Pollution atmosphérique : facteurs et incidences
La pollution atmosphériqueNote de bas de page 1 peut nuire à notre santé, à l'environnement, aux immeubles, aux structures et à l'économie. Les problèmes de pollution atmosphérique, tels que le smogNote de bas de page 2 et les pluies acides, sont le résultat de la présence et de l'interaction entre divers polluants rejetés dans l'atmosphère par des processus naturels et les activités humaines.
Les sources naturelles de pollution atmosphérique comprennent les feux de forêt, les volcans et les émissions de composés organiques volatils (COV) provenant de la végétation. Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de pétrole et de gaz ainsi que certains produits, comme la peinture et les solvants.
Principaux facteurs de la pollution atmosphérique
Les concentrations de polluants dans l'air extérieur peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment la quantité de polluants atmosphériques rejetés par les sources, la proximité des sources et les conditions météorologiques, telles que la température de l'air, la stabilité de l'air et la vitesse et la direction du vent. Certains polluants peuvent être transportés par le vent et influer sur la qualité de l'air de lieux situés à des milliers de kilomètres des sources.
La croissance de la population et de l'économie canadiennes fait augmenter la demande en matière de production et de fourniture de biens et de services, de transport et d'habitation. L'énergie requise pour répondre à cette demande provient encore de combustibles fossiles, ce qui nuit à la qualité de l'air que nous respirons. La croissance de l'économie englobe la demande croissante d'exportations canadiennes (particulièrement de l'industrie pétrolière et gazière), ce qui génère aussi des rejets de polluants atmosphériques.
Malgré cette demande accrue, les émissions de nombreux polluants atmosphériques ont en général diminué au Canada au cours des deux dernières décennies. Divers moyens ont contribué à ces réductions, dont la mise en œuvre de règlements et d'instruments non réglementaires et l'amélioration technologique des véhicules et des procédés industriels. L'adoption, par les consommateurs et les entreprises, de pratiques plus durables sur le plan environnemental, comme l'utilisation du transport en commun et le covoiturage, et l'optimisation des procédés de production pour les rendre plus écoénergétiques, ont également contribué à la diminution observée.
Consultez les indicateurs sur les Émissions de polluants atmosphériques pour plus d'informations sur les principales sources contribuant aux émissions canadiennes des principaux polluants atmosphériques : oxydes de soufre (SOX), oxydes d'azote (NOX), composés organiques volatils (COV), l'ammoniac (NH3), monoxyde de carbone (CO) et les particules fines (P2,5).
Incidences principales de la pollution atmosphérique
Incidences sur la santé humaine
- L'exposition à la pollution atmosphérique est une cause majeure de décès et de maladies à l'échelle mondiale. Cette exposition à la pollution atmosphérique extérieureNote de bas de page 3 cause environ 4,2 millions de décès prématurés par année. Au Canada, la pollution atmosphérique est liée à environ 15 300 décès prématurés chaque année.Note de bas de page 4
- L'exposition aux NOX et SOX peut irriter les poumons, nuire aux fonctions pulmonaires et accroître la susceptibilité aux allergènes chez les personnes souffrant d'asthme. Les NOX comme les SOX sont aussi des précurseurs de P2,5 et contribuent à la formation de smog et de pluies acides.
- Les particules fines (P2,5 ) et l'ozone troposphérique (O3) sont les principales composantes du smog et sont associés à l'irritation des yeux, du nez et de la gorge, à l'essoufflement, à l'exacerbation des troubles respiratoires et des allergies, à la maladie pulmonaire obstructive chronique et à l'asthme ainsi qu'à un risque accru de maladies cardiovasculaires et de décès prématuré.Note de bas de page 5 Les enfants, les personnes âgées, les personnes souffrant de maladies aiguës et celles qui vivent près des villes sont plus vulnérables à ces effets.
- Le monoxyde de carbone (CO) est le produit d'une combustion incomplète de carburants à base d'hydrocarbures. Il peut avoir un impact significatif sur la santé humaine en entrant dans la circulation sanguine par les poumons, ce qui inhibe la capacité du sang à transporter l'oxygène vers les organes et les tissus. Le CO est particulièrement nocif pour les personnes souffrant de maladies cardiaques et les personnes souffrant de problèmes respiratoires. Elle peut également affecter les personnes en bonne santé en réduisant la capacité d'exercice, la perception visuelle, la dextérité manuelle, les fonctions d'apprentissage et la capacité à effectuer des tâches complexes.Note de bas de page 6
- L'ammoniac (NH3) est un gaz incolore généré principalement par la gestion des déchets d'élevage et la production d'engrais. Il est toxique s'il est inhalé en grandes quantités et est irritant pour les yeux, le nez et la gorge en moindre quantité.Note de bas de page 7
Incidences sur l'environnement
- Les oxydes d'azote (NOX) et les SOX sont les principaux contributeurs aux pluies acides. Les pluies acides peuvent accélérer la dégradation de certaines roches, comme le calcaire et le grès. Il affecte les sols et les plans d'eau et représentent un facteur de stress pour les espèces végétales et animales. Les interactions entre les pluies acides, les rayons ultraviolets et les changements climatiques peuvent amplifier les incidences des pluies acides.Note de bas de page 8
- Les émissions de mercure et d'autres polluants dangereux agissent en synergie avec les dioxydes de soufre (SO2) et les NOX pour accroître les effets nocifs des dépôts acides sur les poissons et la faune. L'augmentation de l'acidité des plans d'eau accroît le taux de transformation du mercure en sa forme plus toxique, le méthylmercure (MeHg), qui peut s'accumuler dans les poissons et les crustacés et être ingéré par les humains et la faune.Note de bas de page 10
- Diverses composantes des particules fines assimilées par les plantes dans le sol peuvent nuire à la croissance et à la productivité en interférant avec la photosynthèse des plantes et entraîner des dommages physiques aux surfaces des végétaux.Note de bas de page 9
- L'ozone troposphérique (O3) peut nuire à la croissance et à la productivité de certaines cultures, endommager les fleurs et les arbustes et contribuer au déclin des forêts dans certaines régions du Canada.Note de bas de page 9 Il peut aussi modifier les écosystèmes, puisque certaines espèces de plantes plus résistantes à l'O3 peuvent supplanter celles qui sont moins résistantes.Note de bas de page 10
- L'ammoniac (NH3) peut contribuer à l'accumulation d'azote et à la croissance excessive de plantes et d’algues dans les systèmes aquatiques.Note de bas de page 7 À mesure que la matière végétale se décompose, elle peut réduire la quantité d'oxygène disponible pour les poissons et autres animaux aquatiques et dégrader la qualité de l'eau.
- Les polluants climatiques de courte durée de vie sont à la fois des polluants atmosphériques et des gaz à effet de serre qui ont un effet de réchauffement à court terme sur le climat et peuvent affecter la qualité de l'air. Les polluants climatiques de courte durée de vie comprennent le carbone noir (un composant des P2,5), le méthane, l'O3 et les hydrofluorocarbures (HFC). Une action mondiale sur le dioxyde de carbone et les polluants climatiques de courte durée de vie est nécessaire pour atteindre les objectifs de température de l'Accord de Paris.
Incidences économiques
- Les émissions de NOX, de SOX et de particules qui contribuent aux pluies acides peuvent entraîner l'usure prématurée des matériaux et l'encrassement des bâtiments. Cela peut entraîner une augmentation des coûts d'entretien des monuments, des bâtiments et d'autres infrastructures. Bien qu'il y ait eu peu de recherches sur les coûts économiques des pluies acides au Canada, les coûts estimés de l'encrassement des bâtiments et de l'usure prématurée dus aux pluies acides et aux particules pourraient être importants.Note de bas de page 11
- Les effets des P2,5 et de l'O3 sur la santé peuvent entraîner des coûts économiques en raison de la baisse de productivité, de l'augmentation des besoins en soins de santé, de la diminution de la qualité de vie, et du risque accru de décès prématurés. L'évaluation économique totale des effets sur la santé attribuables à la pollution atmosphérique au Canada est de 120 milliards par année.Note de bas de page 4
- La hausse des teneurs en O3 réduit également la croissance des cultures, d'autres végétaux et des arbres, ce qui entraîne des pertes économiques dans les secteurs de l'agriculture et de la foresterie. La perte de production qui en découle coûte chaque année des millions de dollars aux agriculteurs canadiens.Note de bas de page 12
- Le smog peut accélérer la décoloration, le pâlissement et le ternissement des matériaux (par exemple, le caoutchouc, les textiles et les revêtements de surface). Cela augmente la vitesse à laquelle ils doivent être remplacés ou nettoyés.Note de bas de page 9
Moyens de réduire la pollution atmosphérique
La pollution de l'air est un problème mondial qui touche tout le monde et qui résulte de décisions et d'actions prises par des individus et des gouvernements. Nous avons tous un rôle à jouer pour le réduire.
Gouvernements
Les émissions de polluants atmosphériques sont assujetties à un certain nombre de règlements au Canada. Plus précisément, le gouvernement du Canada, en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) (la Loi), élabore et met en œuvre des règlements pour aider à réduire les niveaux globaux de pollution atmosphérique en limitant la quantité de polluants rejetés dans l'atmosphère chaque année.
Par exemple, le gouvernement du Canada a mis en place des règlements pour éliminer progressivement l'électricité au charbon, a adopté les normes nationales les plus strictes au monde pour les émissions de polluants atmosphériques des nouvelles voitures et camions légers, et a mis un prix sur la pollution par le carbone qui crée des incitations pour l'industrie investir dans des technologies plus propres.
En 2016, dans le cadre de la contribution du gouvernement fédéral à la mise en œuvre du système de gestion de la qualité de l'air, le gouvernement du Canada a adopté le Règlement multisectoriel sur les polluants atmosphériques. Il s'agit des toutes premières normes canadiennes obligatoires sur les émissions de polluants atmosphériques pour les grandes installations industrielles. Le gouvernement fédéral a également publié une série d'instruments non réglementaires pour réduire les polluants atmosphériques provenant d'un certain nombre de secteurs industriels et de types d'équipement. Le gouvernement du Canada a continué de travailler avec les provinces, les territoires et divers intervenants à resserrer les normes canadiennes de qualité de l'air ambiant (les normes) afin d'améliorer la qualité de l'air d'un bout à l'autre du pays. Des normes plus strictes pour les P2,5 et l'O3 sont en vigueur depuis 2015 et 2020 respectivement. Une nouvelle norme pour l'ozone entrera en vigueur en 2025 (elle a été établie en 2019). Des normes pour le dioxyde de soufre (SO2) et le dioxyde d'azote (NO2) ont été établies en 2017 pour 2020 et 2025. La norme P2,5 est actuellement en cours de révision. La réglementation et les normes sur la qualité de l'air aideront à réduire les émissions de polluants atmosphériques et protéger davantage la santé humaine et l'environnement pour les canadiennes.
Les règlements se rapportant aux polluants atmosphériques établis en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) (la Loi) comprennent, sans toutefois s'y limiter, les suivants :
- Règlement correctif visant le Règlement sur le benzène dans l'essence
- Règlement sur la réduction des rejets de composés organiques volatils (secteur pétrolier)
- Règlement sur les combustibles contaminés
- Règlement sur l'exportation des substances figurant à la Liste des substances d'exportation contrôlée
- Règlement sur le débit de distribution de l'essence et de ses mélanges
- Règlement sur l'essence
- Règlement sur les émissions des moteurs marins à allumage commandé, des bâtiments et des véhicules récréatifs hors route
- Règlement multisectoriel sur les polluants atmosphériques
- Règlement sur les émissions des moteurs hors route à allumage par compression
- Règlement sur les émissions des petits moteurs hors route à allumage commandé
- Règlement sur les émissions des véhicules routiers et de leurs moteurs
- Règlement sur les produits contenant du mercure
- Règlement sur les dioxines et les furannes chlorés dans les effluents des fabriques de pâtes et papiers
- Règlement sur la réduction des émissions de dioxyde de carbone - secteur de l’électricité thermique au charbon
- Règlement concernant la réduction des rejets de méthane et de certains composés organiques volatils (secteur du pétrole et du gaz en amont)
- Règlement sur les carburants renouvelables
- Règlement sur le soufre dans le carburant diesel
- Règlement sur le soufre dans l'essence
- Règlement sur le rejet de plomb de seconde fusion
- Règlement limitant la concentration en composés organiques volatils (COV) des revêtements architecturaux
- Règlement limitant la concentration en composés organiques volatils (COV) des produits de finition automobile
Tous les règlements administrés en vertu de la loi sont disponibles dans le Registre de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement.
Pour en apprendre davantage sur les effets prévus de la réglementation élaborée par le gouvernement du Canada, consultez le Résumé de l'étude d'impact de la réglementationNote de bas de page 13 qui accompagne chaque règlement. Le résumé présente les justifications qui sous-tendent l'élaboration d'un règlement donné, ses objectifs et ses coûts et avantages attendus. Il inclut également des détails sur les consultations qui ont été menées et sur la façon dont le gouvernement entend assurer le suivi de l'efficacité du règlement.
En plus de ce qui précède, le gouvernement du Canada, en collaboration avec ses partenaires au Canada et à l'étranger, élabore la Stratégie fédérale de développement durable. La Stratégie est le principal outil du gouvernement pour la planification et la production de rapports sur le développement durable. Elle définit les priorités de développement durable, établit des objectifs et cibles et identifie des actions pour les atteindre, y compris des actions liées à la lutte contre la pollution atmosphérique. La coopération bilatérale et internationale, y compris dans le cadre de l'Accord Canada-États-Unis sur la qualité de l'air et de la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontalière à longue distance de la Commission économique des Nations Unies pour l'Europe, est également un élément important de l'approche du Canada pour améliorer la qualité de l'air et la clé de l'amélioration de la qualité de l'air au Canada. objectifs de qualité.
Particuliers
Voici quelques mesures que vous pouvez prendre pour aider à la réduction des niveaux de pollution atmosphérique :
- Dans la mesure du possible, au lieu de prendre une voiture, choisissez le transport en commun, marchez ou prenez la bicyclette lorsque c'est sécuritaire de le faire.
- Pensez à la consommation de carburant lorsque vous achetez un véhicule. Rechercher des alternatives aux véhicules alimentés par des combustibles fossiles comme les véhicules hybrides ou zéro émission.
- Maintenez tous vos véhicules en bon état pour s'assurer qu'ils fonctionnent efficacement.
- Choisissez d'utiliser une tondeuse manuelle au lieu d'une tondeuse à essence.
- Réduisez votre consommation d'énergie en rendant votre habitation plus écoénergétique.
- Maintenez les radiateurs, les appareils et les poêles au gaz, au mazout et à bois en bon état ou remplacez-les par de nouvelles technologies plus propres.
- Éteignez les lumières lorsque vous quittez une pièce et débranchez les appareils électroniques lorsqu'ils ne sont pas utilisés
- Repenser les comportements des consommateurs en différenciant vos besoins et vos envies
- Refuser, réduire, réutiliser, réparer et enfin recycler les biens que vous consommez.
- Achetez des produits qui contiennent peu ou pas de COV ou d'autres contaminants.
- Plantez des arbres et une variété de végétation pour améliorer la qualité de l'air - cela servira également à augmenter la canopée urbaine, la biodiversité, et apporter de l'ombre.
Pour plus de conseils sur ce que vous pouvez faire, consultez Comment vous pouvez améliorer la qualité de l'air.
Pour réduire votre exposition à la pollution atmosphérique et à ses effets néfastes potentiels :
- Vérifiez la prévision Cote air santé pour votre région et adaptez votre horaire en conséquence.
- Évitez ou réduisez les activités extérieures intenses lorsque les niveaux de smog sont élevés. Envisagez plutôt des activités à l'intérieur.
- Évitez ou réduisez les activités physiques à proximité des zones de forte circulation, en particulier aux heures de pointe.
- Prenez des précautions particulières s'il y a de la fumée provenant d'un feu de friche affectant votre communauté.
- Gardez vos médicaments avec vous si vous souffrez de problèmes cardiaques ou respiratoires
- Parlez à votre médecin ou à votre professionnel de la santé si votre santé ou celle d'un proche vous préoccupe.
Indicateurs connexes
L'indicateur sur la Tendance air-santé présente les effets sur la santé publique imputables à l'exposition à la pollution de l'air extérieur au Canada.
Les indicateurs sur la Qualité de l'air font un suivi des concentrations ambiantes de concentrations de P2,5, O3, SO2, NO2 et COV aux niveaux national et régional et aux stations de suivi locales.
Les indicateurs de Comparaison à l'échelle internationale de la qualité de l'air en milieu urbain présentent et comparent la qualité de l'air dans des régions urbaines canadiennes sélectionnées, dont la population est supérieure à un million d'habitants, à la qualité de l'air de régions urbaines internationales sélectionnées ayant des données comparables.
Les indicateurs sur les Émissions de polluants atmosphériques font un suivi des émissions des 6 principaux polluants atmosphériques associés à l'activité humaine : SOX, NOX, COV, NH3, CO et P2,5. Il est également question du carbone noir, une composante des P2,5. Des données sont fournies pour chaque polluant atmosphérique, et ce, aux niveaux national, provincial et territorial, des installations, ainsi que par principale source.
Les indicateurs de Comparaison à l'échelle internationale des émissions de polluants atmosphériques de pays sélectionnés comparent les émissions des 5 polluants majeurs du Canada à celles des principaux pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques.
Les indicateur sur l'Exposition humaine à des substances nocives fait le suivi des concentrations de 4 substances (mercure, plomb, cadmium et bisphénol A) dans la population canadienne.Note de bas de page 14
Les indicateurs sur les Émissions atmosphériques de substances nocives permettent de suivre les émissions atmosphériques de 3 substances toxiques, à savoir le mercure, le plomb et le cadmium, ainsi que leurs composés. Pour chaque substance, les données sont fournies à l'échelle nationale et régionale (provinciale et territoriale) et par source. Des informations sur les installations et sur les émissions atmosphériques mondiales sont également indiquées pour le mercure.
L'indicateur sur l'Exposition de la population aux polluants atmosphériques extérieurs suit la proportion de la population canadienne vivant dans des régions où les concentrations extérieures de polluants atmosphériques sont inférieures ou égales aux Normes canadiennes de qualité de l'air ambiant 2020.
Autres renseignements
- Pollution atmosphérique
- Inventaire des émissions de polluants atmosphériques : aperçu
- Qualité de l’air et santé
- Le Conseil canadien des ministres de l'environnement - L'air au Canada
- Fiches d'information sur les changements climatiques et la santé publique
- Principaux contaminants atmosphériques
- Impacts sur la santé de la pollution atmosphérique en général au Canada
- International Institute for Sustainable Development - Costs of Pollution in Canada: Measuring the impacts on families, businesses and governments (en anglais seulement)
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