Aide médicale à mourir : Surveillance et rapports

Découvrez comment et pourquoi nous surveillons l'aide médicale à mourir et en faisons rapport au Canada, et consultez nos rapports annuels.

L'admissibilité à l'AMM pour les personnes souffrant uniquement d'une maladie mentale est reportée au 17 mars 2027.

Le 4e rapport annuel sur l'aide médicale à mourir au Canada (2022) a été publié

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À propos

La surveillance et l'établissement de rapports sont des éléments essentiels pour assurer la transparence et renforcer la confiance du public dans la loi. Ils nous servent à mettre en évidence la gravité de l'aide médicale à mourir en tant qu'exception aux lois criminelles interdisant de donner la mort à un être humain.

Le Règlement sur l'aide médicale à mourir exige l'établissement de rapports obligatoires par :

En vertu de la loi, le ministre de la Santé doit adopter des règlements pour la collecte de renseignements aux fins de surveillance. Cela comprend des renseignements sur les caractéristiques des personnes qui demandent ou reçoivent l'aide médicale à mourir, si elles consentent à la fournir, notamment :

Le ministre doit également :

Ces rapports publics peuvent donner un portrait d'ensemble de la façon dont la législation fonctionne et nous aider à en comprendre les répercussions.

Pour en savoir plus :

Rapports annuels

Le Règlement exige que le ministre de la Santé publie un rapport, au moins une fois par an, en utilisant les informations recueillies dans le cadre du système de surveillance fédéral de l'aide médicale à mourir.

Les rapports fournissent des renseignements sur plusieurs aspects, notamment :

Pour en savoir plus :

Rapports intermédiaires

Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux ont collaboré afin de produire une série de rapports intérimaires sur l'aide médicale à mourir jusqu'à ce que le règlement soit établi en 2018.

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