiques

Mobilisation des intervenants

Infographie de l’écosystème

La mobilisation des intervenants est une responsabilité partagée dans l’ensemble de l’ACFC. Cela dit, les Affaires publiques jouent un rôle important dans la coordination, le suivi et la production de rapports sur les interactions avec les intervenants.

L’infographie de l’ACFC sur l’écosystème des intervenants donne un aperçu des diverses organisations avec lesquelles l’ACFC collabore pour faire progresser ses objectifs stratégiques et ses initiatives du plan d’activités.

Réseaux de littératie financière

Les Affaires publiques dirigent les réseaux de littératie financière. L’ACFC organise deux réunions annuelles présidées par le commissaire adjoint aux affaires publiques et entretient des relations tout au long de l’année avec des centaines d’organisations membres du réseau de partout au pays.

L’ACFC assure régulièrement la liaison avec les membres du réseau, et partage et promeut les ressources et les pratiques exemplaires de l’ACFC et de ses membres pour faire progresser la littératie financière au Canada.

Pour obtenir des renseignements sur les comités et les réseaux de l’ACFC, veuillez consulter la page Partenaires et collaborateurs de l’ACFC – Canada.ca.

Comité consultatif sur la protection des consommateurs

Le Comité consultatif sur la protection des consommateurs fournit une orientation et des conseils au commissaire pour l’aider à s’acquitter de son mandat de protection des consommateurs de produits et services financiers.

Les membres du Comité consultatif sur la protection des consommateurs donnent des conseils qui peuvent informer le travail de supervision de l’ACFC, les initiatives de recherche et le développement de matériel d’éducation à l’intention des consommateurs. Ils font aussi part de leurs points de vue sur les tendances du marché, la prestation des services financiers, les besoins des consommateurs et les répercussions de l’évolution du secteur des services financiers sur les Canadiens. Les renseignements recueillis lors des réunions du Comité consultatif sur la protection des consommateurs seront utilisés pour orienter l’analyse des politiques.

Les membres représentent les secteurs privés, à but non lucratif et universitaire. Les membres sont sélectionnés à la suite d’un processus de candidature périodique et leur mandat peut durer d’un à cinq ans (y compris les renouvellements). Tous les membres ont une expérience significative de la promotion de la protection des consommateurs de produits et services financiers ou de la réalisation de recherches sur la protection des consommateurs. Ils permettent à l’ACFC de joindre un vaste auditoire, y compris les aînés, les Canadiens autochtones, les nouveaux arrivants, les jeunes et les Canadiens à faible revenu.

Réunions des conseils d’administration des banques

Chaque année, dans le cadre de la surveillance des institutions financières sous réglementation fédérale par l’ACFC, le commissaire, le commissaire adjoint, Supervision et mise en application, et le commissaire adjoint, Recherche, politiques et éducation, rencontrent les comités du conseil d’administration des six banques d’importance systémique nationale. Les comités du conseil d’administration de la banque sont chargés de surveiller les procédures liées aux dispositions relatives aux consommateurs, comme l’exige la Loi sur les banques.

Avant les réunions avec les comités du conseil d’administration, l’Agence tient des réunions préparatoires avec les présidents des comités. Des réunions peuvent également avoir lieu avec le président et chef de la direction de la banque, à sa demande.

Association des banquiers canadiens

Les membres de l’Association des banquiers canadiens représentent plus de 60 banques canadiennes et étrangères au Canada. L’Association collabore avec les gouvernements provincial et fédéral, les associations commerciales et les groupes de consommateurs pour partager les points de vue de ses membres.

L’ACFC a régulièrement des réunions trimestrielles organisées avec le président et chef de la direction et fait également des présentations annuelles au conseil d’administration dans le cadre des présentations aux six banques d’importance systémique nationale.

Personnes ressources clés – Biographies

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