Considérations techniques et références pour la préparation des études d’impact
Août 2025 (version provisoire)
Notre site Web fait actuellement l'objet de changements importants visant à mettre à jour les orientations concernant les pratiques de l'Agence d'évaluation d'impact du Canada en matière d'application de la Loi sur l'évaluation d'impact et ses règlements. Cette page Web et son contenu pourraient ne pas refléter les pratiques actuelles de l'Agence d'évaluation d'impact du Canada. Il est de la responsabilité des promoteurs de respecter la législation et les règlements applicables. Pour de plus amples renseignements, veuillez écrire à guidancefeedback-retroactionorientation@iaac-aeic.gc.ca.
Pour préparer leur étude d’impact, les promoteurs doivent respecter les exigences énoncées dans les lignes directrices individualisées relatives à l’étude d’impact spécifique au projet (les lignes directrices) publiées par l’Agence d’évaluation d’impact du Canada (AEIC). Ce document fournit des considérations techniques, ainsi que des références à des ressources supplémentaires, pour aider les promoteurs à préparer une étude d’impact.
Table des matières
- Considérations techniques
- Références à des ressources supplémentaires
- Environnement atmosphérique, acoustique et visuel
- Oiseaux
- Poisson et son habitat
- Analyse comparative entre les sexes Plus
- Gaz à effet de serre et changements climatiques
- Santé humaine
- Participation et mobilisation des Autochtones
- Espèces en péril
- Durabilité et obligations environnementales
- Qualité de l’eau
- Milieux humides
- Autre
Les orientations de l’AEIC sur la mise en œuvre de la Loi sur l’évaluation d’impact et de ses règlements sont en cours de mise à jour, et les versions actuelles des orientations mentionnées dans ce document peuvent ne pas refléter les pratiques actuelles de l’AEIC. Il incombe aux promoteurs de se conformer aux législations et aux réglementations applicables. Les promoteurs sont encouragés à communiquer avec l’AEIC pour connaître l’applicabilité de documents d'orientation. Pour plus d’informations, veuillez contacter project-projet@aeic-iaac.gc.ca.
Considérations techniques
Ci-dessous est une liste de considérations techniques destinées à aider les promoteurs à préparer une étude d’impact répondant aux exigences énoncées dans les lignes directrices individualisées. Les promoteurs devraient se référer aux sections pertinentes, le cas échéant, et si applicables.
Liste des composantes et activités du projet
Les éléments et activités suivants peuvent être pertinents pour l’évaluation des effets fédéraux négatifs :
Composantes du projet
Composantes génériques du projet
- infrastructures de gestion de l’eau destinées à détourner, contrôler, collecter et rejeter les eaux de ruissellement et les eaux souterraines dans le milieu récepteur, y compris les fossés collecteurs, les puits d’interception des eaux souterraines, les bassins de sédimentation, les puisards et les systèmes de pompage et de canalisations;
- installations de traitement de l’eau potable, des eaux usées, des eaux résiduaires et des effluents (incluant les technologies de traitement proposées, leur empreinte au sol, leur emplacement et l’emplacement des points de rejet);
- entreposage de matériaux, y compris les déchets dangereux, les réservoirs de stockage de produits pétroliers et les entrepôts d’explosifs;
- dérivations et réalignements de plans d’eau et de cours d’eau;
- franchissements de plans d’eau et de cours d’eau, y compris les ponts et les ponceaux;
- espaces de travail et aires de stockage;
- infrastructures temporaires ou permanentes, y compris les bâtiments administratifs, les entrepôts, les garages, les bureaux d’entretien;
- sources d’eau potable ou industrielle;
- source d’approvisionnement en énergie;
- traitement des déchets (types de déchets, méthodes de traitement, quantité, sites ou installations de traitement des déchets);
- routes ou chemins d’accès au site;
- logements pour les travailleurs temporaires ou permanents;
- bancs d’emprunt et carrières;
- clôtures et barrières;
- toute autre infrastructure pertinente au projet.
Installations de gaz naturel liquéfié
- installations de gaz naturel liquéfié (GNL) jusqu’au point de raccordement au gazoduc, y compris les équipements destinés à la réception et au traitement du gaz naturel, les circuits de liquéfaction, les réservoirs de stockage de GNL et de liquide de refroidissement, les torchères, les génératrices, les conduites de distributions du gaz et les lignes de retour des fumées, et les systèmes d’urgence et de détection des fuites;
- aires de transbordement, d’entreposage et de manutention du gaz naturel, y compris l’infrastructure de service et celle d’alimentation électrique secondaire et les aires de travail;
- terminaux maritimes et modifications connexes du trafic maritime;
- réservoirs de stockage de produits pétroliers destinés à l’exploitation de la machinerie, de compresseurs, de génératrices, de camions, de locomotives, de navires ou autres;
- infrastructures maritimes, y compris les jetées, les plateformes, les quais pour l’accostage des navires transportant du GNL, ainsi que les ducs-d’Albe d’amarrage et d’accostage et les passerelles interconnectées qui peuvent être installées entre la plateforme, la jetée et les ducs-d’Albe (superficie, taille, emplacement, orientation par rapport aux terminaux existants);
- zones de manœuvre des navires et des remorqueurs, chenal d’approche et zones d’ancrage;
- voies d’accès terrestres au site du terminal, y compris leur superficie, leur taille, leur emplacement et leur orientation relativement au quai à construire;
- infrastructures linéaires permanentes et temporaires, y compris les conduits, les lignes électriques, et le raccordement à la voie ferrée existante (tracé et emplacement);
- structures temporaires nécessaires à la construction du projet;
- usines de fabrication et de stockage d’explosifs (méthode, emplacement, licence, gestion);
- travaux liés à la gestion de l’eau, des déchets, des résidus de cargaison et des matières dangereuses;
- systèmes de protection d’incendie.
Installations minières
- installations de gestion des déchets miniers (empreinte, emplacement et conception préliminaire) et conduites connexes (y compris celles pour les résidus miniers et de retour d’eau);
- dépôts de stériles, de morts-terrains, de la couche arable, de minerais à faible teneur, de sédiments lacustres et piles de matériaux divers (empreinte, emplacement, volumes, plans de gestion et de développement et critères de conception);
- mines à ciel ouvert, y compris les bancs d’emprunt, et/ou les mines souterraines (empreinte, emplacement, plans d’aménagement, y compris les étapes d’aménagement des fosses), entrées de surface, rampes d’accès, galeries souterraines, système de ventilation, zone d’affaissement, usine de remblai en pâte;
- installations de concassage et de traitement (empreinte, processus, technologie, emplacement);
- installations de stockage et de chargement pour le concentré ou le produit fini;
- stations de ravitaillement en carburant pour les camions/véhicules ou sources d’approvisionnement en énergie (p. ex., barrages, génératrices, éoliennes, panneaux solaires);
- usines de fabrication et de stockage d’explosifs (méthode, emplacement, licence, gestion);
- dépôts d’agrégats et usine d’agrégats (empreinte, emplacement, volumes);
- infrastructures linéaires permanentes et temporaires, y compris les routes d’accès, voies ferrées, convoyeur, chemins de halage, ligne électrique et canalisations (tracé, emplacement et types de structures utilisées pour toutes les traversées de cours d’eau);
- fossés de collecte et de dérivation, digues, ponceaux, ponts, déversoirs et installations de stockage de l’eau y compris les bassins de sédimentation et les bassins de collecte des eaux d’infiltration (caractéristiques de conception conceptuelle).
Infrastructures linéaires terrestres
- infrastructures linéaires permanentes et temporaires comme les routes, les chemins de fer, les pipelines, l’alimentation en électricité et les lignes de transport d’électricité primaires;
- stations de compression et de pompage;
- ponts et autres traversées de ruisseaux et de rivières.
Installations hydroélectriques
- barrage (c.-à-d. remblai rocheux ou béton);
- réservoir (y compris les renseignements de référence sur la zone à inonder, p. ex., la végétation existante, les sites contaminés);
- centrale contenant des génératrices/turbines;
- évacuateurs de crues;
- ouvrages de prise d’eau, y compris les tunnels temporaires et permanents.
Installations nucléaires
- centrales nucléaires;
- systèmes de refroidissement à l’eau pour les réacteurs nucléaires, y compris les prises d’eau et les dispositifs d’évacuation;
- transfert et le stockage des déchets nucléaires;
- installations de gestion et de stockage des déchets radioactifs de faible et de moyenne activité, et du combustible irradié.
Maritime
- brise-lames et structures de protection contre l’érosion;
- installations de forage et/ou plateformes de production flottantes ou fixes;
- navires d’entretien et d’intervention;
- installations sous-marines, y compris les gabarits sous-marins, les puits de production et les conduites de collecte;
- transport maritime;
- systèmes d’amarrage;
- infrastructures et installations portuaires ou maritimes, y compris toutes les composantes qui seront construites dans le cadre du projet;
- activités de navigation, taille et type des navires de transport et d’approvisionnement.
Activités du projet
Préparation du site et construction
- préparation du chantier;
- arpentage et jalonnement;
- défrichage, essouchage et excavation du site, y compris l’enlèvement des arbres et de la végétation;
- excavation et récupération de la couche arable, du sol, du substratum rocheux et des substrats rocheux, y compris les matériaux potentiellement acidogènes ou lixiviables;
- gestion des matériaux excavés, y compris ceux potentiellement acidogènes ou lixiviables;
- dynamitage (fréquence, durée, période de l’année, moment de la journée et méthodes);
- fabrication, transport, entreposage et gestion des explosifs;
- construction de routes d’accès;
- déboisement du corridor de transport d’électricité et construction de la ligne électrique jusqu’au site;
- construction de clôtures sur le site;
- changements apportés aux infrastructures existantes (p. ex., déplacement de pipelines);
- transport et gestion des matériaux d’emprunt (source et quantité);
- aires d’empilement de matériaux;
- gestion de l’eau, incluant les dérivations, les activités de drainage ou de dépôt, la gestion des eaux pluviales, le drainage du site, la gestion du ruissellement et le contrôle des sédiments ou de l’érosion;
- gestion de l’eau servant à détourner, contrôler, collecter et évacuer les eaux de ruissellement et les eaux souterraines vers le milieu récepteur, y compris les fossés collecteurs, les puits d’interception des eaux souterraines, les bassins de sédimentation, les puisards et les systèmes de pompage et conduites;
- construction d’installations de gestion des eaux qui entrent en contact avec les sables bitumineux ou les procédés de traitement, y compris les fossés collecteurs, les puisards, les systèmes de pompage et de canalisations, et les puits d’interception des eaux souterraines;
- besoins en eau pour la construction, l’exploitation, la désaffectation et la fermeture du projet, y compris l’estimation des quantités nécessaires;
- gestion et traitement des eaux usées et points de rejet;
- construction d’une installation de gestion des déchets miniers;
- eau pour les tests de pression;
- utilisation d’équipement léger, lourd et mobile hors route (type, quantité);
- construction d’infrastructures temporaires ou permanentes;
- construction de logements pour les travailleurs (capacité, traitement des eaux usées);
- transport des employés;
- entreposage, manutention, élimination et gestion des matières dangereuses, combustibles et des déchets dangereux (indiquer les types, méthodes et quantités);
- dragage maritime et/ou portuaire.
Pour le dragage de capitalisation et d’entretien :
- emplacement, profondeur, superficie, volume et nature des sédiments (caractéristiques physiques et chimiques) à draguer;
- méthodes de dragage (p. ex., équipement utilisé, durée et fréquence);
- gestion du panache de dispersion anticipé des sédiments remis en suspension lors du dragage ou lors du rejet en eau libre (le cas échéant);
- mesures pour éviter la remise en suspension des sédiments;
- plans de gestion des sédiments (rejet en eau libre ou gestion terrestre);
- modes de transport des sédiments vers les sites de construction ou d’élimination, y compris la gestion des bassins d’assèchement, si nécessaire.
Pour les activités de rejet en eau libre des sédiments de dragage :
- justification du choix du site de dépôt et spécification de la superficie du site;
- distribution de la taille des particules;
- nature des sédiments (caractéristiques physiques et chimiques).
Pour les sites d’élimination terrestres ou utilisation de bassins d’assèchement :
- taille, emplacement, type, volume et niveau de contamination des sédiments à entreposer.
Pour les projets extracôtiers :
- construction, installation, branchement et mise en service en milieux extracôtiers :
- toute étude préalable à l’autorisation, préparation du site, études géotechniques, géophysiques, environnementales et géologiques, et relevés de véhicules téléguidés ou autonomes;
- composantes et activités associées à la sélection des emplacements des patrons de forage et des infrastructures sous-marines;
- construction, installation et raccordement d’infrastructures sous-marines;
- mesures de protection des infrastructures sous-marines requises (p. ex., déversement de roches sur les conduites, installation d’équipements de protection des têtes de puits sous-marines, creusage de tranchées pour les conduites ou installation de matelas de béton);
- forage exploratoire en mer;
- installation de plateformes de production et de systèmes d’amarrage.
Exploitation
- production et stockage de produits, extraction, transformation et traitement de produits;
- forage et dynamitage;
- fabrication, entreposage et utilisation d’explosifs;
- profilage sismique et profilage sismique vertical;
- gestion et élimination terrestre ou maritime des déchets;
- transferts en mer de matières en vrac;
- transfert et stockage des déchets nucléaires;
- entreposage, manutention et transport des matériaux;
- utilisation et entretien des voies d’accès;
- gestion de l’eau, y compris les dérivations, le drainage du site, la gestion des eaux de ruissellement, les mesures de contrôle de la sédimentation et de l’érosion, le drainage du site, l’eau potable, les besoins en eau, les eaux pluviales, les eaux de procédé et les eaux usées, la réutilisation de l’eau et le traitement des effluents (quantité, exigences en matière de traitement, localisation du ou des points de rejet et description du milieu récepteur);
- stockage et manutention des réactifs, des produits pétroliers, des produits chimiques, des matières dangereuses et des matières résiduelles;
- gestion des déchets miniers, y compris les résidus miniers, les stériles, le minerai, les morts-terrains et la terre végétale;
- gestion et recyclage des déchets (autres que les déchets miniers comme les résidus et les stériles);
- gestion de la main-d’œuvre, y compris le transport, les horaires de travail et l’hébergement;
- dragage, dont le dragage d’entretien;
- activités de navigation liées au transport de produits et aux navires d’entretien;
- forage d’exploration extracôtière;
- production et transport extracôtiers;
- immersion en mer, méthodes et les lieux d’immersion.
Suspension, fermeture ou désaffectation
- ébauche d’un plan de suspension, de fermeture, de désaffectation ou de remise en état des composantes associées au projet;
- propriété, transfert et contrôle des différents éléments du projet;
- restauration du site;
- retrait de la contamination de la surface des installations et de l’équipement;
- désaffectation de puits;
- abandon de pipelines sous-marins;
- démontage et retrait des équipements et des systèmes;
- démolition des bâtiments et des structures connexes;
- entretien à long terme, surveillance et maintien de l’intégrité du site, y compris le drainage du site et la gestion des eaux et des structures restantes;
- transfert de combustible et de déchets associés vers des installations de stockage autorisées à court et long terme (incluant les installations nucléaires);
- fermeture ou désaffectation d’installations temporaires ou permanentes, ou suspension de leur exploitation.
Établir des limites spatiales et temporelles
Les éléments suivants peuvent être pertinents pour l’établissement des limites spatiales et temporelles afin d’évaluer les effets fédéraux négatifs.
- Pour les limites spatiales :
- zones susceptibles d’être touchées par les changements à la qualité et à la quantité de l’eau, ou par les changements de débit dans le bassin versant et le réseau hydrographique;
- zones susceptibles d’être touchées par les émissions atmosphériques ou les odeurs;
- zones atmosphériques et les bassins atmosphériques dans le cadre du système de gestion de la qualité de l’air (SGQA);
- principales sources d’émission locales;
- zones d’importance pour la population, comme les zones récréatives;
- frontières internationales, interprovinciales ou territoriales qui nécessitent une évaluation transfrontalière;
- délimitation de la taille du domaine de modélisation à partir des isolignes générées par le scénario du projet seul, le scénario correspondant à 10 % des critères de qualité de l’air ambiant de l’instance appropriée, et ce, dans les limites de validité du modèle;
- zones d’influence visuelle, lumineuse et acoustique;
- emplacement et caractéristiques des récepteurs sensibles, comme :
- groupes de population vulnérables ou présentant une diversité particulière (p. ex., les personnes dont la santé est compromise, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées);
- résidences, établissements de santé et de services sociaux (p. ex., les hôpitaux, les établissements de soins de longue durée, les résidences pour personnes âgées);
- établissements d’enseignement (p. ex., les écoles, les garderies, les centres de la petite enfance);
- établissements touristiques (p. ex., les bureaux de renseignements touristiques, les musées, les domaines skiables, les camps d’été, les zones de loisirs et de plein air, les emplacements de camping);
- espaces récréatifs (p. ex., les terrains récréatifs, les parcs urbains, les parcs et les zones de conservation);
- territoires utilisés pour l’exercice des droits des peuples autochtones;
- espèces fauniques ou habitats sensibles (p. ex., les types de sols ou les zones présentant des charges historiques ou une faible capacité tampon, les zones importantes pour la faune, secteurs d’activités de récolte);
- habitats spécifiques à une espèce, périodes d’utilisation et schémas;
- zones de planification et d’intervention d’urgence;
- étendue géographique des services locaux et régionaux;
- peuples autochtones touchés;
- communautés touchées;
- terres autochtones reconnues, incluant les réserves, les territoires traditionnels et/ou les terres visées par un traité, ou utilisées par les Autochtones à des fins culturelles ou spirituelles, ou pour l’usage des ressources;
- infrastructures touchées;
- afin de déterminer les limites écologiques appropriées et les zones tampons autour de la zone du projet, une analyse de l’occupation du sol, incluant les milieux d’eau douce et marins, peut s’avérer pertinente. L’étendue spatiale de l’habitat et des fonctions écologiques associées peut influencer la détermination d’une zone d’étude locale (ZEL) et d’une zone d’étude régionale (ZER). Pour s’assurer que la ZEL inclut les zones susceptibles d’être affectées par le projet, la modélisation par simulation peut contribuer à définir les zones tampons adaptées aux espèces ou groupes d’espèces évalués. Afin de valider les limites appropriées pour les espèces fauniques, le promoteur peut communiquer avec les autorités gouvernementales fédérales, provinciales ou locales.
- Pour les limites temporelles :
- effets potentiels anticipés après la fermeture ou l’abandon du projet;
- détection des espèces tout au long de l’année et d’une année à l’autre;
- schémas temporels d’utilisation (p. ex., reproduction, espèces migratrices s’arrêtant lors de leur migration vers le nord ou vers le sud);
- variations dues à des événements irréguliers (p. ex., une année de grande production semencière des arbres, des tempêtes lors de la migration, des chutes de neige tardives).
Sources de renseignements de référence
Les sources de renseignements et les méthodes de collecte de données suivantes peuvent être pertinentes pour établir les conditions de référence :
- Plateforme de science et de données ouvertes du gouvernement du Canada. Cette plateforme publique en ligne permet d’accéder aux sources gouvernementales de science, de données, de publications et d’informations sur les activités de développement qui peuvent être utilisées pour comprendre les effets cumulatifs à travers le pays. La plateforme peut aider à identifier les données et les articles scientifiques pertinents en un seul endroit en ligne, et être une source de données ouvertes disponibles pour le téléchargement;
- études de terrain, y compris les méthodes d’inventaire spécifiques aux zones à l’étude;
- recherches dans les bases de données, y compris les banques de données fédérales, provinciales, territoriales et locales, telles que :
- données d’occupation du sol, telles que des cartes du couvert forestier ou des données de télédétection permettant d’identifier les caractéristiques et attributs importants des habitats;
- programmes de recherche des industries régionales ou des comités sur les ressources ou les espèces;
- plans de gestion des aires protégées et des bassins versants;
- plans de gestion des ressources naturelles;
- programmes de rétablissement et plans de gestion des espèces;
- mesures prises sur le terrain pour recueillir des données sur les niveaux ambiants ou de référence à la qualité de l’air, de l’eau, du sol et des sédiments, la luminosité ou l’environnement acoustique (ambiance sonore);
- documents publiés;
- documentation relative à l’évaluation environnementale, incluant les rapports de surveillance ou de suivi, provenant de projets antérieurs réalisés dans la région ou de projets similaires situés à l’extérieur de celle-ci;
- études ou évaluations régionales, évaluations stratégiques et évaluations de projet;
- données sur les récoltes renouvelables;
- savoir autochtone, y compris les récits oraux;
- activités de mobilisation et de consultation des experts, des communautés, du public et des Autochtones, y compris des ateliers, des réunions, des journées portes ouvertes et des sondages;
- renseignements qualitatifs recueillis au moyen d’entrevues, de groupes de discussion ou d’observations;
- données de recensement;
- évaluations d’impact sur la santé humaine ou évaluations des risques pour la santé;
- information publiée par l’Institut canadien d’information sur la santé sous Caractéristiques de la collectivité et du système de santé;
- profils économiques des communautés et des régions;
- enquêtes statistiques pertinentes;
Afin de déterminer si d’autres sources de données et méthodes d’inventaire pourraient être indiquées, les autorités gouvernementales fédérales, provinciales ou locales peuvent être contactées.
Élaboration de mesures d’atténuation
La hiérarchie des mesures d’atténuation constitue une pratique exemplaire qui établit un ordre de priorité décroissant pour la mise en œuvre des mesures visant à gérer les effets ou les impacts d’un projet. Selon ce cadre, les effets doivent être d’abord évités, puis minimisés s’ils ne peuvent être évités et, en dernier recours, compensés. La Loi sur l’évaluation d’impact fait référence à des mesures d’atténuation visant à éliminer, réduire, contrôler ou compenser les effets négatifs, ce qui correspond à l’ordre de priorité suivant dans la hiérarchie des mesures d’atténuation :
- Éliminer (évitement) : vise l’élimination des effets, par exemple en modifiant l’emplacement ou la conception du projet;
- Réduire et limiter (minimisation) : vise la réduction des effets, par exemple en modifiant les activités ou les composantes du projet les plus néfastes, ou le contrôle des effets, par exemple en installant des barrières physiques pour limiter l’étendue géographique d’un effet;
- Compenser : fait référence à la compensation des effets, par exemple lorsqu’un effet sur l’habitat du poisson persiste, par la restauration d’habitats dégradés ou par la création d’un nouvel habitat (remplacement). Les mesures d’atténuation compensatoires peuvent également être désignées comme des mesures de remplacement, de restauration ou de compensation.
Plans de compensation
Les considérations suivantes peuvent être pertinentes pour les plans de compensation, lorsqu’ils sont proposés :
- épuisement des options de mesures d’atténuation réalisables dans la hiérarchisation des mesures d’atténuation;
- effets résiduels visés par les plans de compensation;
- justification du ratio de compensation, y compris la façon dont les politiques ou les directives fournies par les autorités fédérales, les autorités provinciales et les peuples autochtones ont été prises en compte;
- emplacement et calendrier de mise en œuvre des projets de compensation;
- critères de réussite;
- mesures de compensation non liées à l’habitat (p. ex., contrôle des prédateurs);
- manière dont les mesures proposées s’harmonisent avec les plans et programmes provinciaux et fédéraux publiés en matière de rétablissement, de gestion ou d’action pour les espèces en péril ou pour le poisson et son habitat;
- parties responsables de la mise en œuvre des mesures de compensation, y compris la surveillance et l’analyse de l’efficacité;
- espèces indicatrices pour établir les objectifs de compensation. Les espèces en péril nécessitent généralement des mesures de compensation spécifiques et ne devraient pas être utilisées comme espèces indicatrices. Lors de la préparation de plans de compensation visant les espèces en péril, le promoteur peut se référer au modèle 2 dans la proposition de la Politique de délivrance de permis en vertu de la Loi sur les espèces en péril;
- fonctions de l’habitat qui seront acquises sur les sites de compensation;
- preuves que les fonctions de l’habitat peuvent être remplacées par les projets de compensation proposés;
- processus de sélection des sites de compensation proposés et des conditions de référence associées;
- calendrier de surveillance et activités à mener pour vérifier le succès des activités de compensation;
- Cadre opérationnel pour l’utilisation d’allocations de conservation d’Environnement et Changement climatique Canada;
- En ce qui concerne les plans de compensation pour les milieux humides :
- manière dont les mesures proposées s’harmonisent avec les plans et stratégies provinciaux et fédéraux publiés en matière de compensation des milieux humides,
- emplacement et superficie totale de tous les types de milieux humides, ainsi que leurs emplacements respectifs, pour lesquels les effets résiduels seraient atténués par des mesures de compensation,
- préférence pour la restauration de milieux humides naturels drainés ou altérés de même type et de même fonction que ceux affectés par le projet. La restauration des milieux humides est préférable à l’amélioration des milieux humides, qui sont toutes deux préférables à la création de nouveaux milieux humides,
- démonstration que les fonctions des milieux humides peuvent être remplacées par les mesures de compensation proposées,
- question à savoir s’il est possible de compenser la perte de fonctions dans les cas où les milieux humides sont uniques, qu’ils remplissent des fonctions d’habitat assurant la survie d’une grande proportion d’oiseaux migrateurs, ou qu’ils fournissent l’habitat nécessaire à des espèces en péril,
- ratio minimal de 2 :1 de la superficie des milieux humides à restaurer ou créer, par rapport à la superficie originale des milieux humides touchés et un ratio de compensation supérieur lorsque le succès de la compensation est incertain,
- lorsque les conditions du site le permettent, les fonctions perdues des milieux humides devraient être compensées à même le site. À défaut, privilégier une compensation au sein du même bassin hydrographique, puis, en dernier, au sein du même écosystème que celui où les fonctions sont affectées,
- réduction au minimum du délai entre le moment où les effets négatifs se produisent et celui où l’habitat et les fonctions sont rétablis,
- comment les activités d’enlèvement du couvert végétal et d’excavation de sol et de tourbe seront gérées afin d’être utilisé pour la restauration des milieux humides perturbés (p. ex., méthodes, conditions et calendrier de mise en réserve).
- En ce qui concerne les plans compensation du poisson et son habitat :
- localisation précise des interventions proposées du projet (latitude et longitude, numéro de lot, municipalité, municipalité régionale de comté, etc.) et les droits de propriété,
- état de référence, notamment une description du milieu (biologique, hydrologique, physique, chimique, etc.), une estimation de la qualité du milieu visé et une description de la problématique à corriger. Idéalement, la description du milieu devrait être accompagnée de photographies géoréférencées et datées,
- interventions proposées (nature, ampleur, méthode, calendrier, etc.),
- espèces de poissons visées par les mesures proposées, incluant les fonctions de l’habitat du poisson qui en résultent (alimentation, reproduction, alevinage, abri, croissance, migration),
- bénéfices pour le poisson et son habitat résultant des mesures de compensation en termes d’importance, d’ampleur et d’adéquation des gains qui seront obtenus par rapport à la situation actuelle,
- mesure du succès des objectifs de compensation dans le programme de suivi, détails de sa mise en œuvre, méthodes et critères utilisés pour évaluer le succès (paramètres, fréquence, durée, etc.), les livrables (p. ex., état de référence, protocole de suivi, plans et devis, rapport des travaux, rapport de suivi, etc.), ainsi que les mesures de contingence en cas de non-respect des critères de succès. Ceux-ci peuvent être colligés dans un ou plusieurs tableaux.
- les directives standard de Pêches et Océans Canada (MPO) suivantes :
- Examen de la surveillance fonctionnelle pour évaluer les activités d’atténuation, de restauration et de compensation au Canada,
- Assessing the Effectiveness of Habitat Offset Activities in Canada : Monitoring Design and Metrics (en anglais seulement),
- Equivalency metrics for the determination of offset requirements for the Fisheries Protection Program (en anglais seulement),
- Politique sur l’application de mesures visant à compenser les effets négatifs sur le poisson et son habitat en vertu de la Loi sur les pêches.
Orientations pour les composantes biophysiques
Les considérations techniques suivantes peuvent être pertinentes pour l’évaluation des composantes valorisées identifiées dans les lignes directrices spécifiques au projet.
Environnement atmosphérique, acoustique et visuel
- les sources d’émissions de polluants atmosphériques du projet comprennent les types de sources suivantes :
- sources ponctuelles : comprennent les équipements de production d’électricité (c.-à-d. les groupes électrogènes), les turbines, les compresseurs, les incinérateurs, les conduits d’échappement et les cheminées des installations de traitement, les évents de ventilation, les chaudières et autres équipements de chauffage, les torchères, les navires à quai, les moteurs de trains et autres véhicules de transport tournant au ralenti, les émissions fugitives des réservoirs de stockage et les fuites des conduites de gaz et autres équipements, les émissions de démarrage et d’arrêt;
- sources surfaciques : y compris les activités de forage et de dynamitage, la manutention des matériaux (p. ex., le chargement et le déchargement des camions de transport), le transport des matériaux, l’érosion éolienne des empilements et des haldes à stériles, les émissions fugitives provenant des parois de mine exposées, les émissions fugitives provenant des zones de traitement et des parcs à résidus, et les émissions de poussières provenant des routes asphaltées et non asphaltées. Il peut être pertinent de décrire les facteurs d’émission de poussières fugitives et l’atténuation prévue de celles-ci (efficacité des mesures d’atténuation);
- sources mobiles et routières : comprennent les émissions d’échappement et les émissions de poussières fugitives, y compris les véhicules hors route et sur route utilisés dans le cadre du projet. Il peut être pertinent d’estimer les facteurs d’émission de poussières fugitives et l’atténuation prévue de celles-ci (efficacité du contrôle), ainsi que les facteurs d’émission à l’échappement à l’aide de méthodes établies. Inclure les émissions des navires liés au projet et de leurs remorqueurs lors du transport le long de l’ensemble de la zone de navigation maritime, et du transport ferroviaire;
- des données de surveillance de référence recueillies sur une durée représentative et dans une portée spatiale appropriée;
- si des données de surveillance à long terme ne sont pas accessibles, d’autres techniques peuvent être acceptables au cas par cas, avec une justification, notamment :
- une surveillance limitée ou à court terme;
- des données provenant d’un site de substitution dont les conditions météorologiques et la qualité de l’air sont similaires pour représenter le site en question;
- les résultats d’une modélisation de grande envergure existante;
- la modélisation de la dispersion atmosphérique pour indiquer la distribution spatiale des contaminants.
- En ce qui concerne les exigences relatives à la modélisation de la dispersion atmosphérique :
- l’évaluation de la qualité de l’air devrait évaluer quatre scénarios, à savoir :
- les conditions de référence;
- le projet uniquement (avec ou sans mesures d’atténuation);
- les conditions de référence plus le projet; et
- les effets cumulatifs ou le développement futur, le cas échéant;
- la modélisation devrait utiliser les données météorologiques et d’émissions les plus récentes disponibles sur une période appropriée pour tenir compte de la variabilité de la météo et des conditions de référence,
- la modélisation de la dispersion devrait inclure les scénarios temporels pertinents. Pour la phase de construction, choisir les conditions dans lesquelles les effets sur la qualité de l’air sont à leur maximum. Pour la phase d’exploitation, choisir une année au cours de laquelle les effets sur la qualité de l’air sont à leur maximum;
- effectuer les modélisations des émissions fugitives, avec et sans mesures d’atténuation, afin d’évaluer l’effet de ces mesures sur la qualité de l’air et la déposition des matières particulaires sur les récepteurs sensibles, en particulier pour les émissions de particules provenant des routes non asphaltées et en utilisant de divers scénarios d’efficacité des mesures d’atténuation, par exemple de 0 % (sans atténuation ou scénario le plus défavorable), de 50 % et de 70 %;
- les limites de domaine appropriées (qui devraient, au minimum, englober les concentrations qui correspondent à 10 % des critères de qualité de l’air pertinents) et identifier les considérations transfrontalières;
- un modèle de qualité de l’air adapté à la complexité du terrain, des sources et de la météorologie.
- l’évaluation de la qualité de l’air devrait évaluer quatre scénarios, à savoir :
- afin d’éclairer le choix du programme pour effectuer la modélisation régionale de la qualité de l’air des taux de dépôt acidifiant, ECCC peut être consulté.
Milieux humides
- évaluation quantitative des fonctions des milieux humides représentatifs directement touchés par le projet, et des milieux humides ayant un lien hydrologique, dans le contexte :
- des grands bassins versants dont ils font partie;
- de l’utilisation des milieux adjacents en mettant l’accent sur les fonctions hydrologiques et les autres fonctions;
- du paysage ou d’un bassin versant en tenant compte de la topographie, des types de sols et des connexions hydrologiques;
- de l’importance globale des tourbières dans la zone d’étude régionale;
- spécificité des caractéristiques biologiques des milieux humides et des services et fonctions écologiques qu’ils fournissent;
- données recueillies dans les milieux humides représentatifs de manière à permettre des extrapolations fiables dans l’espace (c.-à-d., dans la zone de projet, la zone d’étude locale et la zone d’étude régionale) et dans le temps (c.-à-d., sur plusieurs années), notamment :
- concevoir des inventaires pour appuyer l’évaluation de manière à ce qu’ils soient représentatifs des limites spatiales et temporelles de la modélisation et des extrapolations, et produire une prévision scientifiquement défendable des effets et de l’efficacité des mesures d’atténuation. Prendre en compte les conceptions d’inventaires qui sont suffisamment sensibles pour détecter et quantifier les effets aux échelles spatiales et temporelles appropriées, les écarts par rapport aux prévisions et l’efficacité des mesures d’atténuation;
- planifier le protocole d’inventaire pour les milieux humides représentatifs en y intégrant la modélisation et les simulations pour estimer les besoins d’échantillonnage, ainsi que l’analyse pour évaluer les options de conception qui en résultent. Concevoir l’inventaire afin de permettre une évaluation de la zone du projet dans le contexte de la zone d’étude locale et de la zone d’étude régionale. Concevoir des inventaires prévoyant plusieurs lieux d’échantillonnage afin de représenter l’hétérogénéité des milieux humides dans la zone d’étude régionale, et d’obtenir plusieurs sites d’échantillonnage par type de milieu humide, pour éviter de devoir combiner les classes d’habitats, a posteriori;
- Données de référence sur les fonctions des milieux humides spécifiques au site :
- des inventaires visant à déterminer la présence, l’abondance, la densité et la répartition des espèces concernées en lien avec les milieux humides et les zones riveraines connexes touchés en respectant les normes spécifiques à une espèce ou à un groupe d’espèces, et réalisés durant les périodes appropriées de l’année;
- des inventaires pour les espèces en péril qui visent chaque espèce individuellement, lorsque possible (en général, une approche par indicateurs ne convient pas aux espèces en péril), et qui ne sont pas limités aux espèces ou aux groupes d’espèces spécifiques des milieux humides, mais plutôt des inventaires qui incluent les espèces connues pour leur fréquentation des habitats en milieux humides dans le cadre de leur cycle de vie, et qui sont suffisamment fiables pour permettre de déterminer les classes de milieux humides importantes pour chaque espèce;
- l’emplacement et la description des caractéristiques biologiques spécifiques de chaque milieu humide touché, ainsi que leurs fonctions écologiques (propriétés hydrologiques, cycle biochimique, habitat, climat);
- une justification et une description détaillée de la méthodologie utilisée pour réaliser l’évaluation des fonctions des milieux humides, incluant le plan d’échantillonnage;
- Afin de déterminer si d’autres politiques, règlements ou lignes directrices en matière de conservation des milieux humides devraient éventuellement être appliqués, les autorités provinciales ou locales peuvent être contactées.
Poissons et leur habitat
- En ce qui concerne l’établissement des conditions de référence pour les poissons et leur habitat :
- veuillez noter que certains plans d’eau ou cours d’eau intermittents et éphémères peuvent constituer ou contribuer à l’habitat du poisson. En outre, l’absence de poissons ou d’eau au moment d’un inventaire n’indique pas de manière irréfutable l’absence de poissons et/ou d’habitat du poisson. De même, les barrages de castors et les accumulations de débris ligneux ne sont pas considérés comme des obstacles infranchissables pour les poissons;
- tenir compte que les aires protégées ou habitats sensibles peuvent inclure des zones marines d’importance écologique et biologique et toute zone marine spéciale existante, désignée ou proposée, telle que les refuges marins, les zones de conservation marine, les réserves écologiques et les zones marines protégées, qui pourraient être affectées par le projet;
- décrire les plans d’eau et les cours d’eau en mesurant les paramètres pertinents, notamment la taille, la bathymétrie, les zones littorale, sublittorale, bathyale, épipélagique, mésopélagique et bathypélagique, les profondeurs maximales et moyennes, les fluctuations saisonnières du niveau de l’eau, le type de substrat (sédiments), la végétation aquatique (submergée, flottante et émergente) et riveraine, ainsi que la qualité de l’eau (température et profil de l’oxygène dissous, turbidité, transparence, pH, salinité);
- lors de la description des espèces de poissons présentes, utiliser les informations existantes (p. ex., l’outil de cartographie Internet des poissons et de la faune sauvage, les rapports régionaux accessibles, la littérature scientifique, les objectifs de gestion des pêches, les informations issues des activités de consultation et de mobilisation, les connaissances autochtones) complétées par la collecte de données sur le terrain, si nécessaire, pour appuyer l’évaluation et, le cas échéant, pour valider les prévisions;
- lors de la description de l’hydrologie des cours d’eau par section homogène, les paramètres pertinents à mesurer peuvent inclure la longueur de la section, la largeur mouillée à la ligne naturelle des hautes eaux (ligne naturelle des hautes eaux), la profondeur, le type et les caractéristiques d’écoulement (profondeur, vitesse, turbidité, débits de crue et d’étiage), le type de substrat (rive et lit), la végétation aquatique (p. ex., plaine herbeuse) et riveraine, les obstacles naturels (p. ex., dénivellation importante, chutes d’eau, écoulement souterrain sur de grandes distances) et anthropiques (p. ex., structures de franchissement des cours d’eau) qui empêchent ou limitent le libre passage des poissons. Envisager de documenter les obstacles (p. ex., taille, état) et d’évaluer leur franchissabilité par les poissons :
- la ligne naturelle des hautes eaux est le niveau habituel ou moyen auquel un plan d’eau ou un cours d’eau s’élève à son point le plus haut et reste suffisamment longtemps pour modifier les caractéristiques du terrain. Dans les cours d’eau (p. ex., les rivières, les ruisseaux), il s’agit du « niveau du chenal actif ou de la berge pleine », qui correspond souvent au niveau de retour de la crue 1 :2 an. Dans les lacs intérieurs, les milieux humides ou les environnements marins, il s’agit des parties du lit et des berges du plan d’eau qui sont fréquemment inondées par l’eau laissant une marque sur le sol, et où la végétation naturelle passe d’une végétation principalement aquatique à une végétation terrestre (à l’exception des espèces tolérantes à l’eau). Pour les réservoirs, il s’agit des niveaux d’exploitation élevés normaux (c.-à-d. le niveau d’approvisionnement complet);
- dans les régions septentrionales : décrire les conditions de pergélisol et les taliks, et leur influence sur les interactions entre les eaux souterraines et les eaux de surface et sur la qualité des eaux de surface;
- lors de la description des contaminants de référence, tenir compte des mesures des isotopes de carbone et d’azote dans les poissons et de la bioaccumulation des contaminants dans les poissons qui se trouvent en aval du projet;
- en ce qui concerne l’évaluation des effets sur les poissons et l’habitat des poissons en général :
- se référer aux paramètres standards pour les changements dans la qualité et la quantité de l’habitat afin de choisir une analyse adaptée au type et à l’échelle des effets (voir Un Cadre d’évaluation de la productivité des pêches destiné au Programme de protection des pêches correspondant et Cadre scientifique pour évaluer la réponse de la productivité des pêches à l’état des espèces ou des habitats). Par exemple, les effets plus larges, à l’échelle de l’écosystème, peuvent justifier une approche par modélisation. Les données peuvent être présentées sous la forme d’un tableau et d’une carte à des échelles appropriées; et
- tenir compte que les effets des perturbations chroniques et aiguës sur les populations de poissons dépendent souvent de l’état de ces dernières. Si la population de poissons est déjà appauvrie, l’effet d’une perturbation aiguë peut avoir un effet disproportionné sur la population.
Oiseaux
- En ce qui concerne les inventaires d’oiseaux sur le terrain :
- des inventaires d’oiseaux conçus sur la base de la littérature scientifique disponible relative à la région spécifique, aux groupes d’oiseaux et aux effets prévus :
- conformes aux directives et normes réglementaires applicables;
- un échantillonnage temporel couvrant les étapes clés du cycle de vie (reproduction, migration, hivernage);
- l’utilisation de sites d’échantillonnage spatialement équilibrés (p. ex., en utilisant un échantillonnage aléatoire stratifié qui couvre tous les types d’habitats) sur la base de conseils d’experts en matière de conception de programmes de suivi des oiseaux;
- un effort d’échantillonnage et des emplacements d’échantillonnage suffisants pour refléter la variabilité entre les types d’habitats dans la zone du projet, et les zones d’étude locales et régionales, avec un effort d’échantillonnage plus intensif :
- dans la zone du projet;
- dans les zones où les habitats les plus susceptibles d’être touchés par le projet;
- pour les espèces qui peuvent être plus difficiles à détecter;
- pour les espèces en péril;
- compléter les données existantes afin de représenter les informations spatiales pertinentes et la variabilité temporelle (p. ex., à travers les échelles temporelles, pendant et entre les saisons, et dans le cycle quotidien de 24 heures);
- planifier les protocoles d’inventaire en y intégrant la modélisation et des simulations afin d’estimer les besoins en matière d’échantillonnage et d’évaluer les options d’inventaire;
- le plan d’échantillonnage des inventaires peut produire des prévisions scientifiquement défendables des effets et de l’efficacité des mesures d’atténuation;
- des techniques de modélisation basées sur la littérature scientifique récente;
- lorsque des bordures d’habitat importantes sont identifiées, le plan d’échantillonnage joue un rôle important pour comprendre les relations entre les différents types d’habitats;
- lorsque la modélisation est utilisée pour délimiter et quantifier les types d’habitats, les données explicatives (p. ex., les covariables telles que la couverture terrestre associée, etc.) représentent les sources pertinentes de variation telles que la variation spatiale de la composition de la couverture terrestre, le type de sol, la géomorphologie, les processus hydrologiques, l’élévation ainsi que la variabilité climatique interannuelle et intra-annuelle;
- les estimations des valeurs de confiance ou d’erreur sont définies (p. ex., intervalles de confiance à 95 %, intervalles crédibles) pour toutes les estimations d’abondance et de répartition (p. ex., moyenne sur plusieurs années, moyenne sur plusieurs sites, prévisions modélisées); et
- étant donné que le dénombrement des oiseaux migrateurs dépend de la durée de leur séjour ainsi que de leur présence, les estimations des tendances interannuelles et intra-annuelles et de la durée des séjours sont intégrées dans les estimations de l’abondance sur l’ensemble d’une période migratoire et tiennent compte des espèces irruptives qui peuvent être absentes d’une zone jusqu’à ce que les conditions changent (p. ex., événement majeur, fonte des neiges);
- En ce qui concerne les inventaires d’habitat sur le terrain :
- le contexte de la disponibilité et de la qualité des habitats locaux et régionaux;
- la couverture terrestre de forêts mixtes, de forêts anciennes et d’autres types de forêts d’importance pour de nombreuses espèces d’oiseaux forestiers, comme habitat pendant la migration, la reproduction et pendant l’hiver, ainsi que les couloirs riverains adjacents des forêts mixtes;
- les tourbières et les milieux humides, y compris les tourbières ombrotrophes et minérotrophes d’importance écologique;
- les sites hautement productifs, notamment les estuaires et les herbiers de zostères, les rivages et les rivières de frai, les zones de remontées d’eaux profondes, les colonies d’oiseaux et les îles ou îlots;
- les zones importantes sur le plan environnemental comprennent les parcs nationaux, les réserves nationales de faune, les refuges d’oiseaux migrateurs, les zones importantes pour la conservation des oiseaux et de la biodiversité au Canada, les zones de protection marines et les zones marines d’importance écologique et biologique ou d’autres aires ou sanctuaires prioritaires pour les oiseaux.
- En ce qui concerne les séquences d’effets sur les oiseaux :
- la modification ou l’enlèvement de la végétation, plus particulièrement dans les habitats importants pour la nidification, l’alimentation, le rassemblement et l’hivernage, ou qui servent de corridors de déplacement entre les habitats;
- le dépôt de substances nocives et les changements à la qualité de l’eau dans des eaux fréquentées par des oiseaux;
- les structures susceptibles d’entraîner des collisions d’oiseaux, notamment les tours éclairées, les haubans, les lignes électriques, les vitres de bâtiments et autres structures transparentes;
- les changements au régime d’écoulement des eaux et de la charge sédimentaire;
- la construction et l’exploitation d’installations de gestion des résidus miniers (c.-à-d. les parcs à résidus), de bassins d’eaux usées ou d’autres bassins contenant des liquides de traitement ou des substances nocives aux oiseaux;
- les changements à l’environnement atmosphérique, acoustique et visuel (p. ex., bruit, vibrations, éclairage, émissions atmosphériques et poussières);
- le torchage de gaz;
- toute activité de projet pouvant avoir lieu pendant les périodes critiques ou les périodes d’activité restreinte pour les espèces d’oiseaux, y compris les espèces en péril.
- En ce qui concerne les effets sur les oiseaux :
- chaque activité, composante et phase du projet séparément, en précisant si ces activités sont permanentes ou temporaires dans l’environnement;
- les effets non linéaires, indirects et synergiques;
- les changements à court et à long terme prévus pour les habitats identifiés dans la section sur les conditions de référence (en termes de qualité, quantité, disponibilité, répartition et fonction), y compris ceux résultant de la perte, de la dégradation, de la fragmentation ou de la modification structurelle des habitats, ou encore de l’évitement des habitats;
- les modifications des habitats importants pour la nidification, l’alimentation, le repos, l’hivernage, l’élevage et la mue, ainsi que des corridors de déplacement entre les habitats;
- toute hypothèse concernant le déplacement temporaire ou la relocalisation pendant les phases de construction et d’exploitation du projet quand les données de référence fournissent la preuve qu’il existe un nombre significatif d’habitats équivalents disponibles aux oiseaux et que la végétation enlevée n’est pas propre à la zone du projet tel que justifié par des preuves scientifiques ou par des études et un suivi dans la zone du projet;
- la quantité absolue et relative d’habitat perdu (en pourcentage du total des habitats locaux et régionaux disponibles);
- les modifications aux relations entre les oiseaux et leur habitat, l’abondance et la densité de la communauté aviaire qui utilise les différents types d’habitat ou écosystèmes;
- les modifications aux sources de nourriture en termes de types, de qualité, de quantité, de disponibilité, de répartition et de fonction, y compris les modifications à court et à long terme;
- les modifications au risque de mortalité, y compris celles résultant de collisions d’oiseaux avec les infrastructures du projet, les vitres des bâtiments et autres structures transparentes, les torchères, les lignes aériennes, les navires et les véhicules, de l’attraction par la lumière et d’effets indirects, tels que l’augmentation des mouvements des prédateurs ou l’accès à la chasse;
- l’augmentation des perturbations (p. ex., bruit, lumière artificielle, présence de travailleurs) en tenant compte des périodes critiques pour les oiseaux, notamment la reproduction, la migration et l’hivernage;
- les changements dans les contaminants et la bioaccumulation des contaminants;
- Consulter les orientations d’Environnement et Changement climatique Canada sur la Prévention des effets négatifs pour les oiseaux migrateurs.
- des inventaires d’oiseaux conçus sur la base de la littérature scientifique disponible relative à la région spécifique, aux groupes d’oiseaux et aux effets prévus :
- compléter les données existantes avec les données recueillies sur le terrain afin de représenter la variabilité (p. ex., à travers les échelles temporelles, pendant et entre les saisons, et dans le cycle quotidien de 24 heures);
- planifier les protocoles d’inventaire en y intégrant la modélisation et les simulations afin d’estimer les besoins en matière d’échantillonnage, ainsi que l’analyse pour évaluer les options d’inventaire;
- considérer que la détection des espèces rares nécessite davantage d’efforts en augmentant le nombre et la durée des inventaires;
- la conception des inventaires doit tenir compte de l’hétérogénéité de l’habitat de la zone d’étude régionale ainsi du nombre d’emplacements par couverture terrestre ou par classe d’habitat afin que l’agrégation des classes d’habitat a posteriori ne soit pas nécessaire;
- prévoir l’effort d’échantillonnage de manière à ce que le niveau d’effort par unité de surface soit plus intensif au sein de la zone du projet et peut être similaire ou légèrement moins intensif dans le reste de la zone d’étude locale, et permettre une comparaison défendable des estimations entre la zone du projet, la zone d’étude locale et la zone d’étude régionale;
- la modélisation par simulation pour évaluer les biais et la précision afin de garantir que les estimations entre la zone du projet, la zone d’étude locale et la zone d’étude régionale puissent être comparées;
- un échantillonnage aléatoire stratifié de l’habitat, en sélectionnant les sites d’échantillonnage au moyen d’une procédure aléatoire comme une superposition de grilles SIG;
- plusieurs stations d’échantillonnage et plusieurs visites à chaque station par des experts qualifiés qui réalisent les inventaires et les analyses;
- les plans de rétablissement pour lesquels un calendrier d’inventaires aurait été créé afin de cerner les lacunes en matière d’information pour ces espèces, y compris pour la désignation de l’habitat essentiel;
- les ensembles de données pour tous les sites inventoriés sous forme de bases de données relationnelles complètes, dont la qualité est garantie, et contenant des informations géoréférencées précise, des données précises sur les observations et visites, ainsi que des observations et des mesures non résumées;
- les documents et fichiers numériques, pour tous les résultats des analyses, qui permettraient une compréhension claire des méthodes et la reproductibilité des résultats (procédures de traitement des données);
- Pour obtenir des sources de données et les méthodes d’inventaire supplémentaires, veuillez contacter les autorités provinciales ou locales compétentes.
Faune et espèces en péril
Références à des ressources supplémentaires
Le promoteur est invité à consulter le Guide du praticien sur les évaluations d’impact fédérales de l’AEIC et à se tenir informé des mises à jour. Vous trouverez ci-dessous des références à des ressources supplémentaires pour soutenir la préparation d’une étude d’impact. Les lignes directrices spécifiques au projet peuvent également inclure des références spécifiques au projet.Environnement atmosphérique, acoustique et visuel
Conseil canadien des ministres de l’Environnement (CCME), 1993. Code d’usage environnemental pour la mesure et la réduction des émissions fugitives de composés organiques volatils résultant de fuites provenant du matériel. Disponible sur demande auprès du CCME.
Conseil canadien des ministres de l’Environnement (CCME). Système de gestion de la qualité de l’air (SGQA) et les normes canadiennes de qualité de l’air ambiant (NCQAA). Disponible à https://ccme.ca/fr/priorites-actuelles/lair
Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 1993. Un engagement national pour la prévention de la pollution. Disponible sur demande auprès du CCME.
Environnement et Changement climatique Canada, 1991. Accord Canada-États-Unis sur la qualité de l’air. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/affaires-internationales/partenariats-pays-regions/amerique-nord/canada-etats-unis-qualite-air.html
Organisation internationale de normalisation, 2014. ISO 12913-1 :2014 Acoustique – Paysage sonore – Partie 1 : Définition et cadre conceptuel. Disponible à https://www.iso.org/fr/standard/52161.html
United Nations Economic Commission for Europe (UNECE), 1979. Convention on Long-range Transboundary Air Pollution. Disponible (en anglais) à https://unece.org/convention-and-its-achievements
Oiseaux
Audubon. Audubon Christmas Bird Count. Disponible (en anglais) à http://netapp.audubon.org/CBCObservation/Historical/ResultsByCount.aspx
Barker, R. J., Schofield, M. R., Link, W. A., Sauer, J. R., 2018. On the reliability of N-mixture models for count data. Biometrics, 74(1), 369–377. Disponible (en anglais) à https://doi.org/10.1111/biom.12734
Bordage, D., M.C. Bateman, R.K. Ross, and C. Lepage. 2017. Helicopter-based waterfowl breeding pair survey in Eastern Canada and related studies. Black Duck Joint Venture Special Publication. Disponible en anglais.
eBird Canada. Disponible à https://ebird.org/canada/home
Environnement et Changement climatique Canada. Convention pour la protection des oiseaux migrateurs au Canada et aux États-Unis. 2022. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/affaires-internationales/partenariats-pays-regions/amerique-nord/canada-etats-unis-protection-oiseaux-migrateurs.html
Environnement et Changement climatique Canada. Convention pour la protection des oiseaux migrateurs aux États-Unis et au Canada. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/registre-public-especes-peril/accords-internationaux-connexes/convention-protection-oiseaux-migrateurs-eu-canada.html
Environnement et Changement climatique Canada. Périodes générales de nidification des oiseaux migrateurs. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/prevention-effets-nefastes-oiseaux-migrateurs/periodes-generales-nidification.html
Environnement et Changement climatique Canada. Plan conjoint des habitats. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/habitats-fauniques/plan-conjoint.html
Environnement et Changement climatique Canada. Prévention des effets néfastes pour les oiseaux migrateurs. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/prevention-effets-nefastes-oiseaux-migrateurs.html
Environnement et Changement climatique Canada. Régions de conservation des oiseaux et stratégies. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/conservation-oiseaux-migrateurs/regions-strategies.html
Environnement et Changement climatique Canada. Relevés des oiseaux. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/releves-oiseaux.html
Hanson, A., Goudie, I., Lang, A., Gjerdrum, C., Cotter, R., Donaldson, G. 2009. Cadre pour l’évaluation scientifique des impacts potentiels des projets sur les oiseaux. Série de Rapports techniques no 508. Environnement Canada - Service canadien de la faune. Disponible à http://publications.gc.ca/collections/collection_2010/ec/CW69-5-508-fra.pdf
Milko, R. 1998. Directive pour les évaluations environnementales relatives aux oiseaux migrateurs, 1998. Environnement Canada - Service canadien de la faune. Disponible à https://publications.gc.ca/site/fra/9.680668/publication.html
Oiseaux Canada, Réseau de connaissances aviaires. NatureCounts. Disponible à https://www.birdscanada.org/naturecounts/default/searchquery.jsp?switchlang=FR
Oiseaux Canada. Le réseau canadien de surveillance des migrations (RCSM). 2019. Disponible à https://www.oiseauxcanada.org/etudier-les-oiseaux/le-reseau-canadien-de-surveillance-des-migrations-rcsm/
Oiseaux Canada. Outil de requête des calendriers de nidification. Disponible à https://www.naturecounts.ca/apps/rnest/index.jsp?lang=FRPNAGS Canada. Plan nord-américain de gestion de la sauvagine, 2013. Disponible à https://nawmp.wetlandnetwork.ca/what-is-nawmp/
Résultats de Relevé des oiseaux nicheurs. Disponible à https://faune-especes.canada.ca/resultats-releve-oiseaux-nicheurs/P001/A001/?lang=f
Yip, D. A., L. Leston, E. M. Bayne, P. Sólymos, et A. Grover, 2017. Dérivation expérimentale de distances de détection d’enregistrements audio et d’observateurs humains permettant l’analyse intégrée de points d’écoute. Avian Conservation and Ecology 12(1) :11. Disponible (en anglais) à https://www.ace-eco.org/vol12/iss1/art11
Poisson et son habitat
Bradford, M.J., R.G. Randall, K.S. Smokorowski, B.E. Keatley et K.D. Clarke, 2014. Cadre d’évaluation de la productivité des pêches destiné au Programme de protection des pêches correspondant. Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique. Disponible à Cadre d’évaluation de la productivité des pêches destiné au Programme de protection des pêches correspondant
Bradford, M.J., Smokorowski, K.E. Clarke, K.D., Keatley, B.E. et Wong, M.C. 2016. Paramètres d’équivalence visant l’établissement d’exigences de compensation aux fins du Programme de protection des pêches. Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique. Disponible à https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/Library/40799128.pdf
Braun, D.C., Smokorowski, K.E., Bradford, M.J., et Glover, L. 2019. Examen de la surveillance fonctionnelle pour évaluer les activités d’atténuation, de restauration et de compensation au Canada. Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique. Examen de la surveillance fonctionnelle pour évaluer les activités d’atténuation, de restauration et de compensation au Canada, 2019. Disponible à https://publications.gc.ca/collections/collection_2020/mpo-dfo/fs70-5/Fs70-5-2019-057-fra.pdf
Conseil canadien des ministres de l’environnement, 2011. Manuel des protocoles d’échantillonnage pour l’analyse de la qualité de l’eau au Canada. Disponible à https://publications.gc.ca/collections/collection_2013/ccme/En108-4-62-2011-fra.pdf
Environnement et Changement climatique Canada, 2016. Guide pratique d’intervention en cas de déversement d’hydrocarbures sur les rives en milieu marin. Disponible à https://publications.gc.ca/site/eng/9.677556/publication.html
Koops, M.A., Dey, C.J., Fung, S., Theis, S., Tunney, TD., et van der Lee, A.S. 2002. Estimation des effets néfastes sur le poisson et des mesures de compensation pour la mort du poisson. Secrétariat canadien des avis scientifiques. Disponible à https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/library-bibliotheque/41092053.pdf
LeBlanc, S.G. and Tunney, T.D. 2024. Literature review and considerations for effective capture and relocation of freshwater fish for in-water projects. Can. Tech. Rep. Fish. Aquat. Sci. 3636 : vi + 44 p. Disponible (en anglais) à https://doi.org/10.60825/bhfg-fv47
Pêches et Océans Canada. Guide du demandeur en support au Règlement sur les autorisations relatives à la protection du poisson et de son habitat. Disponible à https://www.dfo-mpo.gc.ca/pnw-ppe/reviews-revues/applicants-guide-candidats-fra.html
Pêches et Océans Canada. Politique sur l’application de mesures visant à compenser les effets néfastes sur le poisson et son habitat en vertu de la Loi sur les pêches. Disponible à https://www.dfo-mpo.gc.ca/pnw-ppe/reviews-revues/policies-politiques-fra.html
Pêches et Océans Canada. Séquences des effets. Disponible à https://www.dfo-mpo.gc.ca/pnw-ppe/pathways-sequences/index-fra.html
Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique, 2013. Cadre d’évaluation des exigences relatives au débit écologique nécessaire pour soutenir les pêches au Canada. Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique. Disponible à https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/Library/348882F.pdf
Pêches et Océans Canada, Secrétariat canadien de consultation scientifique, 2019. Science advice on operational guidance on function monitoring : Surrogate metrics of fish productivity to assess the effectiveness of mitigation and offsetting measures. Disponible (en anglais) à : https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/library-bibliotheque/40864029.pdf
Pêches et Océans Canada. 2013. Cadre scientifique pour évaluer la réponse de la productivité des pêches à l’état des espèces ou des habitats. Disponible à https://publications.gc.ca/site/eng/9.606847/publication.html
Pêches et Océans Canada. 2017. Cadre scientifique pour évaluer la réponse de la productivité des pêches à l’état des espèces ou des habitats. Disponible à https://publications.gc.ca/site/fra/9.606847/publication.html
Pêches et Océans Canada. 2022. Science advice to the Fish and Fish Habitat Protection Program on estimating impacts and offsets for death of fish. Disponible (en anglais) à https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/library-bibliotheque/41092570.pdf
Pêches et Océans Canada, 2025. Planification de projets : en quoi consistent les mesures de compensation et comment préparer un plan de compensation? Disponible à https://www.dfo-mpo.gc.ca/pnw-ppe/reviews-revues/docs/offsetting-compensation-plan-fr.pdf
Smokorowski, K.E., Bradford, M.J., Clarke, K.D., Clément, M., Gregory, R.S., Randall, R.G. 2015. Assessing the effectiveness of habitat offset activities in Canada : Monitoring design and metrics. Canadian Technical Report of Fisheries and Aquatic Sciences 3132. Disponible (en anglais) à http://publications.gc.ca/collections/collection_2015/mpo-dfo/Fs97-6-3132-eng.pdf
Analyse comparative entre les sexes Plus
Femmes et Égalité des genres Canada, 2018. Intersectionnalité : Outil de travail. Disponible à https://women-gender-equality.canada.ca/gbaplus-course-cours-acsplus/assets/modules/Intersectionality_tool_job_aid_FR.pdf
Femmes et Égalité des genres Canada. Démystifier l’ACS Plus. Outil de travail. Disponible à https://women-gender-equality.canada.ca/gbaplus-course-cours-acsplus/assets/modules/Demystifying_GBA_job_aid_FR.pdf
Prospectors and Developers Association of Canada. 2020. Gender Diversity and Inclusion : A Guide for Explorers. Disponible (en anglais) à https://www.pdac.ca/priorities/responsible-exploration/gender/gender-diversity-and-inclusion-guidance-document
Ressources naturelles Canada, 2015. En chiffres : La mixité dans les industries des ressources naturelles du Canada et les domaines de la science, de la technologie, du génie et des mathématiques (STGM). Disponible à https://www.ourcommons.ca/Content/Committee/421/FEWO/Brief/BR8745320/br-external/NRC-f.pdf
Statistique Canada. Statistiques sur le genre, la diversité et l’inclusion. Disponible à https://www.statcan.gc.ca/fr/themes-debut/genre_diversite_et_inclusion
Gaz à effet de serre et changements climatiques
Environnement et Changement climatique Canada. 2020. Évaluation stratégique des changements climatiques : un nouveau système d’évaluation d’impact. Disponible à https://evaluationstrategiquedeschangementsclimatiques.ca
Environnement et Changement climatique Canada, 2021. Version préliminaire du guide technique relatif à l’évaluation stratégique des changements climatiques. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/transparence/consultations/version-preliminaire-guide-technique-relatif-evaluation-strategique-changements-climatiques.html
Environnement et Changement climatique Canada. 2022. Version préliminaire du guide technique relatif à l’évaluation stratégique des changements climatiques : évaluer la résilience aux changements climatiques. Disponible à https://www.canada.ca/fr/services/environnement/conservation/evaluation/evaluations-strategiques/version-preliminaire-deuxieme-guide-technique-relatif-evaluation-strategique-changements-climatiques.html
Santé humaine
Agence de la santé publique du Canada. Outil de données sur les inégalités en santé. Disponible à https://sante-infobase.canada.ca/inegalites-en-sante/
Agence de la santé publique du Canada, 2018. Les principales inégalités en santé au Canada. Un portrait national. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/science-recherche-et-donnees/rapport-principales-inegalites-sante-canada-sommaire-executif.html
Agence de la santé publique du Canada, 2019. Cadre d’indicateurs de surveillance de la santé mentale positive. Disponible à https://sante-infobase.canada.ca/sante-mentale-positive/
Agence de la santé publique du Canada, 2019. Déterminants sociaux de la santé et inégalités en santé. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/promotion-sante/sante-population/est-determine-sante.html
Bhatia, R., Farhang, L., Heller, J., Lee, M., Orenstein, M., Richardson, M., Wernham, A. 2014. Minimum Elements and Practice Standards for Health Impact Assessment, Version 3. Disponible (en anglais) à https://pdfs.semanticscholar.org/040d/8ff2749f8ef2ec8b8233b7bffae9f7a38a12.pdf
Centre de collaboration nationale de déterminants de la santé, 2012. En quoi consistent les déterminants sociaux de la santé? Disponible à https://nccdh.ca/fr/resources/entry/SDH-factsheet
Centre de collaboration nationale de la santé autochtone, 2013. Inégalités en matière de santé et déterminants sociaux de la santé des peuples autochtones. Disponible à https://www.ccnsa.ca/fr/publicationsview.aspx?sortcode=1.8.21.0&id=46
Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé, 2012. Outils et approches pour évaluer et soutenir les mesures de santé publique en matière de déterminants de la santé et d’équité en santé. Disponible à https://nccdh.ca/fr/resources/entry/tools-and-approaches
Centre de collaboration nationale en santé environnementale. Évaluations des effets sur la santé. Disponible à https://ccnse.ca/resources/subject-guides/evaluations-des-effets-sur-la-sante
Institut canadien d’information sur la santé. Les caractéristiques de la collectivité et des systèmes de santé. Publication en ligne Indicateurs de santé. Disponible à https://www.cihi.ca/fr/publication-en-ligne-indicateurs-de-sante
Gouvernement du Canada. Outil de données sur les inégalités en santé – Infobase de la santé publique. Disponible à https://sante-infobase.canada.ca/inegalites-en-sante/Indicat
IPIECA & International Association of Oil & Gas Producers, 2016. Health impact assessment – A guide for the oil and gas industry. Disponible (en anglais) à https://www.ipieca.org/resources/good-practice/health-impact-assessment-a-guide-for-the-oil-and-gas-industry/
Lewis, D., James, S. Thom, O., Doxtator, S., Nahmahbin-Hiltz, M., et Beacock, E. 2021. Intangible Impacts - More-than-mental health : Indigenous identity, culture, community and relationship with land are integral to Indigenous wellbeing (training manual). Western University. Disponible (en anglais) à https://indigenousimpacts.uwo.ca/training_resources/indigenous_impacts_story_map.html
Mendell, A. & St-Pierre, L. 2014. Évalution d’impact sur la santé (EIS) Grille de dépistage. Montréal, QC : National Collaborating Centre for Healthy Public Policy. Disponible à : https://ccnpps-ncchpp.ca/docs/2014_EIS_HIA_Outil_Depistage_fr.pdf
Rotenberg, C. 2016. Les déterminants sociaux de la santé des membres des Premières Nations de 15 ans et plus vivant hors réserve, 2012. Statistique Canada. Disponible à https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/89-653-x/89-653-x2016010-fra.htm
Salerno, T., Tam, J., Page, J., Gosling, S., et Firelight Research Inc. Indigenous Mental Wellness and Major Project Development : Guidance for Impact Assessment Professionals and Indigenous Communities Final Report. May 7, 2021. Disponible à https://www.canada.ca/content/dam/iaac-acei/documents/research/indigenous-mental-wellness-and-ia-fr.pdf
Santé Canada. Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/sante-environnement-milieu-travail/qualite-eau/eau-potable/recommandations-qualite-eau-potable-canada.html
Santé Canada. Sécurité alimentaire. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/science-nutrition-et-recherche/securite-alimentaire.html
Santé Canada. 2007. Bien manger avec le Guide alimentaire canadien – Premières Nations, Inuit et Métis. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/guide-alimentaire-canadien/contexte/historique-guide-alimentaire/bien-manger-guide-alimentaire-canadien-premieres-nations-inuit-metis.html.
Santé Canada. 2016. Évaluation des risques pour la santé humaine des gaz d’échappement des moteurs diesel. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/evaluation-risques-pour-sante-humaine-gaz-echappement-moteurs-diesel-sommaire.html
Santé Canada. 2017. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre des évaluations environnementales : La qualité de l’eau potable et de l’eau utilisée à des fins récréatives. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-levaluation-impacts-sante-humaine-cadre-qualite-leau.html
Santé Canada. 2017. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre des évaluations environnementales : Les aliments traditionnels. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-levaluation-impacts-sante-humaine-aliments-traditionnels.html
Santé Canada. 2017. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre des évaluations environnementales : Le bruit. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-levaluation-impacts-sante-humaine-cadre-bruit.html
Santé Canada. 2017. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre des évaluations environnementales : Les effets radiologiques. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-levaluation-impacts-sante-humaine-cadre-radiologiques.html
Santé Canada. 2017. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre des évaluations environnementales : Qualité de l’air. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-levaluation-impacts-sante-humaine-cadre-qualite-lair.html
Santé Canada, Documents d’orientation – Lieux contaminés – Santé de l’environnement et du milieu de travail : Documents d’orientation. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/sante-environnement-milieu-travail/lieux-contamines/documents-orientation.html
Santé Canada. 2023. Conseils pour l’évaluation des impacts sur la santé humaine dans le cadre d’une évaluation d’impacts : Évaluation des risques pour la santé humaine. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/conseils-evaluation-impacts-sante-humaine-evaluation-risques.html
Santé Canada. 2024. Orientation provisoire : L’évaluation d’impact sur la santé de projets désignés en vertu de la Loi sur l’évaluation d’impact. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/vie-saine/orientation-provisoire-evaluation-impact-sante.html
Services aux Autochtones Canada. L’Indice de bien-être des communautés. Disponible à https://www.sac-isc.gc.ca/fra/1100100016579/1557319653695
Participation et mobilisation des Autochtones
Agence d’évaluation d’impact du Canada. 2015. Orientations techniques pour l’évaluation de l’usage courant des terres et des ressources à des fins traditionnelles en vertu de la LCEE 2012. Disponible à https://www.canada.ca/fr/agence-evaluation-impact/services/politiques-et-orientation/orientations-techniques-pour-evaluation-usage-courant-terres-et-ressources-fins-traditionnelles-vertu-lcee-2012.html
Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations. Les principes de PCAP des Premières Nations. Disponible à https://fnigc.ca/fr/les-principes-de-pcap-des-premieres-nations/
Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, 2019. Réclamer notre pouvoir et notre place : le rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. Disponible à https://www.mmiwg-ffada.ca/fr/final-report/
Indigenous Advisory Committee, 2020 et après. Recommandations fournies à l’Agence sur le système d’évaluation d’impact par le Comité consultatif autochtone. Disponible à https://www.canada.ca/fr/agence-evaluation-impact/consultative/comites-consultatifs/comite-consultatif-autochtone.html
Indigenous Advisory Committee, 2022. Assessment of Potential Impacts on Rights : Operational Guidelines for Project Proponents. Disponible (en anglais) à https://open.canada.ca/data/en/info/8c81ab17-f562-42bb-a985-991bf774201b/resource/cc6cb30d-1363-4b29-ad8f-36c9cf685ed9
Nations Unies, 2007. Déclaration des Nations Unies sur les droits des peoples autochtones. Disponible à https://www.un.org/development/desa/indigenouspeoples/wp-content/uploads/sites/19/2018/11/UNDRIP_F_web.pdf
Espèces en péril
Comité sur la situation des espèces en péril au Canada. Rapports de situation du COSEPAC. Disponible à : https://cosewic.ca/index.php/fr/rapports-situation.html
Environnement et Changement climatique Canada, 2012. Cadre opérationnel pour l’utilisation d’allocations de conservation. Disponible à https://publications.gc.ca/site/archivee-archived.html?url=https://publications.gc.ca/collections/collection_2012/ec/En14-77-2012-fra.pdf
Environnement et Changement climatique Canada. Registre public des espèces en péril. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/registre-public-especes-peril.html
Gouvernement du Canada, 2016. Politique de délivrance de permis en vertu de la Loi sur les espèces en péril (proposée). Disponible à https://publications.gc.ca/collections/collection_2012/ec/En14-77-2012-fra.pdf
Master, L. L., Faber-Langendoen, D., Bittman, R., Hammerson, G. A., Heidel, B., Ramsay, L., Snow, K., Teuche, A., Tomaino, A. 2012. NatureServe Conservation Status Assessments : Factors for Evaluating Species and Ecosystem Risk. Disponible (en anglais) à https://www.natureserve.org/publications/natureserve-conservation-status-assessments-factors-evaluating-species-and-ecosystem
Réseau canadien pour la santé de la faune, 2016. Syndrome du museau blanc – Protocole de décontamination national à suivre avant d’entrer dans un hibernacle de chauves-souris au Canada. Disponible à : http://www.cwhc-rcsf.ca/docs/WNS_Decontamination_Protocol_FR_Mar2017.pdf
Durabilité et obligations environnementales
Biodivcanada. Centre d’échange national sur la biodiversité. Groupe de travail fédéral, provincial et territorial sur la biodiversité. Disponible à https://www.biodivcanada.ca/accueil
Convention on Biological Diversity. Impact assessment : Voluntary guidelines on biodiversity-inclusive impact assessment. Disponible à (en anglais) https://www.cbd.int/decision/cop?id=11042
Environnement et Changement climatique Canada. Stratégie pour la nature 2030 du Canada et projet de loi sur la responsabilité envers la nature. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/biodiversite/strategie-nature-2030.html
Qualité de l’eau
Affaires mondiales Canada, 1910. Traité concernant les eaux limitrophes et les questions qui en découlent le long de la frontière entre les États-Unis et le Canada. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/affaires-internationales/partenariats-pays-regions/amerique-nord/canada-etats-unis-eaux-limitrophes.html
Conseil canadien des ministres de l’Environnement. Recommandations canadiennes pour la qualité des eaux : protection de la vie aquatique. Disponible à https://ccme.ca/fr/priorites-actuelles/recommandations-canadiennes-pour-la-qualit-de-lenvironnement
Environnement et Changement climatique Canada. Guide sur l’évaluation des solutions de rechange pour l’entreposage des déchets miniers. Environnement et Changement climatique Canada. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/gestion-pollution/sources-industrie/effluent-minier/effluents-mines-metaux-diamants/depots-residus-miniers/guide-rechange-entreposage-dechets-miniers/chapitre-1.html
Environnement et Changement climatique Canada. Guide sur le processus réglementaire d’inscription des plans d’eau où vivent des poissons à l’annexe 2 du Règlement sur les effluents des mines de métaux et des mines de diamants. Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/gestion-pollution/sources-industrie/effluent-minier/effluents-mines-metaux-diamants/depots-residus-miniers/guide-processus-inscription-eau-poissons-annexe-2.html
INAP : The International Network for Acid Prevention. Global Acid Rock Drainage Guide. Sommaire en français disponible à http://www.gardguide.com (document complet en anglais seulement)
Mine Environment Neutral Drainage (MEND), 2014. Report 3.50.1 - Study to Identify BATEA for the Management and Control of Effluent Quality from Mines. Disponible (en anglais) à http://mend-nedem.org/mend-report/study-to-identify-batea-for-the-management-and-control-of-effluent-quality-from-mines/
Santé Canada. Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada. Disponible à : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/sante-environnement-milieu-travail/qualite-eau/eau-potable/recommandations-qualite-eau-potable-canada.html
Price, William, A. 2009. Mine Environment Neutral Drainage (MEND) Report 1.20.1 Prediction Manual for Drainage Chemistry from Sulphidic Geologic Materials. Ressources naturelles Canada. Disponible (en anglais) à https://mend-nedem.org/mend-report/prediction-manual-for-drainage-chemistry-from-sulphidic-geologic-materials/
Milieux humides
Environnement et Changement climatique Canada, 1983. Convention sur les zones humides d’importance internationale, en particulier en tant qu’habitat de la sauvagine (Ramsar). Disponible à https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/affaires-internationales/partenariats-organisations/zones-humides-importantes-convention-ramsar.html
Environnement et Changement climatique Canada,1991. La politique fédérale de la conservation des terres humides. Disponible à : https://publications.gc.ca/site/eng/100725/publication.html
Hanson, A., L. Swanson, D. Ewing, G. Grabas, S. Meyer, L. Ross, M. Watmough, et J. Kirkby. 2008. Aperçu des méthodes d’évaluation des fonctions écologiques des terres humides. Service canadien de la faune, Environnement et Changement climatique Canada. Série de Rapports techniques; nº 497 Disponible à : https://publications.gc.ca/site/eng/9.802589/publication.html
National Wetlands Working Group. Canadian Wetland Classification System. Disponible (en anglais) à http://www.wetlandpolicy.ca
RAMSAR. Canada – site web Ramsar. Disponible à https://www.ramsar.org/fr/country-profile/canada
Réseau de terres humides. Disponible à https://www.wetlandnetwork.ca/index.php?g_int_AppLanguageId=2
Autre
Conseil canadien des aires écologiques (CCAE), 2014. Une introduction aux Écozones. Disponible à : https://ccea-ccae.org/fr/ecozones-introduction/
Conseil canadien des ministres de l’Environnement, 2020. Document d’orientation sur l’évaluation du risque écotoxicologique. Disponible à https://ccme.ca/fr/res/era_f.pdf
Environnement et changement climatique Canada, 2009. Code de pratiques écologiques pour les mines de métaux. Disponible à https://www.canada.ca/content/dam/eccc/migration/main/lcpe-cepa/documents/codes/mm/mm-fra.pdf
Gouvernement du Canada. Licence du gouvernement ouvert – Canada. Disponible à https://ouvert.canada.ca/fr/licence-du-gouvernement-ouvert-canada
Gouvernement du Canada. Plateforme de science et de données ouvertes. Disponible à https://osdp-psdo.canada.ca/dp/fr
Statistique Canada, 2017. Introduction à la Classification écologique des terres (CET) 2017. Disponible à : https://www.statcan.gc.ca/fr/sujets/norme/environnement/cet/2017-1
Détails de la page
- Date de modification :