Professionnels et techniciens – PTPGP [R204a) – T52] – Ententes ou arrangements – Programme de mobilité internationale
Cette section contient des politiques, des procédures et des instructions destinées au personnel d’IRCC. Elle est publiée sur le site Web du ministère par courtoisie pour les intervenants.
Dans les présentes instructions, le terme « agent » désigne les employés d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et de l’Agence des services frontaliers du Canada.
Les instructions de cette page doivent être examinées conjointement avec celles des pages suivantes :
- Permis de travail lié à un employeur donné – Traitement général – Programme de mobilité internationale
- Évaluer l’authenticité de l’offre d’emploi relative à une demande de permis de travail
- Conditions et période de validité des permis de travail
- Liste publique des employeurs qui n’ont pas respectés les conditions
L’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) est un accord international entre le Canada et la Colombie et à ce titre, toute demande de permis de travail est évaluée au titre de l’alinéa 204a) du Règlement sur l’immigration et la protection des réfugiés (RIPR). Cette disposition réglementaire relève du Programme de mobilité internationale.
Le PTPGP contient des dispositions relatives à l’admission temporaire de professionnels et de techniciens.
La section D, de l’annexe 12-A du PTPGP comprend une liste des professions, pays par pays, autorisées dans la catégorie des professionnels et des techniciens pour les citoyens de l’Australie (et les résidents permanents de l’Australie), du Brunei, du Chili, du Japon, du Mexique, du Pérou et de la Malaisie.
Remarque : Ces dispositions ne s’appliquent pas aux citoyens ou aux résidents permanents de la Nouvelle-Zélande, de Singapour et du Vietnam.
Les professionnels et les techniciens peuvent être admis au Canada en qualité de visiteurs commerciaux (disposition sur les services généraux de la section A de l’annexe 12-A du PTPGP) en vertu du R186a) lorsqu’ils n’ont pas l’intention d’intégrer le marché du travail (répondent aux critères visant les visiteurs commerciaux), mais qu’ils exercent des activités comme la sollicitation de la clientèle, la consultation, la présentation de conseils et la rencontre de clients.
Voir Visiteurs commerciaux – PTPGP [R186)] – Autorisation de travailler sans permis de travail – Programme de mobilité internationale pour obtenir de plus amples renseignements.
Sur cette page
- Recevabilité
- Preuves documentaires
- Évaluation de la demande
- Professions propres au pays
- Dispositions relatives aux conjoints (code de dispense de l’EIMT T53)
- Décision définitive
Recevabilité
Il y a des différences entre les exigences pour les professionnels et pour les techniciens.
Professionnels
Pour être considéré comme un professionnel, en plus de satisfaire aux exigences propres au pays, le demandeur doit :
- être citoyen d’un pays admissible du PTPGP (y compris les résidents permanents de l’Australie);
- avoir reçu une offre d’emploi dans une profession exigeant l’application théorique et pratique d’un ensemble de connaissances spécialisées;
- si la demande est reçue le 15 novembre 2022 ou avant cette date, il s’agit d’une profession de niveau 0, A ou B de la Classification nationale des professions (CNP).
- si la demande est reçue le 16 novembre 2022 ou après cette date, il s’agit d’une profession de la catégorie « formation, études, expérience et responsabilités » (FEER) 0 ou 1.
- avoir obtenu au préalable un emploi auprès d’un employeur canadien dans une profession admissible mentionnée à la section D de l’Annexe 12-A selon son pays de citoyenneté ou de résidence permanente (voir Professions propres au pays);
- détenir un diplôme d’études postsecondaires exigeant au moins 4 ans d’études, sauf indication contraire des exigences propres au pays, et satisfaire à toute autre exigence en matière d’études propre au poste définie dans la CNP;
- avoir acquis 2 années d’expérience de travail rémunéré dans le secteur d’activité du contrat;
- être rémunéré à un taux similaire à celui d’autres professionnels ayant des qualifications semblables dans l’industrie et dans la région où le travail est exécuté.
- Cette rémunération doit exclure les avantages non pécuniaires, comme les frais de logement et de déplacement.
- L’évaluation du niveau de rémunération doit se fonder sur le taux salarial en vigueur. Le salaire courant est le plus élevé des options suivantes :
- le salaire horaire médian régional pour la profession figurant sur la page Comparer des salaires dans le Guichet-Emplois
- Si la mention « n.d. » est inscrite dans la colonne du salaire médian, il faut se fonder sur le salaire provincial ou territorial. Si l’information n’est pas disponible, il faut se fonder sur le salaire national.
- ou
- le salaire qui se trouve dans la fourchette de salaire qui est versé aux employés actuels embauchés pour occuper le même emploi au même endroit, à compétences et à expérience égales
- le salaire horaire médian régional pour la profession figurant sur la page Comparer des salaires dans le Guichet-Emplois
Techniciens
Pour être considéré comme un technicien, en plus de satisfaire aux exigences propres au pays, le demandeur doit :
- être citoyen d’un pays admissible du PTPGP (y compris les résidents permanents de l’Australie);
- avoir reçu une offre d’emploi dans une profession exigeant l’application théorique et pratique d’un ensemble de connaissances spécialisées;
- si la demande est reçue le 15 novembre 2022 ou avant cette date, il s’agit d’une profession de niveau B de la CNP.
- si la demande est reçue le 16 novembre 2022 ou après cette date, il s’agit d’une profession de la catégorie FEER 2 ou 3.
- avoir obtenu au préalable un emploi auprès d’un employeur canadien dans une profession admissible mentionnée à la section D de l’annexe 12-A selon son pays de citoyenneté ou de résidence permanente (voir Professions propres au pays);
- détenir un diplôme d’études postsecondaires exigeant au moins 2 ans d’études avant de pouvoir accéder à la profession et satisfaire à toute autre exigence en matière d’études propre au poste définie dans la CNP;
- avoir acquis 4 années d’expérience de travail rémunéré dans le secteur d’activité du contrat;
- être rémunéré à un taux similaire à celui d’autres techniciens ayant une qualification semblable dans l’industrie et dans la région où le travail est exécuté.
- Cette rémunération doit exclure les avantages non pécuniaires, comme les frais de logement et de déplacement.
- L’évaluation du niveau de rémunération doit se fonder sur le taux salarial en vigueur. Le salaire courant est le plus élevé des options suivantes :
- le salaire horaire médian régional pour la profession figurant sur la page Comparer des salaires dans le Guichet-Emplois
- Si la mention « n.d. » est inscrite dans la colonne du salaire médian, il faut se fonder sur le salaire provincial ou territorial. Si l’information n’est pas disponible, il faut se fonder sur le salaire national.
- ou
- le salaire qui se trouve dans la fourchette de salaire qui est versé aux employés actuels embauchés pour occuper le même emploi au même endroit, à compétences et à expérience égales
- le salaire horaire médian régional pour la profession figurant sur la page Comparer des salaires dans le Guichet-Emplois
Preuves documentaires
L’étranger doit fournir une preuve documentaire suffisante pour convaincre l’agent qu’il peut être admis.
Les documents suivants sont requis :
- une preuve de citoyenneté ou de résidence permanente dans un pays admissible du PTPGP
- une offre d’emploi soumise par l’entremise du Portail des employeurs ou par d’autres moyens, sous réserve d’une autorisation;
- l’offre d’emploi confirme l’emploi réservé;
- l’employeur proposé au Canada;
- la profession à l’égard de laquelle l’autorisation de séjour est demandée;
- les détails du poste (titre du poste, fonctions, durée de l’emploi et dispositions relatives à la rémunération);
- les études ou les titres requis pour l’exercice de la profession.
- Une preuve de la qualification et des autres titres de compétences exigés pour remplir les fonctions du poste au Canada (notamment un permis ou une certification).
- si la profession est réglementée par la province ou le territoire, une preuve de l’autorisation d’exercer ou de la certification de la profession par l’organisme de réglementation canadien ou étranger compétent (voir Professions réglementées ou accréditées – Traitement des demandes de permis de travail)
- une preuve d’expérience de travail
- Il incombe à l’étranger de prouver qu’il satisfait aux critères de recevabilité. Les éléments de preuve peuvent comprendre, sans toutefois s’y limiter, les éléments suivants :
- des lettres de recommandation;
- une lettre de soutien de l’entreprise;
- les descriptions de travail qui décrivent le niveau de formation acquis;
- les années d’expérience dans le domaine;
- les diplômes ou certifications obtenus dans le domaine;
- une liste des ouvrages publiés et des prix reçus (le cas échéant);
- une description détaillée des travaux à exécuter au Canada;
Important : L’entreprise canadienne doit présenter une offre d’emploi et s’acquitter des frais relatifs à la conformité de l’employeur par l’intermédiaire du Portail des employeurs d’IRCC, dans la mesure où c’est elle qui incite le travailleur temporaire à entrer au Canada. L’offre d’emploi n’établit pas la relation employé/employeur habituelle telle qu’elle est normalement comprise dans la population active; toutefois, l’entreprise qui soumet l’offre d’emploi est responsable des conditions énoncées dans le règlement du Programme de mobilité internationale, et peut être assujettie au régime de conformité des employeurs.
Évaluation de la demande
Exigences linguistiques
Si l’agent doute de la capacité du demandeur à communiquer dans l’une des 2 langues officielles, il peut lui demander de prouver que ses compétences linguistiques lui permettront d’accomplir les tâches particulières pour lesquelles il est embauché et de comprendre les exigences en matière de santé et de sécurité de son lieu de travail.
Pour faciliter cette évaluation, l’agent peut exiger du demandeur qu’il fournisse une preuve documentaire, comme le niveau de formation atteint en français ou en anglais, la correspondance avec l’employeur prévu et des exemples d’expériences de travail dans des pays officiellement francophones ou anglophones.
Consulter la page Évaluation du respect des exigences linguistiques pour savoir comment les agents peuvent évaluer les compétences linguistiques d’un demandeur.
Remarque : Le demandeur dont la lettre d’offre d’emploi indique qu’il doit satisfaire à des exigences précises liées aux langues officielles doit convaincre l’agent qu’il satisfait à ces exigences.
Durée du séjour
La durée initiale du séjour est d’un an.
Une prolongation est possible si le demandeur est en mesure de fournir des documents permettant de le convaincre l’agent chargé du traitement de la nécessité de cette prolongation.
Consulter la section Prolongation des permis de travail délivrés aux termes du PTPGP pour connaître les conditions pour obtenir une prolongation.
Examen de l’offre d’emploi
Pour déterminer si la demande de permis de travail répond aux critères de la catégorie des professionnels du PTPGP, les agents doivent examiner l’offre d’emploi qui apparaît à l’onglet « Détails de l’emploi » dans le Système mondial de gestion des cas (SMGC), afin de vérifier les renseignements fournis par l’employeur ou les champs correspondants du formulaire IMM 5802 (si l’employeur a été autorisé à l’utiliser).
Champ | Considérations |
---|---|
Code de dispense de l’EIMT | T52 – PTPGP – R204a) – Professionnels et techniciens |
Exigences de la dispense respectées | Les informations contenues dans ce champ décrivent comment l'emploi et le ressortissant étranger satisfont aux exigences réglementaires et commerciales, notamment que le candidat
|
Code de la CNP et titre du poste | S’assurer que le code et le titre de la profession correspondent à la catégorie FEER appropriée pour la fonction professionnelle. |
Durée | Durée maximale d’un an pour le permis de travail initial |
Employeur | L’offre d’emploi fournit-elle une confirmation de l’emploi réservé? L’employeur proposé est-il au Canada? L’offre d’emploi donne-t-elle des renseignements précis sur la profession pour laquelle l’admission est demandée :
|
Tâches et Description du poste | Il s’agit des activités que l’étranger accomplira.
|
Salaire | La rémunération est-elle semblable à celle d’autres professionnels ou techniciens qualifiés dans l’industrie de la région où le travail est effectué? Les agents doivent confirmer que le salaire est raisonnable pour la profession. Pour éviter les compressions salariales, le salaire ne doit pas être inférieur au salaire courant en vigueur pour la profession dans le lieu de travail. Les allocations supplémentaires accordées en dehors du salaire ne doivent pas faire partie de l’évaluation de la conformité du salaire par rapport au salaire courant en vigueur. Par exemple, des indemnités de logement ou de déplacement. Il n’est pas obligatoire que l’étranger soit rémunéré par l’entreprise canadienne ou en dollars canadiens. Toutefois, le salaire indiqué dans l’offre doit être conforme au salaire courant en vigueur au Canada, peu importe la devise utilisée. |
Exigences minimales en matière d’éducation | Les exigences en matière d’études énoncées dans l’offre d’emploi correspondent-elles aux études minimales requises de la catégorie professionnelle ou technique? D’autres exigences sont-elles prévues dans la CNP pour cette profession? |
Autre formation requise | L’employeur peut indiquer une formation spécialisée comme exigence. |
Certificat, permis d’exercice ou enregistrement fédéral ou provincial | L’employeur doit énumérer tout certificat, permis d’exercice ou enregistrement précis requis au Canada. Des éléments de preuve documentaire doivent être fournis avec la demande si la profession est réglementée par la province ou le territoire. Toutefois, certaines professions peuvent exiger que l’étranger passe un examen après son entrée au Canada, par exemple pour obtenir un permis d’exercice d’un organisme réglementé ou un certificat de secourisme. |
Veuillez consulter la page Permis de travail lié à un employeur donné – Traitement général – Programme de mobilité internationale pour en savoir plus.
Emploi réservé
Dans ce contexte, l’employeur canadien peut être une entreprise ou un particulier. Voici quelques exemples d’emploi réservé :
- une relation employeur-employé avec une entreprise canadienne; ou
- un contrat entre le professionnel et une entreprise canadienne; ou
- un contrat entre l’employeur d’un pays admissible du PTPGP du professionnel et une entreprise canadienne.
Important : Une personne ne peut faire une demande dans la catégorie des professionnels et des techniciens en vue de devenir un travailleur autonome au Canada (c.-à.-d. chercher des clients sur le marché du travail canadien). Toutefois, un citoyen d’un pays du PTPGP (ou un résident permanent de l’Australie) qui est travailleur autonome à l’extérieur du Canada pourrait être admis dans la catégorie des professionnels et techniciens s’il s’entend à l’avance avec un employeur canadien au sujet des services à fournir au Canada.
Travail autonome
Si l’entreprise canadienne est essentiellement contrôlée par le demandeur, on considère qu’il s’agit d’un travail autonome. Par exemple, si l’entreprise canadienne qui offre l’emploi est exploitée par le demandeur à titre de propriétaire exclusif, l’autorisation de séjour ne peut pas lui être accordée dans la catégorie des professionnels et techniciens. De plus, si l’entreprise canadienne est légalement distincte du demandeur, par exemple une personne morale, mais que l’entité est essentiellement contrôlée par le demandeur, l’autorisation de séjour à titre de professionnel ou technicien doit également être refusée.
Pour déterminer si une entreprise est essentiellement contrôlée par le demandeur, les facteurs suivants doivent être pris en considération :
- si le demandeur a établi l’entreprise;
- si le demandeur exerce le contrôle principal, exclusif ou de fait de l’entreprise;
- si le demandeur est le propriétaire principal, exclusif ou de fait de l’entreprise;
- si le demandeur est le bénéficiaire principal, exclusif ou de fait du revenu de l’entreprise.
Lorsqu’un professionnel ou technicien présente une demande de renouvellement d’un permis de travail, les activités suivantes peuvent indiquer qu’il est travailleur autonome au Canada :
- la constitution en société au Canada où l’homme ou la femme d’affaires travaillera à son propre compte (le simple fait de se constituer en société n’est pas nécessairement synonyme de travail autonome; les motifs de la constitution en société doivent être examinés avant de rendre une décision);
- la prise de contact (p. ex. « recherche d’emploi » par publipostage direct ou par publicité);
- le fait de répondre à des annonces dans le but d’obtenir un emploi ou des contrats;
- l’établissement d’un bureau qui sert à faire de la publicité (c.-à-d. « petite enseigne » à l’extérieur).
Les activités suivantes ne constituent pas un travail autonome :
- le fait de répondre à des demandes non sollicitées pour des services que le professionnel ou technicien peut être en mesure de fournir;
- l’établissement d’un bureau dans le but d’offrir des services dont la nature a été convenue à l’avance à des clients.
Qualifications professionnelles
Le professionnel ou technicien admis au Canada doit venir fournir des services professionnels (FEER 0, 1, 2 ou 3) dans une profession admissible pour laquelle il possède les qualifications requises. Pour déterminer si cette exigence est respectée, il faut tenir compte à la fois des qualifications du professionnel et de la nature du poste au Canada.
Pour les professions réglementées, l’agent doit être convaincu que le professionnel possède ou peut obtenir le permis d’exercice nécessaire pour que le demandeur puisse effectuer le travail prévu.
Dans les cas où un baccalauréat est requis, le diplôme doit être dans le domaine précis de sa profession ou dans un domaine qui y est lié de près.
Un professionnel peut se trouver au Canada en vertu de plus d’un contrat à la fois. Un permis de travail doit être délivré pour chaque contrat.
Formation
Un professionnel titulaire d’un permis de travail valide peut donner une formation liée à sa profession, ce qui inclut la tenue de séminaires.
La séance de formation doit avoir été organisée à l’avance avec un employeur canadien et elle doit porter sur des connaissances de niveau professionnel. Le fait qu’un animateur de séminaire ait obtenu une autorisation de séjour ne l’autorise pas à offrir une formation qui n’a pas été organisée à l’avance avec un employeur canadien.
La formation doit faire partie de la formation ou du perfectionnement professionnel des participants et doit être liée à leurs fonctions.
Professions propres au pays
Australie
Professionnels
Les professionnels australiens sont considérés comme ayant satisfait aux exigences canadiennes en matière d’études s’ils ont atteint un niveau de scolarité équivalent en Australie, généralement un baccalauréat d’une durée de 3 ans. Les professionnels australiens doivent également fournir une lettre du client ou de l’employeur canadien indiquant que sa qualification est reconnue au Canada.
Remarque : En Australie, un diplôme de baccalauréat peut être obtenu après 3 ans d’études
Toutes les professions des catégories FÉER 0 et 1 (ou de la catégorie 0 ou du niveau A de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date) sont autorisées, à l’exception des suivantes :
- professionnels de la santé, de l’enseignement, des services sociaux et des domaines connexes;
- juges et notaires;
- gestionnaires des services postaux et de messagerie;
- gestionnaires d’entreprises de télécommunications;
- professionnels liés à des industries culturelles;
- directeurs de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique.
Techniciens
Les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 2 ou 3 (ou au niveau B de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date), sont autorisées :
- mécaniciens, techniciens et contrôleurs d’avionique, d’instruments et d’appareillages électriques d’aéronefs;
- technologues et techniciens en architecture;
- technologues et techniciens en génie civil;
- techniciens de systèmes informatiques et de systèmes d’information (comprend des éléments de la catégorie FÉER 1 ou du niveau A de la CNP);
- inspecteurs et estimateurs en construction;
- technologues et techniciens en dessin;
- technologues et techniciens en génie électronique et électrique;
- électriciens;
- inspecteurs et vérificateurs d’ingénierie et officiers de réglementation;
- designers graphiques et illustrateurs;
- concepteurs industriels;
- technologues et techniciens en génie industriel;
- techniciens et mécaniciens d’instruments industriels;
- designers d’intérieur;
- agents aux ventes et aux achats internationaux;
- technologues et techniciens en arpentage;
- technologues et techniciens en génie mécanique;
- foreurs et personnel de mise à l’essai et des autres services relatifs à l’extraction de pétrole et de gaz;
- plombiers;
- emplois techniques en géomatique et en météorologie;
- superviseurs dans les domaines suivants :
- transformation des aliments, des boissons et du tabac;
- transformation des produits forestiers;
- machinistes et personnel assimilé;
- traitement des métaux et des minerais;
- exploitation de mines et de carrières;
- forage et services liés à l’extraction du pétrole et du gaz;
- raffinage du pétrole, traitement du gaz et des produits chimiques et services d’utilité publique;
- fabrication de produits en plastique et en caoutchouc;
- imprimerie et personnel assimilé;
- transformation des textiles;
- entrepreneurs et superviseurs dans les domaines suivants :
- métiers de la charpenterie;
- métiers de l’électricité et emplois liés aux télécommunications;
- équipes responsables de matériel de construction lourd;
- installations, réparations et entretien;
- métiers de la mécanique;
- formage des métaux;
- autres métiers de la construction;
- métiers de la tuyauterie;
- façonnage et montage.
Brunei
Seulement les catégories des services hautement spécialisés et des services essentiels du secteur de l’énergie sont autorisées
Ingénieur pétrolier/ingénieure pétrolière
Chili
Professionnels
Toutes les professions des catégories FÉER 0 et 1 sont autorisées, à l’exception des suivantes :
- professionnels de la santé, de l’enseignement, des services sociaux et des domaines connexes;
- professionnels liés à des industries culturelles;
- directeurs de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique;
- gestionnaires d’entreprises de télécommunications;
- gestionnaires des services postaux et de messagerie;
- juges, avocats et notaires (à l’exception des consultants juridiques étrangers).
Techniciens
Les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 2 ou 3, sont autorisées :
- mécaniciens, techniciens et contrôleurs d’avionique, d’instruments et d’appareillages électriques d’aéronefs;
- technologues et techniciens en génie civil;
- techniciens de systèmes informatiques et de systèmes d’information (comprend des éléments de la catégorie FÉER 1);
- inspecteurs et estimateurs en construction;
- technologues et techniciens en génie électronique et électrique;
- électriciens;
- inspecteurs et vérificateurs d’ingénierie et officiers de réglementation;
- technologues et techniciens en génie industriel;
- techniciens et mécaniciens d’instruments industriels;
- designers d’intérieur;
- agents aux ventes et aux achats internationaux;
- technologues et techniciens en génie mécanique;
- foreurs et personnel de mise à l’essai et des autres services relatifs à l’extraction de pétrole et de gaz;
- plombiers;
- superviseurs dans les domaines suivants :
- transformation des aliments, des boissons et du tabac;
- transformation des produits forestiers;
- machinistes et personnel assimilé;
- traitement des métaux et des minerais;
- exploitation de mines et de carrières;
- forage et services liés à l’extraction du pétrole et du gaz;
- raffinage du pétrole, traitement du gaz et des produits chimiques et services d’utilité publique;
- fabrication de produits en plastique et en caoutchouc;
- imprimerie et personnel assimilé;
- transformation des textiles;
- entrepreneurs et superviseurs dans les domaines suivants :
- métiers de la charpenterie;
- métiers de l’électricité et emplois liés aux télécommunications;
- équipes responsables de matériel de construction lourd;
- installations, réparations et entretien;
- métiers de la mécanique;
- formage des métaux;
- autres métiers de la construction;
- métiers de la tuyauterie;
- façonnage et montage.
Japon
Professionnels
Toutes les professions des catégories FÉER 0 et 1 (ou de la catégorie 0 ou du niveau A de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date) sont autorisées, à l’exception des suivantes :
- professionnels de la santé, de l’enseignement, des services sociaux et des domaines connexes;
- juges, avocats et notaires, à l’exception des consultants juridiques étrangers;
- gestionnaires des services postaux et de messageries;
- gestionnaires d’entreprises de télécommunications;
- professionnels liés à des industries culturelles;
- directeurs de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique;
- chercheurs, à l’exception de ceux qui ont l’intention de travailler dans un établissement d’enseignement au Canada.
Techniciens
Un diplôme associé japonais, l’équivalent ou un niveau d’études supérieur est requis.
Les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 2 ou 3 (ou au niveau B de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date), sont autorisées :
- mécaniciens, techniciens et contrôleurs d’avionique, d’instruments et d’appareillages électriques d’aéronefs;
- technologues et techniciens en architecture;
- technologues et techniciens en génie civil;
- techniciens de systèmes informatiques et de systèmes d’information (comprend des éléments de la catégorie FÉER 1 ou du niveau A de la CNP);
- inspecteurs et estimateurs en construction;
- technologues et techniciens en dessin;
- technologues et techniciens en génie électronique et électrique;
- inspecteurs et vérificateurs d’ingénierie et officiers de réglementation;
- designers graphiques et illustrateurs;
- concepteurs industriels;
- technologues et techniciens en génie industriel;
- techniciens et mécaniciens d’instruments industriels;
- designers d’intérieur;
- agents aux ventes et aux achats internationaux;
- technologues et techniciens en arpentage;
- technologues et techniciens en génie mécanique;
- foreurs de puits de pétrole et de gaz, préposés à l’entretien et personnel de mise à l’essai (à l’exception des opérateurs);
- emplois techniques en géomatique et en météorologie;
- superviseurs dans les domaines suivants :
- métiers de la charpenterie;
- métiers de l’électricité et emplois liés aux télécommunications;
- transformation des aliments, des boissons et du tabac;
- transformation des produits forestiers;
- équipes responsables de matériel de construction lourd;
- installations, réparations et entretien;
- machinistes et personnel assimilé;
- métiers de la mécanique;
- formage des métaux;
- traitement des métaux et des minerais;
- exploitation de mines et de carrières;
- forage et services liés à l’extraction du pétrole et du gaz;
- autres métiers de la construction;
- raffinage du pétrole, traitement du gaz et des produits chimiques et services d’utilité publique;
- métiers de la tuyauterie;
- fabrication de produits en plastique et en caoutchouc;
- imprimerie et personnel assimilé;
- façonnage et montage;
- transformation des textiles.
Malaisie
Professionnels
Toutes les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 0 ou 1 (ou à la catégorie 0 ou au niveau A de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date), sont autorisées :
- actuaires;
- analystes des bases de données et administrateurs de données;
- analystes et consultants en informatique;
- analystes financiers;
- architectes;
- architectes paysagers;
- autres ingénieurs;
- concepteurs et développeurs Web;
- directeurs des services d’architecture;
- gestionnaires des services informatiques;
- ingénieurs chimistes;
- ingénieurs civils;
- ingénieurs d’industrie et de fabrication;
- ingénieurs de l’extraction et du raffinage du pétrole;
- ingénieurs électriciens et électroniciens;
- ingénieurs en aérospatiale;
- ingénieurs en logiciel;
- ingénieurs géologiques;
- ingénieurs informaticiens;
- ingénieurs mécaniciens;
- ingénieurs métallurgistes et des matériaux;
- ingénieurs miniers;
- programmeurs et développeurs de médias interactifs;
- urbanistes et planificateurs de l’utilisation des sols;
- vérificateurs et comptables;
- vétérinaires.
Techniciens
Aucune disposition dans le cadre du PTPGP ne facilite l’entrée au Canada des techniciens citoyens de la Malaisie.
Mexique
Professionnels
Toutes les professions des catégories FÉER 0 et 1 (ou de la catégorie 0 ou du niveau A de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date) sont autorisées, à l’exception des suivantes :
- professionnels de la santé, de l’enseignement, des services sociaux et des domaines connexes;
- juges, avocats et notaires, à l’exception des consultants juridiques étrangers;
- gestionnaires des services postaux et de messageries;
- gestionnaires d’entreprises de télécommunications;
- professionnels liés à des industries culturelles;
- directeurs de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique.
Techniciens
Les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 2 ou 3 (ou au niveau B de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date), sont autorisées :
- technologues et techniciens en génie civil;
- techniciens de systèmes informatiques et de systèmes d’information (comprend des éléments de la catégorie FÉER 1 ou du niveau A de la CNP);
- inspecteurs et estimateurs en construction;
- technologues et techniciens en génie électronique et électrique;
- électriciens;
- inspecteurs et vérificateurs d’ingénierie et officiers de réglementation;
- designers graphiques et illustrateurs;
- technologues et techniciens en génie industriel;
- techniciens et mécaniciens d’instruments industriels;
- designers d’intérieur;
- technologues et techniciens en génie mécanique;
- entrepreneurs et superviseurs dans les domaines suivants :
- métiers de l’électricité et emplois liés aux télécommunications;
- équipes responsables de matériel de construction lourd;
- installations, réparations et entretien;
- autres métiers de la construction.
Pérou
Professionnels
Toutes les professions des catégories FÉER 0 et 1 (ou de la catégorie 0 ou du niveau A de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date) sont autorisées, à l’exception des suivantes :
- professionnels de la santé, de l’enseignement, des services sociaux et des domaines connexes;
- juges, avocats et notaires, à l’exception des consultants juridiques étrangers;
- gestionnaires des services postaux et de messageries;
- gestionnaires d’entreprises de télécommunications;
- professionnels liés à des industries culturelles;
- directeurs de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique.
Techniciens
Les professions suivantes, appartenant à la catégorie FÉER 2 ou 3 (ou au niveau B de la CNP pour les demandes reçues le 15 novembre 2022 ou avant cette date), sont autorisées :
- technologues et techniciens en génie civil;
- inspecteurs et estimateurs en construction;
- inspecteurs et vérificateurs d’ingénierie et officiers de réglementation;
- technologues et techniciens en génie industriel;
- technologues et techniciens en génie mécanique;
- superviseurs dans les domaines suivants :
- transformation des aliments, des boissons et du tabac;
- transformation des produits forestiers;
- machinistes et personnel assimilé;
- traitement des métaux et des minerais;
- exploitation de mines et de carrières;
- forage et services liés à l’extraction du pétrole et du gaz;
- raffinage du pétrole, traitement du gaz et des produits chimiques et services d’utilité publique;
- fabrication de produits en plastique et en caoutchouc;
- imprimerie et personnel assimilé;
- transformation des textiles;
- entrepreneurs et superviseurs dans les domaines suivants :
- mécaniciens, techniciens et contrôleurs d’avionique, d’instruments et d’appareillages électriques d’aéronefs;
- technologues et techniciens en architecture;
- métiers de la charpenterie;
- techniciens de systèmes informatiques et de systèmes d’information (comprend des éléments de la catégorie FÉER 1 ou du niveau A de la CNP);
- technologues et techniciens en dessin;
- technologues et techniciens en génie électronique et électrique;
- métiers de l’électricité et emplois liés aux télécommunications;
- électriciens;
- designers graphiques et illustrateurs;
- équipes responsables de matériel de construction lourd,
- concepteurs industriels;
- techniciens et mécaniciens d’instruments industriels;
- installations, réparations et entretien;
- designers d’intérieur;
- agents aux ventes et aux achats internationaux;
- technologues et techniciens en arpentage;
- métiers de la mécanique;
- formage des métaux;
- foreurs et personnel de mise à l’essai et des autres services relatifs à l’extraction de pétrole et de gaz;
- autres métiers de la construction;
- métiers de la tuyauterie;
- plombiers;
- façonnage et montage;
- emplois techniques en géomatique et en météorologie.
Dispositions relatives aux conjoints (Code de dispense de l’EIMT T53)
La période initiale du séjour peut être d’une durée maximale d’un an.
L’admissibilité du conjoint dépend du statut de citoyen ou de résident permanent du demandeur principal et de son niveau d’emploi professionnel. L’époux ou le conjoint de fait n’a pas à être citoyen ou ressortissant de l’un des pays énumérés pour présenter une demande.
Professionnels
Un permis de travail ouvert peut être délivré à l’époux ou au conjoint d’un professionnel si le demandeur principal est soit :
- un citoyen de l’Australie, du Chili, du Japon ou du Mexique;
- un résident permanent de l’Australie.
Techniciens
Un permis de travail ouvert peut être délivré à l’époux ou au conjoint d’un technicien si le demandeur principal est soit :
- un citoyen de l’Australie, du Chili, du Japon ou du Mexique;
- un résident permanent de l’Australie.
Remarque : Le permis de travail ouvert doit avoir une validité qui correspond au permis de travail du demandeur principal. Le permis de travail de l’époux ou du conjoint de fait peut être délivré à un point d’entrée.
Décision définitive
Approbation
Le permis de travail sera délivré aux termes du R204a).
Dans le SMGC, à l’écran « Demande », les agents doivent saisir les renseignements suivants dans les champs indiqués.
Champ | Renseignement à sélectionner ou à inscrire |
---|---|
Genre de cas | 52 |
Province de destination | La province de destination indiquée par le demandeur doit correspondre à l’adresse du lieu de travail figurant dans l’offre d’emploi du PMI. Cette information figure à l’onglet Détails sur l’emploi – Dispense de l’EIMT. S’il y a plus d’un emplacement, l’agent doit saisir l’emplacement principal dans le champ « Province de destination » et l’emplacement secondaire dans le champ « Remarques de l’utilisateur ». |
Ville de destination | La ville de destination indiquée par le demandeur doit correspondre à l’adresse du lieu de travail figurant dans l’offre d’emploi du PMI. Cette information figure à l’onglet Détails sur l’emploi – Dispense de l’EIMT. S’il y a plus d’un emplacement, les agents doivent indiquer « Inconnu » dans le champ « Ville de destination » et « Selon l’offre » dans le champ « Remarques de l’utilisateur ». |
Code de dispense | T52 – PTPGP – R204a) – Professionnels et techniciens Ce code s’inscrit automatiquement à partir de l’offre d’emploi du PMI. |
Code de la CNP | Le code de la CNP s’inscrit automatiquement à partir de l’offre d’emploi du PMI. |
Emploi prévu | Titre de l’emploi Le titre s’inscrit automatiquement à partir de l’offre d’emploi du PMI. |
No d’EIMT/de dispense de l’EIMT | Numéro « A » de la demande de permis de travail. Ce numéro s’inscrit automatiquement à partir de la demande de permis de travail, et est utilisé pour établir la correspondance sur le Portail. Si la demande de permis de travail a été présentée sur papier, l’agent doit saisir manuellement le numéro. |
Employeur | Nom commercial de l’entreprise |
Durée | Les agents peuvent délivrer un permis de travail valide pour la durée de l’offre d’emploi (jusqu’à 1 an) ou jusqu’à l’expiration du titre de voyage, selon la première éventualité. Veuillez consulter la page Période de validité des permis de travail. |
Remarque : Si l’employeur est autorisé à utiliser un formulaire IMM 5802 au lieu de remplir l’offre d’emploi sur le Portail des employeurs, veuillez consulter Permis de travail lié à un employeur donné – Traitement général – Programme de mobilité internationale.
Refus
Si un agent n’est pas convaincu que toutes les exigences du R200 sont respectées, y compris l’évaluation aux termes du R204a), il doit consigner ses motifs et énoncer le raisonnement qui sous-tend la décision, ainsi que les faits et les éléments pris en compte. L’agent doit également donner une explication de la décision dans une note de cas.
Une décision est raisonnable et donc défendable lorsqu’une autre personne est en mesure de suivre le raisonnement du décideur, sans rencontrer de graves lacunes dans la logique globale, et qu’elle est convaincue qu’il existe une ligne d’analyse dans les motifs donnés qui pourrait raisonnablement mener le tribunal de la preuve dont il dispose jusqu’à la conclusion tirée par le décideur.
L’agent doit se pencher sur la preuve documentaire fournie par le demandeur. Le simple fait d’affirmer « J’ai examiné les observations et je ne suis pas convaincu que l’article 204 du RIPR est respecté » n’est pas suffisant pour qu’une autre personne raisonnable comprenne la logique de la décision sans examiner de nouveau tous les éléments de preuve.
Les motifs de refus doivent indiquer clairement les critères ou les exigences du R200 qui n’ont pas été respectés et expliquer comment la conclusion a été tirée.
Pour obtenir de l’aide, les agents peuvent suivre les étapes décrites dans le Processus décisionnel : Norme de contrôle et marche à suivre pour prendre une décision raisonnable.
Motifs de refus dans le Système mondial de gestion des cas (SMGC)
Le SMGC contient un texte standard pour les motifs de refus. Les agents doivent s’assurer que les motifs de refus choisis pour la lettre de refus correspondent aux motifs qu’ils ont énoncés dans leur note de cas.
Si un agent a des motifs raisonnables de croire que le demandeur n’est pas en mesure d’exécuter le travail demandé, il doit sélectionner l’alinéa « R200(3)a) Vous n’avez pas été en mesure de démontrer que vous serez en mesure d’exécuter adéquatement le travail pour lequel vous demandez un permis de travail». Les agents doivent s’assurer d’indiquer clairement dans leurs notes de refus pourquoi ils ne sont pas convaincus.
Étant donné qu’il n’y a pas de motif de refus précis pour les catégories de l’ALE dans le SMGC pour les cas où un agent n’est pas convaincu que les critères ont été respectés, il doit sélectionner le motif de refus « Autre » et ajouter une courte explication dans le champ « Commentaires » selon laquelle il n’est pas convaincu que le R200 ou le R204a) est respecté.
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